Now I know why my heart wasn't satisfied, satisfied, it was always you ft. Willow

when you see my face i'll hope it gives you hell.

Aujourd’hui, j’ai décidé de sortir pour travailler. J’avais un article à écrire et travailler à l’extérieur, dans un parc, me semblait être une bonne idée pour pouvoir me concentrer et être productive. Je décidais donc d’aller dans le plus beau parc qu’il m’ai été donné de voir : Mullers Lagoon. C’était vraiment un endroit magnifique et parfait pour travailler en toute tranquillité. Je me levais de bonne heure. Cela ne me dérangeait pas. Je n’étais pas une très grande dormeuse. J’étais beaucoup plus productive le matin alors, même si parfois rester au lit été tentant, je prenais sur moi. Je me levais, attachant mes cheveux en un rapide chignon et me dirigeais vers la cuisine pour faire couler le café. En attendant que le café passe, j’allais recharger mon ordinateur ainsi que la batterie de secours pour être certaine de ne pas être coupé dans mon élan par une panne de batterie une fois que je serais installée. Une fois cela fait, je retournais dans la cuisine me servir une tasse de café. Je remplissais aussi un thermos pour plus tard. Je m’asseyais alors pour déjeuner tranquillement. Un peu plus tard, j’entendis bouger et je souris, servant une tasse de café à August qui allait apparaître d’une minute à l’autre. A peine quelques seconde plus tard, il apparut. Je souris et terminais de prendre mon petit déjeuner avec lui, discutant du programme de nos journées respectives. Après avoir débarrasser la table du petit déjeuner et une fois August partit pour la fac, j’allais me préparer. Quelques minutes plus tard, j’étais prête à démarrer cette journée que j’espérais bonne pour l’avancement de mon article. Une fois prêt, je rangeais mon ordinateur, la batterie de secours et mes notes dans l’étui de l’ordinateur avant de me mettre en route, direction le sud de la ville.
Une fois sur place, j’attrapais mes affaires et me mettais en recherche de LA place qui me conviendrais parfaitement pour écrire. Je jetais mon dévolu sur un banc vide. Je m’asseyais, posant mes affaires à côté de moi avant de sortir ce dont j’aurais besoin : mon ordinateur et mes notes. Je commençais alors à travailler, à peine déranger par les bruits d’oiseaux ou les foulées des coureurs. Les minutes passèrent alors sans que je m’en rende compte et la page de traitement de texte que j’avais ouverte été maintenant partiellement noircit par mon futur article. Totalement absorbée par mon travail, je n’entendis pas des pas s’approcher. «Salut princesse … » Un frisson parcoura mon dos alors que je lève les yeux pour rencontrer les siens. Le sang dans mes veines ne fait qu’un tour. Ce visage, ses yeux … « Ca faisait un moment, dis-moi. » Je ferme mon ordinateur, le déposant sur sa pochette à côté de moi avant de revenir sur l’homme devant moi. Je croise les bras, clairement fermé à toute discussion, le fusillant du regard. Je n’arrive pas à croire qu’il soit là, devant moi. Après tout ce temps, j’avais presque oubliée que je m’étais enfuie comme une voleuse, laissant derrière moi mon ancienne vie pour m’en créer une autre ici, à Bowen, une vie qui m’a jusque là rendu plus heureuse que je ne l’avais jamais été. Le savoir ici me faisait craindre le pire pour l’équilibre fragile que je m’étais construit ici. «Allez ma belle, fait moi un petit sourire ! » A quoi s’attendait t-il ? Comment m’avait-il retrouver d’ailleurs ? Il avait le culot de me demander de sourire, de l’accueillir d’une meilleure façon alors que c’était uniquement sa faute si tout été fini entre nous. Je restais assise, ne faisant aucun geste vers lui. « Qu’est ce que tu fais ici Wilson ? Comment tu m’a retrouvée ? » L’interrogeais-je, implacable. 

when you see my face i'll hope it gives you hell.

Je n’arrivais pas à comprendre comment c’était possible, comment Wilson pouvait être devant moi aujourd’hui, en chair et en os. Ma tête était pleine de question. Voir son visage, sa silhouette imposante … C’était un choc que je n’avais pas prévue. Pas après tout ce temps. J’avais peur, affreusement peur, qu’il soit là et que, même malgré lui, il vienne détruire ce que j’ai construit ici et qui me rend si heureuse. J’avais tournée la page de notre histoire. Il m’avait blessée et tel un fauve blessé, je m’étais réfugié à l’abri pour panser mes plaies. Bowen et August avaient permis que je guérrisse et que je devienne plus forte. Ma réaction ne se fait pas attendre. Je me ferme totalement, ne voulant plus rien avoir à faire avec lui. Lui il est fidèle à lui-même, agissant comme si il pouvait tout arrangé, que rien ne s’était passé. Pourtant moi je n’avais pas oublié même si August m’aidait à dépassé  tout ça. Cela rester en moi. Bras croisée, yeux noirs de colère, je lui demandais ce qu’il faisait là et comment il m’avait retrouvé. Il glisse sa main dans ses cheveux et je sais instinctivement que ce qu’il va dire n’est pas la vérité. «Un ami qui a des contactes m'a aidé à te trouver. » Je ris nerveuse, assise le banc ou j’étais installée depuis le début de matinée pour travailler. « Un ami ? Ben voyons ! Dis moi la vérité. » Ironisais-je, refusant de croire une seule de ses paroles. Il s’assoit à côté de moi. Je me raidit sur le banc et fais en sorte de mettre le plu de distance possible entre lui et moi mais je n’ai pas une grand marge de manœuvre, mes affaires bloquant l’autre bout du banc. «Willow, je ne pouvais pas continuer à être loin de toi. Il fallait que je te retrouve, il fallait que je te parle que je t'explique tout ça. » Commença t-il à me dire. Je me refusais à croiser son regard. Je secouais la tête. «Tu seras toujours dans mon coeur Princesse et je ne te laisserais pas partir tant que tu ne me donnes pas une chance de me rattraper. » Dit-il en enchaînant, conscient que je n’étais pas ravie de le voir. Je n’arrivais pas à croire ce que j’entendais. Il y avait encore quelques mois j’aurais tout donné pour qu’il me dise quelque chose comme ça et naïvement, je serais sûrement tombé dans son piège si il n’y avait pas eu August.  Je ne dis pas qu’il est le diable en personne. Je sais bien qu’il n’est pas quelqu’un de mauvais seulement voilà, c’était il y a des mois que j’étais partir et je n’étais plus la même qu’avant, par sa faute. C’était une nouvelle Willow qu’il avait en face de lui même si il ne s’en rendait pas encore compte. Je passais une main sur mon visage. « Tu n’a pas le droit de me dire ça Wil’ ! Pas après ce que tu as fais. C’est toi qui a tout foutu en l’air, toi qui m’a brisé le cœur. Et maintenant tu as décidé de te battre pour nous ? » Lançais-je avant de fondre un regard furieux sur lui.  « C’est trop tard. Beaucoup trop tard. J’ai tournée la page. » Clamais-je durement.  

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A la tête que Wilson à fait, je su instantanément que mon intuition était juste. Il la confirma en soufflant entre ses dents le prénom de la personne qui l’avait aidé à me retrouver. « Ivy ». Je secouais la tête, n’en croyant pas mes oreilles. « J’en été sur. Evidement qu’elle t’a aidée ! » Je glissais mes mains sur mon visage. Ivy et moi, on ne s’appréciait pas et cela serait probablement jamais le cas. Je ne pouvais pas faire autrement que me sentir menacer par elle. Durant toute ma relation avec Wilson, elle était telle une ombre au tableau. Wilson s’exprima ensuite, me disant des choses que j’aurais préférée entendre il y a des mois, avant que ma vie ne prenne un autre chemin. Sans lui. Il n’avait aucun droit de me dire ces choses, surtout pas maintenant. Je le vis pointer un doigts accusateur sur moi alors je me dépêchais d’enchaîner pour pouvoir dire tout ce que j’avais sur le cœur. J’avais tournée la page et il était bien mal placé maintenant pour venir me faire toute une déclaration. «Tu crois que c'est si simple que ça Willow ? Tu penses vraiment que je ne réagis que maintenant ? Je te rappelle que tu es partie sans laisser d'adresse sans laisser un mot ! Sans même me laisser t'expliquer. J'ai merdé je veux bien mais, je ne me souviens même pas de cette fille, je ne me souviens même pas de cette soirée. La seule chose dont je me souviens c'est de toi, claquant la porte. » Me dit-il, la tristesse transpirant de sa voix. Le regard toujours devant moi, refusant de le regarder, je l’écoutais, tendue au maximum. J’aurais tout donné pour m’enfuir, ne pas avoir à l’écouter mais je savais aussi que cela aurait plus que lâche de ma part. « Que tu t’en rappelle ou non, ce n’est pas le problème. T’aurais voulu que je fasse l’idiote, à attendre que cette fille se rhabille et dégage pour qu’on puisse parler ? … » Soufflais-je, secouant la tête. Je fermais les yeux quelques secondes avant de les rouvrir rapidement. Le souvenir de ce moment était encore étrangement frais dans ma mémoire et la blessure toujours ouverte. Je revoyais malgré moi la scène comme si c’était hier.
«J'ai passé mon temps à te chercher, mes parents devenaient fou, ils ont tout fait pour que je tourne la page et même si Ivy n'était pas pour, elle a tout fait pour m'aider. Ils ont menacé de me couper les vivres, de me retirer mon héritage. J'ai dû leur mentir pour venir ici, prétendre que je voulais ouvrir mon propre cabinet ici même. Cela fait des mois que je prépare mon arrivée, que je rêve à ce moment et c'est ainsi que tu m'accueilles. » Je mentirais si l’écouter me raconter tout ça ne m’avait fait l’effet d’une grosse claque. Je triturais mes doigts, nerveuse avant de soupirer, sentant la colère m’envahir. « Tes parents sont toxiques si tu veux mon avis. Tu devrais prendre tes distances … Une bonne fois pour toute. » Murmurais-je. « Ecoute, je suis désolée que ça ne soit pas ce à quoi tu t’attendais mais en même temps, tu espérais quoi en venant ? Que tout reprenne comme avant ? » Lâchais-je, amère et en colère qu’il ait pu s’imaginer que les choses seraient comme avant, que je pardonnerais tout en écoutant ses excuses. « C’est impossible. » Dis-je, semblant plus sur de moi que je ne l’étais véritablement. Tout ça faisait beaucoup à digéré et je n’étais clairement pas prête pour ça. à l’écouter, j’aurais du retomber dans ses bras, oubliant tout ce qu’il s’était passé. C’était hors de question. J’étais passé à autre chose et il fallait véritablement qu’il le comprenne.
«Je te l'accorde Willow, je n'ai pas été aussi irréprochable que tu ne l'as été mais, tu n'as pas le droit de me dire cela, pas après tout ce que j'ai fait pour toi ces derniers mois. Tu as perdu ce droit le jour où tu es partie sans rien me dire. » J’ouvrais la bouche, choquée, comme si il m’avait donné une claque. Je ris nerveusement avant de me lever du banc, rassemblant mes affaires, hors de moi. Je rangeais mon ordinateur dans sa pochette et en y fourrant les feuilles volante dont je me servais pour mon article. « Va te faire voir Wilson. » Lançais-je en le regardant véritablement pour la première fois avant de m’éloigner de quelques pas. Je me stoppais, revenant vers le banc. Je posais la pochette avant de lui faire face. « Ce que tu as fais pour moi ? Dis plutôt que c’est ce que tu as fais pour toi-même ! J’en reviens pas que tu me dise ça … » Je ris jaune, énervée. « Tu m’a trompé. Alors oui, j’ai pris mes clics et mes clacs et je suis partie. J’en avais besoin. Tu ne t’es jamais dis que si je n’avais informer personne de l’endroit ou j’allais c’est par ce que je n’avais pas envie d’être retrouvée ? Pas du tout ? » Je déblatérais tout ses mots, ne me retenant plus. « Je t’aimais Wilson. Aveuglément. Et tu m’a trompée. Tu as une idée de ce que j’ai ressentis en te voyant avec elle ? J’ai sentis mon cœur se brisé, tout comme les projets que j’avais en tête pour nous. » Dis-je, des larmes de rage comme d’émotion embuant mes yeux. « Ce n’était peut-être pas la façon la plus mature de réagir et j’ai peut-être eu tord de partir comme ça, comme une voleuse mais c’était la seule échappatoire que j’ai vu à ce moment-là. » Mes mains tremblaient. J’essuyais rageusement mes yeux. « Ca brisée quelques choses en moi alors ne me dit pas ce que j’ai le droit de te dire ou pas. » Soufflais, tentant de me calmer.

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Apprendre que c’était par le biais d’une connaissance à sa meilleure amie qu’il m’avait retrouvé ne m’étonnais même pas en fin de compte. Comme toujours quand il s’agissait d’Ivy, je réagissais au quart de tour. C’était plus fort que moi. «Willow je t'en pris, ce n'est pas bientôt terminé cette guerre entre vous ? Tu sais qu'elle a des contacts dans le milieu des détectives privés.. Tu te doutais bien qu'elle m'aiderait, c'est ma meilleure amie. Voilà pourquoi je ne voulais pas te dire que c'était elle. » Me dit-il en me pointant du doigt. Je le regarde, des éclairs grondant dans mes yeux. Je claque ma langue sur mon palet, mécontente. « Ecoutes. Tu sais très bien que ce n’est pas et ne sera jamais le grand amour entre nous deux. J’y peux rien si je ne l’apprécie pas. » Soufflais-je. A vrai dire, je ne savais pas vraiment pourquoi je ne pouvais pas voir en peinture Ivy. Je n’étais pas du genre jalouse pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher de me sentir menacer par elle. Puis Wilson commença à parler, me disant les choses que j’avais trop longtemps attendu de sa part. Il ne manquait pas de culot de venir me les dires maintenant, après tout ce temps et alors que j’avais tournée la page. Il me reprochait d’être partie sans rien lui dire, sans lui laisser le temps de s’expliquer. Je l’avais surpris entrain de me trompé et j’aurais du faire un effort, lui laisser le bénéfice du doute alors que je l’avais pris sur le fait ? Je ne crois pas. J’avais même du mal à croire qu’il puisse le suggérer. Il secoua la tête, comme si j’étais, comme si c’était moi qui débloquée complètement. «Quoi, mais non ! Bien sûr que non. Mais, tu ne penses pas que tu aurais pu répondre à l'un de mes dix milliards d'appel le lendemain plutôt que de plier bagage et de partir à 1 500 km de moi ! » Ses mots étaient tel des aiguilles, lancées vers moi. Je ne pouvais niée qu’il avait raison, que j’avais été lâche de partir comme ça. Seulement c’était ce dont j’avais envie et besoin à ce moment là. J’avais le cœur brisée, tout ma vie m’avait semblé s’effondrer sous mes pieds. Il ne m’était pas venue d’autre alternative que de partir, m’éloigner, que ma famille et mes amis le comprennent ou pas. Je soupirais, glissant une main sur mon visage. « J’en sais rien …Peut-être que j’aurais du mais j’étais blessée et j’au agis au mieux pour me protéger. » Dis-je, ne faisant vraiment pas la fière pour le coup. «Willow, je t'aimais, j'aurais donné ma vie pour toi s'il le fallait... Et crois moi ou non mais, je t'aime toujours autant et je ne suis pas prêt de renoncer à toi.. » Je fermais les yeux, sentant une boule se former au creux de mon ventre. « Arrête …Je … J’ai quelqu’un Wilson. » Avouais-je, tout l’air de mes poumons violemment expulser dehors. Je ne voulais pas lui faire du mal, dans une sorte de vengeance mesquine. Je n’étais pas comme ça. Il devait simplement comprendre que j’étais passé à autre chose, que les sentiments que j’avais pour lui n’était plus les mêmes.
Il me parla ensuite de ses parents. Ouais, ils ne seraient pas ravis d’apprendre qu’il était venu me retrouver. Ils ne m’avaient jamais appréciés. Probablement que je n’étais pas assez bien pour le fils prodigue. Ils étaient toxiques au possible. J’enchaînais ensuite en m’excusant que ces retrouvailles ne soient pas celles qu’il espérait. Je voyais bien qu’il était sincère, vraiment désireux de me reconquérir. Quelques mois plus tôt, il aurait peut-être eu ses chances mais plus maintenant, pas avec August dans ma vie. Il était impensable maintenant que les choses redeviennent comme avant et que je lui retombe dans les bras. «Tu crois que je ne le sais pas Willow, a ton avis, pourquoi je suis ici avec toi et pas avec eux ? Parce que tu comptes bien plus qu'ils n'ont jamais compté à mes yeux. Tu sais parfaitement et mieux que personne même la relation qui m'unit à mes parents alors c'est sans regret que j'ai suivi ta voix, que j'ai claqué la porte sans même me retourner, mais, comprends, il me fallait une raison. J'étais prêt à tout pour juste au moins une fois, revoir ton visage. » Je souris tristement. « Je comprend que tu ai eu besoin de venir … C’est seulement beaucoup trop tard. » Dis-je, glissant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.
Puis tout partie en vrille. Les mots de Wilson me heurtèrent de plein fouet. Tout ce qu’il a fait pour moi ? Vraiment. Je ne me contrôlais plus. Après lui avoir dit d’aller ce faire foutre, je prenais mes affaires, bien décidée à partir, à rentrer chez moi et tirer une fois pour toute un trait sur Wilson. Je fis alors demi-tour, ivre de rage et bien décidée à déversé tout çà avant de rentrer et de l’oublier, purement et simplement. J’étais à fleur de peau, des larmes de rage coulant sur mes joues. «Mais... Je... Willow... Je... S'IL TE PLAIT ! » Commença t-il alors que je lui laissais enfin le temps d’en placer une. Je tiquais quand il s’empara de mes main, me débattant. «Lâche moi … Lâche moi ! » Dis-je, poings serrés et les joues humides. Il m’emprisonna alors dans ses bras. Mes poings fermés s’abattirent sur son torse avec plus ou moins de force mais je ne duperais personne, peu de chance que je puisse me sortir de son étreinte. «Pardonne-moi Willow. Excuse-moi. Je suis vraiment désolé. De ce que j'ai pu te faire dans le passé, de ce que je t'ai fait maintenant. Je.. Je suis désolé d'être aussi bête. Désolé d'être encore si amoureux de toi que j'ai remué la terre entière pour te retrouver. Désolé de ne pas avoir retenu ces mots qui t'ont rendu si tristes. Excuse-moi princesse, s'il te plaît. » Je fermais les yeux, tremblante dans ses bras. Je reste dans ses bras, à me débattre, de moins en moins virulente. Les larmes finissent par se tarirent d’elles même. Je suis épuisée. Je reste silencieuse. Il me retient toujours dans ses bras. «Wilson ? Lâche moi maintenant. S’il te plait. » Lui demandais-je. Je passais une main sur mon visage puis dans mes cheveux. Je n’imaginais pas la tête que je devais avoir. « Je … J’accepte tes excuses. J’ai aussi mes tord de toute façon. Je n’aurais peut-être pas du partir comme une voleuse. » Commençais-je avant de lever les yeux vers lui. « Par contre, ça ne change pas le fait que j’ai tourné la page, que je me suis reconstruite ici, avec quelqu’un qui me rend vraiment heureuse. Je … Tu devrais aussi tourné la page et trouvais quelqu’un. » Lui dis-je, sincère. Ce quelqu’un ne pouvait plus être moi mais il méritait de trouver quelqu’un qui le rend aussi heureux qu’August me rend heureuse, jour après jour.