Give the soul a chance| Leola

La jeune femme commençait à se livrer à un homme qu'elle connaissait à peine. Mais l'image qu'il en dégage, les expressions de son visage et tout son être lui faisait avoir confiance en lui. C'était un faux départ qu'ils avaient eu auparavant, la jeune blonde était ravie d'avoir eue une belle opinion de lui dès le début. Elle peut comprendre que ce ne fut pas la même chose pour lui, Leola fait très bourgeoise et très superficielle au premier abord mais c'est tout l'inverse. La jeune héritière souris timidement quand l'éditeur lui demanda s'il était en pleine exclusivité de son secret enfoui. Le serveur arriva avec les deux plats et les deux jeunes gens commencèrent à manger. Doucement mais surement, pour ne pas écourter cet entrevue ensemble.

Après l'annonce de ce secret, la jeune femme se sentait mieux, un peu plus libéré. Elle n'en a jamais parlé à personne. A part peut-être à Elliott, son ami flic qui la pousse à embrasser cette carrière. Le jeune homme semblait perplexe à l'annonce du secret caché de la belle, elle s'en doutait d'ailleurs. C'est pas facile de se dire qu'une personne comme elle veut faire un travail comme celui ci. Mais travailler au FBI serait l'accomplissement de sa vie. Il commença alors à lui poser quelques questions. "Oui, je sais que c'est un gros rêve. Mais c'est pour ça que j'ai fais mes études en criminologie. Je n'ai jamais rien fait, car j'ai peur de décevoir mes parents et même de ne pas y arriver, je n'ai aucune confiance en moi" répondit-elle en faisant une moue un peu triste. C'est vrai que Leola n'a pas forcément très confiance en elle malheureusement. Elle vaut ça à son père qui était très autoritaire, même sa mère n'avait vraiment aucune influence. Justement, Nolan demanda à la jeune directrice si son père lui mettait la pression avec l'hôtel. "Un peu oui, c'est un des premiers hôtels qu'il a ouvert, il veut que tout se passe bien. Je comprends cela mais quelque fois il est un peu dur" annonça la belle Silverton au beau brun avec un sourire en coin.

Curieusement, le soleil s'entendait à se creuser une place sur le dos de leur table spécifiquement, remarqua le jeune homme tel un détail, un signe inévitable que leur relation débutait avec une jolie clairté, se refusant le néant et les idées nébuleuses. Nolan posait ses yeux sur ce soleil, s'en nourissant, tout en revenant vers Léola qui semblait de plus en plus détendue de se livrer à lui. Nolan était une bonne oreille, c'était un truc qu'on lui avait dit de nombreuses fois au cours de sa vie. Une de se sgrandes qualités, de mettre son esprit dans l'objectivité et la neutralité, de ne simplement qu'absorber les élèments plutôt que de tenter de les analyser. Tout en mangeant tranquillement son plat, songeant à cette discussion intéressante et différentes idées qui lui traversaient l'esprit, Nolan se laissait berçer par les propos de la jeune femme, de son rêve grandiose qui l'impressionnait malgré tout. Mais, en distinguant soudainement ces propos de manque de confiance, Nolan releva délicatement la tête, les yeux tout à coup plus ronds, surpris et piteux d'entendre une telle chose. Lui-même connaissait ce sentiment, mais il n'était pas à sain à ressentir. Quelque peu touché, il écouta puis éclaircit sa voix. «Il ne faut pas que vous laissiez la peur ou qui que ce soit vous empêcher de faire quoi que ce soit. Moi, je vous dis, Léola, foncez. On a qu'une vie, perdez pas de temps si c'est ce que vous voulez vraiment. » annonca-t-il dans une voix berçante, chaleureuse, mais teintée de sérieux. Nolan s'était récemment mis à songer de cette façon, qu'il ne faudrait jamais se retenir de faire quoi que ce soit dans sa vie pour des peurs ou des appréhensions. Après, il devient trop facile de regretter et de songer au passé si on s'était réellement lancé. Lui avait Quaterly et c'était bien grâce à cette façon de penser qu'il en était parvenu. Un sourire d'amitié s'afficha sur son visage. Nolan écouta ultérieuremment la jeune femme lui révèler plus d'informations sur son père, se demandan intérieurement si ce genre de relation, de pression sur son enfant était réellement désirable. L'éditeur hocha la tête, absorba l'information. «Mais vous êtes en charge, n'est-ce pas? Pas lui. Il devrait vous faire confiance, une confiance aveugle, car je présume que vous êtes assez compétente pour vous en occuper seule. Enfin. » ajouta le jeune homme en haussant les épaules, sentant que son ton devenait plutôt protecteur, très paternel avec Léola, détail qu'elle n'appréciarait peut-être pas forcément. Il avala une autre bouchée de sa salade, se calmant quelque peu. «Où est-il votre père, que fait-il maintenant?» demanda Nolan pour relançer objectivement la conversation.

Le soleil se frayait un chemin derrière eux, et leur donnait une lumière ravissante. La jeune femme mangeait tranquillement, pas trop vite non plus. Les deux jeunes gens étaient en symbiose totale, ils s'entendaient vraiment bien finalement et commençaient à s'apprécier vraiment. C'est une belle discussion qu'ils avaient là et Leola aimait beaucoup ce moment privilégié avec Nolan. Il l'écoutait et elle se livrait petit à petit, elle n'aimait pas se livrer parce qu'elle pensait que c'était de la faiblesse. Son père lui a apprit ça, mais avec Nolan, elle ne se sent pas forcément faible mais juste confiante. Elle avait parlé de son rêve au jeune éditeur, quelque chose qu'elle n'a jamais dit à personne à par un ami flic qui lui a dit de poursuivre ses rêves. Le jeune homme commençait à la conseiller, et elle appréciait beaucoup cela. "Il est vrai qu'on a qu'une vie, une jour qui c'est je me lancerais surement" répondit-elle à l'éditeur. C'est vrai qu'installé à Bowen, elle se voit mal partir pour un certain temps à Quantico, même si elle le voudrait secrètement, en fait elle ne veut pas laisser seule sa tante à gérer cet hôtel qui a prit de plus en plus d'amplitude et de reconnaissance. Gênée, elle passa une mèche de ses cheveux derrière son oreille et baissa les yeux vers son assiette. Continuant à manger, les deux commençaient à vraiment bien s'entendre. "Oui, je suis en charge, mais cet hôtel est quand même le sien. C'est sa tête que vous voyez en entrant ou même dans les publicités" répondit la belle blonde à Nolan. Son père, elle l'aimait de tout son coeur car c'était son père mais elle avait une certaine appréhension avant de le voir. "Mon père est à Londres, au siège de la société. Il me surveille de loin" annonça Leola. Son père vivait à Londres avec sa mère, et cela faisait un moment qu'elle ne les avait pas vu ou qu'elle n'avait pas eu de leurs nouvelles mais cela ne lui manquait pas tant que ça. "On parle beaucoup de moi, j'espère que ce n'est pas pareil pour vous ! Pas autant de pression ..." dit-elle en souriant à Nolan.

Nolan faisait partie de ceux qui croyaient aux épicuriens, à leur théorie du plaisir, de vivre pleinement et de se ne pas se satisfaire des restrictions et des incertitudes. On passe sa vie à souffrir, à travailler, à chercher un but, un bonheurm une source quelconque. Peut-on profiter de ce qui est éphèmère, mais totalement enivrant? Nolan le croyait, lui et voulait que chacune de ses journées soient différentes et significatives dans sa vie. C'était pour ces raison qu'il travaillait dans ce qu'il aimait et qu'il ne refusait presque aucune aventure s'offrant à lui. Léola devrait faire pareil, ne serait-ce que par débuter dans une carrière qui la passionne véritablement. Le jeune homme ne connait pas sa vie, c'est vrai. Comment en est-elle arrivé là à gérer un établissement qui n'est pas le sien alors qu'elle rêve de faire autre chose, il ignorait ce parcours. Peut-être était-ce plus compliqué pour elle, mais rien ne devrait lui barrer la rpute. Nolan mangeait tranquillement en ruminant ce genre de pensées, autant pour elle que pour lui, les yeux égarés. À ses mots, Nolan s'aventura à sourire pour la soutenir, la maintenir dans cette idée. «Je vous le souhaite en tout cas. » lanca-t-il en étant toalement sincère, profondément occupé par cette question. Léola méritait ce qu'il y avait de mieux, certainement. «Aimez-vous gérer cette hôtel, sérieusement?» dmanda-t-il par la même ocassion, non pas pour la faire questionner sur son parcours de vie, mais seulement pour savoir comment ce travail, cette implication s'inscrivait dans le livre de son existence. Nolan, lui, savait qu'il était au bon endroit en ce moment, au bon moment en tout. Éditeur, journaliste, réviseur, il ne cherchait pas mieux. Tous se sbuts avaient presque été atteints. Bref, cet hôtel appartenait au père, avait-il appris. Tout en mangeant tranquillement, le jeune homme hocha la tête, comprenant un peu ce qu'il en devenait. «Quel genre de gens recevez-vous normalement? Des gens importants, des célébrités? Vous avez des cas particuliers, aussi? » demanda-t-il a la rigolade, s'intéressant tout à coup au genre de la clientèle qui pouvait passer ses murs. C'était un endroit très bien décoré, de haute qualité. Il se doutait qu'il devait y avoir des gens de haute importance. Lui, il était venu simplement pour y séjourner quelques jours, écrire, passer le temps, rien de trop important. À sa remarque, Nolan hocha vivement la tête. «Bien sûr que non ça ne me dérange pas de parler de vous. J'ose croire que je n'ai rie de plus intéressant à raconter. À moins que vous vouliez savoir quelque chose en particulier. » lanca-t-il dans un sourire taquin. Nolan avait eu une vie agitée, mais normale, après tout. Beaucoup de noirceur et après, de la rescousse.

Leola ne savait pas trop quoi rajouter sur ce sujet. Le jeune homme avait l'air intrigué par cet hôtel qui est le sien, enfin qui est l'héritage de son père. Elle sait qu'il faut qu'elle fasse quelque chose qu'elle aime dans la vie pour être épanouie mais elle n'a pas envie de lâcher cet hôtel auquel elle tient quand même énormément. Mais ce qui est sûr, c'est que Leola ne restera pas toute sa vie dans cet endroit à ruminer derrière un bureau et fair cela même chose tous les jours. Ce qu'elle voulait, elle, c'était de l'action pure et dure ! La vraie action, bouger, vivre à droite et à gauche. Elle y arriverait surement un jour, si elle s'en donnait les moyens. Son interlocuteur lui sourit, pour la soutenir et la conforter dans son idée d'évoluer ou de changer de carrière simplement. La belle blonde lui rendit ce sourire. Ils continuèrent à manger, Leola faisait attention à ne pas trop manger comme d'habitude devant son ordinateur dans son bureau. Cette salade aurait été avalée en deux temps trois mouvements. Cet homme avec qui elle partageait son repas lui demanda alors quelle clientèle elle avait l'habitude de recevoir. "Souvent, nous avons des jeunes mariés en lune de miel, ou des congressistes. Il est arrivé d'avoir des célébrités mais qui n'ont pas tellement de notoriété" répondit-elle à Nolan. Il est vrai qu'elle avait vu des petites stars, des mannequins en devenir, des chanteurs de première partie. Mais ça lui faisait plaisir d'avoir une clientèle qui sort un peu du lot. La jeune femme trouvait que le sujet tournait beaucoup autour d'elle, l'éditeur n'en était pas dérangé mais il lui demanda si elle voulait savoir quelque chose en particulier sur lui. "Vous êtes à Bowen depuis longtemps ? Ou depuis toujours peut-être ?" demanda-t-elle en remettant ses cheveux derrière son oreille droite.

Journaliste inné, de naissance, de toujours, évidemment que Nolan voulait savoir ce qui cachait derrière cette femme qu'il avait mal jugé au départ. Une femme austère, froide dans ses pensées, mais absolument divine et respectable en personne. Un beau sens de l'humour mélangé à une finesse de l'esprit, ça donne une femme comme Léola. Nolan appréciait ce moment, appréciait la décoder, se faire une nouvelle idée dans son esprit de ce que pouvait être la jeune femme au creux de son intimité. Il ets vrai que l'histoire de cette hôtel, de l'héritage paternel, de l'espèce de bulle dans laquelle était plongée Léola intriguait partciulièrement Nolan, certes. C'était ce genre de petits détails qui pouvaient former l'inconscient d'une existence entière. Il mangeait, légèrement, l'esprit retourné, les yeux portés sur les inconnus les entourant, l'idée de Léola et de son énergie se dégageant. Elle semblait évasive sur certains sujets, plus enthousiaste sur d'autres. Néanmoins, il ne perdait jamais l'attention, ne quittait jamais cette réalité pour une autre. Les yeux se retournant vers elle. Il hocha la tête lentement à ses mots, souriant au passage. Des célébrités, hé bien. «Suis-je considérée comme une célébrité pour vous, moi?» demanda-t-il dans un rire. Quel statut Nolan pouvait-il détenir dans cet hôtel, il l'ignorait mais était tout de même curieux de le savoir. Nolan plia les bras, se reculant, observant le visage fin de Léola. À sa question, il sourira, laissant des mots se percher dans son esprit. Depuis trop longtemps avait-il l'impression. «Je suis né ici. J'ai toujours vécu en Australie. Je suis allé aux États-Unis il y a un an pour le Quaterly. Dans l'Illinois, Chicago. Vous y êtes déjà allé? » demanda Nolan, curieux de savoir si elle faisait partie d'une ancienne vie ou si ils auraient pu se croiser d'une quelconque façon en Amérique.

Leola était fasciné par ce jeune homme et appréciait la façon dont ils communiquaient. Avec un départ compliqué, ils partirent sur un autre chemin en commençant à s'apprécier et à se livrer de caques côtés. La jeune femme lui expliquait alors que dans son hôtel, on pouvait voir des gens totalement différents, de milieux aléatoires et cette diversité qu'elle aimait. Elle pouvait rencontré de jeunes mariés, passé par un photographe de renom et rencontrer une famille ici pour du tourisme simplement. Elle sourit et rit légèrement quand Nolan lui demanda si pour elle, il était une célébrité. "Dans votre milieu vous en êtes une ? Je me trompe ?" répondit la jeune femme avec un léger sourire en coin. Il est vrai que pour elle, c'était ce genre de notoriété dont elle parlait. Pas de stars internationales ou de comédiens de renom. Des célébrités tels que des photographes, des journalistes ou même des politiciens locaux. Voilà de quoi elle parlait. Ensuite, elle demanda au jeune homme s'il était originaire de la ville. Où d'ailleurs il répondit positivement. Il lui répondit aussi qu'il avait était aux Etats-Unis, précisément à Chicago pour le Quaterly. "Non, je n'y suis jamais allé. Je ne connais que San Francisco aux Etats Unis ! Comment était-ce ?" demanda la jeune femme, un peu trop curieuse.

L'avant-midi tirait sur sa fin, le soleil commençait discrétement à prendre de l'aile. Nolan pensait à son Quaterly qu'il rejoindrait bientôt, mais aussi à l'idée de le partager avec Leola ici. C'est vrai, elle était intelligente, vive, persuavive, allumée; elle était le genre de personnes avec qui Nolan aimerait faire affaire. Après avoir avalé une enième bouchée de son repas, c'est exactement à ce genre de choses que pensa Nolan. Tout en l'observant, la magnifique Leola, Nolan songea à une liaison, un partenariat entre eux. Tout doucement, un sourire innovateur s'imprima sur le visage de Nolan, pensif et très enthousiaste tout d'un coup. Oui, Leola, semblait être, non seulement une nouvelle amie confortable, mais aussi une femme d'affaires intangible. Il continua tout de même de lui sourire entre deux bouchées. Lui, une célébrité? Dans le monde de l'édition, peut-être, mais sans plus. Nolan était reconnu, oui, pour le Quaterly, mais c'était strictement professionnel. On ne le reconnaissait pas dans la rue en tous les cas. Nolan échappa un rire accompagné. «Célébrité, c'ets un très grand mot. Certes, je suis reconnu dans le milieu pour le Quaterly, mais c'est...à des fins strictement professionnel. J'ai écrit un livre, cependant. Ça arrive qu'on m'en parle parfois. » lanca-t-il comme ça, par pure information. Son recueil qu'il avait publié plus jeune, il y avait mis beaucoup de temps et beaucoup d'espoirs. De la poésie, des nouvelles, des essais sur la vie. Ça avait bien marché dans le milieu estudiantine, littéraire, mais ça n'avait jamais fait un tabac. Après, il n'avait plus envie de réecrire comme il l'avait fait. Le magazine lui convenait et ça lui permettait de calaniser des émotions. Les yeux tenants sur ceux de Léola, Nolan revenait quelque peu sur son idée d'association. Il voulait avoir Leola d'une façon plus professionnelle encore. Nolan songea encore à cette idée lorsqu'elle lui demandait comment était ces parties américaines qu'il avait visitées. «Oh, c'est...bruyant. Très vivant, foissonnant de culture, de créativité. Il y en a pour tout le monde dans ces villes, pour chacun des goûts. J'ai beaucoup apprécié le musée contemporain de Chicago, l'effervescence de la ville. » Dans un souffle, une inspiration. Il avait effectivement aimé Chicago, mais il n'aurais jaimais pu y demeurer. C'était un train de vie trop rapide, trop intense pour le petit Nolan, habitué à la lenteur, à l'appréciation. Doucement, Nolan s'approcha doucement de la table, pris par cette idée soudaine qui lui martelait l'esprit, posa ses coudes sur la table et scruta Leola du regard. «Dites, Leola, j'ai envie qu'on fasse affaire tous les deux. Je vous regare, et puis... je dois faire affaire avec vous. Le Silverton, le Quaterly. » lança Nolan dans une voix soudainement emportée, penché sur la table, les yeux criants et allumés. C'est vrai, il voulait garder son nom dans le coeur de Léola, d'une certaine façon. Il l'aimait bien et elle dégageait une énergie rassurante, stable, professionnelle. Son séjour à l'hôtel avait été un des meilleurs et il était persuadé que cet endroit pouvait lui donner plus que cela encore. Nolan devait encore trouver quoi, mais l'idée était là, sur table.

Le jeune homme dégageait une aura magnifique. Il était plein de vie et avait envie de faire vivre son journal. Leola trouvait cet homme passionnant et elle l'écoutait attentivement. Elle sourit quand il lui dit que le mot célébrité était un bien grand homme pour le définir même s'il était connu dans son milieu. La jeune femme ne fut surprise quand le jeune homme lui annonça qu'il avait écrit un livre car il avait la tête de l'emploi amis elle était un peu curieuse d'en savoir plus. "Oh, vous avez écrit un livre ! Quel genre de bouquin ?" demanda-t-elle en faisant sa petite fouine. La curiosité est un vilain défaut mais la conversation qu'ils avaient était fluide et agréable, alors elle voulu satisfaire sa curiosité. Il semblait songeur, à penser à quelque chose quand il regardait la belle blonde mais elle ne savait pas pourquoi. Nolan lui raconta alors comment était la ville de Chicago. Elle l'imaginait pleine de vie, d'art en tout genre et d'une culture assez forte. Apparemment, ses pensées n'étaient pas très loin de la réalité. Alors elle acquiesça les paroles de l'éditeur en hochant la tête et en souriant. Pourquoi pas un jour découvrir cette belle ville ? C'est alors que le jeune homme s'approcha un peu plus de la table pour proposer un partenariat entre l'hôtel et le Quaterly. Maintenant elle savait pourquoi il la regardait attentivement, il avait une idée derrière la tête ce beau brun ! Mais pourquoi pas après tout. "Mais j'en serais ravie, vous avez une idée de partenariat entre nos deux entreprises ?" demanda-t-elle avec un sourire. Se serait sympa, de changer l'image de l'hôtel Silverton et de l'associer au journal du jeune homme. Après cette rencontre, elle aurait apprit à le connaître et puis elle aurait eu un partenariat à la clef. Que demander de plus ?