Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: I want something just like this - Itandro Lun 21 Aoû 2017 - 19:33
Il est ton roi, ital. C'est ton existence pour graviter intégralement autour de la sienne. Respect et bienveillance, lorsque tu t'adresses à lui. Rarement un mot plus haut que l'autre. C'est la fierté dans le regard, l'admiration qui ouvertement, s'abandonne, que tu ne cherches, désormais plus à dissimuler. C'est ta fierté qui s'amenuise à mesure que tu l’idolâtres. L'aimer démesurément. Te soumettre de toi-même à chacune de ses exigences, le minimum que tu puisses modestement lui accorder. Sauvage ital, presque schizophrène, l'attitude terriblement versatile. Froideur déconcertante d'autrui que manifestement, tu méprises. Tous ceux dont tu n'entends absolument rien des réprimandes qui te sont faites. Discipline à laquelle tu t'opposerais presque injustement. ital qui papillonne, dont l'arrogance ne demeure dorénavant, que plus insultante. L'attitude pour relativement engendrer le conflit. Contradiction presque aberrante de démarches péniblement inverses. Farouche et indomptable aux yeux de tous, l’égoïsme qui prend aux tripes. C'est l'obéissance que tu lui accordes délibérément, les circonstances qui finalement, n'en demeurent que plus accessibles, aujourd'hui. Les malentendus que tu cherches visiblement à éviter, rarement un mot plus haut que l'autre, lorsque tu accuses finalement le coup. Le dévouement qui n'est dorénavant plus à démontrer. Ton cœur dont les battements n'ont jamais été aussi irréguliers qu'en sa présence. Premier amour, soumission d'une histoire pour laquelle tu serais prête à littéralement te damner. Son bonheur pour relativement engendrer le tien, espérer inlassablement t'améliorer d'une perfection que tu n'atteindras éventuellement jamais. Tu veux qu'il sache ital, qu'il te remémore bêtement à quel point sans lui, tu n'es rien, sauveur de tes jours, autrefois assombris d'addictions désespérément mortelles. Ton unique dépendance qui désormais, arbore fièrement son nom. C'est l'enfant qui précipitamment s'exécute, irréprochable d'exigences que tu aspires à combler, aussitôt ses mots prononcés. C'est également la femme que tu deviens, une fois logée au creux de ses bras, là où rien ne saurait suffisamment t'affecter. L'aimer de craintes que tu juges préférable de détourner, le souvenir seulement glaçant de cet homme au visage horriblement tuméfié, cloison de ton logement comme un vestige foncièrement indélébile. Rester au détriment d'une psychose parfois, grandissante. Violence contre laquelle tu ne peux tristement rien. Sujet souvent délaissé que tu n'abordes quasiment jamais. Mutisme quant à cette animosité que tu ne comprends pas. La peur inévitable de demeurer à l'avenir, la cible privilégiée de ses débordements. Daigner essentiellement, de malentendus dont tu voudrais éternellement te délecter. Résolutions multiples pour lesquelles il obtient étonnamment tous les droits, l'opposition que tu ne marques dorénavant plus. Alejandro pour t'extraire à lui seul, de démesures désespérément macabres, c'est l’entièreté de ton existence que tu lui dois, en retour. L'école de police que tu n'aurais jamais intégré sans son accord, son approbation que tu sollicites constamment. Poupée blonde, façonnée progressivement à son image, pour tenter chaque jour de se rapprocher modestement d'un idéal qui substitue avant tout, le sien. Tu lui appartiens ital, les promesses sur lesquelles tu tires injustement un trait. Prétendre naïvement qu'aucun de vous, ne changera l'autre. Déclarations dans le vide, pas un seul de vous deux, qui ne soit aujourd'hui resté le même. T'as jamais envisagé au préalable de ramper lamentablement jusqu'à lui, de le laisser volontairement t'atteindre d'une riposte clairement inexistante. Pantin désarticulé dont il a dorénavant, le contrôle. Tu veux qu'il t'impose des limites ital, toutes celles que tu n'as jamais honoré durant ton adolescence. Qu'il te remémore combien, tes choix ne dépendent pas seulement de toi. T'adoucir davantage, d'une sagesse qui ne crible apparemment que lui. Lui octroyer toutes les raisons du monde de se suffire exclusivement de toi. Famille dont tu ne parles habituellement jamais, ton cœur qui se serre d'un sujet dont tu préférais certainement te délecter. Tu as honte ital, l'abandon d'une mère terriblement démissionnaire pour directement te coller à la peau. Les stigmates du passé, manifestés tardivement d'une bouteille à la main. Les non-dits que tu as trop longtemps gardé pour toi, que tu ne parviens plus nécessairement à préserver de ses propres suspicions. C'est difficile, presque frustrant. Cette femme dont tu ne sais absolument rien, grossière pétasse de bas étage, ayant égoïstement ruiné ton enfance de son ingratitude. Ital, trop peu démonstrative parfois, redouter que son bonheur ne soit qu'éphémère, précurseur peut-être, d'un récent abandon. T'exempter à présent, de ce poids qui pèse trop lourd pour toi. Les gestes qui rassurent, l'échange que tu prolonges à mesure que ta main, resserre instantanément son étreinte à hauteur de ses reins. Ses confidences pour faire inlassablement écho jusqu'à toi, que tu acquiesces aussitôt d'un vague mouvement de tête. Ta famille qu'il devient, celle que tu t'efforces d'élaborer de toi-même. Une vie d'adulte à laquelle tu n'avais pas véritablement songé avant lui. La peluche blanche qui soudainement se manifeste, sourire qui précipitamment, se creuse. Son approbation que tu attends pour finalement, regagner votre logement. Ses lèvres que tu recouvres aussitôt, avant de tracer le chemin à sens inverse. Ta miniature que tu espères notamment ménager, dont tu peines visiblement à te défaire. Demain, tu t'empresseras de la choyer d'affaires simplement inutiles, cocon protecteur dans laquelle tu viendras vivement l'envelopper. Le sommeil pour l'emporter dans son élan, alors que tu tiens éventuellement à bannir ses premiers pleurs d'un environnement qui lui est pour l'instant, totalement méconnu. Sa main que tu viens immédiatement saisir, Alejandro auquel tu refuses rarement la moindre faveur. Se joindre naturellement à sa course, avant que ton corps ne regagne hâtivement le canapé. La télé comme vulgaire bruissement de fond, dont tu sembles ouvertement te désintéresser. Le regard pour longuement s'éterniser sur son visage, l'enfant qui détaille, manifestement apaisé dans les bras de plus grand que soi. ─ c'est grâce à toi. je te dois tout. Murmure à peine audible, tendresse de confidences qui se succèdent. ─ toute ma vie t'appartient, maintenant al'. t'es l'addiction qui supplante toutes les autres. sans toi, j'ignore où je serais, aujourd'hui. Tu souffles. C'est pas tous les jours que tu daignes une sincérité identique. Sa main que tu viens bêtement capturer de la tienne, son pousse que tu coinces sensuellement entre tes dents, le sourire qui relativement l'accompagne. Complicité qui s'accentue à mesure que tu tentes de t'en rapprocher. Te redresser à peine, pour radicalement recouvrer ses lèvres, auxquelles tu ne laisses visiblement, aucun répit. Tu l'aimes ital, ça crève les yeux. Les promesses des mois passées, qui ne sont maintenant, qu'un lointain souvenir.
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Sujet: Re: I want something just like this - Itandro Lun 21 Aoû 2017 - 22:06
❝I want something just like this❞ ALEJANDRO & ITAL
Unique et dernier amour, pas une ne pouvant la remplacer à l’avenir, pas une que je désire comme je la désire. Ital comme seul point de repère dans cette nouvelle ville et dans ma vie entière à vrai dire. Passé que j’essaye de lui cacher pour justement préserver notre relation qui me tient bien trop à cœur le dégout et la déception que je ne souhaite surtout pas occasionner chez elle et comment cela peut ne pas être le cas alors que je suis le premier à être déçu de moi, à avoir honte de mon enfance, de ce qu’il m’est arrivé. Ce regard brillant et plein d’espoir que je ne souhaite pas briser à cause de tout cela, mon père que je ne laisserai pas ruiner ma vie une seconde fois et la sienne par ailleurs que je ne veux pas démolir involontairement. Egoïste personnifié que je deviens à ses côtés mais c’est pour la bonne cause je suppose, ou du moins en ce qui me concerne car je ne veux pas la perdre tout simplement en lui imposant quelque chose d’aussi difficile à avaler, que je n’ai d’ailleurs toujours pas digéré en vingt ans d’existence. Relation certes imprévu mais que je ne souhaite pas bazarder comme si de rien était, cette dernière me tenant bien trop à cœur, perdre Ital signifiant perdre une partie de moi si ce n’est la totalité car elle est mon tout. L’aimer au-delà des limites du raisonnable, sacrifiant tout sur mon passage afin de la rendre heureuse, fière. Mon comportement n’étant pas encore tout à fait parfait bien que je fasse de mon mieux pour éviter au maximum les prises de têtes même si par moment elles sont tout simplement inévitables. Me détester cependant toujours pour tous ces mots que j’ai pu lui dire par le passé lors de nos prises de becs mais aussi regretter ce jour ou j’ai tout bonnement perdu le contrôle de moi-même, faisant perdre dans le même temps un part d’Ital. Son regard choqué que j’aurais pour toujours gravé dans mon esprit et elle à l’inverse qui retiendra uniquement la tête de cet homme ainsi que mes mains maculés de son sang ainsi que mon regard inanimé. J’ai beau essayer de changer tout ce que je veux elle aura toujours cette crainte de moi, je vais simplement devoir vivre avec ça aussi difficile que ça puisse l’être pour moi. La combler de cadeau comme ce chien pour lui faire plaisir et aussi dans l’espoir de la rassurer dans un sens. Cette sortie d’ailleurs en compagnie de notre nouvelle colocataire à quatre pattes qui se veut de bonne augure alors que l’on parle de choses et d’autres et notamment de son enfance. Je l’écoute attentivement et essaye de la rassurer en lui expliquant que je suis sa famille aujourd’hui ainsi que cette jolie petite peluche blanche et qu’elle n’a pas de soucis à se faire, nous n’allons pas l’abandonner comme ce fut le cas avec sa mère. Appartement que l’on retrouve quelques minutes plus tard après qu’elle se soit d’autant plus ouverte à moi me faisant réaliser certaine chose par la même occasion. Notre jolie boule de poil que je dépose sur un oreiller qui va faire office de tapis pour la nuit avant que l’on aille chercher tout ce qu’il lui faut demain. Petit moment complice que l’on passe avec cette dernière avant qu’elle ne s’endorme pour nous laisser alors seul, d’où ma proposition pour rejoindre le canapé auprès d’Ital qu’elle accepte. La télévision étant allumée mais qui clairement ne m’est d’aucune utilité car mes yeux sont uniquement captivé par ceux de la jolie blonde se trouvant sur moi. Ma fierté que je remballe le temps d’un instant pour lui faire part de mes sentiments, de ce qu’elle représente pour moi mais aussi à quel point je suis fier d’elle, de sa reconversion et de sa volonté à réussir. Ses mots m’allant droit au cœur mais que je ne peux approuver alors que je viens remuer la tête de gauche à droite frottant volontairement mon nez à celui de cette dernière tout en lui souriant « Non c’est pas vrai Ital. Tout ça c’est grâce à toi. Ce que tu es devenue c’est grâce à toi. Je t’ai aidé peut être, j’ai été une source de motivation pour toi peut être, mais tu as fait tout cela et non moi donc toute la gloire te reviens » Je l’embrasse tendrement alors qu’elle poursuit et que je l’écoute attentivement tout en sentant mon corps réagir, mes tripes se retournant, mon cœur se serrant longuement et mes joues se roser sans que je n’y puisse rien. « Sans moi ta vie aurait sans doute été meilleur. Tu aurais trouvé quelqu’un de bien moins compliqué, quelqu’un sachant te rendre pleinement heureuse, quelqu’un de mieux tout simplement et ça ce n’est pas bien compliqué à trouver … Quelqu’un de moins violent … » Ma tête que je baisse alors qu’elle se met à mordre mon pouce, tandis que je place l’un de mes bras autour d’elle pour la serrer contre moi. Ses lèvres pour machinalement recouvrer les miennes alors que je ne peux m’empêcher de répondre à cette sollicitation « Je te souhaite quelqu’un de mieux que moi, mais je ne peux juste pas te laisser partir. Sans toi je ne suis rien et c’est peu de le dire » Mon cœur battant la chamade alors que mon regard croise de nouveau le sien caressant de nouveau sa joue à l’aide de mon pouce, mes lèvres que je presse de nouveau sur les siennes que je ne peux sentir éloigner trop longtemps. Ital pour tout simplement être mon addiction, sa présence dont je ne peux me passer, plus rien ne compte actuellement si ce n’est elle. Mon monde se résumant à son unique personne malgré tous les mannequins que je peux croiser et avec qui je peux poser. Message que je reçois mais que je ne regarde pas, mon portable s’allumant affichant le joli visage de l’israélienne, cette dernière me suivant jusque dans mon cellulaire puisqu’il se trouve qu’elle est mon fond d’écran. « On part quand en Israël Ital ? Tu préviens ton père avant ou tu veux lui faire la surprise ? » La surprise étant une bonne option, mais le choix que je ne souhaite pas lui imposer car quel qu’il en soit je resterai avec elle et je serais content
Sujet: Re: I want something just like this - Itandro Mer 23 Aoû 2017 - 12:08
T'es dans ton monde ital. Trop loin de tous ces gens dont tu sembles manifestement te désintéresser. C'est ta vie, elle semble un peu différente, dernièrement. Miami ta destructrice, vodka ta favorite. C'est terminé, tu sais d'avance que tu n'y retourneras, désormais plus. Certainement pas de ta propre volonté. L'alcool que tu laisses foncièrement de côté, dont tu tentes de brider l'influence terriblement néfaste qui te colle à la peau. Tant de ces récipients en verre, pour avoir cessé de joncher lamentablement les meubles de ton logement. Tu fais plus ce que tu veux ital, les décisions dont tu n'as plus entièrement l'exclusivité. Pas uniquement les cloisons de ta bulle minimaliste, c'est également la sienne aujourd'hui. Un ailleurs, dorénavant synonyme d'une existence à remanier. C'est l'addiction quasi inexistante, supplantée d'une autre, davantage rationnelle. C'pas toujours d'une facilité déconcertante ital, parfois le manque insoutenable que tu cherches désespérément à combler, autrement. Dépendance particulièrement démesurée, dont tu voudrais éventuellement te délecter. Souffrance d'un manque qui terriblement s'aggrave, dont tu n'abordes relativement jamais le sujet. T'es pas désireuse d'engendrer le conflit ital, tu aurais trop à perdre, à présent. Alejandro pour lequel tu pourrais ouvertement te damner, que tu refuses de voir s'éloigner au détriment de ce liquide faussement salvateur. Ton roi, poupée blonde qui s'abaisse et rampe docilement jusqu'à lui. Pantin désarticulé dont il tire naturellement les ficelles. Figure d'autorité qu'il devient lorsque sensiblement, tu t'égares. Te donner, pleinement, délibérément assujettie à un seul homme. Les limites que tu n'as encore jamais honoré avant les siennes, son approbation que tu sollicites manifestement de résolutions dont tu préfères clairement te soustraire. Il est l'adulte, tu demeures simplement, l'enfant. Une autonomie qui délibérément s'amenuise à mesure que tu lui octroies un rôle, qui ne devrait pas lui appartenir. Sobriété nouvelle pour aussitôt refléter ta lâcheté. La crainte encore jamais évoquée, de subsister accessoirement à ses yeux, une proie privilégiée quant à cette violence qui assurément te terrifie. Pourtant, t'en es consciente ital, tu restes possiblement la dernière personne sur laquelle il lèvera la main, peu importe les circonstances. L'aimer finalement, autant que tu le crains, vodka qui cruellement te manque, lorsqu'il s'agit bêtement d'assumer les répercussions de tes absurdités. Malentendus que tu ne cherches plus à occasionner, dont tu viens logiquement te dérober. L’idolâtrer suffisamment désormais, pour demeurer habile de silence lorsqu'il t'incrimine de préjudices, auxquels tu te soumets sans réellement t'y opposer. Gamine apparemment obéissante, pour s’acquitter automatiquement de sa sanction. Chercher par conséquent à te faire immédiatement pardonner, ta dignité sur laquelle tu tires aussitôt un trait. ital, systématiquement responsable des heurts qui brusquement surviennent, lorsque tu t'y attends le moins. L'alcool, autrefois, comme un grossier exutoire à l'origine de méprises succinctes. Dorénavant, c'est à ses propres exigences que tu espères idéalement te soumettre, non à ce liquide lourdement destructeur auquel tu ne touches quasiment plus. Reconnaissance éternelle, sauveur de tes précédentes années tristement défoncées à coup de bouteilles à la main. Alejandro pour t'extraire globalement de ce fossé pharamineux dans lequel tu t'es toi-même vautrée. Demeurer résolument là où d'autres n'auraient pas hésité à déserter. Ta famille qu'il devient, jamais tu ne l'aurais cru, avant. Son existence toute entière, pour faire à présent, écho à la sienne. L'enfance dont tu ne sais rien, l'ignorance du bout des lèvres. Mensonge qu'il ajuste à sa convenance, contre ta propre volonté. Confidences dont il préfère désespérément t'épargner, franchise qu'il juge visiblement préférable de ne pas t'accorder. Tu ignores à quel point, cette mise en retrait, s'avérait susceptible de t'affecter à l'avenir. Tu aurais trop peur qu'il ne t'aime pas suffisamment de névroses qu'il ne partage pas, les tiennes qui ne sont cependant, plus un secret pour lui. Remontrances d'une crédulité jamais daigné. Tu espères seulement, tu n'imagines relativement pas la probabilité de confessions venant d'un autre, t'es pas convaincue à l'idée de pouvoir le supporter. T'es naïve ital, le doute rarement répandu quant à son vécu. Parfaite idiote pour bêtement s'exposer, tout juste sous ses yeux. Alejandro pour seul repère, davantage, depuis votre départ de Miami. Sans lui, tu n'aurais accessoirement aucune raison de rester plus longtemps, au détriment d'un pays qui n'est pas le tien. Tendresse d'un instant, propice à l'affection. Lui témoigner enfin d'une reconnaissance que tu ne parviens pas nécessairement à lui exprimer. Te plier constamment à ses volontés, ne subsistant pas forcément synonyme de gratitude à long terme. C'est l'écran de télévision qui s'anime dans le vide, bruissement de fond auquel tu n'accordes manifestement aucun intérêt. Ton visage à hauteur du sien, les murmures à peine audible. Tu souris, acquiesce vaguement d'un mouvement de tête, les mots auxquels tu ne crois pas, modestie humblement mal placée. Tu n'iras pas jusqu'à le contredire, toutefois, tu n'en penses pas moins ital. L'échange que tu prolonges aussitôt, dont tu peines ouvertement à te défaire. Pour rien au monde tu ne viendrais à l'échanger, mieux que jamais, tu ne trouveras. Cette même violence, qui ne t'éloignera pas d'un Alejandro que tu idolâtres. ─ c'est faux. sans toi, j'aurais pas pu m'en sortir. tu le sais al'. je ne pourrai jamais être plus heureuse, que ce que je le suis actuellement, en étant avec toi. Son pouce que tu coinces entre tes dents, l'enfant au reflet mutin. Tu l'aimes tellement ital. Tu pourrais, cent fois le lui remémorer, sans jamais te lasser. Des heures entières que tu pourrais consumer positionnée ainsi. Ses bras, dans lesquels, rien ne saurait t'atteindre, Alejandro restant dorénavant, le seul à pouvoir t’affecter au détour de quelques mots, seulement. ─ je ne veux pas que tu me laisses partir. tu souffles. Tu l'envisages plus, ta vie sans lui. Le perdre, reviendrait à tout perdre. Un monde qui s'effondre, le tien, précisément. Ton corps pour réagir instantanément à la moindre de ses caresses, ton cœur aux battements vivement irréguliers. Dépendance nouvelle, à laquelle tu t'accroches, davantage qu'aux précédentes, sur laquelle tu refuses de faire une croix. Tes lèvres pour recouvrer précipitamment les siennes, quelques secondes, durant lesquelles tu oublies tout. Son écran de téléphone pour s'illuminer devant toi, le regard aussitôt suspicieux, d'une jalousie que tu peines relativement à dissimuler. Pas une remarque que tu viennes lui adresser quant à ce message qui déjà te dérange. ─ je me disais qu'on pourrait faire ça, lorsque tu auras quelques jours. je peux toujours me débrouiller me concernant. je suppose que lui faire la surprise serait une bonne chose. il adorait te rencontrer. Tu dis, les mots pour se relayer dans une direction, l'attention dans l'autre. Téléphone à l'effet terriblement perturbateur, le sourire que tu tentes naïvement d'arborer. Le regard que tu détournes momentanément sur ta peluche blanche, qui ne semble quant à elle, pas véritablement s’interroger quant à autrui, l'entourant.
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Sujet: Re: I want something just like this - Itandro Mer 23 Aoû 2017 - 18:42
❝I want something just like this❞ ALEJANDRO & ITAL
Ma vie se trouvant lier à la sienne à jamais et ce quoiqu’il arrive. La jolie blonde que j’ai dans la peau, dans le cœur, dont je ne peux simplement pas me passer. Son absence que je ne supporte pas, les journées se trouvant longue lorsqu’elle n’est pas là, le soir que j’attends avec impatience pour pouvoir la retrouver et la sentir contre moi de nouveau. Ma vie de célibataire étant loin derrière moi. Autrefois je pensais pour moi mais aujourd’hui je le fais pour deux et même uniquement pour une car je ne peux rien lui refuser et je ne veux rien lui refuser. Je ne suis pas le plus doué pour les attentions, les preuves d’amour c’est vrai mais je fais de mon mieux et j’y mets tout mon cœur afin de la rendre heureuse car aujourd’hui c’est la seule chose qui compte pour moi. Demain je pourrais attraper n’importe quelle merde que je ne ferais rien pour que ça s’arrange alors que si ça lui arrive je remuerai des montagnes pour trouver une solution et faire en sorte qu’elle en soit guéri. Ma vie n’ayant plus d’intérêt sans elle, Ital pour faire partie de mon monde et même être l’entièreté de mon monde. Enfoiré sautant sur tout ce qui bouge étant devenu bien plus sage et calme, me contentant uniquement et largement d’elle. Pas une pour l’égaler, Ital l’indétrônable. Princesse de mon royaume, souveraine de mon cœur. Ses bras pour me calmer, ses baisers dont je peux difficilement me délecter, sa présence m’étant nécessaire, son corps contre le mien pour me faire indéniablement réagir et faire battre mon cœur bien plus irrégulièrement. Son baiser que je n’ai de cesse de prolonger tout en l’accompagnant de douce caresse à hauteur de sa joue. Son être tout entier pour me rendre fier, de ce que je suis devenu, de ce que nous avons accompli, rien que je ne pouvais espérer de mieux qu’elle. Personne pour me rendre aussi heureux, pour avoir autant d’effet sur moi, me dérégler comme on peut le faire avec un pendule. L’amour que j’éprouve n’étant clairement plus à prouver, cette dernière étant au courant de mes sentiments. Première femme à qui je me suis dévoilé, pour qui j’ai ressenti autant de chose et unique femme que j’ai aimé tout simplement. Cependant alors que l’on parle de notre passé en commun je lui avoue qu’elle n’aurait pas de mal à trouver mieux que moi et qu’elle est devenue qui elle est grâce à son unique volonté. Ses mots m’allant droit au cœur et me faisant rater un battement de nouveau alors que je l’embrasse tendrement « Je t’aime Ital .. » Ces quatre mots que je n’ai eu de cesse de répéter depuis mon arrivée dans l’appartement à la jolie blonde mais ce n’est pas grave, je ne peux m’empêcher de le faire car c’est la réalité «Tu es ce qui m’est arrivé de mieux dans la vie. » Mon pouce qu’elle saisit entre ses dents alors que je la regarde tout en souriant, ses petits moments que j’affectionne tout particulièrement. Ses confidences et surtout sa demande m’allant droit au cœur le faisant totalement exploser devant tant de mignonnerie « Je te laisserai pas partir … je ne le veux pas, mais ne pars pas Ital … » La jolie blonde comme faiblesse, son départ rimant forcément avec le mien. Pilier qu’elle est, ma vie devenant bancale et sans le moindre intérêt sans elle. La voir partir avec un autre homme pour me détruire sans le moindre doute. Mais cela que je ne veux pas imaginer, ses lèvres pour de nouveau me transporter et me combler de bonheur alors que je prolonge de bon cœur. Mon portable annonçant le message de mon boss mais que je ne regarde pas car je suis avec Ital et qu’elle passe avant tout. Son regard que je vois biffurquer vers ce dernier pour me faire sourire. Jalousie que je comprends et que je ressens tout autant à l’inverse. Le voyage à Nazareth que l’on évoque de nouveau plus concrètement. « Justement j’ai une bonne semaine devant moi et comme les cours ne reprennent pas tout de suite on peut y aller là si tu veux. Je pense aussi que c’est mieux de lui faire la surprise et j’espère qu’il va m’aimer … » Je la vois encore un peu troubler par mon message et je rigole tout en l’embrassant tendrement « Regarde mon message Columbo» Je rigole tout en caressant son visage angélique « Normalement ça doit être mon manager » La laisser le saisir et déposer son pouce pour le déverrouiller. Son empreinte digitale étant enregistrée dans ce dernier, n’ayant rien à lui cacher cette dernière comme seule échappatoire. L’aimer à être un autre homme, celui qu’elle veut que je sois