Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller
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Sujet: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Jeu 20 Juil 2017 - 6:28
ELEANOR & COLE – FLASHBACK
Sydney, juillet 2010
J’avais pris l’avion des Etats-Unis jusqu’en Australie afin d’y rejoindre ma sœur et ma maman pendant mes vacances. Mon père m'avait laissé un peu d’argent de poche, mais afin d’en avoir encore plus j'avais décidé de chercher encore un petit travaille là-bas. J'atterrissais à l’aéroport de Sydney, là où je logeais les deux semaines à venir avant de me rendre à Bowen, un peu plus au sud du pays. Le voyage m'avait fatigué, séché tout à fait. Je me rendais à l’hôtel où j’avais réservé ma chambre, pas très loin de mon lieu de travail. Après m, être installé et avoir rangé mes vêtements dans la penderie, m’être un peu rafraîchis, j’allais me promener un peu à l’extérieur du bâtiment, allant reconnaître les lieux et la ville, mais avant tout mon nouveau lieu de travail afin de savoir où il se trouve demain. En rentrant dans l’établissement, mes yeux tombaient sur un jolie jeune femme, un peu plus âgé que toi, cheveux bruns, pas très grande, du moins en me comparant à elle. Je pénétrais le magasin, achetant quelques bouteilles d’ice tea, sans bulles, bien évidemment. Les bulles dans l’ice tea, je trouve ça dégoûtant, immonde mais surtout imbuvable. Sur mon chemin, je croisais quelques confiseries, je prenais un sachet de dragibus, un autre de fraise tagada et des lacets colorés. Je prenais aussi quelques tablettes de chocolat et me dirigeais ensuit vers la caisse avec un panier bien plein. Je ne comptais pas trop manger sachant que l’heures tourne et que le restaurant de l’hôtel allait ouvrir. « Bonjour. » Je lui souriais poliment et enchaînais. « Je cherche le patron, enfin plutôt à avoir des informations. Je suis l’étudiant qui commence demain. Celui qui vient de New-York. » Je quittais le magasin en retournant vers mon hôtel afin d’aller manger un morceau, me préparer à sortir et ensuite aller me reposer pour être en forme demain.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Jeu 20 Juil 2017 - 9:48
Le départ de Sydney pour Bowen n'avait pas été des plus simples pour Eleanor. Entre le fait de quitter la ville qu'elle connaissait depuis plus de 20 ans signifiait entre autre quitter certes ses parents - pas le pire pour elle, encore moins ses soeurs - mais aussi et surtout ses amis et le confort de vie qu'elle pouvait avoir là bas. Parce que même si le stage quel avait trouvé au cabinet Delacroix allait lui apporter un peu d'argent, ce n'était pas suffisant pour vivre d'où la nécessité de prendre un job en supplément. Le seul qui avait pu correspondre à ses horaires de boulot obligatoires c'était le supermarché. Pas forcément quelque chose qui lui plaisait, mais son premier moi à temps plein avant de commencer son stage s'était bien déroulé et lui avait permis de trouver un certain équilibre et de voir un peu la population qu'elle pouvait trouver à Bowen. Cet après-midi, elle devait s'occuper de la caisse. Ce qu'elle préfèrait, parce que ça lui permettait de voir du monde et de parler pour la fille sociable qu'elle était. Un jeune garçon arriva les bras chargé de cochonneries. Mais de trucs hypers bon si on ne faisait pas trop attention à sa ligne ou alors pour un petit cheat meal. « Bonjour, t'as trouvé ton bonheur à ce que je vois. » Elle ne pouvait s'empêcher de faire un petit commentaire pour chacun des clients. Sauf que celui ci n'était pas comme les autres, c'était même son futur collègue. « Ah oui je vois, on m'en a parlé toute à l'heure. » Et comme c'était la dernière arrivée, c'était son rôle de former le suivant. « C'est même moi qui aurait l'honneur de te former ! » Le patron n'étant pas là, et prenant son rôle à coeur malgré tout, elle jeta un oeil sur la file de gens qui était amassés à sa caisse.« Ce soir ça va être compliqué mais viens demain un peu plus tôt, je t'expliquerais tout ce que tu voudras savoir. » Il accepta et elle finit sa journée tranquillement à sa caisse, bien crevée comme tous les soirs. Le lendemain matin, comme prévu, le mystèrieux américain attendait devant le magasin. Eleanor arrivant vers lui toute souriante à l'idée de ne pas commencer la journée seule. « Hey ! Alors, t'es prêt à en baver ? »
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Jeu 20 Juil 2017 - 16:05
ELEANOR & COLE – FLASHBACK
Sydney, juillet 2010
Driiiiing, driiiiind, driiing. L’alarme de mon téléphonne sonnait à 07:00 tapante histoire de me donner encore le temps de prendre une douche, manger un petit déjeuner que propose l’hôtel, ensuite de me brosser et pour finir cette préparation de m’habiller comme il se doit. Bon, bien que dans les contrats que le patron m’avait fait parvenir par mail, il demandait des habits corrects à l’image de l’établissement, j’avais pris plusieurs shorts et t-shirt dans ma valise que de costume ou pantalon habillé. Après cela ne doit pas être bien grave, en voyant la caissière d’hier, je me dis que je ne pouvais pas plus mal tomber. « Hey ! Alors, t'es prêt à en baver ? » Me disait-elle. Bon, je ne suis pas venu ici pour souffrir, okay ? Non, juste venu ici pour travailler. J'aurais largement espéré de ne pas devoir à faire ça, mais bon, ce n’est que bénéfique pour toi. Depuis, hier, je savais qu’elle allait me former, j’ai plutôt de la chance sur le coup, j’aurais pu tomber avec bien pire que ça. Je n’ai pas de tout le droit de me plaindre. Je la trouves attirante, reste à voir si le caractère suit son physique. « Salut. Prêt à en baver. Mais sois gentille, non ? J’suis sûr qu’une si jolie demoiselle l’est. » J'affiche un petit sourire en coin.
Personne d’autre que s'est rendu au point de rendez-vous du personnel, vous allez donc travailler seul et tenir le supermarché seul. Après, il n’est pas bien grand, et puis même, tant mieux, je pourrais faire sa connaissance. « Moi, bah moi, c’est moi, j’suis Cole, j’ai 16 ans, j’viens tout droit de New-York et je suis ici pour travailler deux semaines avec vous, sinon je suis en visite chez ma mère et ma sœur. » Bon, ça s'est fait, je me suis présenté. Elle aussi allait sûrement le faire. « Qu’attendez-vous de moi, là? Que puis-je faire pour me rendre utile ? » Bon, là à première vue rien, à part lui débarrasser de son sac à main pour qu’elle puisse ouvrir la porte. Ton portable tombait de ta poche à cause du vibreur de notification. « Putain. » L’écran se brisait et se fissurait de partout. Bon, je vais devoir m’en acheter un nouveau, des frais en plus, cool. Bon après, maman va peut-être t’en offrir un, mais comme elle n’a pas le compte en banque aussi garni que celui de papa ça m’étonnerais. Je la suivais dans le magasin, prêt à écouter toutes ses explications et de faire mon travail comme il se doit afin de ne pas la décevoir à elle, ni le patron. « Et sinon ? On est vraiment seul ? » La question me démangeait depuis pas mal de temps, fallait que je la pose.
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Cole Headland le Sam 22 Juil 2017 - 7:24, édité 1 fois
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Sam 22 Juil 2017 - 3:09
Avec les vacances, les effectifs du petit supermarché étaient réduits d'où la nécessité d'embaucher du monde supplémentaire. Pourtant, Eleanor était étonnée que ce soir un si jeune garçon qui ai eu le poste. Il devait être à peine majeur. Enfin tant mieux pour lui, ça devait lui faire une sacré opportunité de se faire de l'argent pour les vacances. En tout cas à son âge elle aurait bien aimé pouvoir le faire. En tout cas il avait l'air amusant. Ou en tout cas avec de la répartie. Un bon point pour qu'ils s'entendent. « Oh mais ça c'est toi qui le dit. On verra si tu tiendras encore le même discours ce soir après la fermeture avec une journée dans les pattes. » Parce qu'il ne fallait pas se voiler la face, ça restait plutôt crevant comme job. Pendant qu'il se présentait, Eleanor commença à ouvrir le rideau de fer pour rentrer dans le magasin. Comme elle s'en était doutée, il était bien plus jeune qu'elle, de six ans son cadet. « Et moi c'est Eleanor mais tu peux m'appeller Ele. Ca fait un mois que bosse là mais comme tu vois, ils me font déjà confiance. Alors comme t'es sous ma responsabilité, t'as pas intérêt à déconner. » Elle était un peu directe, mais c'était aussi son esprit de compétition qui parlait. Parce qu'au fond d'elle elle aimerait bien gagner le grade d'employé du mois mais surtout la jolie prime qui allait avec. Et là le drâme, le téléphone de Cole tombe par terre et l'écran se brise. Eleanor ne pu s'empêcher de rire devant le désarroi du petit américain. « Et bien j'espère que tu seras moins maladroit avec la marchandise ! » Parce que bien sûr ça lui retomberait dessus. Quoiqu'au départ, elle n'était pas forcément des plus douées non plus. Elle se dirigea vers le vestiaire, Cole toujours sur ses talons. Et sa question amusa Eleanor qui accrochait sa veste et son sac au mur. « Oui, on n'aura du renfort qu'en fin de matinée. Pourquoi ? T'as peur que je te saute dessus ? » C'était Eleanor toute crachée, directe. Peut être trop.
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Sam 22 Juil 2017 - 4:00
ELEANOR & COLE – FLASHBACK
Sydney, juillet 2010
J’étais motivé à l’idée de travailler avec elle, elle avait l’air sympathique, amusant et surtout joli. À première vue, elle était la personne qui allait me former durant ce mois, enfin si j’ai bien compris et j’en demandais confirmation pour être sûr. « Donc.. Si je comprends bien, c’est avec vous que je vais passer plus de 35 heures semaines ? » Après, c’est loin d’être déplaisant, j’aurais pu tomber sur une vieille femme qui n’a pas le temps ni la patience de ‘m'expliquer le job comme il se doit. Eléanor paraît motivée à le faire. Le seul truc qui à l’air motivant, c’est qu'elle m’affirme qu’après une journée de travail, on se sent fatigué, après je veux bien le croire, il ne faut pas sous-estimer se travaille. Lorsque mon portable tombait au sol et se fissure devant elle, elle en riait, bon, ça s'est fait. Mais au moins, je sais qu'en tous les cas, j'en aurais un nouveau dans les jours à venir, sûrement à ton retour à New-York, sauf si maman te l’offre. Elle espérait que j’allais être moins maladroit avec la marchandise. Je me vois déjà faire tomber une palette d’œufs, je vois déjà les jaunes et les blancs au sol, à mes pieds. Mais bon oublions ça, je ne vais rien faire tomber ni casser durant ces quinze jours. Le renfort allait arriver en fin de journée, dans l’après-midi. C'est à ce moment-là qu’elle me questionnait sur le fait que j’ai peur qu’elle me saute dessus. Ce genre de sujet ne me faisait pas peur, mais rire. Bien que je n’ai encore aucune expérience avec les filles, je savais comment cela se passait. Après, entre nous, qu’elle me saute dessus ne me déranger pas du tout, je trouverais ça même plutôt.. Flattant. « Peur ? Du tout. Cela ne me déplairait pas. Tu n'es pas moche, faut l’avouer. » Lui disais-je sur un ton sûr de moi. La franchise, dire les choses comme je le pense et le ressens étaient un de mes défauts, mais en même temps l'une de mes qualités. Je suis honnête, franc et fière de l'être. Je déteste les serpents, enfin, ceux qui essaient d’esquiver les sujets tels qu’ils le sont. « Bon, que puis-je faire pour vous ? Pour me rendre utile ? » Je sentais le travaille arriver et j’étais prêt, motivé !
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Cole Headland le Sam 22 Juil 2017 - 7:25, édité 1 fois
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Sam 22 Juil 2017 - 6:04
Il avait l'air bien sympathique ce petit américain.« Oh mais t'inquiètes pas tu seras bien trop occupé pour te rendre compte que tu bosses avec moi. » Et à vrai dire, même si elle apprécierait de travailler avec quelqu'un, l'avoir h24 collé à ses basques ça ne plairait pas à Eleanor bien longtemps. Et puis il ne fallait pas oublier qu'ils étaient là pour bosser, pas pour se faire des amis. Arrivés dans le vestiaire, la plaisanterie un peu osée d'Eleanor sembla plutôt bien passer auprès du jeune Cole. Ce qui décrocha un sourire à la jolie brune. « C'est flatteur mais t'attends pas à ce que ce soit le cas. T'es ma mon genre, t'es un peu jeune mon coco. » Du moins pas pour tout de suite. Parce qu'il fallait avouer qu'Eleanor adorait les hommes, et elle ne faisait pas la difficile d'habitude. Mais mélanger job et sexe en ajoutant le fait qu'il s'agisse d'un mineur, cela ne faisait pas partie du crédo d'Eleanor. En tout cas, elle appréciait sa franchise. « Attends un peu, soit pas si pressé voyons. On aura largement le temps de décharger les palettes avant que ça ouvre ! » Surtout que sans tenue, ils ne pourraient rien faire. Machinalement elle retira son t-shirt, pas du tout pudique, se retrouvant en soutien-gorge devant le jeune garçon. Mais ce n'était rien pour Eleanor qui n'avait pas froid aux yeux. « Oh mais attend, il te faut un t-shirt de la boutique, t'en as pas eu ? » demanda-t-elle en posant ses mains sur ses hanches en réflechissant où elle pourrait lui en trouver un. Sans attendre sa réponse, elle fouilla dans un placard et extirpa un t-shirt au nom de l'entreprise. « Bon tiens, c'est peut être un peu petit mais ça fera ressortir tes muscles. Enfin si t'en as assez pour ça. » C'était son truc de lancer ce genre de piques. C'était pas méchant et cela ne se voulait pas comme tel mais refletant simplement le caractère d'Eleanor. Explosif. Elle finit par remarquer les regards un peu génés de Cole sur sa poitrine. « Et mais c'est pas écrit regardez moi tu sais... » finit-elle par dire en enfilant finalement son propre t-shirt. Ils étaient enfin près à y aller.
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Sam 22 Juil 2017 - 6:30
ELEANOR & COLE – FLASHBACK
Sydney, juillet 2010
Je sentais que cette journée de travail allait être une vraie partie de plaisir. Suite à sa plaisanterie, je n’hésitais pas à répliquer d’une manière assez enthousiaste, mais surtout franche. À ce moment-là qu’elle, me disais que je n’étais pas son genre et que je ne devais pas m’attendre à ce genre de réaction de sa part. Je gardais le sourire malgré tout, après tout ; je plaisantais quand même. D’après la jolie brune, nous avons encore assez de temps devant nous pour décharger les palettes qui sont arrivées cette nuit avant que les portes automatiques du magasin s’ouvrent. Dans le vestiaire, elle enlevait son t-shirt laissant sa poitrine à nue, enfin presque, il ne restait plus que son soutien-gorge. C’est là qu’elle se souvenait que je n’avais pas encore de t-shirt et me demandais si le patron ne m’avait encore rien donné. J’étais quand même gêné, pas que la vue de sa poitrine me dérange, bien au contraire, mais quand même. Je ne trouvais plus mes mots, je ne savais pas lui répondre. Heureusement que bien avant d’avoir eu ma réponse elle est aller m’en chercher un. « Bon tiens, c'est peut-être un peu petit, mais ça fera ressortir tes muscles. Enfin si t'en as assez pour ça. » Je prenais le t-shirt rouge qu’Eleanor me tendait, lui souriais sans dire un mot. Mon corps, c’est ma fierté après tout. Je passe la plupart de mon temps à la salle de musculation à New-York depuis plus de 3 ans maintenant suit à un conseil de mon père. Lorsque j'avais 13 ans, j’étais un peu plus ballonné, du coup, il m’a offert une carte pour aller à la salle de musculation et depuis, c’est devenu une passion. J’enlevais mon t-shirt, laissant place à un torse lisse, sans poils, mais musclés de partout. Les abdominaux, la poitrine, et même le dos. « Alors ? Un commentaire ? » Je lui lançais un sourire narquois. Elle prenait son temps, elle était encore là, en soutien. Moi, en tant que vrai homme, bah, je jette un coup d'œil de temps à autre, puis, comment ne pas laisser ses yeux tomber sur cette femme-là ? Faut le dire, elle à un très beau corps, de la tête au pied. Elle remarquait que tes yeux restaient figés sur sa poitrine. « Et mais c'est pas écrit regardez moi, tu sais... » Elle n’a pas tord, mais bon, je suis un homme. « J'ai eu des yeux pour regarder ce qui me plaît. » Un rire s'échappa et j'enchaînais. « En plus, je te l’ai dit, t’es pas moche. Autant que j’en profite. Tu fais ça tous les matin? » En cas de réponse positive, je risques de venir avec un grand sourire tous les matins.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Lun 24 Juil 2017 - 7:26
En lui tendant son t-shirt, Eleanor y avait été un peut-être été un peu fort en le piquant sur sa musculature. Parce qu'il fallait avouer qu'il était plutôt pas mal foutu pour un ado de seize ans. Il fallait avouer qu'en général c'est pas à cet âge là mais un peu plus tard que les garçons commencaient à faire attention à leur musculature. Ou en tout cas, ça avait été le cas pour ceux qu'Eleanor avait cotoyé. Mais ça, elle pouvait seulement le deviner sous le t-shirt qu'il avait déjà. Parce qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'il réagisse au quart de tour et se retrouve torse nu aussi vite qu'elle l'avait fait elle même. Et il fallait avouer qu'il n'avait rien à envier aux hommes de l'âge d'Eleanor. En tout cas, elle adorait cette répartie. « Bon ok, je dis rien. » Mais son sourire trahissait tout sans doute. « Bon allez, enfile ce t-shirt. » Mais elle n'était pas la seule à laisser ses yeux trainer un peu trop longtemps. Et elle n'hésita pas à en faire la remarque à Cole. Elle restait sa supérieure hiérarchique malgré tout. « Vas y c'est ça, fait le malin tant que les patrons sont pas là. » Mais il n'avait pas tord, elle l'avait bien cherché. « Rêve pas, c'est simplement pour te faire croire que t'as fait le bon choix en venant travailler là. » Parce qu'à force de discuter ils allaient vraiment finir par se mettre en retard. Elle éteint la lumière des vestiaires et se dirigea Cole sur ses talons dans l'arrière boutique histoire de sortir les palettes avant de les dispatcher dans le magasin. « Bon du coup comme je te forme, je donne les ordres tu portes, ça te va ? » Bien sûr ce n'était pas ce qu'elle allait faire, mais ça l'amusait de continuer à jouer sur ce terrain avec le petit stagiaire. « Tu m'as dis que t'avais des muscles, montre moi que tu sais t'en servir. »
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Lun 24 Juil 2017 - 8:09
ELEANOR & COLE – FLASHBACK
Sydney, juillet 2010
Bien que je rigolais, elle me donnait raison en quelques sortes sur ma musculature. Il est vrai que j’en suis très fière, mais après, je trouve ça naturelle de prendre soin de soi. Après m’avoir fait remarqué que mes yeux traînaient sur son corps, elle n'hésite pas à me prévenir pour la suite en quelques sortes. Que je devais profiter de pouvoir faire le malin, comme nous le faisons tant que les patrons ne sont pas là. Je hochais la tête, sans réponse, après, elle n’avait pas tord, c’est un lieu de travail et pas un parc aquatique ou quoi que ce soit. Je sentais qu’avec elle, je pourrais bien m’entendre, rigoler quand il le faut et s’amuser. « Rêve pas, c'est simplement pour te faire croire que t'as fait le bon choix en venant travailler là. » Sa remarque me faisait rire et je ne pouvais pas m’empêcher de répliquer dessus. Bien entendu, je ne faisais que plaisanter, je ne pensais presque aucun de mes mots. « Bon bah écoute.. Si elles sont toutes comme toi.. Je crois demander un contrat sans date de fin. » Je passais une main dans mes cheveux avant de la suivre vers les palettes de marchandises. Elle disait que vue qu’elle me formait, je devais porter et lui prouver que je sais me servir de mes muscles. Je ne réagissais pas, je me contentais de travailler, par simple respect envers elle qui prend de son temps de travail pour me former. Je la voyais que même elle se mettait à prendre des boîtes en main. JE les posait dans les rayons indiqués, je faisais ce que je pensais, espère que je ne me trompe pas et ne porte pas tout ça pour rien. La journée passait assez vite, il venu l’heure de la pause presque. Je me demandais ce que tu pourrais bien faire et ou trouver un truc à manger. « Par contre, juste une question, tu ne connais pas un petit coin assez sympa où je pourrais aller manger un morceau durant la pause ? Car ce n’est pas New-York ici. »
Je terminais de vider la dernière palette avant de retourner mettre un t-shirt convenable pour aller déjeuner. « Alors satisfaite, chef ? » Je me mettais à rigoler bêtement, mais au moins il y avait une bonne entente, mais surtout de la bonne humeur entre nous. J’aimais la titiller de temps en temps, sans en abuser. Ce que j’aime le plus dans ce job, c’est surtout le contact avec les clients, ils sont autres qu’à New-York ici, ils sont plus détendus. Après, c’est vrai que chez-moi, en ville il y a tellement de monde que ça me stresse à moi aussi.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Mer 26 Juil 2017 - 9:54
Après le petit jeu avant l'ouverture, la matinée avait filé comme l'éclair. A croire que tout le monde s'était donné le mot pour venir faire ses courses ce matin. Finalement, la présence de Cole l'avait bien aidée. Et même si du renfort était venu au court de la matinée, sans Cole, ça aurait été beaucoup plus le bazar. Alors même si elle aurait préféré aller faire quelques emplettes entre midi plutôt que de prendre le temps de déjeuner, elle ne pouvait laisser Cole tout seul dans cette ville assez inconnue pour lui. Quoique venant de New York comme il venait de lui rappeller une fois de plus, il ne serait pas perdu ici à Bowen. Alors elle allait lui proposer de venir manger avec lui s'il était d'accord. « Tu sous-entends que Bowen ne saurait pas t'offrir de bons endroits pour manger pas cher ? Grave erreur. » Elle soupira en rangeant quelques boites de pâtes mal rangées. « Rejoins moi à la pause de midi, je t'emmènerais dans un endroit sympa. » Ils avaient beaucoup de chance que le magasin ferme entre midi. Ca leur permettait d'avoir une bonne heure de pause et le temps d'aller manger un peu plus loin que dans la boulangerie du coin. Comme prévu, Cole l'attendait déjà changé. Ce qui n'était pas le cas d'Eleanor. « Bouge pas j'arrive. » Elle s'empressa d'aller faire pareil mais en trainant beaucoup moins que le matin même. « Allez, on y va ou tu vas rester là sans bouger ? » En tout cas à sa place, elle aurait apprécié que quelqu'un s'occupe d'elle comme ça si elle a avait tenté un petit boulot loin de chez elle. Ils finirent par arriver dans une petite rue devant un restaurant méxicain. Pas typique mais tellement bon selon Eleanor. Et puis, cela rappelait ses originies avec la jolie brune. Ils finirent par s'asseoir dans un coin tranquille et le serveur vient prendre leur commande.« Bon alors pas trop déçu de l'endroit j'espère ? »
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller Mer 26 Juil 2017 - 10:59
ELEANOR & COLE – FLASHBACK
Sydney, juillet 2010
Ma journée se déroulait vraiment bien, j’aimais ce que je faisais et surtout les personnes avec qui je travaillais. Ce n'était vraiment pas très dur comme job, mais j’avais de la chance que du renfort était arrivé. Elle m’avait clairement proposé de déjeuner ensemble ce midi, après, je n’avais aucun droit de refuser, surtout que j’aimerais la remercier de son aide, de son accueil. À première vue, on ne la qualifierait pas d’être si chaleureuse et accueillante mais plutôt hautaine, prétentieuse et j’en passe. À midi, j’étais prêt, prêt à partir, contrairement à la jolie brune qui elle devait encore se changer. Chose qu’elle faisait rapidement. Je restais la clouer au sol, sans bouger, un moment de vide. Elle me sortait de mes pensées en me demandant si je comptais rester là où bouger avec elle. « Merci. » Lui disais-je tout simplement en chemin. Je la regardais et poursuivais. « Merci à toi de donner de ton temps libre, à former quelqu’un comme moi.. » Un jour, mon père m’avait dit qu’avec le respect, on allait partout. Jusqu’à là, il ne sait jamais tromper. Nous arrivons devant un restaurant mexicain, t’aimais ça, en plus à New-York, j’en trouve de moins en moins. Lorsque le serveur arrivait, je commandais ma boisson, je comptais bien invité ma patronne aujourd’hui, pour notre première journée ensemble, en plus ce n’est pas toi qui payes, mais papa ! « Tu prends quelques choses à boire ? » Le serveur s’en allait chercher notre commande. J’avais oublié de lui dire qu’il fallait des glaçons dans mon ice-tea, il faisait tellement chaud en Australie. « Tu viens d’ici, toi ? » Bête question peut-être, mais j’aimerais savoir. Le serveur déposait nos verres sur la table, j’avais soif, mais surtout faim suit à ces heures de travail en compagnie d’Eleanor. Je me demandais à quoi allait ressembler l’après-midi, surtout après ce que j’ai vu ce matin, il y avait tellement de monde, tellement de question venant des clients que je ne savais plus ou en donner de la tête.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: FB: J'ai fantasmé pour combler les lacunes de mon existence, compris quece, compris que l'être humain peut faire de grands rêves sur un petit oreiller
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