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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 suddenly the world seems such a perfect place -r.

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MessageSujet: suddenly the world seems such a perfect place -r.   suddenly the world seems such a perfect place -r. EmptyVen 28 Oct 2016 - 2:12

Tu étais privée de sport, pendant deux semaines tu n'avais pas pu en faire, tu pouvais à peine reposer le pied par terre, marcher dessus. Ça se faisait trop lentement cette convalescence, mais ça te donnait le loisir d'exploiter autre chose. De tenter autre chose, comme la peinture, le dessin. Tu avais pris position dans un groupe qui se rejoignait souvent au parc pour peindre la nature. Tu aimais la nature quand tu étais au milieu à courir ou a faire une activité sportive mais en dehors de ça, tu n'étais pas plus émerveillée que ça. Peut-être que ça aurait le don de t'ouvrir un peu plus sur la beauté de ton environnement, te rendre attentive à ce qui t'entourait dans la vie de tous les jours. Tu verrais bien. Ce n'était que ton troisième cours, mais tu t'y plaisais déjà beaucoup, d'autant plus que tu avais tout de siute eu un contact avec un jeune homme. Tu étais en quête d'amour, pas celui avec un grand A mais celui qui se faisait plutôt charnel. Tu avais envie d'une petite histoire, d'une relation simple, sans prise de tête mais intense et intime. Même si ta première rencontre avec lui avait été plutôt froide. Il avait été très fermé avec toi, te repoussant aussi vite qu'il le pouvait. Malheureusement pour lui, t'étais une vraie tête de mule, surtout quand t'avais une idée en tête et t'avait pas prévu de laisser tomber. C'était un casse-tête, un défi pour toi et tu adorais ça. Ça te faisait vibrer et tant qu'il te donnerait de la matière à réagir, alors tu rebondirais dessus sans plus attendre. « Alors Ashton, tu vas réussir à dessiner les arbres aujourd'hui ? » demandais-tu avec un petit sourire en coin. Tu aimais provoquer, tu aimais faire chier le monde. Mais avec lui, c'était plus drôle encore. Enfin pas tant que ce soit drôle, mais il n'appréciait pas, il ne disait rien jusqu'à ce que tu le pousses dans ses retranchements. Après tu passais pour la chieuse de service, mais ça t'allait bien. C'était pas ta faute si son côté garçon solitaire, garçon mystérieux t'agaçait un peu. Tu voulais percer sa carapace, voir ce qu'il y avait sous toute cette couche d'amertume. Il ne pouvait pas vraiment être comme ça ? Un si beau garçon, tu trouverais ça tellement dommage. Tu le laissais tranquille quelques minutes, le temps de vraiment te pencher sur ton carnet. Jusqu’à ce que ton regard finisse par glisser sur lui, sur son travail. « Ça manque un peu de peps si tu veux mon avis. » Il avait à peine commencer, tu ne pouvais pas vraiment te permettre de juger, de dire ce qui allait ou non mais pourtant, tu le faisais, toujours un grand sourire sur le visage.
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MessageSujet: Re: suddenly the world seems such a perfect place -r.   suddenly the world seems such a perfect place -r. EmptyVen 28 Oct 2016 - 16:17

Putain qu'il se faisait chier. Vraiment. De toute cette vie de merde qu'il n'avait pas choisi, toute cette brisure dont il avait forcé d'avaler, tout ce qu'il lui manquait. Le silence des vagues contre la roche, le grand phrase longeant la baie, sa soeur envoyant balader les pierres le plus loin possible, toutes ces clopes que son frère et lui pouvaient flamber en une seule nuit. Sa mère malade, muette, enfermée dans sa tête, vision morbide de la double-vie saccageuse que menait Viggo, à l'insu de ses enfants soudés par l'idée justement que quelque chose ne tournait pas rond. Ensemble, ils se tenaient, bercés au fond par l'idée que leur temps idyllique étaient éphèmère, qu'ils devraient savourer tous ces instants avant qu'il ne disparaissent à jamais. C'est exactement ce qui s'était passé finalement. Leur plus grande peur s'était concrétisé. Pourront-ils, un jour, se retrouver, heureux et paisibles comme les jours avant la tempête. Zagid ne se mentait plus. C'était presque utopique comme fantaisie. Depuis tellement longtemps qu'il avait haussé les épaules à la question :«would they be together again?» .
Alors, sa vie, c'tait ça: croupir lentement chez sa tante inconnue, avec la magnifique somme de 0 dollars dans ses poches, le crayon et le calepin pas trop loin au cas où il sentirait un down et, bien sûr, la crème étant l'obligation de se fondre dans la masse de prétendants artistes tout aussi fabriqués et imbus les uns que les autres. Zad était gâté par les aléas de la vie, terriblement gâté. C'matin, il avait été à deux doigts de ne pas trouver la motivation, ô pardon même pas, le motif jugé nécessaire pour lui de poser le pied contre le tapis hideux recouvrant la cave de sa tante. Se lever, se regarder dans le miroir, constater l'ennui et l'idifférence entre ses deux iris comme une constation de ses efforts à ne pas essayer et poser son cul sur un banc de bois à se faire dévorer par toutes ces petites voix humaines gonflées par l'égo et l'orgueil. On l'avait forcé, vraiment. Sa tante était venu le marteler d'un possible retard auquel Zad avait simplement rétorqué: «et alors?». Et alors? Dannie, à des kilomètres plus loin, toujours croupissant dans les draps de sa mère mourrante, cesserait de lui donner de l'espoir, une vie quelconque à travers des lettres et des écrits. C'était assez significatif pour que Zagid se lève. Il s'était retrouvé, va savoir comment, dans la nature avec les autres morpions qui composaient sa classe. ö qu'il se faisait chier en ce moment. Zad s'était mis un peu plus à l'écart des autres, cependant, le visage fermé, nourri par l'agacement d'être ici, dévoré par des entités dont il ne voulais pas avoir à faire. Au moins, il y avait l'ouverture de l'espace, le paysage, le ciel assombri d'un matin qui lui donnait de brefs souvenir de sa terre danoise, son calepin, le papier, la danse du crayon sur les pages telle une extension de sa personne. Tout allait déjà mieux au moment où Zaid' posa son crayon gras contre le papier, ayant déjà idée de transporter le phare de son enfance entre les quelques arbres dont il était tenu de dessiner. Le silence. L'exclusion. Jusqu'à ce que cette voix ne l'empoigne. Cette voix dont il connaissait les vibrations soudaines, aigües et aggressantes. Zagid fit mine de ne pas l'entendre, tout en fermant sauvagement les yeux, le coeur sautant, immédiatement énervée de se faire envhir par elle. En plus, cette fille, dont il n'avait même pas pris la peine d'assimiler son nom, l'emmerdait de la meilleure manière dont il était possible d'imaginer. Elle excellait dans ce domaine, en tout les cas. Le dos cambré, les muscles tendus, Zadig tenta de s'apaiser en formant les grandes colonnes du phares profondément incrusté dans son esprit. Il restait flou tout de même. À sa première affirmation, Zad' ne fit que soupirer lourdement, exprimant l'agacement sans vraiment soucier de sa délicatesse, à quel point elle ne devrait vraiment pas aller dans cette direction aujourd'hui. Fuck. Ces arbres étaient dégeulasses. C'était la faute à la blonde qui le cherchait tout le temps, probablement pour se féliciter intérieurement de pouvoir piquer la seule personne du groupe à s'exlure régulièrement, le mec qui veut rien savoir de tout. Puis, son ton moqueur encore, comme une percée saigante dans le coeur de Zad' qui aurait vraiment tout fait pour ne pas être ici. «Dis, si je me fie aux semblant de merdes que t'appelles premier jets pour déculpabiliser de ton manque de talent, je te conseillerais de porter une attention particulière à l'embryon de ton soi-disant arbre juste là. C'est bien, on dirait une boule de merde avec deux jambes. » lanca-t-il d'une voix perçante, les yeux rivés sur elle. Il avait posé son doigt sur les quelques lignes qui se voulaient, très maladroitement cela dit, être un feuillu. Son sourire à elle, collé sur son visage blanc et fin, l'enragea doublement. Zad' arqua les sourcils avant de détourner sa tête, les membres plus serrés par tension et énervement. Putain, il foutait quoi ici. L'exclusion. Zad voulait trouver son phare, son endroit paisible, ses souvenirs, sa soeur. Tout sauf ça.
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MessageSujet: Re: suddenly the world seems such a perfect place -r.   suddenly the world seems such a perfect place -r. EmptyDim 20 Nov 2016 - 18:35

Il avait fermé les yeux, ignorant ta question. Tu sentais que tu poussais déjà les choses un peu loin, comme si ce n'était vraiment pas le jour pour le faire chier, pas le jour pour le pousser à bout. Pourtant, tu ne pouvais pas te contrôler, ça venait tout seul. Lorsqu'il te répond, avec une voix sèche, un air assez sévère sur le visage, tu ressens un profond sentiment de joie, de victoire. « Oh, presque ça me ferait pleurer. » avais-tu répondu avant de te mettre à rire. Ce n'était pas vrai. Tu avais jeté un coup d'oeil à ton croquis avant de le reposer sur lui. « La critique ce n'est pas ton fort. La colère non plus. » Tu haussais doucement les épaules. Il avait beau vouloir faire comme toi, essayer de te blesser, d'être méchant, tu voyais bien qu'il n'y arrivait pas. Comme s'il avait un doute, comme s'il se demandait si tout ça avait un réel intérêt. Là où il pourrait s'en sortir ça aurait été de t'ignorer dès le premier jour, mais il en avait été autrement. Pour ton plus grand plaisir. « Je pense qu'un enfant de six ans serait capable de dire que mon arbre est un kauri alors que le tien j'suis pas certaine qu'il le sache. » Ton sourire se faisait plus grand, plus imposant. Tu savais que tu gagnais si tu ne cillait pas à ses attaques, à ses remarques. Il avait raison, ton arbre ne ressemblait pas à grand chose à côté du sien, c'était bien pour ça que tu venais prendre des cours, pour t'améliorer. Tu avais un coup de crayon mais il était léger, tu n'étais pas une grande artiste, tu ne le serais probablement jamais. Mais ce n'était pas non plus le but que tu recherchais dans cela. Tu voulais te détendre, passer du temps à faire autre chose que du sport parce que tu ne pouvais pas vivre uniquement avec le sport. C'était bien, tu relâchais toute la pression que tu pouvais avoir accumulée mais avec l'esprit de compétition que tu avais, tu ne pouvais pas t'empêcher de te trouver une cible et de le défier. L'art était plus apaisant. Sauf quand il y avait Zadig. Tu devenais hystérique, tu te sentais attirée par lui, tu devais absolument lui parler, te rapprocher de lui. Sauf que tout ce que tu connaissais depuis des années c'était l'offensive. Tu ne pouvais pas t'empêcher d'être agressive ou désagréable quand tu voulais être tout le contraire. Pas étonnant que tu avais du mal à te trouver quelqu'un ou que tu avais du mal à te faire des amis. Il fallait juste casser ta carapace mais lui il t'encourageait à continuer parce qu'il rentrait dans ton jeu.
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MessageSujet: Re: suddenly the world seems such a perfect place -r.   suddenly the world seems such a perfect place -r. EmptyMar 29 Nov 2016 - 3:45

Il ne fallait pas beaucoup de temps pour comprendre qu'il valait mieux foutre la paix à Zad'. C'étai vraiment mieux et pour lui et pour toi. Il y avait peu de bons moments pour l'approcher puisqu'il n'y en avait jamais. Les gens, leur visage qui ment, leur mots qui se déguisent, leurs traits qui les rendaient animaux et pendants. Zadig s'eloignait presque toujours de la mêlée quand il le pouvait. C'était tout à la fois, tot ce qu'il avait vécu au Danemark, sa soeur et son frère perdu au bout de l'histoire, son père coulant encore vers les rives de la mort. C'était trop dur pour lui d'essayer de pardonner ou de se retourner de sa situation. Zad' avait fermé les volets de sa personne, il avait décidé de dire non à tout ce que la Nature l'avait forcée à avaler. Fuck la vie, fuck les gens, fuck à tout ce qui mentait, crachait et il calmoniait. C'était ainsi, par choix et il allait pas changer. Jusqu'à maintenant, Zadig avait réussi à passer à travers les intempéries les dents serrés et les yeux pliés. Éviter le genre humain, choisir ses mots, préfèrer la dope à la réalité, le coeur fermé tout le temps. Et il y avait ces gens qui comprenait pas ça. Ces gens prenaient un plaisir divin à tenter de gruger le bois de sa carapace. Y'avait elle, cette fille qui semblait jubiler à la moindre occasion d'envahir son intimité. Sa main tremblait de plus en plus, par énervement surtout. Il avait les yeux rivés sur son papier, les dents coincés, le poil remontant, son iris vert tentant de tracer les vagues danoises d'antan. Il lui avait craché dessus un moment, ça lui avait fai du bien, mais elle en redemandait, comme c'tait charmant. Zadig soupira bruyamment avant de sourire dans son coin. Putain, qu'elle adorait ça. Il tourna la tête lentement avant de balancer son plus merveilleux sourire, teintée par l'ironie et un poison incertain. «J'aimerais tellement voir une larme couler sur ta putain de joue.» murmura-t-il dans un sourire, la gorge alors coincée par l'envie de lui balancer un autre truc à la figure. Zad' la connaissait à peine, il était franchement indifférent envers elle jusqu'à ce qu'elle se mette à le pincer comme ça, pour une raison qu'il ignorait, mais dont il se fichait carrément. Elle cherchait quoi, encore là, le danois l'ignorait. Doucement, il l'observa de ses yeux verts, une idée, un songe lui circula l'esprit avant qu'il ne retourne placer son attention à l'endroit où il devrait être : sur son croquis qui aboutissait à rien. Fuck. C'était elle qui lui mélangeait l'esprit. Zad' s'énerva davantage. Ses gestes étaient carrés, vifs, secs. C'était son art à lui le dessin, le seul moment de se libérer l'esprit sauf quand il était en train de se doper. Elle parla encore, il l'ignora sans vraimeent l'écouter. Zadig était déjà énervé, il la maudissait silencieusement, tout se voyait dans son visage aux traits remontés et les nerfs tendus. Doucement, son phare prenait vie, aux côtés de son arbre quelque peu détruit par son énervement. adig soupira quand elle parla à nouveau. Elle allait pas lâcher morceau, fuck me, il se disait. C'était qui elle? Dans ses cours, ouais, mais pourquoi c'était oujours lui qu'elle venait gruger? Elle voulait quoi, au fond? Zadig se souvenait même pas de son nom, en fait, il savait simplement qu'elle était blonde et qu'elle était chiante. Doucement, il tourna la tête vers elle, résigné à se débarasser d'elle. «Qu'est-ce que tu me veux, dis? Fait vite pour que tu me foutes la paix après.» lanca-t-il d'une voix sèche et brisée. Pendant un instant, il jetta un coup d'oeil sur son travail. C'tait pas mal, en fait. Il l'avouerait probablement jamais, mais elle avait un peu de talent la chieuse, en fait. Zadig garda ses yeux sur son papier à elle, les nerfs toujours tendu et soudainement attisé par le besoin d'une clope en ce moment. Fumer là, maintenant.
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MessageSujet: Re: suddenly the world seems such a perfect place -r.   suddenly the world seems such a perfect place -r. EmptyDim 11 Déc 2016 - 17:20

Ton sourire ne te quittait pas, tu avais un sentiment amer de victoire. Amer parce que ce n'était pas ce que tu voulais dans le fond. Tu allais finir par le pousser à ne plus venir. Et si ça devait arriver tu aurais perdu. Tu l'entendais murmurer quelque chose mais pas assez audible pour comprendre. Il devait te maudire tout doucement à force de te voir graviter autour de lui. « Et si tout ce que je voulais c'était te parler ? » Tu soupirais un bon coup. C'était sorti de nulle part. Tu l'avais pensé si fort que les mots avaient finis par s'échapper de ta bouche. « A chaque fois t'es qu'un con fermé. » crachais-tu sans prendre la peine d'y aller avec douceur. Pourquoi faire de toute façon ? Pour lui, il ne devait pas y avoir de différence dans le ton de ta voix. Tu étais l'emmerdeuse de service, celle qui venait se coller à lui à chaque cours et qui passait son temps à critiquer, à être méchante sans raison et à l'enfoncer. Tu ne savais rien de lui, rien de son histoire. Tu connaissais juste son nom et tu trouvais qu'il avait un accent d'ailleurs mais tu n'étais pas capable de dire d'où. Tout simplement parce que tu ne connaissais rien sur ce qui pouvait exister ailleurs que Bowen. Un peu comme si Bowen était le centre du monde pour toi. Ce qui était totalement con étant donné qu'il existait des paysages ailleurs bien plus beau mais bien plus loin. Tu n'avais pas envie de connaître le monde ailleurs aussi parce que tu gardais un mauvais souvenir de Londres. Ce n'était pas un pays fait pour toi, mais tu n'arrêtais pas de te dire qu'aucun autre ne pourrait être aussi bien que l'Australie. « A chaque fois que j'fais un pas vers toi, tu recules de dix comme si t'avais peur que je te dévores. Et moi ça m'pousse à être comme je suis. » Putain, que ça te faisait mal de le dire. Tu l'avais souvent pensé, mais jamais tu ne pensais le lui dire à voix haute. Ça devait être le cinquième cours que tu venais vers lui, que tu essayais d'entamer la conversation mais à peine tu étais proche de lui qu'il se fermait. Tu ne savais pas si c'était toi le problème ou si c'était lui qu'était incapable d'être sympa. Dans les deux cas, maintenant que tout était sorti, tu aurais peut-être la chance d'avoir plus d'informations sur son comportement.
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