Jouer avec le feu et savourer la brûlure ... (hot)

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Ouuuh je sens l'excitation qui nous gagne ! Tu m'étonnes ! En plus Eilynn doit se douter de rien ! Ce qui va rendre cette prochaine heure absolument incroyable. Si on la fait pas craquer avec ce qu'on a prévu je comprends rien. Je crois que c'est le strip tease le plus chaud qu'on veut faire là. C'est parce qu'Eilynn a du répondant ! Et elle va pas se contenter d'un bête strip que n'importe qui pourrait faire à n'importe qui. On s'est bien trouvé tous les deux quand même ! Tout ça grâce à notre petit n'amour. Tout est en place les petits gars ? Vous êtes sûrs qu'elle est chez elle ? Et s'il y a quelqu'un d'autre ? Et si elle est pas d'humeur. Oui. On le fout dehors. Et crois-moi elle va en avoir envie. J'en connais un qui est pressé ! Haha. Je le sens il est bouillant ! Et le final ! Elle va tellement adorer le final ! Pas trop viiite ! Il faut commencer par le début. Et n'oubliez de la regarder dans les yeux le plus possible. Ouais enfin le regard d'Eilynn risque de se balader ailleurs que sur notre visage. J'espère bien ! A quoi bon se donner tout ce mal ? « Tout ce mal ». Non mais je te jure. On dirait qu'on l'a forcé tu sais ! Pour une fois que je veux bien faire un strip. C'est parce qu'on va être que tous les deux avec Eilynn petit coquin ! Bon bah allez moi je toque ! Attends ! Quoi ? Le casque. On met le faux casque d'abord. Et voila. Une heure messieurs. Nous avons une heure. Après on doit retourner à la caserne. Allez Colère. Go ! On toque à la porte. Mlle Standford ?? On attends cinq secondes et on reprend. Pompier de Bowen Mlle Standford ! Ouvrez la porte je vous prie ! Parait qu'il risque d'y avoir le feu chez vous !! Grrr je suis déjà tout chose. Elle nous a reconnu hein ? Mais oui t'en fais pas. La porte s'ouvre, la porte s'ouvre ! Oh putain je brûle !!

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" Celui qui de gaieté de cœur va au-devant de la tentation, s'est d'avance arrangé à l'amiable avec l'idée de faillir."

Tu es tranquillement installé sur ton canapé, un livre posé sur tes jambes nues. Tu essaies de te concentrer sur ta lecture, mais ton esprit est ailleurs. Tu regardes dehors, tu pourrais sortir cela te ferait du bien. Mais tu as légèrement la flegme comme souvent quand tu finis le boulot très tôt le matin. Pourtant l’idée de t’aérer est plaisante. Tu pourrais même passer par la caserne pour titiller Jeff. Le provoquer pour qu’il te montre comme il est doué quand il monte à la grande échelle. Cette idée te fait sourire, tu en profiterais pour mater sans aucune retenue son joli postérieur. Même si le beau pompier a bien d’autre attrait et d’autre qualité. Comme celle de retourner ton petit cœur à chaque fois que tu penses à lui. Puis on frappe à ta porte et ton nom résonne. Tu es surprise sur l’instant Tu reconnais rapidement la voix qu’il le prononce. Même si cela te semble bizarre, car Jeff est censé être de service à cette heure. Il insiste et les phrases deviennent presque inquiétantes. « Le feu c’est quoi cette histoire ? » Tu ne sais pas trop si c’est une blague ou si c’est du sérieux. Tu es certaine que c’est Jeff mais sa voix est loin de faire penser à une plaisanterie. Du coup tu te lèves. Tu te diriges vers la porte. « J’arrive. » Tu réalises alors que tu es en petite tenue. Le genre de tenue que tu aimes porter quand tu traines chez toi. S’il y a vraiment un problème de feu cela risque fort d’être gênant. Enfin pas pour toi. Mais tu n’as pas le temps de te changer. A vrai dire tu n’y penses même pas et tu n’es pas pudique. Dont s’il y a d’autres pompiers avec Jeff et bien ils vont se rincer l’œil vu que tu es juste vêtue d’un shorty et d’un débardeur. Tu ouvres, une pointe d’inquiétude dans le regard. Et Jeff est là en tenue. Y aurait-il vraiment un risque d’incendie ? Tu restes un instant silencieuse. Tu ne peux t’empêcher de penser qu’il est vraiment sexy vêtu ainsi. Le charme de l’uniforme surement. En tout cas il semble seul, ses collègues font peut être un contrôle dans les autre appartements de l’immeuble. « C’est qui a appelé les pompiers ? Parce que ce n’est pas chez moi qu’il y a le feu. » La plaque de cuisson n’est même pas allumée, et aucune odeur de bruler ne trône dans ton appartement. « Mais tu peux .. enfin vous pouvez jeter un coup d’œil. Il y a un souci dans l’immeuble c’est ça ?? » Ta voix est légèrement angoissé, faut dire que Jeff fait très professionnel sur le coup. Tu ouvres plus grand la porte et tu en profites pour regarder dans le couloir. Mais aucuns autres pompiers à l’horizon. C’est même très calme. Tu ne comprends pas. « Il se passe quoi exactement Jeff ?? » Et tu refermes la porte de chez toi attendant une explication car là tu es un peu dans le brouillard. Pas spécialement paniquée mais un peu inquiète.

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Chut chut j'entends pas ce qu'elle dit. On s'en fout le principal c'est qu'elle vienne ouvrir. Elle arrive ! Elle dit qu'elle arrive ! Elle va pas être déçue de nous voir je vous le dis ! Ouuuuh je sens qu'on va bouillir de l'intérieur d'ici peu ! Et faut pas demander ce que ça sera chez Eilynn ! Elle ouvre la porte ! Ca y'est ! Salut ma belle ! Elle comprend rien à ce qu'il se passe. Quand même ! S'il y avait vraiment le feu on ne jouerait pas à l'appeler mademoiselle et à la vouvoyer. En plus on porte une tenue spéciale strip-tease, ça se voit pas ? Elle est peut-être trop stressée pour s'en apercevoir. Oh mais je sais qu'il n'y a pas le feu chez toi Eilynn. Du moins pas encore … On la regarde avec un petit sourire. Elle nous … vouvoie ? Ah ouais elle y croit vraiment ! Quand elle va se rendre compte de pourquoi on est là !! On entre. On la laisse fermer la porte. Ne vous inquiétez pas mademoiselle. Tout va très bien se passer … Veuillez me suivre … On la regarde avec un sourire coquin. On passe la main dans le bas de son dos et on la fait doucement avancer vers le salon. Moi je vous le dit elle va pas s'en remettre. L'incompréhension totale ! J'adore. J'espère qu'elle nous regarde là car notre sourire veut tout dire ! Le salon. On y est. On avance encore un peu. On quitte Eilynn le temps de prendre une chaise, de l'amener à ses côtés. On la fait s'asseoir dessus. Tranquillement. On ne l'embrasse pas mais on s'approche doucement de ses lèvres. Surtout ne bougez pas. Je m'occupe de la situation … On effleure ses cuisses des mains. Ce petit shorty lui va à merveille. On se retourne, porte la main à notre poche. On sort le téléphone et on met une musique « chaude ». Une musique qui bouge et qui donne envie. On le pose sur le meuble. Là je crois qu'elle à compris. On reste de dos. On commence à bouger. Et un, deux, trois. Boum on se retourne. Et on la regarde droit dans les yeux. On passe les mains entre deux boutons de notre veste. On agrippe les bords. T'es prête pour l'incendie Eilynn ? Et boum on fait sauter les pressions et on écarte les bords de la veste. On lui laisse découvrir notre torse nu. Avec les deux bretelles rouges accrochées à notre caleçon. On bouge le bassin. La tête. En faisant des petits « oui oui » et en la regardant dans les yeux. On se mord la lèvre. Et on se retourne. On remue les fesses. Qu'elles découvrira bientôt un peu plus en détail … Mais d'abord on enlève la veste d'un mouvement fluide en se retournant face à elle. On approche d'un pas. Et on fait glisser nos mains sur nos bretelles. Avant de les faire claquer sur notre peau. Et notre regard prend une lueur tentatrice. On enlève les chaussures rapidement en continuant de la regarder, de bouger, de poser les mains derrière notre nuque. On guette sans cesse son regard. Qu'elle nous regarde dans les yeux ou qu'elle les laisse se balader sur notre corps, on apprécie l'un ou l'autre. Et on s'avance. On s'installe sur ses genoux. On approche un peu le visage du sien. Sans la défier de nous embrasser pour autant. On s'empare de ses mains, on les fait prendre nos bretelles et on les fait glisser de haut en bas. On lui relève doucement le menton pour qu'elle nous regarde. On lui sourit de désir, de plaisir. Un sourire coquin mais pas provocateur. Pour lui montrer qu'on s'éclate. Qu'on prend notre pied avec ce strip. On passe à la suite. On reprend ses mains. Les deux. On les fait d'abord glisser dans nos cheveux. D'avant en arrière. Puis la nuque, les épaules. Et on descend sur nos pectoraux. Pec qu'on a un peu plus bossés ces deux derniers jours. Et encore ce matin-même. Histoire d'avoir un beau corps pour Eilynn. On se plaît à faire glisser ses paumes sur nous et on descend encore ses mains. Les relevant doucement pour que seuls ses doigts passent sur nos abdos. Et on se lève. On fait un pas en arrière et laissant échapper ses mains. Nos yeux rivés dans les siens. Deux pas de plus en arrière. Mains derrière la nuque. On se retourne. On se trémousse. La faisant savourer un peu. La rendant impatiente de la suite. Parce qu'elle sait quel vêtement on enlève après. Et que ça va lui plaire. Que ça va nous plaire ! On se sent chaud. Mains sur les hanches. On agrippe le pantalon. Prête pour faire monter encore plus la température ??

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Tu es surprise quand tu entends la voix de Jeff au travers de ta porte d’entré. Et tu l’es encore plus quand tu entends le mot feu. Tu ne cherches pas à comprendre. Tu te lèves pour aller ouvrir. Et Jeff est là en tenue de pompier. Tu penses alors qu’il y a vraiment un problème, même si le sourire de Jeff pourrait te faire douter. Sur le coup tu ne sais vraiment que penser. Tu le vouvoies même, de toute façon lui aussi. Tu le fais entrer tout en demandant des explications. « Je ne m’inquiètes pas monsieur le pompier. » Tu sens sa main se poser au bas de ton dos. Plutôt entreprenant le pompier. Et tu souris à ton tour. Tu sais qu’il n’y a pas le feu dans ton appartement, mais pour le moment tu n’as pas encore saisi le but de la manœuvre. Tu es même à mille lieux de savoir pourquoi Jeff est là. Même si le sujet a été abordé. Tu le suis docilement sans opposer de résistance. Impatiente de savoir où il veut en venir. Pour l’instant sa présence chez toi, alors qu’il est censé bosser, est un mystère. Une fois dans le salon, Jeff t’abandonne quelques secondes pour aller chercher une chaise. Il a peur que tu fasses un malaise en t’annonçant une nouvelle. Tu le regardes curieuse de comprendre à quoi rythme son petit jeu. Enfin s’il s’agit d’un jeu. Tu n’arrives pas encore à saisir dans son regard ce que cache sa présence et encore plus en tenue de pompier. Sur le coup tu es complètement à l’ouest par rapport à ce qui t’attend. Pas encore bien réveillée surement. Tu t’assois. Ses lèvres s’approchent des tiennes mais pas de baiser. De quoi te frustrer. « Okay, je vais rester là bien sagement si c’est ce que vous attendez de moi. » Tu frissonnes lorsque ses mains frôlent tes cuisses nues. Le pompier se ferait-il audacieux ? En tout cas toi cela te rend de plus en plus curieuse. Pourquoi tant de mystère ? Tu commences à comprendre quand il sort son téléphone et que la musique résonne. Et pas n’importe quelle musique. C’est à ce moment là que tu tiltes sur le scénario de la situation. Ton sourire se fait plus large et tu te mords la lèvre. « Okay je comprends mieux maintenant. » Tu le regardes alors qu’il commence à bouger. Il te tourne le dos. Et tes yeux se posent rapidement sur son fessier. Tu viendrais bien y faire trainer tes mains. Et puis il se met face à toi. Son regard kidnappe le tien. Tu comprends mieux l’histoire de l’incendie, Jeff compte te mettre le feu à sa manière. Il s’amuse avec sa veste et tu savoures en découvrant son torse. Ta langue passe sur tes lèvres. Le petit jeu est délicieux, terriblement tentant. Surtout quand il se déhanche de cette manière. Tu ne dis mots mais ton regard ne perd pas une miette du spectacle. Jeff est très sexy mais là c’est encore plus exquis. Des strip-teases tu en as déjà vu mais quand c’est ton mec qui t’en fait un le résultat est encore plus excitant. Tu suis chacun de ses mouvements laissant glisser ton regard sur ses courbes. Il va finir par te donner faim. Et il continue son petit jeu en ôtant sa veste. Très sympa les bretelles, cela pourrait presque devenir un objet de torture d’ailleurs le geste qu’il fait et exactement celui que tu avais envie de faire. Ton regard s’aiguise d’avantage sur son corps. Tes mains ont envie de toucher. Mais la privation t’électrise d’avantage. Tu sens le feu faire rage au creux de tes reins alors qu’il réduit la distance qui vous sépare. Même ton cœur ne sait plus à quel rythme battre. Jeff s’installe sur tes genoux. « Putain. C’est une vraie provocation monsieur le pompier. » Ta voix est chaude et sensuelle. Tu te mords à nouveau la lèvre. Tu sens son souffle effleurer ta peau. Ses lèvres si proches, prêtent à cueillir les tiennes. Mais rien. Il prend tes mains les faisant jouer sur ses bretelles. Il tente le diable là. C’est presque un supplice de l’avoir si prêt et de ne pas vraiment en profiter. Mais en même temps le supplice est délicieux et cela rend l’instant plus enivrant. Terriblement érotique. Brulant. Et tu adores ça. Sa main glisse sous ton menton et vos regards se perdent l’un dans l’autre. Tu lui souris. Et le jeu continue. La gourmandise est des plus envoutantes. Il s’empare à nouveau de tes mains pour les faire jouer sur son corps. Ses cheveux. Sa nuque. Ses épaules. Ses pectoraux. Et tu soupires de délice remarquant ses muscles encore plus marqués que d’habitude. Tes lèvres entrouvertes tu aspirerais même à un baiser. Tu le laisses mener la danse. Même si à cet instant tu aimerais bien sentir ses mains caresser ta peau. Faut dire que la façon dont tu le désires est presque indécente. Et puis il se relève. « Non. » Tu as presque envie de lui sauter au cou et de le violer sur place. Mais tu restes sage. Même si le désir te consume avec rage. Il se trémousse à nouveau. Te faisant languir de la suite. « Sadique. » Jeff t’a mise en appétit et là tu as juste envie de croquer la bouchée suivante. Tu es certaine qu’il brule autant que toi. Ton regard glisse à nouveau sur ses courbes, s’attardant sur certaines parties. Voir sous la ceinture. Tu es sure que son pantalon ne va pas tarder à virer. Pas sur que tu restes aussi sage une fois qu’il l’aura enlevé. En tout cas la lance à incendie ne sera pas de trop pour éteindre le feu qu'il a allumé au creux de tes entrailles.

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Reste assise oui. Tu ne seras pas déçue du spectacle. Quant à rester sage, j'attends de voir. Je pense qu'Eilynn saura se tenir jusqu'à la fin. On fait un pari ? Autant on aurait bien envie qu'elle nous saute dessus, autant on espère quand même finir notre surprise jusqu'au bout ! Allez ! Musique. Ca y'est, elle a saisi. Et c'est à partir de maintenant que la température va doucement grimper. On se déhanche. On se retourne. On capte son regard. Très important le regard. Ca permet de se dire des choses. Comme « Et maintenant dévore-moi des yeux » au moment où on ouvre la veste. Ce qu'elle fait. Ce qu'elle fait avec envie. Nos yeux se rivent sur ses lèvres. Sa langue. C'est ça qu'on veut voir oui. Mais si elle pense qu'elle va nous détourner de notre strip elle se trompe. On fait tomber la veste et Eilynn se montre un peu plus intéressée. On s'approche pour se mettre sur ses genoux. Putain j'adore quand elle nous parle comme ça. Mais on ne laisse rien transparaître. Et on ne dit rien. Pour l'instant. On se contente de la regarder avant de faire jouer ses mains sur nos bretelles. On lui sourit autant qu'elle nous sourit. Un vrai sourire de jeu. Pas provoquant. On aime ce qu'on est en train de faire et on sait qu'elle apprécie tout autant. On caresse notre corps avec ses mains. Laisser le bout de ses doigts nous brûler les muscles. Et oui on se relève. Même si Eilynn ne le souhaite pas. Et on hoche la tête en souriant. « Si si ». On se mord la lèvre. C'est nous que tu veux ? Mais tu ne peux pas nous avoir. Pas tout de suite. Reste sagement assise. Regarde-nous. Et profite. Nous ne sommes pas sadiques non. On aime juste le jeu. Et Eilynn est bien placée pour dire ça … La suite messieurs. On se retourne. Mains sur les attaches du pantalon. On tourne un peu la tête pour essayer de la regarder du coin de l'oeil. Mais malheureusement on y arrive pas. Pas grave. Prêt ? D'un mouvement sec on arrache le bas. Et on le jette sur le côté. Laissant découvrir un caleçon rouge bien moulant. On continue de remuer les fesses. On insiste même plus qu'avant. Et on sourit en pensant à la tête que fait Eilynn. Mains derrière la nuque. Et on se retourne ! Pour lui faire face. Et pour qu'elle se rende compte que l'avant est aussi moulé que l'arrière. On essaye d'accroche son regard mais pas sûr qu'elle ait les yeux au niveau des nôtres. On donne deux petits coup de bassin en avant. Plus sexy que vulgaire ou tentateur. Et ça y'est elle nous regarde. Alors on hoche la tête. Avant de fermer les yeux. De la pencher doucement en arrière. De passer notre langue sur nos lèves et de laisser glisser nos mains de long de notre torse, notre ventre. On avance doucement. A l'aveugle. Reprenant nos bretelles avant de les faire claquer une nouvelle fois. On rouvre les paupières. Pour voir où en est le regard d'Eilynn. On parcourt le dernier mètre qui nous sépare pour se poser sur ses genoux. On pose ses mains sur nos cuisses. Nos yeux se font un brin plus défiant. Plus tentateur. Le spectacle touche bientôt à sa fin. On fait remonter ses mains de long de notre corps, le long des bretelles. On les lui fait prendre pour les tirer vers elle, les relâcher, et les faire claquer sur notre peau. Tout en simulant un léger soupir de douleur. De douleur mais aussi de plaisir. On se relève. On va pour faire le tour de la chaise. Et de notre main, on caresse la joue d'Eilynn pour lui faire tourner la tête et pour qu'elle nous chasse du regard. On passe derrière elle en laissant glisser nos doigts sur ses épaules et on reprend notre position à califourchon. Avec plus de proximité cette fois-ci. On approche nos lèvres des siennes avant de brutalement se reculer, se retourner et s'asseoir de dos sur elle. On joue avec ses mains sur nos cuisses. Encore. On les sur nos hanches, notre taille. On se penche un peu plus contre son buste en levant la tête. Fermant les yeux. Soupirant chaudement de plaisir. Sans jamais ne dire un mot. Mais en ayant les oreilles grandes ouvertes pour capter les mots d'Eilynn. Capter ses envies. On joue avec ses doigts sur l'élastique de notre caleçon. Sur les ataches des bretelles qu'on déclipse doucement. Les bretelles qui glissent sur les côtés. On se relève en gardant les mains d'Eilynn sur nos hanches. Les doigts sur le haut de notre caleçon. Prêt pour le final. On la fait agripper le haut de notre sous-vêtement et on le fait descendre sur quelques centimètres. Pour qu'elle découvre le haut de nos fesses. Un caleçon rouge moulant incendiaire. Mais pas n'importe quel caleçon. Un caleçon aux coutures très fine sur les côtés. Un caleçon que l'on peut facilement arracher. On raffermir sa prise sur notre dernier habit. Un brusque mouvement du bassin en avant. Un brusque mouvement de ses mains en arrière. Et nous voila nu. Nu et s'éloignant de cette femme qui nous fait faire des choses jamais faites. Des mouvements brusques mais pas dangereux. On repasse les mains derrière la nuque. Et on se déhanche. Alors ma tigresse ? Ca te plaît ??

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Tu ne captes pas tout de suite ce qui se passe. Jeff est là dans ton salon en tenue de pompier et il te fait assoir sur une chaise te demandant de rester tranquille. Tu le regardes intriguée mais tu joues le jeu. Tu auras peut droit à une surprise si tu restes assise là sans bouger. Et puis la situation change. La musique envahit ton appartement. Et Jeff devient un pompier bien plus sexy. Le voilà qui se déhanche sous tes yeux. Jouant de son corps. Te faisant découvrir une facette de sa personnalité plutôt exquise. Il t’avait dit qu’il pratiquer le strip-tease. Mais l’avoir devant toi en pleine action est des plus est des plus surprenant. Tu ne perds pas une seconde du spectacle qui t’offre. Ton regard glisse sans aucune retenue sur les courbes qu’il dévoile adroitement. Avant de venir te provoquer d’avantage en venant s’installer sur tes genoux. Tu te laisses faire. Tu le laisses faire. Il a carte blanche. Et lorsqu’il prend tes mains tu les laisses se faire guider. Tu profites juste de ce toucher qui a une saveur des plus délicieuses. Pourtant ce n’est pas la première fois que tes doigts caressent son torse. Mais là tout est encore plus sensuel. Peut être parce qu’il met une certaine distance, une certaine réserve pour ne pas libérer trop vite le désir qui vous anime. Car difficile de résister ou de ne pas avoir des idées coquines avec un corps pareil à porter. Même ses lèvres se font désirer quand elles se font proches avant de t’échapper. Cela te mettrait presque en rage. Il aiguise ton appétit, comme tu avais pris plaisir à le faire le soir de votre premier repas dans de restaurant au bord de mer. La gourmandise est exquise. Terriblement perturbante. Surtout qu’il ne dit mot. Il joue juste de son regard dans le tien. Attisant d’avantage le feu qui s’empare de tes reins. Il te ferait presque grogner de désir. Tu as envie de le toucher encore et encore. De l’embrasser. Mais le jeu veut que tu restes sage. Une gentille petite fille dont le regard est bien loin d’être innocent. Et dont les pensées s’inondent de perversité. Grrr il te rentrait presque sauvage. Avec ses gestes retenus alors que tu en veux plus. Et puis il t’abandonne. « Tu aimes jouer. » Tu t’en es déjà rendu compte, il a toujours était un partenaire de choix dans vos échanges qu’ils soient verbaux au charnels. Tu soupires, presque blasée de ne pas pouvoir lui sauter dessus. Mais bon il a encore son pantalon. Et tu as envie de voir ce que Jeff va t’offrir. Et le pantalon rejoint la veste au sol. Tu baves d’avantage devant le caleçon rouge moulant qui enrobe ses fesses. « Putain je mettrais bien la fessée à ton petit cul. Mes mains me démangent même. » Ta voix se voile de provocation comme ton rire. Tu te mords la lèvre tout en suivant du regard les mouvements sensuels de ses fesses. Et puis il se retourne. Un sourire gourmand se dessine sur tes lèvres. Tes yeux descendent le long de son corps avant de stopper au niveau du caleçon. « J’avoue que là ça vaut tous les incendie du monde. » Tu te demandes comment tu fais pour être encore assise sur ta chaise alors que Jeff se fait plus sensuel dans ses mouvements. Puis ton regard retrouve le sien. Aucun doute sur le fait que tu apprécies son effeuillage. Et il te fait baver d’avantage. C’est presque un supplice de le regarder faire. « Monde cruel. » Tu mets ta main contre ton front comme si tu perdais connaissance. Faut dire qu’à cet instant tout ton corps brule. Jeff est terriblement torride. Et il en joue à la perfection. Et puis il s’approche à nouveau de toi. Reprenant place sur tes genoux. Tes mains retrouvent son corps. D’abord ses cuisses. Puis son torse. Il te fait jouer avec ses bretelles. Tu ne peux ignorer le plaisir qu’il prend à te faire partager ce moment. La complicité est des plus intenses. Et la retenue rend le tout plus savoureux. Tu voudrais t’attarder d’avantage mais à nouveau il se lève. « Rooh. » Tu bouderais presque. Sa main frôle ta joue, tes épaules. Tu frissonnes. Et il continue à jouer retrouvant tes genoux. Vos lèvres s’approchent. Son souffle te caresse. Vos regards se kidnappent. Puis il s’échappe encore t’offrant son dos en spectacle. Et à nouveau il vient bruler sa peau de tes mains. Tu fermes les yeux pour apprécier d’avantage les caresses dont il rythme l’intensité. Ses cuisses glissent sous tes doigts. Puis ses hanches, sa taille. Il reste silencieux. « C’est terriblement excitant. » Ton souffle vient frôler sa nuque. « Tu en as conscience. » Jeff rend le jeu encore plus intime, tu soupires alors que tes mains effleurent l’élastique de son caleçon. « Je risque de devenir accro de ce genre de jeu Jeff. » Puis les attaches de ses bretelles finissent aussi aux oubliettes. Il se lève encore une fois laissant tes mains sur ses hanches. Il t’a dit qu’il finissait en string. Du coup tu t’attends un peu à voir valser le caleçon. Et encore une fois il rend le moment plus brulant. Te faisant apercevoir un peu de ses fesses. « Pas mal. » Tu es loin de te douter que c’est toi guidée par Jeff qui va enlever le morceau de tissu moulant. « Houps. J’y suis pour rien. » Et le voilà le cul à l’air. Pas de ficelles l’horizon. Et il continue à se déhancher, t’offrant le loisir de l’observer dans toute sa nudité. « La tenue d’Adam te va vraiment à merveille Jeff. J’ai vachement chaud d’un seul coup. Je brule même. » Tu es toujours assise sur la chaise, te trémoussant légèrement. Ton regard se perd dans le sien. « Est-ce qu’il y aurait un pompier prêt à se dévouer pour éteindre l’incendie de mon corps ? » Tu joues la provocation. Tu te lèves. Ta langue joue sur tes lèvres. Tu attrapes ton débardeur et tu le quittes livrant ta poitrine à son regard. Et puis tu t’avances vers Jeff. « Est-ce que je peux toucher voir abuser de ce corps ou je dois encore rester sage ? » Tu viens frôler son torse de tes doigts. « Est-ce que tu veux voir dans quel état tu m’as mise ? » Tu attrapes sa main pour la porter à tes lèvres. Laissant ta bouche envouter ses doigts.

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Quand elle me parle comme ça là … Doucement. Faut pas lui montrer que ça t'émoustille. Crois-moi bien que je vais la lui ressortir cette phrase. Ca j'en doutais pas. Haha. Tous les incendies du monde ? Mais tu n'as encore rien vu ! Et on reste silencieux. On arrache le bas. Monde cruel. Non mais je vous jure. Bougez bien des fesses ! Nul doute qu'elle a les yeux rivés là où il faut. J'improvise ! Et je nous mets une petite tape sur la fesse droite. Grrr. Et là on est assez cruel ?? Reste bien tranquille Eilynn. Ne t'inquiètes pas, on arrive. On se dandine sur elle. Et on lui dit par le regard … « J'ai envie que tu me sautes dessus … »Je suis sûr qu'elle aime faire claquer nos bretelles. On se fait désirer. On se lève. On tourne autour d'elle. Suis nous du regard quelques secondes. Désire-nous … De dos maintenant. Caressons-nous à l'aide de ses mains. Ses paumes brûlantes sur nos muscles. Grrrr. Profite de nous avant que nos corps ne se jettent dans la joute. Dans l'incendie. On espère que tu apprécie Ma Eilynn. On fait ça juste pour toi et uniquement pour toi. On continue à nous titiller avec ses mains. Oh oui … Pour nous aussi c'est terriblement excitant. Et pourtant on pourrait se faire plus tentant. Mais elle doit nous résister. Au moins jusqu'à la fin. Après … Oh que oui nous avons conscience. Elle lit dans nos pensées, dans notre regard. On décale la tête un peu sur le côté. On la tourne à peine pour regarder du coin de l'oeil si ses yeux sont rivés sur nous. Et c'est le cas, alors on penche un brin plus la tête en arrière. On sourit. De désir, de plaisir, de diablerie, de jeu. On ouvre la bouche que pour soupirer chaudement. Avant de se passer tout aussi chaudement la langue sur notre lèvre. Résiste nous … Pour toi on pourrait faire ça tous les jours ma belle Eilynn. Même si c'est la rareté qui fournit autant de plaisir. On fait quand même un petit oui de la tête alors que l'on fait agripper ses doigts sur notre haut de caleçon. Qu'on la laisse entrevoir nos fesses. Alors Eilynn ? Toujours envie de les marquer de tes doigts brûlants ? Tu ne devrais pas te gêner. Pourtant tu restes sages. C'est bien. Tu verras quand tu craqueras … Vous êtes prêts ? Et crac le caleçon. On se passe la main dans les cheveux et ses mots élargissent notre sourire. On est aussi beau qu'elle ne l'est. Et on se retourne pour lui faire face. Sans aucune gêne malgré notre nudité totale. On la regarde droit dans les yeux. On continue notre strip. Elle a chaud et nous aussi. Elle brûle et nous brûlons. Lui transmettant notre flamme de par notre regard. On reste enfermé dans notre mutisme. Et on se contente de sourire. Elle nous tente mais on résiste bien sûr. On fait même petit non de la tête. Mais la musique touche à sa fin. On a les yeux rivés dans ses yeux. Mais on ne loupe pour autant sa langue qui glisse sur ses lèvres. Elle enlève le haut mais on ne faiblit pas. On fait ce petit « non » de la tête. Je ne vais pas te céder. Pas maintenant. C'est ce qu'on se dit mais on s'égare tout de même une brève seconde sur sa poitrine. Comment ne pas la regarder ? Comment ne pas apprécier la galbe de ses seins ? On la laisse venir à nous. On brûle. Elle brûle. On devrait lui dire de se jeter sur nous si elle le souhaite. Car c'est ce qu'elle souhaite. On pose les yeux sur sa main. Ses doigts qui nous caressent. Pas le temps de lui répondre que déjà elle nous dit ô combien elle a apprécié. Oh ouais je veux voir. Mais tu le sais déjà. On la laisse suçoter nos doigts. On passe l'index sur ses lèvres. Résiste-nous … Juste un peu … Je le vois déjà … Mais attends juste deux petites secondes … On laisse glisser nos doigts sur les siens. On se retourne. On fait quelques pas. Vers notre téléphone. Petit coup de bluff. Petite mise en scène. Deux secondes déjà … Et alors Eilynn ? On pose les mains sur le meuble. On affiche doucement nos fesses. Comme pourrait le faire une femme pour donner envie à un homme. On tourne la tête. Notre regard droit dans le sien. Et bah alors ? Tu viens me la mettre cette fessée sur mon petit cul ? Oh mon Dieu ! Cette façon dont tu as prononcé ces deux derniers mots ! Dépêche-toi Eilynn ! Use et abuse de moi si tu le souhaites … Continuons à jouer avec les mots. Rivez les yeux sur sa poitrine. Donne moi chaud Eilynn … Et on continue, on ne s'arrête plus … Est-ce que tu vois toi dans quel état tu me mets ? On la regarde en se mordant la lèvre. On se fait monter notre température tout seul avec nos mots. Pour citer Eilynn, c'est terriblement excitant. On a le coeur qui cogne. On souhaite qu'elle se prête au jeu pour une minute. Juste une petite minute. Et puis on craquera. Et la suite sera tout aussi plaisante que ce strip. Cette femme nous fait de l'effet. Cette femme nous fait sacrément de l'effet. Et on lui montre. On lui dit. Ne reste plus sage et profite de notre corps comme nous allons profiter du tien.

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" Celui qui de gaieté de cœur va au-devant de la tentation, s'est d'avance arrangé à l'amiable avec l'idée de faillir."

Assise sur ta chaise tu profites pleinement du spectacle. Jeff sait faire monter la température. Et tu te demandes encore comment tu fais pour rester assise. Alors que tu n’as qu’une envie abuser de son corps. Tu le titilles de tes mots. Tu te demandes comment ce strip-tease va finir. Enfin tu t’en doutes un peu. Même s’il reste silencieux une lueur dans son regard te laisse deviner ses véritables intentions. Elles sont bien proches des tiennes. Il s’attarde, jouant dangereusement avec tes envies. Mais tu trouves ça délicieusement diabolique. Et tu penses même que c’est plus qu’une fessé que tu voudrais lui mettre sur son joli cul. Surtout quand monsieur vient se la mettre lui-même comme pour te frustrer de ne pas pouvoir le faire. Jeff mériterait le fouet là. Mais tu te gardes bien de le dire. Tu le laisses faire. Il t’enivre d’avantage en venant te narguer avec ses bretelles. Tu les ferais bien claquer d’avantage. Le jeu monte d’un cran, se faisant plus sensuel. Plus torride. Son regard, ses lèvres, sa façon de bouger. Tout de dit à quel point il te désire. C’est une vraie torture, mais elle est exquise. Tu étais loin d’imaginer ce matin en te levant que tu aurais pareil incendie dans ton appartement. Tu risques fort à la suite de ce strip-tease de regarder Jeff de manière différente. Surtout lorsque tu le verras en tenue de pompier. Même si là il ne lui reste plus grand-chose de cette tenue. Juste un petit bout de tissu rouge qui rend ses formes encore plus alléchantes et vu où sont posées tes mains, le bout de tissu va connaitre le même sort que ses fringues. Et en effet dans un mouvement des plus érotiques voilà que le caleçon vire. Laissant apparaitre Jeff complètement nu. Tu te mords les lèvres alors qu’il t’offre son dos et pas que son dos en spectacle. Et puis il se retourne. Vos regards s’accrochent même si le tien parfois se perd ailleurs. Au niveau de son entre jambe plus précisément. Et tu n’es pas une obsédée, tu aimes juste mater ton mec surtout dans cette tenue. Et Jeff reste silencieux alors que tu continues à la taquiner. Comme si tes mots ne faisaient que glisser sur sa peau. Mais tu sais qu’au fond ils laissent leur trace. C’est juste que Jeff veut te faire maronner d’avantage. Alors que tu joues la provocation. Quittant ton haut, dévoilant une partie de ton corps nu. Peut être que cela va le rendre plus sauvage. Toi tu es prête à bondir, telle une tigresse. Prête à sortir les crocs et les griffes pour les planter dans sa chair tendre. Tu sais qu’il guète tous tes gestes, toutes tes réactions, toutes tes émotions. Et tu ne caches rien. Il te fait de l’effet. Il te trouble. Il te rend fragile mais forte aussi. Il caresse bien plus que ton corps, il caresse aussi ton cœur chaque jour avec plus de ferveur. Tu es consciente qu’il te chamboule. Qu’il te met à nu. Qu’il réveille des envies. De désirs bien au-delà de des désirs charnels. Et tu viens l’enivrer à ton tour en douceur, avec sensualité. Même si tes mains comme tes lèvres voudraient gouter au miel tu te contentes juste de l’effleurer. Tu es prête à craquer. Mais l’attente rend l’instant plus brulant. Mais il te demande d’attendre encore. Tu soupires. Il s’éloigne Encore une fois tu te sens frustrer, mais tu veux voir ce qu’il prépare. Et le voilà qu’il se pose contre le meuble. T’offrant ses fesses en cadeau. Son regard kidnappe à nouveau le tien. Puis il y cette phrase prononcé de façon si … elle te met l’eau à la bouche. « Comment résister à pareille invitation ? » Tu la joues allumeuse, ton regard se fait plus intense. Tu avances doucement. A son tour de devenir impatient. Et il continue à te titiller de ses mots. Jeff était resté silencieux mais là il se rattrape. Après avoir mis le feu à ton corps avec son strip-tease il vient le mettre avec sa voix. Avec ses phrases qui sont loin de te laisser indifférente. « Je ne vais pas me gêner pour abuser de toi. » Tu arrives à sa hauteur. Tu abandonnes son regard pour à nouveau glisser sur ses courbes. « Je vois parfaitement. » Ton regard se pose sur sa virilité. Difficile de douter vu son état. « Alors tu veux une fessé. Hum !! » Ta main se pose dans son dos, tu descends doucement le long de sa colonne vertébrale. Tu t’attardes au creux de ses reins. Avant de caresser ses fesses. Laissant glisser tes doigts avec sensualité et douceur avant de les faire claquer une fois. « Tu aimes. » Deux fois. « Tu en veux plus. » Trois fois. Faisant rougir légèrement ses fesses. « Est-ce que je continue ou … » Mais tu as envie d’autre chose. D’un autre jeu bien moins sage. Alors tu viens coller ton corps contre celui de Jeff. Laissant ta poitrine heurter son torse. Laissant vos intimités se bruler d’avantage. Tu passes tes bras autour de son cou. Et tu t’empares de ses lèvres avec gourmandise et passion. Tu as juste envie d’être à lui.

good vibes.

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Et on danse sur Eilynn. On laisse notre corps caresser son corps. La peau de nos cuisses sur les siennes. Ses mains qui enflamment nos muscles. On adore ça. On adorer jouer avec elle. On adore la donner envie de nous. Une douce provocation avant plus. Avant que nos corps se donnent l'un à l'autre. Mais d'abord il nous faut terminer notre show. Le terminer sur ce final qui fera des plus plaisirs à Eilynn. On lui fait arracher notre caleçon moulant. De manière suffisamment sauvage mais pas brutale. De manière alléchante et incendiaire. De manière à ce qu'elle ait encore plus envie de venir nous mettre la fessée. Ne t'en fais pas Eilynn, viendra le moment où tu pourras venir te plaisir avec tes mains. Et nous faire plaisir. Car on en a envie aussi. On lui fait face. Le bassin bougeant un peu moins. Sans aucune crainte d'être ridicule malgré le fait que l'on soit totalement nu. Elle se lève et nous laisse voir sa poitrine. Pas de dures pensées hormis le fait de vouloir venir la lui pétrir doucement. L'embrasser. Se délecter au contact de ses seins ou de ses lèvres. Ressentir sa chaleur. Mais chaque chose en son temps. Et pour l'heure elle essaye de nous donner envie. De nous faire craquer. Ce qui pourrait marcher en temps normal mais nous avons une dernière chose à faire. Un geste et une parole des plus brûlante. On s'approche du petit meuble. On se prépare à recevoir la marque de ses doigts sur notre petit cul. Et je lui dis avec un ton de provocation. De venir. De s'approcher. A deux doigts de lui demander comment elle le trouve là notre petit cul. Alors ne résiste pas … Bien sûr qu'elle ne peut nous résister. Comment le pourrait-elle ? Comment nous pourrions refuser à pareille proposition ? Une provocation indécemment plaisante. Abuse de notre corps ma tigresse. On se mord la lèvre Ses mots nous font toujours autant d'effet que son regard. Que ses mains. Que son corps. Que cette façon dont elle se mordille parfois la lèvre, qu'elle y passe la langue. Elle fait monter notre température. Son regard quitte le nôtre et s'attarde sur nous. Là où elle peut voir que notre envie monte en nous. Mais qu'elle n'est pas encore à son paroxysme. Qu'il nous faut recevoir notre fessée pour nous être montrer si tentant avec elle. On ne pratique pas ce genre de jeu très souvent. Mais on fait parfois preuve « d’originalité ». Et quelque chose me dit que nous avons trouvé une partenaire idéale. Oh oui vas-y ! On remonte un tout petit plus notre petit cul. Abaissant doucement notre corps pour se faire un brin plus petit qu'Eilynn. Laisse sortir ton côté dominatrice pour cette claque. Avant de redevenir la Eilynn que l'on connaît. Elle ne se contente pas de faire claquer sa main non. Elle nous brûle d'abord le dos. Elle nous fait monter l'envie d'une façon indescriptible. Elle attendrit nos fesses. Et on aime ça. On aime ce calme avant la tempête. On aime sentir notre coeur battre si fort avant qu'il n'ait ce bond. Vas-y Eilynn ! Et sa main claque sur nous ! Oh oui j'aime ça ! Oh oui plus fort ! Et une deuxième qui nous arrache un cri de plaisir. Aucune douleur. Juste du pur plaisir. Encore encore ! Jamais deux sans trois. Et nous voila pleinement satisfait de cette correction. On sent notre fesse avoir chaud. Ëtre doucement marquée. Elle a su se montrer ferme sans se montrer agressive. Elle a rendu cela simplement jouissif. Et bien que nous aimerions poursuivre si c'est ce qu'elle souhaite, nous avons aussi envie d'autre chose. Envie de varier les plaisirs. Mais surtout celui de lui succomber. On se redresse et pas besoin de mots. Elle vient se coller contre nous. On l'accueille pleinement dans nos bras. On caresse son dos. Avant de passer une main sous son shorty pour lui palper une fesse. De la presser d'avantage contre notre bassin. De remonter l'autre main sur son flanc, son sein. Que l'on prend en main. Avec fermeté mais douceur. Nos langues se mêlent et se démêlent. Aucun mot ne pourraient décrire ce qu'il se passe en nous. On fait tomber son bas, dernier bout de tissu sur son corps. Le faisant glisser jusqu'au bas de ses jambes. On se tourne vers le petit meuble et on vient y poser Eilynn. Un meuble à parfaite hauteur pour notre union à venir. On part bécoter chaudement son cou. Eilynn … Le feu se fait plus intense. Ton corps m'embrase … On repart sur ses lippes. Que l'on goûte avec délice. Tes lèvres m'enflamment … On continue de jouer avec le feu mais d'une manière différente. Pas de fessée. Pas de provocation. On avive une autre flamme. Celle de la complicité. On nourrit un autre feu. Celui de notre bien-être autre que par les échanges « sauvages ». Nos mains se baladent sur son corps. On la regarde. Avant de passer nos doigts sur ses lèvres. Avant de venir lécher nos propres doigts et de les descendre. Et de la caresser. Rendant plus chaud son antre d'amour. Le rendant plus envieux. Notre cœur tambourine. Mais nous ne le calmons pas. Nos baisers descendent dans son cou. Le haut de sa poitrine. Notre main se fait plus insistante. Nos doigts caressent les flammes. Nos lèvres se perdent sur sa mâchoire et juste au dessous de son oreille. J'ai pas arrêté de penser à toi … Dans le sens à ce qu'il se passerait après ce strip. Mais pas que. Car il n'y pas que ça avec Eilynn. On remonte la main sur sa hanche. En même temps que nos lèvres sur les siennes. Nos intimités se caressent. Nos chaleurs fusionnent. On l'embrasse d'un vrai baiser. Glissant notre langue entre ses lèvres. Sensuellement. Reculant imperceptiblement le bassin. Laissant Eilynn nous guider. Notre bouche s'entrouvre et laisse échapper un soupir de plaisir alors que l'on unit nos corps. Deux feux qui se rencontrent pour ne plus en former qu'un. Un torrent de flammes. Et notre bassin se meut de longs et lents va et vient. Nos bras entourant le dos d'Eilynn. La caressant. Nos doigts pressés sur le haut de ses fesses. C'est incroyablement bon. Comment j'ai fait pour pas te succomber avant …

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" Celui qui de gaieté de cœur va au-devant de la tentation, s'est d'avance arrangé à l'amiable avec l'idée de faillir."

Tu apprécies chaque seconde. Tu te délectes du spectacle. N’en perdant pas une miette. Ton mec est beau. Sexy. Provocant. Tu as envie de le dévorer tout cru. Et ce depuis qu’il a commencé son strip-tease. Alors là maintenant qu’il est nu devant toi, l’envie est bien plus présente. Même si il fait trainer les choses. Histoire de faire monter la température pour la rendre plus brulante. Ou de te rendre plus affamé. Et ça marche. Mais tu ne comptes pas rendre les armes aussi facilement. Tu as aussi envie de jouer. De le provoquer. De le faire baver. Juste retour des choses. En plus monsieur aimerait recevoir une fessé avant. Et il fait tout pour te donner envie de la lui donner. Son petit cul mis en valeur de cette façon c’est de la pure provocation. Pourquoi résister ? Tu joues de ton regard, de tes mots, de tes gestes. Tu veux que l’instant devienne inoubliable. Grisant. Enivrant. Et tu comptes bien rendre cette fessé délicieuse, sensuelle voir érotique. De quoi retourner les tripes de Jeff et chambouler tout son être. D’abord ce sont tes yeux qui glissent sur sa peau et puis ta main. Elle caresse, s’attarde. Avant de devenir plus conquérante. Plus vibrante sur sa peau nue. Tu prends un réel plaisir à lui donner cette fessé et le plaisir est partagé. Et puis tu viens te coller contre lui. Ton corps trouve enfin pleinement son corps. Ses bras t’enlacent. Ses mains te caressent, s’invitant d’avantage sur ta peau. Tu gémis contre ses lèvres quand elles viennent à la rencontre de tes fesses. De tes seins. Tu frissonnes sous ses doigts et cela te rend plus impatiente. Ta langue dans avec la sienne. Ta main se pose dans sa nuque pour donner au baiser plus d’impact. Le rendre plus exquis. Ton shorty glisse le long de tes cuisses te permettant de profiter pleinement de l’étreinte. Rapidement tu finis posé sur ton meuble. Tu enserres le corps de Jeff entre tes cuisses. L’étreinte se fait plus intime. Tes doigts courent sur sa peau alors que ses lèvres affolent la tienne. Tu trembles. Ses lèvres alternent entre ta chair et ta bouche. Son souffle caresse ta peau comme ses mots. Ton cœur s’emballe et pas que pousser par l’envie de faire l’amour. Cela va bien au-delà du désir charnel. C’est plus puissant, plus troublant, plus intime. « Tu m’enflammes aussi Jeff .. » Ton regard vient se perdre avec douceur dans le sien. Ses doigts jouent sur tes lèvres. Avant de s’échapper sur ta peau et d’emprisonner d’avantage le désir qui te brule. Tu te cambres sous cette caresse intime. « Oui .. » Ta main vient retrouver ses fesses. Puis elle s’aventure sur sa hanche, au creux de son aine avant de finir en douceur autour de sa virilité. Tu laisses ton corps s’enivrer du plaisir que Jeff te procure tant par ses caresses que par ses baisers. Tu titilles également sa chair du bout de tes lèvres, de ta langue. Tu soupires de plaisir contre sa peau. Ses mots te chamboulent. « Tu penses à moi comment .. » Ta voix est juste un souffle. Tes doigts pressent d’avantage sa chair en demande. Vous partagez un baiser qui affole d’avantage ton corps. Tes jambes entourent sa taille, le pressant contre toi. « Viens. » Dans un mouvement lent et doux Jeff unit son corps au tien. C’est une pure brulure mais aussi une délivrance de le sentir au creux de tes reins. Tu te laisses bercer par toutes les émotions qui t’assaillent. L’incendie fait rage se gorgeant de votre désir et de votre envie. Il vous enlace, vous inonde, vous caresse. Unissant vos corps dans la même passion. Tu souris à ses mots. « Parce que tu savais que cela serait encore plus délicieux d’attendre .. » Tu kidnappes ses lèvres. Tes bras et tes jambes resserrent l’étreinte. Ton cœur vient taper contre ta poitrine s’accordant au même rythme que celui de Jeff. Son bassin se fait plus conquérant contre le tien. L’instant est divin. L’attente et la provocation ont rendu l’abandon plus exquis et troublant. Et tu te laisses envahir par la vague du plaisir mais aussi par une plus intense qui s’intensifie de jour en jour au creux de ton cœur et de ton âme.

good vibes.

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Oh ces claques ! Et cette attente vibrante et interminable. Eilynn nous émoustille et cette dernière claque fait vibrer notre être tout entier. Notre coeur s'affole doucement. L'instant était terriblement excitant. L'envie se fait plus pressante. Surtout lorsqu'Eilynn se blottit contre nous. On profite alors de son corps. De ce qui fait d'elle une femme. On lui fait vite revêtir la tenue d'Eve nos parties intimes se charment, se cherchent. Sa main maintient notre nuque et on aime ça. On aime sentir ses doigts se presser doucement sur nous. Nous garder contre elle. On la soulève pour la déposer sur le meuble. La passion nous gagne à une vitesse folle. Le premier baiser de la journée avec Eilynn nous a enflammé bien plus que tout le reste. Nos lippes se caressent. Ses lippes qui embrasent notre être tout entier. On le lui fait savoir. Et Eilynn nous fait savoir que cela est réciproque. On la regarde les yeux dans les yeux. Avant de lui voler un nouveau baiser. Et un autre. Brûlons ensemble … Notre voix est aussi chaude que notre corps. Aussi chaude que le feu qui brûle en nous ou en l'intérieur de cette femme suspendue au bout de nos lèvres. Nos doigts caressent sa bouche avant et de descendre vers sa féminité. On la sent relever le bassin. Sa voix s'insinue par tous les pores de notre corps presque en ébullition. Nos doigts restent relativement sages. On se contente de la caresser délicatement. Mais chaudement. Nos lèvres de ne séparent plus du corps d'Eilynn. Sa bouche, son cou, le haut de son buste, sa joue. Chacun de ses baisers nous fait frissonner. Une sensation accentuée lorsque l'on sent sa main s'approcher de notre virilité. Sa chair entre en contact avec la notre et nous poussons un soupir d'aise. Un soupir d'envie irrépressible. On l'embrasse langoureusement. Avant de ravaler notre salive et de pousser un nouveau soupir. On a pensé à Eilynn ce matin. Tout comme cette nuit. On a pensé à ce que pourrait donner ce strip tease. Mais on a aussi pensé à elle tout simplement. Je pense à toi de mille et une façons … On repart bécoter ses lèvres. On ne pas lui citer toutes les façons dont on pense à elle. Certaines sont tendres. D'autres un peu moins. Rigolotes ou plus joueuses. Son étreinte se ressert. On s'apprête à unir nos corps. Pour répondre à la demande d'Eilynn. Répondre à nos envies. Un nouveau râle. Plus intense. Comment a-t-on fait pour ne pas craquer tout ce temps ? Résister dans le but d'accentuer ce déferlement de flammes en nous. Cet incendie. Nos va et vient accélèrent. Oui … Un murmure. Un souffle. On embrasse le feu à bras le corps. On caresse son dos, sa nuque, sa taille. La pressant contre nous. Le bassin d'avant en arrière. Le feu croissant. Brûlant. On part bécoter son cou. Une main sur sa cuisse. Nos coups de reins un peu plus rapides. Notre souffle qui saccade. On en perdrait presque la tête. C'est tellement bon de céder à la tentation … Nos lèvres kidnappent les siennes. Notre langue communie avec celle d'Eilynn. Le rythme est bien trop endiablant. L'envie en devient bien trop pressante. Trop brûlante. Pourtant on ne le freine pas de suite. On pose le front contre celui de notre amante. Notre poitrine se gonflant et se dégonflant au rythme de notre souffle chaud qui se mêle au sien. On arrête cette cadence infernale. Pour en adopter une plus lente. Tout aussi savoureuse mais nous permettant de ne pas faire aller trop vite notre désir. Nous permettant de prolonger doucement le plaisir. Nos lèvres continuent de glisser sur sa peau. Se délecter du corps de cette femme magnifique. Le bassin qui reprend petit à petit. Envoûtant. Déroutant. Une main qui accompagne son bas du dos. Une autre qui effleure sa poitrine. On passe le bras en travers de son dos et nos doigts viennent tâter le côté de son autre sein. Un nouveau baiser des plus langoureux. Un nouveau râle. C'est divinement bon … L'envie est forte. Le feu plus fort que jamais. Freine mes ardeurs … On veut prolonger le plaisir. Mais notre bassin continue ses coups de reins. Un peu plus intensément. Un rythme qui nous fera chavirer si Eilynn ne nous ralentit pas. Mais peut-être n'a-t-elle envie de rien d'autre que de nous voir atteindre l'ultime plaisir. Qu'elle se laisse aller pour la minute à venir. Ou au contraire. Reprendre les commandes. Freiner notre envie par n'importe quel moyen. Prolonger ce moment. Prolonger le feu ou l'alimenter jusqu'au point de rupture. Jusqu'à l'ultime explosion.

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" Celui qui de gaieté de cœur va au-devant de la tentation, s'est d'avance arrangé à l'amiable avec l'idée de faillir."

Coller tout contre Jeff, tu te laisses doucement aller. Il te fait frissonner. Il te fait bruler. Ton corps alterne entre les deux sensations, se délectant de mille saveurs. Bousculer comme jamais tu te laisses emporter. « De mille et une façon c’est plaisant d’entendre ça .. » Tes lèvres et tes doigts marquent d’avantage sa chair avant de complètement la posséder. Mais à cet instant Jeff te possède autant que tu le possèdes. Et le jeu se fait plus intense, plus charnel, plus torride. Ta patience paye et tu te laisses couler avec délice dans les flammes qu’il éveille dans tout ton corps. Il s’approprie ta chair avec délicatesse, avec ivresse et tu en fais de même. Vos mots ne font qu’augmenter le désir qui se distille dans vos veines avec voracité. Cela te rend plus gourmande. Le mouvement de ses reins contre les tiens s’accélèrent et tu le suis unissant ton rythme comme ton souffle au sien. En effet céder à la tentation est exquis surtout entre les bras de Jeff. Ton corps se cambre d’avantage sous les assauts de ton amant. Chaque geste te donne envie de gouter à la suite. Tout ton corps respire le désir, le plaisir, l’envie. Ton regard se fait plus brillant dans le sien. Tes lèvres rendent chaque baiser plus incendiaire. Tes doigts caressent sa chair avec plus d’indécence. Il affole ton être en jouant savamment avec le rythme de ses vas et vient. Il prolonge l’attente, il te rend impatiente. Alors que tu as juste envie de le sentir plus profondément en toi. Alors que tu as juste envie de te perdre en lui. Alors tes mains se font encore moins sages. Elles glissent dans son dos. S’attardent au creux de ses reins. Elles griffent. Alors que tes lèvres mordent son cou. Rien de méchant tout en sensualité. Juste pour l’exciter d’avantage. Le rendre plus fou. Tu mordilles son oreille pendant qu’il soumet ton corps à ses caresses. Tes mains descendent sur ses fesses. Tu comptes bien le provoquer d’avantage. Ton regard se perd dans le sien. Une lueur de malice s’y glisse. Tu te mords la lèvre. « Non c’est diaboliquement bon. » Tu lui souris avant de t’emparer de ses lèvres. Tes mains caressent ses fesses le poussant d’avantage contre toi. « Freiner tes ardeurs … loin de moi cette idée chéri.. » Et tu lui mets une fessé. Un sourire taquin se dessine sur tes lèvres. « Cela a eu l’air de t’exciter tout à l’heure.. » Tu resserres l’étreinte de tes cuisses autour de sa taille. Et puis tu frappes à nouveau. Tu cherches encore plus le contact. Rendant les mouvements de ton corps contre le sien plus insolent. Et tu frappes encore. « J’ai juste envie de bruler d’avantage Jeff .. » Et tu sens la flamme se faire plus vorace au creux de tes entrailles. Elle grossit. Elle te dévore. Elle inonde tes veines et ton cœur. Tu fermes les yeux. Tu gémis. Tes lèvres retrouvent les siennes pour un baiser passionné. Ses assauts se font plus torrides, terriblement incendiaires. Et la flamme vous enveloppe, liant vos corps dans une explosion intense. « Oui … » Tu murmures contre ses lèvres. Tes bras et tes jambes l'enserrent avec plus d'ardeur. Ton cœur tambourine dans ta poitrine. Le feu te ravage de part en part. Bousculant tout ton être dans un mélange d'émotions intenses et troublantes. Tes doigts s’accrochent à sa chair. Tu rends les armes. Tu t’abandonnes. Laissant le désir et le plaisir maitre de chaque parcelle de ton corps. Ton regard se pose à nouveau dans celui de Jeff avec douceur. Tes mains remontent dans son dos tout en le caressant. Puis elles viennent se caler contre sa nuque. « J'aime quand tu me fais l'amour avec tant de passion. » Tu scelles tes mots d'un doux baiser. Le corps encore secoué par ce que Jeff t'a fait ressentir. Il te fait vibrer de manière délicieuse. Et il ne fait pas que vibrer ton corps de manière délicieuse.

good vibes.

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Nos mots sont plaisants comme peuvent l'être ceux d'Eilynn. Comme peuvent l'être ses ongles ou ses dents qui marquent parfois légèrement notre peau. Ses mains qui nous caressent. Qui nous claquent. Nos baisers se font passionnels. Gourmands. Délicieux. Son corps se cambre et on accentue le mouvement en passant la main sur le bas de son dos. En pressant un peu plus le bassin contre le sien. Accélérant doucement le rythme. Nos lèvres glissent sur sa peau. Les siennes nous mettent toujours un peu plus en feu. On ressent pleinement chacun ses doigts se balader sur notre peau. Nos coups de rein se font plus forts, plus profonds. On sait qu'Eilynn aime ça et on ne se prive pas pour son plaisir. Pour le nôtre. Elle se lâche. Fait ressortir ce côté sauvage. Cette tigresse qui marque notre corps. Ses ongles qui s'enfoncent doucement dans notre peau. Ses dents dans notre cou. Le rythme se fait plus animal. On laisse parler notre corps. Le coeur battant. Nos soupirs de plaisir qui caressent son cou, ses lèvres. On aime qu'elle mette notre sang en ébullition. On aime qu'elle nous laisse partir vers le plaisir avant de nous ramener avec fermeté. L'union est passionnelle. Doucement sauvage. Juste ce qu'il faut. Alors que le rythme retombe. Car c'en est trop. Chaque va et vient nous rapproche bien trop près du nirvana. Chaque attention qu'elle nous porte. Chaque geste. Oh oui sois féline … J'aime ça … Féline. Divine. Des mots qui rime avec Eilynn et des mots qui lui sied à merveille. Bon … C'est terriblement bon. On mordille délicatement sa lèvre avant de plonger dans son regard. Ses yeux félins. Sa voix fait monter un peu plus la température. L'union est diaboliquement bonne oui. La pression aux creux de nos reins est insoutenable. On ne peut lui résister et on lui demande de le faire à notre place. Mais Eilynn n'est pas comme ça aujourd'hui. Eilynn a d'autres envies. Nous faire céder d'avantage. Ses mains appuient et accompagnent notre petit cul. Diabolique. Elle veut nous pousser à bout. Mais nous voulons d'abord qu'elle goûte au plaisir. Ce petit « chéri » a de quoi nous faire bouillir un peu plus. Et cette claque ! Cette claque qui nous extirpe un râle intense. On sourit contre ses lèvres. Elle aime ça. On aime ça. Cette claque nous excite. Elle fait monter le plaisir, le désir. Mais repousse l'instant ultime. On s'amourache de ses lippes. Oh oui ça m'excite … Et toi ? … Dis-moi que ça t'excite. Nos va et vient se poursuivent. Une claque fait à nouveau accélérer le rythme. Nous bras enlacent son bassin et son dos. Nos doigts pressent sa hanche. Pour la maintenir tout contre nous. Une troisième claque. Un doux rugissement de plaisir s'échappe de notre bouche. Un baiser plus sauvage, plus langoureux. Une intensité sans pareille. Ma tigresse … Un murmure. Un souffle sur ses lippes. Elle veut brûler et on va la faire brûler. Nous allons incendier son corps et le nôtre au passage. Laisse-moi te brûler Eilynn … La respiration devient plus difficile. Le rythme endiablant et endiablé s'alimente et se fait de plus en plus chaud. Notre regard se perd dans le sien. Avant que ses paupières ne se closent. Qu'elle se laisse aller un peu plus. Embrasse-moi. Dévore-moi. Brûle-moi. Laisse tes mains répondre à tes instincts. Laisse tes lèvres se perdent sur les nôtres. Laisse nos langues déchaîner leur passion. Notre bassin ne ralentit que pour rendre notre union plus forte. Plus intense. Notre souffle est court. Nos soupirs se perdent sur sa peau. On sent Eilynn frémir. On sent ses doigts nous serrer plus fortement que jamais. Son bassin se fait plus chaud. Elle laisse le feu la brûler de toute part. Et au terme d'un nouveau coup de bassin, on se laisse aller dans ce torrent de flammes nous aussi. Gémissant intensément à chaque nouveau coup de rein. Un feu qui se transforme en vague de chaleur et de plaisir qui nous enveloppe. Nos va et vient perdent toute hardiesse. Clôturent cet instant passionnel, sulfureux. Nos corps se désunissent mais la symbiose ne nous quitte pas. Nous continuons à ne faire qu'un. A alimenter cet autre feu. On peine à reprendre notre respiration. Et nos yeux rencontrent les siens. On se sent empli d'une plénitude incroyable. Et j'aime que tu me rendes cette passion. Ses lèvres scellent les nôtres. On n'envisage pas d'autres façons que de lui faire l'amour passionnément. Peu importe l'endroit et l'heure. Peu importe le jeu, les douces provocations et tentations. Quand notre corps rencontrent le sien, on oublie tout et on laisse cette passion nous guider. On la garde contre nous. La pressant juste délicatement. Kidnappant ses lèvres encore et encore. Avec douceur. Ou un peu plus envieusement. Plus langoureusement pour un long baiser. Prolonger « l'après ». Prolonger l'extase. Notre main caresse sa joue que nous n'avons que trop ignorer. Nous avons laisser nos instinct nous guider dans cet acte. Un nouveau baiser où nos lèvres ont du mal à quitter les siennes. J'aime quand on s'embrasse comme ça après avoir fait l'amour. Notre regard se perd agréablement dans le sien. Notre torse se gonfle doucement et ressent la chaleur de son buste. Notre sourire de bien-être ne disparaît pas. Il ne disparaîtra sans doute pas de la journée. On aime cette féminité, cette force, cette tentation, cette douceur, cette grâce qu'elle dégage. Nos mains se font plus douces et caressent ses formes. Je t'ai déjà dit à quel point tu étais … félinement … divinement … délicieusement … et magnifiquement belle ? Chaque petit mot entrecoupé de doux baisers. Cette femme … Cette femme dégage un truc que les autres n'ont pas. Elle fait brûler notre flamme. Et on ne souhaite que jamais elle ne s'éteigne.

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" Celui qui de gaieté de cœur va au-devant de la tentation, s'est d'avance arrangé à l'amiable avec l'idée de faillir."

Le jeu se fait plus intense. Liant habillement la douceur et la sauvagerie. Tu te fais plus tigresse contre le corps de Jeff. Augmenter le feu au creux de ses reins comme il augmente le feu au creux des tiens, c’est ton seul but à présent. Tout ce que tu désires c’est le sentir s’abandonner. Le sentir se livrer sans aucune retenue au plaisir. L’ivresse se fait plus puissante, presque incendiaire. Chaque baiser, chaque caresse appellent la suivante avec plus d’insolence. Tu regoutes à la saveur de lui remettre une fessé. Tu as vu à quel point cela l’avait émoustillé. Alors tu recommences pour le pousser d’avantage dans l’abandon. Vos lèvres se retrouvent dans un baiser plus ardant alors que ta main s’abat encore une fois contre sa chair brulante. Tes lèvres glissent contre son cou, tu mordilles son lobe d’oreille avant de murmurer. « Oui cela m’excite de te mettre une fessé .. c’est même grisant .. enivrant. » Tu joues avec le son de ta voix alors que ta langue chatouille habillement sa peau salée. Tu grognerais presque de plaisir à cet instant. Son bassin se fait plus pressant contre le tien. Et tu te laisses emporter. Il prend possession de ton corps avec hardiesse. Et tes lèvres. Et des doigts. Marquent d’avantage sa peau. Comme tu marquerais un territoire. Attention chasse gardée. L’envie vous étreint ravageant vos corps de sa folie. Tout devient plus intense. Vos souffles. Vos gémissements. Vos battements de cœur. Vos dansez l’un contre l’autre avec une harmonie parfaite. Vous brulez ensemble et les notes se font plus troublantes. Plus percutantes. Jeff réclame un baiser et tu lui offres avec plus de passion. Ivre de cet instant délicieux qui se fait plus charnel. Tu cherches d’avantage le contact. C’est comme si tu voulais fusionner avec lui. Plus de séparation même pas infime. Juste vos corps enlacés. Entremêlés. Juste comme si vous ne formiez qu’un. Et tout chavire. Et tu chavires. Emporter par un incendie ravageur. Dévastateur. Des doigts se font plus fermes sur sa chair. Tes lèvres plus affamées contre les siennes. Tu trembles. Tu brules. Et dans cette folie sans fin Jeff te rejoint. Liant vos corps d’avantage. Liant vos âmes et vos cœurs. Un accord sans fausse note. Et le trouble se fait accompagnant avec douceur ce moment d’abandon. Tu restes contre lui. Le souffle court. Le cœur au bord des lèvres. Les yeux brillant d’une flamme insoumise. Chamboulé par ce débordement de sensations extrêmes et puissantes. Tu n’as pas envie qui s’échappe. Mais tu le sens se séparer de toi. Tu soupires encore ivre de cette joute exquise. « Ce n’est pas difficile .. tu es un amant délicieux. » Et bien plus que ça, vu la manière dont Jeff te perturbe. Tu ne peux ignorer que cela va au-delà du charnel entre vous. Même si tu le gardes pour toi. Trop tôt. Trop peur. Tu veux y aller pas à pas et profiter de chaque seconde. De chaque émotion. Pour vivre la suivante avec plus de force. Et l’instant se fait plus tendre. Les baisers plus doux et langoureux. Les caresses plus fragiles. Tu restes fébrile contre lui. Reprenant doucement un rythme normal. Mais ayant encore les entrailles brulantes de la passion que vous avez partagé. Tu aimes quand Jeff s’attarde de cette manière quand il retrouve ta peau avec lenteur prenant plus soin des parcelles de chair légèrement oublié dans votre joute. Tu te laisses envahir par cette plénitude qui te gagne. Et qui risque fort de rester graver sur ton corps et ton âme, tout au long de ta journée. « J’aime quand tu t’attardes sur mon corps après l’amour. » Tu lui souris. Alors que tes doigts glissent sur sa peau. Tu cherches encore quelques frissons. Tu viens câliner ses fesses que tu as maltraité. Mais au final c’était pour la bonne cause. Ton regard retrouve le sien. « Non je ne crois pas. » Tu le taquines avec tendresse. De toute façon tu adores ça. Puis tu retrouves ses lèvres avec douceur. Tout contre elles tu murmures. « Tu peux le dire mille fois je ne m’en lasse pas. » Tu resterais bien là toute la journée. Mais le temps s’égraine et tu te doutes que cet instant va prendre fin à un moment ou à un autre. « En tout cas vous pouvez revenir quand vous voulez monsieur le pompier. Vous êtes un maitre pour éteindre les incendies. » Tu le regardes avec malice. « Enfin surtout ceux que vous avez volontairement déclenché. Mon corps va bruler tout l’après midi en repensant à votre jeu de hanche. C’était torride et terriblement exquis. » Tes lèvres s’enivrent encore de sa peau. « Tu veux prendre une douche avant de m’abandonner ou tu préfères garder l’odeur de mon corps sur le tien. Histoire de t’émoustiller pour tout le reste de la journée. » Tu descends du meuble mais tu restes coller contre Jeff. Jouant habillement de tes atouts contre lui. Tu cherches à le troubler jusqu’au bout. Sadique non. Mais au final c'est peut être toi que tu troubles plus que lui.

good vibes.

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Ces fessées nous donne des coups de sang. Des coups de chaud. Une excitation palpable. Une tension charnelle entre nos corps et l'envie de plus, de toujours plus. Eilynn joue de sa voix comme elle sait si bien le faire. Et notre corps redouble de passion. Pour plus d'ivresse. Nos doigts, nos lèvres, notre regard errent et caressent sa chair. Continue … Un murmure presque sauvage. Venu du fond de nos entrailles. Du fond de notre tête. De notre coeur. Continue tout. Continue de nous embrasser. Continue de nous accompagner de ton bassin. Continue de nous rendre brûlant. Brûleur. Et on s'abandonne peu à peu à elle. A nous. Notre bras presse son bassin contre le nôtre. De l'autre nous enlaçons son dos, caressant sa nuque. Eilynn en fait de même et le feu brûle. Brûle toujours plus. Le partage est plus fort que tout. Nos chaleurs. Nos envies. Nos souffles. Nos râles. Nos battements de coeur. Nos baisers. Eilynn s'agrippe et s'abandonne au plus beau, au plus intense des plaisirs et nous la rejoignons. L'union plus fusionnelle et passionnelle que jamais. Oublié les petites phrases tentatrices. Les petites sauvageries. Le silence n'est rompu que par nos gémissements. Nos peaux qui claquent l'une contre l'autre. Nos lèvres qui bécotent les siennes pour un ultime baiser. Et toute cette tension, toute ce désir insatiable, ce feu insoutenable disparaît peu à peu. Laissant derrière eux les braises qui brûlent d'un feu plus profond. Un feu invisible mais pourtant bien présent. Elle aime cette passion chez nous. Cette passion qui semble encore plus forte après l'union que pendant ou avant. Cette complicité. Ces mots échangés. Je crois qu'on s'est plutôt bien choisis alors … Notre voix est calme. Comme apaisée. On respire encore assez lourdement après cet échange sulfureux. Ce qui ne nous empêche pas de l'embrasser. De mille et une façon. Des petits baisers du bout des lèvres. Ou des baisers un soupçon plus envieux. Des baisers qui scellent ses lippes. Ou qui se laissent capturer par les siennes. On aime prolonger cet instant après l'amour. S'embrasser pour parfaire l'échange. Il en va de même pour Eilynn. Ce corps qui fait vibrer le nôtre. On descend délicatement la main et on passe sur le côté de sa poitrine. Effleurant presque timidement son sein du bout de nos doigts. On abaisse les yeux pour regarder nos gestes. Regarder son buste. Dont on vient parsemer le dessus de baisers alors qu'Eilynn s'attarde sur cette partie de notre corps qui nous a donné beaucoup d'émotions aujourd'hui. Et on aime qu'elle nous caresse comme elle le fait. Qu'elle ne soit pas timide à le faire. Qu'elle prenne un plaisir simple dans ce geste en rien vulgaire et beaucoup plus complice qu'il n'y paraît. C'est à peine si j'ai eu le temps de pouvoir te regarder … On relève les yeux et on se perd dans son regard. On cite ces petits mots qui la définissent si bien. Tout en continuant de goûter de ses lèvres. Elle se fait taquine. Ce qu'on aime chez elle. Elle semble en redemander. Et on cède à ses envies. Un grand sourire sur notre visage, nous reprenons pour quelques mots. Et pour autant de petits baisers. Et gourmande … Taquine … Irrésistible … Femme … Le dernier mot est prononcé presque inaudiblement. Un simple murmure. Une caresse sur ses lèvres. On reviendra un jour en pompier. Pour quelque chose d'autre. Quoi encore ? On ne le sait pas. Mais ça risque d'être tout aussi grisant et enivrant qu'aujourd'hui. Avec plaisir mademoiselle … Quant au fait que je l'ai « volontairement » déclenché, je crois savoir que vous y êtes également pour quelque chose … Mais ne vous inquiétez pas. Tout cela restera entre nous. Ravie que cela vous ait autant plu … Je risque fort de continuer à brûler moi aussi. L'échange ne se fait pas que par les mots. Il se passe aussi par les regards. Les gestes. Les soupirs. Nos mains qui ne souhaitent quitter sa peau. Ses lèvres qui continuent de nous effleurer, de nous faire frémir. On se recule quelque peu pour la laisser descendre. Elle se colle tout contre nous et on aime ce contact. On aime ressentir chacune de ses formes, de ses courbes tout contre notre torse, notre bassin. Une douche ? Pourquoi pas. On a le temps. Mais la deuxième option est tellement … Je n'ai pas de mots … J'aurais bien dit oui directement au premier choix mais le second me semble tellement plus plaisant. Que pour pouvoir fermer les yeux. On clôt les paupières et on inspire doucement. Emplissant pleinement nos poumons. Te sentir … Et te ressentir … Comme si tu étais à un cheveu de moi … Notre visage est proche du sien. Et à l'aveugle, nous avançons un peu plus nos lèvres. A un souffle … Et nous l'embrassons une nouvelle fois. Avec passion. Caressant tendrement son corps. Oh je veux pouvoir garder cette odeur sur moi. Ce n'est pas très hygiénique … On rouvre les yeux. On joue avec ses lèvres, avec notre nez sur le sien. Dis ? … Je sais que tu bosses très tard ce soir mais … Et si tu revenais passer la nuit chez moi ? Je laisserais la porte ouverte. T'auras qu'à refermer derrière toi. Faire une petite caresse à Splash s'il vient t'ennuyer et puis … Tu prends ta douche si tu le souhaites, tu bois un verre d'eau et tu reviens me rejoindre au lit ? Juste … On lui prend délicatement ses doigts que l'on pose sur sa visage. Sentir ta main sur ma joue … On lui vole un baiser. Tes lèvres sur les siennes … Me rendormir et pouvoir me réveiller avec toi à mes côtés … Dit oui Eilynn. Notre regard ne s'est pas détourné du sien. On a le coeur qui bat. Si seulement on pouvait passer la journée comme ça là. Dans ses bras.

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