time for explanations...

Cette relation que t'entretenais avec l'actuelle Miss Bowen, Freja te perturbais, tu ne savais pas où t'en étais, ce que ton cœur voulais. Enfin maintenant si, tu le sais, mais ne sais pas ce qu'il en est pour elle. T'espères au plus profond de toi que vous êtes encore sur la même longueur d'onde, surtout après cette rumeur qui court, cette rumeur qui risque de pimenter votre relation. T'as fauté, c'est vrai, t'as couché avec cette fille, Tamsin, tu t'en veux, mais t'en avais besoin, besoin de voir si tu évoquais des remords envers Freja, et tu as ta réponse, une triste réponse, tu ne croyais pas que tu t'y attacherais un jour, surtout en connaissant la réputation qu'elle a à Bowen, freja c'est toi au féminin, Fréjà est libre, tu es libre mais là tu te sens mal, tu ne sais pas comme la prendre, elle nie tes appels depuis plusieurs jours maintenant, t'en avais marre, marre de son ignorance, tu allais jusqu'à chez elle, quittant ton cabinet quelques heures à l'avance, Freja était devenue bien plus importante que ça. Tu arrivais devant la porte, tu frappais sèchement, pris de colère, mais de tristesse, tu ne savais pas comment la saluer, tu te contentais simplement de retenir la porte avec qu'elle ne te la ferme au nez en te voyant. Attends. Tu poussais la porte, rentrais dans l'appartement ne lui déposant aucun baiser comme t'aurais fais y a une semaine de ça, car oui, depuis que vous avez couché dans ton cabinet, tu as découvert certains sentiments caché à son égard. La rumeur, elle dit vrai. Mais ne crois pas que, enfin, crois ce que tu veux... Disais-tu désespérer. Je te dois des explication, comme je te l'ai dit avant de débarquer ici. Tu lui montrais ton portable, lui prouvant que t'as envoyer un SMS il y a quelques minutes de ça. En chemin, t'as dû te prendre quelques amendes, mais tu t'en fiche. Si j'ai fait ça... Tu fût coupé par le manque d'excuse si tu as fait ça, c'est, car t'avais tes raisons et lui dire serait se foutre d'elle, mais tu veux être honnête avec elle, tu veux lui dire à quel point elle compte pour toi.

Les sentiments que tu ressens au plus profond de toi te font peur, bien plus qu'ils ne t'attirent, toi, Eden, l'homme à femmes, le sale nom que tu t'es fait ici à Bowen durant toutes ces années est en traîne de s'envoler. Mais non, au fond, tu te sens soulager que ce soit tomber sur elle, tu es soulagé que tout ça tombe sur Freja et pas une autre; Je sais ça paraît fou. Mais je me suis follement attaché à une Norvégienne, environs 24 ans, que je vois assez souvent, de plus en plu même. Oui, oui, tu décrivais Freja là. Comme tu le dis si bien, c'est fou, surtout que t'es aller voir si l'herbe était plus verte ailleurs, mais tu t'en veux tellement. Tu n'as aucune excuse, tu la fais, tu le regrettes et tu devras encaisser la colère de la jolie brune. J'avais besoin d'évaluer mes sentiments envers toi. Et puis... non rien. La porte s'agrandissait, tu n'étais pas attendu ici, mais tu savais comment retourner la situation. Et sinon, moi, j'ai le droit de t'en vouloir aussi? tu te dirigeais vers la porte, espérant qu'elle te retienne malgré tout, après ça ne doit être qu'une colère de passage, rien de plus, le lien qui vous unis est trop fort que pour se briser pour une bêtise de ce genre et comme elle le mentionnait, vous n'êtes pas mariés. T'attrapes cette fameuse porte, prenant sa main afin de ne pas la blesser et la refermais d'un coup brusque. Maintenant, tu m'écoutes. Si j'ai fait ça, c'est, car je voulais en être sûr. C'est tout. On est pas marié, tu la dis. Si j'ai accepté au cabinet, c'est que tu n'es pas un simple coup d'un soir. Si j'ai remis le couvert, c'est que tu vaux encore plus. Mais pour moi, tu n'es pas un objet sexuel de qui j'ai besoin, si je veux m'envoyer en l'air, y'a des femmes qui courent les rues. Toi t'es spéciale, t'es unique. Bref. Tu t'arrêtais histoire de baisser de ton, tu ne voulais pas crier si fort, mais t'en avais marre de tourner en rond. Calmons nous. Tu t'avançais d'elle, bien que tu craignais d'être refoulé ou même te prendre une gifle que tu ne l'auras pas volé, mais au moins t'es content, tu lui à dit, une chose que tu n'as jamais fait, elle a réussi à faire de toi un homme, un vrai et t'as fais découvrir un nouveau sentiment, un sentiment que t'ignorais sûrement, l'affection pour une personne. Toi qui d'habitudes rejette tout le monde.

Il est vrai que d'habitude, tu n'auras pas dit le trois quart de ce que tu viens de lui dire. Tu te sens faible, tu te sens mal, tu ne connais pas ce sentiment que les sensibles appellent 'L'amour', tu en as peur, tu ne sais pas quoi dire ou même pas comment agir, tu te contentais juste d'agripper sa main, de la serrer dans la tienne. Tu ne peux pas t'en empêcher de ressentir un contact physique avec elle t'aime ça, c'est doux, agréable, tu l'écoutais attentivement, décrivant ce qu'elle ressent à son tour, t'es tétaniser rien qu'en l'entendant parler de ses sentiments, elle commençait par un simple sujet, parlant d'elle à la première personne, mais tu n'en connaîtras pas directement la suite, car elle te reprend sur le fait de pourquoi, tu pourrais lui en vouloir à ton tour. T'y réfléchissais même pas, tant que nous y sommes, autant percer l'abcès, clarifier les choses. Vu qu'il faut croire tout ce que disent les journalistes de ce blog. Je dois en penser quoi moi que tu couches avec moi en ayant des sentiments pour ton meilleur ami ? Je t'apprécie pour ce que tu es, pas pour ton corps que tu me donnes. C'est ta mentalité que j'aime, pas ce qui se cache sous tes vêtements Freja. Car oui, tu en as lu des vertes et des pas mûres à son propos, mais contrairement à elle, tu fais la part des choses et tu préfères avoir ta vision des choses, si tu dois en croire les rumeurs qui courent sur elle, Freja est une salope, Freja est ci, Freja est ça.. Mais tu t'en fiche Freja est ce qu'elle est, ce que tu connais et c'est ce que t'aimes chez elle. Vous êtes pareil, c'est indéniable, tu te sens bien avec elle. Vous étiez aussi doué l'un que l'autre quand il s'agit de s'expliquer, elle trouve le fait de te donner de l'importance assez agréable, ça t'affiche un sourire sur un visage crispé, un visage fâché, en colère de sa réaction, c'est vrai que dans n'importe quelle relation il y a des haut et des bas, mais là, c'est injustifié, ce ne sont que des blabla d'un bête magazine racontant ce qu'il veut. Tu as réussi, tu la fais, t'assumes et t'en porteras les conséquences, tu avais tes raisons, vous n'êtes pas ensemble et tu n'as aucun compte à lui rendre. Tu relâchais sa main, un peu déçu, mais content de ne pas être seule dans cette impasse. On s'était promis que du sexe toi et moi.. Tu soufflais un coup, tournais en rond dans ce hall, ne sachant pas quoi faire ni dire, tu l'écoutes remuer le couteau dans la plaie disant qu'elle n'accepte pas le fait que t'ailles voir à chaque porte si c'est mieux là-bas, tu souris, un sourire à la con s'affichais sur ton visage. Puis-je considérer ça comme de la jalousie ?Tu t'approchais d'elle, l'attrapais par les hanches et déposais un baiser sur ses lèvres, quitte à t'en ramasser une. T’attrapais la poignée de la porte que t'ouvrais, t'avais besoin d'air, besoin de respirer, car encore, là, t'as agi comme un con, pourquoi l'embrasser alors que tu sais que tu veux, c'est fuir. Tu ne peux t'en vouloir qu'à toi-même, tu sortais du domicile, il faisait clairement plus frais à l'extérieur. Je crois que.. Tu marquais une courte pause, la gorge noué, c'était le bordel dans ta tête, une chose que tu n'avais jamais eu par le passer, une chose qu'aucune femme ai réussis à faire jusqu'à présent. ... On n'a plus rien à se dire ? Et tu sais qu'au fond de toi, tu veux rester avec elle, la serrer dans tes bras, t'espère qu'elle te retiendras, qu'elle voudras te croire, revoir le bon côté des chose, ton bon côté.

Sa réaction confirmait les rumeurs, confirmait tes paroles, elle entretenair bien une drôle de relation avec ce fameux Woody que tu ne connais point. Mais tu t'en fiche, elle n'a aucun compte à te rendre, vous n'êtes pas ensemble. Tu te mettais en question, le temps de réfléchir, le temps de penser à ne pas sortir une connerie, mais c'est trop tard, tu parles de sexe, de vos promesses, mais elle le prend bien, te disant ne pas savoir ce qui nous prends, parlant de nous deux en général, tu as peur, peur d'être dans cette impasse, qu'elle t'abandonne en court de route et brises les liens qui vous tiennent encore l'un à l'autre. Tu te mettais en question, le temps de réfléchir à ne pas sortir une connerie, mais c'est trop tard, tu parles de sexe, de vos promesses, mais elle le prend bien, te disant ne pas savoir ce qui nous prends, parlant de nous deux en général, tu as peur d'être dans une impasse, qu'elle t'abandonnes en court de route et brises les liens qui vous tiennent encore l'un à l'autre. J'ai peur, Freja, peur d'être seul dans cette histoire, peur de te perdre, je ne sais pas ce qui me prends aujourd'hui. Si seulement tu savais.. tu n'as pas la force de poursuivre, tu voulais lui parler des remords que t'as eu, de la mal-aisance que tu ressentais à chaque coup de reins offert à tes conquêtes, et tu ne préfère pas lui en parler en fait, tu ne veux pas lui remettre ça sous le nez, tu ne veux pas qu'elle en souffre, qu'elle te crains, que tu la répugnes. T'attrapais cette clinche, tu te sens mal, tu veux de l'air, tu veux respirer, t'angoisse, les bouffés de chaleur, tu en as besoin, tu as besoin d'aller faire un tour, ton pied à peine poser sur la première marche que sa douce voix t'interpellais, te disant que ça ne servait à rien de prendre la fuite, une incompréhension, suit à tes paroles qui sont suivies d'un acte stupide, des actes que tu risques de regretter plus tard si tu ne te rétractes pas. Que veux-tu entendre de plus Freja? Je t'ai tout dis. Enfin, tu aura essayer, mais tu n'es pas le genre de mec qui lui criera sur tout les toit, t'es discret, tu ne sais m'aime pas comment prononcer ses quelques lettres, tu t'en veux de plus en plus, tu veux éviter qu'elle se sente mal par rapport à toi, t'attrapes main la tirant immédiatement vers toi en repoussant la porte, une porte que tu laissais entre-ouverte, posant ton front contre le sien, remettant ses cheveux en place. C'est fou c'que t'es sexy quand tu t'énerves... Disais-tu suivis d'un large sourire, car oui, tu ne pouvais pas lui en vouloir, tu te rappel cette discussion que tu as eu avec Howard récemment, cette discussion où il te disait de foncer, que l'amour n'était pas une maladie. Tu ne te reconnais plus, tu n'as pas pour habitude de t'attacher à tes coup d'une soirs, sauf les meilleurs comme elle t'avais dit lors de sa visite à ton cabinet. J'ai peur d'être seul dans cette histoire. Plongeant ton regard dans le sien, tes mains se déplaçaient, partant de son dos pour finalement se poser sur son fessier. Et si on se trompait depuis le début.. ? Questionnais-tu en parlant du fait que vous n'étiez peut-être pas destiné a rester de simple amis comme un ami proche te l'avais suggérer?

Jamais, jamais tu n'as osé dire ce que tu as dit à cette jeune femme. Tu t'en es rendu mal, tu en es mal, tu as peur Eden. Rien que de savoir que tu rendras certainement une femme comme elle malheureuse un jour, si ça aboutis te rend mal, elle ne mérite pas ça, elle mérite tellement lieu, mais c'est plus fort que toi, tu la désires, tu désires plus que du physique avec elle. Ô Eden, seul toi contrôle ton cœur, tes émotions et tu en deviens mal, tu as la tête qui tourne suite à sa prise de parole, ce qui n'est pas de ton genre, d'habitude, tu es sûr de toi, tu es à l'aise avec les femmes telle que Freja. Tu clignais des yeux à deux reprises quand elle t'annonçait que t'allais sûrement être seul dans tout ça, elle ne se sentait pas prête pour ça, du moins pas pour le moment, mais tu ne peux lui donner que raison, tu n'es ps un homme a fréquenter, ta réputation te précède, Eden. Tu prenais la porte, après qu'elle t'est t'ai que ça serait mieux d'y aller, mais tu refuses, tu poses ton front contre le sien, synonyme d'un moment de complicité à tes yeux, un des rares moments où tu es sincère, avant ça y avait Eden, avant ça y avait déjà Freja, avant ça y avait déjà Freja et Eden, mais il n'y avait aucune sincérité, seulement de l'attirance physique. Ses paroles te touchent, ses paroles te font plaisir, tes paroles te rende mal, encore plus mal, surtout en apprenant qu'elle ne peut pas te promettre une histoire qui se finira bien. Je vous vivre le moment présent avec toi, bien que j'en ai peur, je veux t'avoir à mes côtés. Ta voix se serre, ta voix tremble, mais ta voix est sincère, ce qui une nouvelle chose pour toi. À tes yeux, les femmes ne sont que des objets, à tes yeux se sont des jouet d'un soir que tu ne connaîtra plus le lendemain, à tes yeux les femmes ne sont qu'une source de plaisir. Tes lèvres rejoignaient les siennes durant seulement quelques secondes. Puis-je? Tu penses te tromper au fond, la peur parle pour toi, tu penses qu'au fond ce n'est que de l'attirance physique et que c'est passif, mais tu ne sais pas ce que tu ressens en fait, t'es perdu Eden. J'espère ne pas me tromper, j'espère ne pas avoir fait tout ça pour rien.

Tu prenais du recul en toi-même, tu en avais besoin au fond et ce qu'elle te dis te fais du bien malgré tout, au fond de toi, tu brûles, tu brûles d'envie d'être un homme, un vrai, être un homme qui assume ce qu'il pourrait ressentir, un homme qui sait ce qu'est l'amour ou les sentiments, t'aimerais être cet homme qui possède un cœur à la place d'un cerveau qui s'obstine a ne pas vouloir des femmes. Un homme venait s'incruster à votre conversation, tu lui jetais un regard des plus noir, tu te doutais de qui il était, Freja a dû t'en parler vaguement de ce fameux co-locataire avec qui elle vie, il vous regardait comme des animaux, tels qu'un enfant au zoo avec son paquet de chips en mains, affaler dans son canapé. Freja lui faisait rapidement remarquer que sa présence gêne, au fond, t'aurais aimer répliquer mais ça serait mal placé, c'est toi qui t'es pointé chez lui, toi qui es venu voir la jeune femme qui te proposait de prendre quelques jours de réflexion, quelques jours jours de recul qui ne peuvent que vous faire du bien, tu resteras chez toi, dans l'état que t'es a réfléchir, tes journées continueront, tu te lèveras tôt le matin, t'iras travailler pour ensuite rentrer chez toi, te tenir à carreau, te posant les bonnes questions. sa main attrapait la tienne, ton corps réagissais au contacte de la jeune femme, un frisson te parcourrait tout le long du corps, tu te sentais gêner de voir quand cet homme vous observais, tu n'es pas du genre à le dire à tout le monde que tu t'ai attaché à quelqu'un, t'es plutôt du genre à te voiler la face, tu passais dans un angle ou le l'homme ne pourrait pas te voir afin de déposer un dernier bref petit baiser sur les lèvres de la jeune femme, un baiser remplit de respect, les baiser échangés aujourd'hui sont lui d'être ceux du cabinet, ils sont sincère à tes yeux, tu t'en allait, rentrait immédiatement chez toi, la cerveau chamboulé, la tête retourné, la tête remplie de question à l'égards de tes sentiments. De dans, ton véhicule t'envoyait un dernier petit texto à Freja et reprenait la route.