(aisling) pure decontraction

Aisling éclata de rire à son stratagème. Comment manger gratuitement selon Orson. Ca ferait sans doute un très beau livre. Elle secoua néanmoins la tête en soupirant doucement.

-Je ne suis tout de même pas si désespérée, je ne vais pas voler de la bouffe chez les mecs avec qui je couche.

Il y avait les femmes désespérées pour trouver un homme, puis celle pour trouver de la bouffe. Chacun ses problèmes dans la vie.

Après la course poursuite, Aisling se retrouva prisonnière sur le lit. Elle fronça les sourcils alors qu'il lui déclarait vouloir faire du rodéo. Elle ne comprit pas jusqu'à ce qu'il commence à la chatouiller.

-Aaaah arrête ça !

Elle commença alors à se tortiller, essayant de fuir ses doigts. Elle agita ses pieds, lui donnant les coups en espérant l'envoyer voler assez loin pour qu'elle puisse s'enfuir.

Il est vrai qu'Orson avait plusieurs stratagèmes pour manger gratuitement chez ses conquêtes. Mais il ne les utilisait pas si souvent que ça, à vrai dire, il n'en avait pas besoin. Parfois, il allait juste se nourrir chez son cousin. « T'as qu'à te trouver un cousin qui a un mec cuisinier, tu verras, c'est le pied. »

S'en suivit une course poursuite à travers la maison, et Orson réussit à emprisonner Aisling sur le lit de la chambre. Il la prévint de ses futurs actes puis se mit à la chatouiller en riant comme un con alors qu'elle se débattait pour le faire dégager. Mais un de ses coups de pied atterrit dans le ventre de l'écrivain et il se recula, les bras autour de son ventre. « Aouch !! Tu m'as fait mal, putain ! » Il se laissa tomber sur le lit en grimaçant, faisant même une moue adorablement triste. « T'es pas gentille, je t'offre à manger et à fumer et toi tu me cognes, je vais pleurer. »