Suite d'une soirée prometteuse (Jeremy)

undisclosed desires.

Je regardais Zelda allait vers ses amies pour leur dire au revoir et prendre ses affaires. Un sourire en coin sur les lèvres, je l’observais, après quelques minutes, revenir auprès de moi pour qu’on poursuive la soirée dans un endroit plus privée, loin de la tumultueuse ambiance qui régner dans le bar. Elle prit mon bras et on sortit, sans regrets. « Tu devrais avoir honte tu sais de m'enlever ainsi. » Me dit-elle alors qu’on marchait vers son appartement, bien plus proche que le miens par rapport au bar. Je la regardais, mon regard tel celui d’un prédateur. Je ris, amusé. « Je te signale que c’est toi qui m’a sauté dessus, oubliant tes copines. C’est toi qui devrait avoir honte. » Lui dis-je, taquin. La lueur dans ses yeux ne ment pas. Elle me cherche, me séduit et attise le désir que j’ai déjà pour elle. J’ignore comment elle fait ni pourquoi cela marche autant sur moi mais c’est un fait, je crois que jamais je ne pourrais lui résister. Elle joue avec moi comme je joue avec elle et je crois que j’ai trouvé un adversaire à ma portée et c’est plutôt rare. Nous finissons par traversé le passage piéton donnant en face de son immeuble. « Dis voir, quand est-ce que je découvrirais un peu ton chez toi que tu gardes si précieusement ? Pas qu'être toujours chez moi me dérange, mais j'aimerais bien voir ton jardin secret. » J’esquisse un sourire. Elle a raison. Il serait peut-être tant qu’elle vienne chez moi. Cela serait bien l’une des premières et c’est pour ça que je suis résistant à l’idée. Mon appartement, c’est mon jardin secret comme elle dit, l’endroit ou je me sens bien, ou je peux être moi-même. Je la regarde, esquissant un sourire. « On verra. » Me contentais-je dire en sachant qu’elle n’en resterait pas là. Je n’avais pas envie de m’étaler sur ma vie. Ce n’était pas mon genre et je n’aimais pas ça.
On entra ensuite dans son immeuble, nous dirigeant vers l’ascenseur. Il arrive après que j’ai appuyer sur le bouton d’appel. On rentre à l’intérieur. Zelda appuie sur son étage et se met face à moi. « Tu te rends compte le nombre de personne qui ont couché ici, sous les regards des vigiles ? » Me dit-elle, malicieuse et son regard luisant d’un air charmeur. Je ris, roulant des yeux. La légende des ascenseurs. Je plonge mon regard dans le siens alors que je m’approche d’elle, joueur moi aussi et me fichant pas mal de la caméra au-dessus de nous. « J’imagine bien oui. » Lui dis-je avant de me pencher pour l’embrasser. Je grogne de frustration alors qu’elle détourne la tête, me refusant ses lèvres, me rendant dingue comme elle seule savait le faire. Elle prend mes mains, m’intimant d’être calme pendant qu’on est dans l’ascenseur. C’est presque une torture alors que je la sens si près de moi. La trajet est court mais il me semble durée des heures. On arrive enfin à son étage et les portes s’ouvrent.
On se dirige vers son appartement. Elle sort ses clefs et nous ouvre. Une fois qu’on est entrés, elle referme derrière nous. Elle se débarrasse de son sac et de sa veste puis elle se plaque contre la porte. Je la regarde, mon éternel sourire en coin sur les lèvres. Elle attrape ma cravate et m’attire à elle, nos lèvres  se soudant sans plus attendre. Je répond à son baiser avec fièvre et passion. « Là ... on peut s'amuser. » Je souris, le souffle court et mon cœur battant plus fort. « On va se gêner … » Mes lèvres retrouvent les siennes et nos corps s’attirent, se collent l’un à l’autre. Je l’embrasse passionnément, glissant mes doigts dans sa chevelure de feu. Elle mordille ma lèvre, riant et jouant avec ma cravate, Mes doigts quittent ses cheveux et vienne glisser sur ses cuisses misent à nu après que sa robe soit remontée. D’une impulsion, je l’oblige à venir nouée ses jambes autour de mes hanches. Mes lèvres contre les siennes, je glissais mes mains sous elle pour la soutenir et je nous dirigeais vers sa chambre. D’un geste j’ouvre sa chambre, poussant d’un coup la porte. Je me dirigeais vers le lit ou je la déposais. Souriant, je dénouais ma cravate avant que ma veste et ma chemise ne finisse par terre. Je me penchais à nouveau vers elle, tel un prédateur sur sa proie.

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J’étais d’autant plus fière d’être au bras de Zelda que j’avais réussis à l’éloigner de ses amies. J’aurais pu m’en vouloir mais ce n’était pas mon genre et puis elle avait fait son choix comme une grande. Je me plaisais seulement à lui rappeler qu’elle avait délaissée ses copines pour venir avec moi et qu’elle devrait en avoir honte. Elle m’avait choisit et ça, mon ego tout masculin l’apprécié grandement. « C’est ta tête qui m’a attiré. Tu faisais la gueule, fallait bien que je sois le lumière de soleil de ta soirée. » Me dit-elle, souriante avant de me donner un petit coup de hanche qui ne me dérangea pas plus qu’une plume. Je la regardais, amusée mais essayant d’être impassible. « Donc en gros , tu es entrain de dire que tu as eu pitié de moi ? » Dis-je en grimaçant faussement avant de lui sourire. «En tous cas, je suis content que tu l’ai fais. Tu avais raison, j’avais besoin de ta lumière ce soir. » Lui dis-je, lui coulant un regard reconnaissant. On prit la direction de son appartement. Sur le chemin, elle me posa la question que je sentais venir. Mon appartement était l’endroit le plus sacré sur terre pour moi. J’étais donc réticent à ce que quelqu’un y pénètre. Cela ne voulait pas dire que je ne tenais pas à la personne, ou qu’elle ne représentait rien. C’était comme ça pour tout le monde. Même Grace n’avait pas mis les pieds chez moi. « Tu as des morts à cacher avoues ! » Lance t-elle à brûle pourpoint, rieuse. Je ris aussi, secouant la tête. « Rassures-moi … T’as pas de morts j’espère ? » Me demanda t-elle, maintenant sérieuse. Je la regardais avant d’éclater de rire devant son air si sérieux. « Non je n’ai pas de mort à mon actif. Tu me prend pour qui ?! » Je roulais des yeux, amusé. « Je ne dis pas que je suis un saint non plus mais pas de cadavre à mon actif. Je suis simplement très protecteur de mon jardin secret. » Je lui souris, haussant les épaules.
Une fois dans son appartement, elle m’attire contre elle alors qu’elle s’appuie contre la porte. Mes lèvres retrouvent les siennes et les embrassent passionnément, avidement, mon cœur battant plus fort dans mon torse. Je glisse ma main dans ses cheveux et je la sens frissonnée contre moi. Je finis par glisser mes mains de ses cheveux à ses cuisses. Avec une impulsion de ma part, elle vint nouée ses jambes autour de mes hanches. Nos bouches toujours soudées, je nous dirige vers sa chambre. Chemin que je connais par cœur. Je la dépose sur son lit, avant d’enlever ma cravate et  ma chemise en souriant. Pendant se temps, elle enlève sa robe et m’offre une vue imprenable sur son corps parfait. Je me penche alors vers elle, me collant contre son corps à moitié nu qui me rend fou. Ses doigts glisse dans mon dos, me faisant frissonné d’envie. Une autre couche de ses vêtements disparaît et elle m’emprisonne de ses jambes, ondulant sous moi, me rendant tout simplement dingue. Nos baisers s’intensifient encore. Nous ne sommes plus que corps, lèvres et sensations. Elle griffe mon dos et mes lèvres glissent de sa bouche adorable sur son cou puis toujours plus bas, laissant sur son corps une traînée de frisson. Je reviens à ses lèvres et mon regard plonge dans le siens. Je souris alors que je la sens gigoter sous moi, sûrement dans le but de prendre le contrôle et me déstabilisé. J’esquisse un sourire. « Tu ne m’auras pas … » Soufflais-je. Je ris, glissant mes mains sur ses longues jambes. Je terminais d’enlever mes vêtements avant de revenir vers elle. Mes mains, mes lèvres sont sur tout son corps. Encore un geste et nous sommes tous les deux nus. Je glisse mes lèvres sur son corps, sur sa poitrine avant de venir l’embrasser, nouant nos deux corps dans une étreinte charnelle et sensuelle. Je soupirais d’aise, mes lèvres toujours sur les siennes, glissant les doigts dans sa chevelure de feu. Zelda me rendait fou. C’est physique. Je ne lui résiste pas. Elle avait tout pour me plaire et chaque moment qu’on passait était incroyable.

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Zelda savait parfaitement comment me mettre à ses pieds, me rendre fou et impatient. La sentir sous moi, nos corps ondulant dans un même rythme lent et affriolent. Ses yeux se ferment, son visage se détend, ses lèvres s’entrouvrent légèrement. Je n’en perd pas une miette alors que mon corps s’anime et que mes mains glissent sur son corps, offert à mes caresses et mes baisers. Je souffle combien elle me rend fou simplement en s‘offrant à moi comme elle le fait. Ses yeux s’ouvrent quand ma voix s’efface et j’en reviens presque à m’en vouloir d’avoir parler. Le sourire qu’elle m’offre parle bien plus que tout les mots qu’elle pourrait dire. Son corps sous moi se fait plus pressent, nos mouvements plus vigoureux. Prends moi. » Chuchote t-elle, douce mélodie à mes oreilles, tout mes sens étant aux aguets, le sens du touche étant le plus développer à cet instant précis. « J'en veux encore plus. » Souffle t-elle encore avant de prendre possession de mes lèvres avec envie, avec une ardeur encore plus prononcée. J’esquisse un sourire plein d’orgueil de voir cette magnifique femme soumise à mes baisers et mes caresses. Je viens mordre doucement sa lèvre inférieure, mon regard plongé dans le siens. Mes lèvres glissent dans son cou, puis sur son épaule alors que mes mouvements deviennent plus saccadé, plus vif et moins tendre, en réponse à sa demande. Je glisse une main sur sa cuisse droit et soulève sa jambe. Nos corps ne fusionne que plus encore dans cette position. Loin d’être rassasié, mes lèvres retrouvent les siennes avant de les dévorées, encore et encore. Ma peau devient moite de sueur, mes muscles se tendent, mais rien ne semble m’empêcher de lui donner ce qu’elle demande. Plus, toujours plus. Plus les minutes passent et plus je suis comme déconnecté de la réalité, seulement dirigé par mes envies. Aucun son intelligible ne sort de ma bouche. Les choses choses venant troublé le silence de la chambre sont mes grognements, les gémissements de Zelda et nos respirations saccadées. Elle en veut plus mais elle n’est pas la seule. Je pousse mon corps et le siens encore et encore. Ma main libre glisse dans ses cheveux alors que je la sens faiblir, tremblante contre moi. Ses lèvres sont rouges, ses cheveux plaqués sur son front par la sueur, sa poitrine se soulève dans un intervalle irrégulier. Elle n’a jamais été aussi belle et désirable.

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Zelda savait parfaitement comment me mettre à ses pieds, me rendre fou et impatient. La sentir sous moi, nos corps ondulant dans un même rythme lent et affriolent. Ses yeux se ferment, son visage se détend, ses lèvres s’entrouvrent légèrement. Je n’en perd pas une miette alors que mon corps s’anime et que mes mains glissent sur son corps, offert à mes caresses et mes baisers. Je souffle combien elle me rend fou simplement en s‘offrant à moi comme elle le fait. Ses yeux s’ouvrent quand ma voix s’efface et j’en reviens presque à m’en vouloir d’avoir parler. Le sourire qu’elle m’offre parle bien plus que tout les mots qu’elle pourrait dire. Son corps sous moi se fait plus pressent, nos mouvements plus vigoureux. Prends moi. » Chuchote t-elle, douce mélodie à mes oreilles, tout mes sens étant aux aguets, le sens du touche étant le plus développer à cet instant précis. « J'en veux encore plus. » Souffle t-elle encore avant de prendre possession de mes lèvres avec envie, avec une ardeur encore plus prononcée. J’esquisse un sourire plein d’orgueil de voir cette magnifique femme soumise à mes baisers et mes caresses. Je viens mordre doucement sa lèvre inférieure, mon regard plongé dans le siens. Mes lèvres glissent dans son cou, puis sur son épaule alors que mes mouvements deviennent plus saccadé, plus vif et moins tendre, en réponse à sa demande. Je glisse une main sur sa cuisse droit et soulève sa jambe. Nos corps ne fusionne que plus encore dans cette position. Loin d’être rassasié, mes lèvres retrouvent les siennes avant de les dévorées, encore et encore. Ma peau devient moite de sueur, mes muscles se tendent, mais rien ne semble m’empêcher de lui donner ce qu’elle demande. Plus, toujours plus. Plus les minutes passent et plus je suis comme déconnecté de la réalité, seulement dirigé par mes envies. Aucun son intelligible ne sort de ma bouche. Les choses choses venant troublé le silence de la chambre sont mes grognements, les gémissements de Zelda et nos respirations saccadées. Elle en veut plus mais elle n’est pas la seule. Je pousse mon corps et le siens encore et encore. Ma main libre glisse dans ses cheveux alors que je la sens faiblir, tremblante contre moi. Ses lèvres sont rouges, ses cheveux plaqués sur son front par la sueur, sa poitrine se soulève dans un intervalle irrégulier. Elle n’a jamais été aussi belle et désirable.

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Les choses s’intensifièrent d’elle-même, réponse primale au désir, au plaisir parcourant mon corps alors qu’il s’unit encore et encore à celui de Zelda. Impossible de pensées clairement. De plus en plus, mes pensées s’éloignaient, ne laissant d’autre choix que de laisser mon corps répondre viscéralement à chaque geste, chaque baisers, chaque caresses que m’offrait Zelda. Mes gestes sont brouillons, fougueux, plus vraiment tendre. Du désir pur et simple. Zelda, elle aussi à presque atteint le point de non-retour. Elle gigote frénétiquement sous moi, me rendant coup pour coup, accompagnant mes mouvements, pour toujours plus d’intensité. Nos baisers étouffent ses cries, nos corps brûlant ayant depuis un moment dépassé leurs limites. « Jeremy ... » Souffle t-elle, comme ailleurs en se cambrant, tremblante entre mes bras. Pour seule réponse, je pousse un grognement. Tout mon corps commence à se tendre alors que notre valse devient frénétique. Nous ne tiendront plus longtemps avant que l’extase ne nous emporte tout les deux. La tension monte encore, et elle finit par redescendre, me laissant à bout de souffle, épuisé mais comblé. Je reste contre elle, en sueurs, respirant avidement pour reprendre mon souffle. Mes lèvres glissent sur les siennes et j’esquisse un sourire. « Tu as véritablement sauvée ma soirée. » Soufflais-je, dans un brouillard jouissif. Je ris avant de rouler sur le côté pour m’allonger près d’elle. Je glisse une main dans mes cheveux, humide de sueurs alors que mon cœur reprend des battements normaux et mon torse de soulève de plus en plus régulièrement.

undisclosed desires.

Allongé auprès de Zelda, je reprend mes esprits. Elle était la distraction dont j’avais besoin ce soir pour ne plus pensée négativement et pour terminé cette d’une meilleure façon que celle dont elle avait commencée. Je lui fais d’ailleurs savoir ma reconnaissance. Cela la fait sourire. « Contente que t'ai un air plus serein que morose. » Me dit-elle en souriant. Je ris en hochant la tête. « Ouais. Grâce à toi. » Je passe une main sur mon visage alors que je la vois se lever. « Je vais sous la douche ... Tu dors ici ? » Me demande t-elle. Je me redresse, me mettant assis dans les draps. Je secoue la tête. « Je ne peux pas. Faut que je rentre. Mais va prendre ta douche, je m’habille et je file. » Lui assurais-je avant un sourire. Dormir ici ? Très peu pour moi. Zelda était une fille sympa mais nonce n’était pas mon genre de rester dormir, même si ça faisait de moi un connard. Elle me fit un clin d’œil avant d’aller en direction de sa salle de bain. Je m’assis sur le bord du lit, glissant mes mains sur mon visage puis dans mes cheveux, épuisé mais détendu. Je me penchais et enfiler mon boxer en me levant. Je cherchais ensuite mes affaires et les enfilés une à une. Je quitte alors l’appartement, après avoir glisser un mot d’au revoir à travers la porte. Je marche jusqu'à chez moi à pied. L’air frais de la nuit me fait du bien.