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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.


 

 devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.

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MessageSujet: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyMer 13 Déc 2017 - 17:25


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devan & orson
« Devan ! Sors de là ! » La colère d'Orson frôlait les sommets. Après tout, Devan avait fait du mal à son cousin, et même s'ils étaient toujours ensemble, ça n'empêchait pas d'avoir fait couler les larmes de Daemon. Sur le pas de la porte, il faisait les cents pas en réclamant à Devan de sortir de la maison. Ses poings frappèrent d'énormes coups contre cette porte qui ne voulait décidément pas s'ouvrir. Loin de lui l'idée de s'introduire dans la vie privée de Daemon, mais il avait prévenu Devan à ce sujet : il ne fallait pas faire de mal à son cousin. Les poings serrés, il était impatient qu'il ouvre. « Putain, » jura-t-il entre ses dents serrées, elles aussi. Il s'alluma une cigarette nerveusement, comme si ça allait réussir à le calmer. Alors que ça ne faisait que le stresser davantage. Et lorsque le petit ami de Daemon se présenta à la porte d'entrée de la maison, Orson riva son regard noir de rage sur lui. « T'es qu'un connard, Devan ! Ca t'amuse sérieux ? Merde, t'as de la chance que ce soit moi. » Sa voix portait loin dans la rue mais Orson s'en fichait complètement. Il n'avait pas l'intention de se laisser démonter face à lui.

Le regard interrogateur de Devan lui mit encore plus la rage. Il fuma quelques bouffées rapidement avant de le foudroyer du regard à nouveau. « Bordel, ça t'arrive jamais de réfléchir ? T'as fait du mal à Daemon. J'me fous de tes raisons, j'me fous de c'qui se passe dans votre couple. Mais t'as pas à lui faire du mal putain. Tu mérites pas ses larmes. Personne les mérites, tu le mérites pas et lui il mérite mieux qu'un gars qui dit un coup oui un coup non. T'es un putain de sale type, Devan. »
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Dernière édition par Orson Macintosh le Mer 13 Déc 2017 - 20:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyMer 13 Déc 2017 - 18:12

orson ∞ devan
Devan n’avait entendu que tardivement la voix d’Orson qui semblait s’énerver depuis un moment contre la porte. Effectivement, l’eau de la douche l’avait empêché d’entendre quoique ce soit et ce ne fut qu’une fois sorti de la cabine qu’il entendit le boucan. Aie. Il avait l’air en rogne alors très sincèrement, Devan n’avait pas envie d’ouvrir. Bien sûr qu’il savait que c’était pour lui. Il n’était pas con. Daemon disait tout à son cousin alors Devan avait plus ou moins compté les heures jusqu’à recevoir un Orson tout enragé à sa porte. Et c’était le moment. Il pouvait esquiver une fois, peut-être deux, mais ce serait lâche. Et puis ça ne ferait que rendre sa rage plus forte. Alors après avoir enfilé rapidement ses vêtements il se dirigea vers la porte pour lui ouvrir. Il s’attendait à pas mal de choses. Se prendre un coup, se faire insulter. Il n’avait pas vraiment envie de reparler de cette dispute, surtout pas avec ce gamin qu’il avait du mal à apprécier. Mais il faudrait y passer un jour ou l’autre alors il prit son courage à deux mains. « Salut Orson. » dit-il simplement alors que le garçon le gratifiait déjà d’un joli petit surnom. Il grimaça et pendant son petit discours qu’il n’écouta qu’à moitié, se décala pour le laisser passer. Ce n’était pas utile de gêner le voisinage avec de genre de nuisances sonores après tout. « Je suppose que tu es au courant, du coup ? » Question rhétorique qui n’attendait pas vraiment de réponse. Il referma la porte derrière Orson et soupira. Il n’avait même pas à se défendre concrètement car Devan savait qu’il avait tort. Il regretta simplement de ne plus avoir de pancakes en stock pour appâter le cousin de son homme… « J’approuve totalement ce que tu dis ! C’est bon, on a fini ? » On pourrait penser à un manque de respect que de ne pas du tout réagir à ses propos. Et peut-être que c’en était un… En réalité Orson enfonçait le couteau dans la plaie. Devan savait qu’il n’était pas bon pour Daemon, ce dernier s’étant clairement bonifié avec le temps par rapport au cuisinier. « Tu voulais autre chose ? »
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MessageSujet: Re: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyMer 13 Déc 2017 - 20:02


RESTONS ZEN.
devan & orson
Cette façon qu'il avait de lui répondre, comme s'il n'en avait strictement rien à foutre de ce qu'Orson disait. Cela mettait ce dernier encore plus hors de lui. Il entra dans la maison, c'est vrai que ces histoires ne concernaient pas le reste du monde mais après tout, il était trop enragé pour en avoir quoi que ce soit à faire. A l'intérieur, il se remit à lui hurler après. Bordel, ce qu'il était en colère. Ca ne lui arrivait pratiquement jamais de se foutre en pétard de cette manière, mais ça touchait à Daemon. Il ne fallait pas toucher à Daemon, c'était la personne la plus précieuse qu'il avait dans sa vie. A la réponse de Devan suite à son petit monologue, Orson cessa ses pas soudainement et le regarda, effaré. « Quoi ? T'es en train de te foutre de ma gueule là ou je rêve ? » Il eut un rire nerveux. Si, au départ, il n'avait pas envie de le cogner pour la simple et bonne raison que son cousin lui en voudrait certainement pour ce geste sans délicatesse, actuellement, il tentait de se retenir autant qu'il le put.

S'il voulait autre chose ? S'il voulait autre chose. Le ton hautain de Devan fit partir le coup tout seul. Orson, dans un élan de rage, lança son poing en plein dans son visage, de toutes ses forces. L'adrénaline lui en offrant, il ne se retint pas plus longtemps. Un seul coup, pourtant, il se redressa ensuite et serra son poing douloureux, sans quitter Devan du regard. « Ouais, je voulais autre chose. Putain ça fait un bien fou ! » Le garçon ne fit même pas attention à Devan, il était plutôt soulagé, mais en même temps il savait parfaitement qu'il allait regretter son geste quand Daemon l'apprendra. Ce n'est pas pour autant qu'il s'en voulait, bien au contraire. Pour lui, Devan l'avait bien mérité.
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MessageSujet: Re: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyLun 18 Déc 2017 - 12:15

orson ∞ devan
Devan aurait probablement dû répondre à Orson avec davantage de considération, mais il n’avait pas voulu entrer dans une guerre inutile sachant que cette dispute était terminée et qu’ils s’étaient réconciliés entre temps. Apparemment, s’il avait évité une joute verbale qu’il jugeait superflue, il n’avait pas su éviter le coup de poing. Surpris, Devan se tint le nez en se demandant vivement s’il ne venait pas de le lui péter. Jamais Devan ne s’était laissé frapper sans rien dire, sans répondre en retour. Mais à aucun moment il ne pensa à lui rendre ce coup. Bah oui, ce petit con, aussi énervant était-il dans la vie de tous les jours, était le cousin de son homme. S’il touchait à son cousin, c’était comme mort. Parce que ces deux-là ils étaient comme cul et chemise et que toucher à Orson, c’était toucher à Daemon. Alors le cuisiner dût faire preuve d’un self control impressionnant qu’il ne se connaissait même pas.

Laissant la douleur se diffuser, il se dirigea presque aussitôt vers un miroir pour observer les dégâts. Un nez cassé, sauf à coup de chirurgie esthétique, ça ne se réparait pas. « T’as vraiment de la chance d’être le cousin de Daemon ou je t’assure que je te l’aurais rendu. » Bordel, il avait un sacré coup droit pour un gringalet celui-là. « Putain mais pourquoi tu te mêles pas de tes affaires ?! Occupe-toi de toi au lieu de me faire chier avec mon couple. Ok, j’ai fait du mal à Daemon mais je m’en suis excusé et putain, lui aussi il m’en a fait dix ans en arrière. C’est pas pour autant que mon frère est allé lui casser la gueule et crois-moi qu’il aurait bien voulu. J’ai pas envie de mettre la merde alors j’vais pas lui parler de ton débordement mais tu perds rien pour attendre. » Parce que même s’il n’allait pas le frapper en retour, il se vengerait un jour ou l’autre. En foutant la merde quand il serait lui-même en couple, pourquoi pas. « Allez dégage de chez moi. »
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MessageSujet: Re: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyJeu 21 Déc 2017 - 15:48


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C'était certain, quand Daemon saura qu'Orson a frappé son copain ... Orson venait juste de signer son arrêt de mort. Car il savait que si Daemon tenait à Orson plus qu'à la prunelle de ses yeux, il savait aussi que c'était également le cas pour Devan. Pour autant, il était tellement en colère qu'il n'avait pu se contrôler. Et finalement, il ne regrettait rien de son geste. Il avait estimé que Devan lui avait clairement manqué de respect en le snobant de cette façon et à présent il se fichait du statut qu'il pouvait bien avoir. « Ah mais je t'en prie, Devan ! Au diable le fait que je sois son cousin, frappe moi, vas-y ! » Bon, c'était de la pure provocation. Et même si un coup n'était pas agréable à se prendre, au moins ils seraient quittes et pourraient peut-être repartir sur de bonnes bases.

Enfin ... Encore faut-il que Devan soit de cet avis, lui aussi. Ce qui ne semblait pas être le cas. Il se mit même à lui hurler dessus, chose qu'Orson ne supporta pas. Il ne trouva pas ses arguments valides.« Y'a dix ans en arrière ? Y'a dix ans en arrière. Alors tu lui fais du mal et tu prends la raison de sa tromperie d'il y a DIX ANS, t'es un malin toi ! Oh mais pauvre chou ! Tu vois pas qu'il a complètement changé ? Et ce, juste pour toi. Plains toi, ouais ! Tu lui fais du mal, ça me concerne. Je t'avais prévenu, Devan, tu le savais très bien. Appelle ça un débordement si ça te chante mais pour le coup c'était vraiment mérité. » Orson n'était pas du genre à retenir ses mots, ni même à les regretter. Et tant pis pour les conséquences. Il se mit à rire sinistrement à sa dernière phrase. « Chez toi, sérieusement ? Te voile pas la face, Devan. C'est aussi et surtout chez Daemon. J'bougerais pas de là. » Il croisa les bras comme un gamin, bien décidé à ne pas sortir de cette maison. C'était clairement un affront à Devan mais dans le fond, il voulait juste le faire sortir de ses gonds. Il voulait juste lui donner assez de rage pour qu'il n'en ait plus rien à foutre qu'il soit le cousin de son copain, pas pour mal, cependant. Quoi qu'il arrive, Orson comptait bien ne jamais parler de cette altercation à qui que ce soit. « Allez, j'attends. »
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MessageSujet: Re: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyMar 26 Déc 2017 - 13:16

orson ∞ devan
Ne pas le frapper. Ne pas le frapper. Et bordel, que c’était dur. C’est ce qu’il cherchait le petit con, à ce que Devan perde son sang-froid et ne le cogne en retour. Mais il ne tomberait pas dans son piège, il ne pouvait pas se permettre de frapper le cousin de Daemon après la dispute qu’ils avaient eue. Et puis même s’ils ne s’étaient pas embrouillés d’ailleurs, toucher au cousin c’était comme une déclaration de guerre et ça pourrait très bien les mener à la rupture. A cet instant il aurait voulu être avec Lorenzo à la boxe et taper pour se défouler. Putain, si ce petit con lui avait cassé le nez… « Je m’abaisserais pas à ton niveau. » Même si c’était terriblement tentant.

Il avait beau être con ce gamin, pour le coup il n’avait pas tort. Devan n’avait aucune vraie excuse à son comportement car ce qu’il s’était passé il y a dix ans, c’était avec un autre homme que le Daemon d’aujourd’hui. Il avait changé, Devan le savait et le reconnaissait volontiers. Alors oui, il avait déconné et il n’avait absolument aucune raison valable, c’était probablement ce qui l’énervait le plus. « Je sais que j’ai fait de la merde okay ? Alors va te faire foutre, j’ai pas besoin de toi pour ça. Si tu étais vraiment au courant de tout, tu saurais que je me suis excusé plusieurs fois et qu’on s’est réconciliés alors oui, maintenant tu dégages. Cet endroit c’est aussi chez moi maintenant il faudra t’y faire et si je dois te choper par la peau du cul pour te faire dégager je le ferais. » Daemon avait bien était clair sur ce point : cette villa était désormais la leur alors la pique d’Orson ne lui faisait aucun effet. Enfin, c’était ce qu’il disait mais au fond, il savait qu’ici ce ne serait jamais vraiment chez lui. Pas tout de suite en tout cas.
Il s’approcha d’Orson et l’attrapa par le col pour le pousser vers la sortie. Pas de coup. « Daemon ne revient pas tout de suite et je doute que tu veuilles passer l’aprem en ma compagnie. »
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MessageSujet: Re: devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où.   devan. - la violence ne résout rien, mais j't'en ai quand même mis un. Au cas où. EmptyMar 26 Déc 2017 - 14:25


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Quand il le voulait, Orson était un vrai démon. Et surtout, il ne fallait pas l’énerver. Toucher à son cousin, c’est vraiment la pire chose qu’on pouvait lui faire et Devan l’avait fait. Bon, bien sûr c’étaient des histoires de couple dont il ne devrait pas se mêler. Mais il ne pouvait pas non plus s’empêcher d’avoir mal à la place de Daemon. Alors il se retrouvait toujours dominé par ses émotions les plus fortes quand il s’agissait de lui. Là, c’était la colère. Et Devan était en train de constater pourquoi on appelait Orson « petit con » en permanence. Alors quand Devan lui dit qu’il ne s’abaisserait pas à son niveau, Orson eut un mauvais rictus ainsi qu’un rire tout aussi mauvais. « Non, t’es pire que moi, t’as aucun principe. » Il leva les yeux au ciel. Après tout, Devan avait bien merdé. Et même si Orson ne savait directement pas qu’ils s’étaient réconciliés, il savait quand même que les mots de Devan adressés à Daemon resteraient toujours là. Une blessure est une blessure, et même si ça guérit, ça laisse toujours des traces. Alors à moins que Daemon ne perde la mémoire, il aura toujours ça dans son esprit.

Devan l’insultait maintenant. Il avait un certain don pour énerver Orson. Le coup qu’il lui avait donné lui avait fait du bien, certes, mais si Devan remettait une couche à chaque fois, ça n’allait pas être facile de mettre fin à cette histoire. « Essaie pour voir ! » Si Orson l’avait bien cherché, il ne s’attendait pas non plus à ce que Devan le tire ainsi jusqu’à la sortie. Il jura entre ses dents, l’insulta avant de se retrouver dehors face à une porte close et le silence de la rue. « Vas-y, fuis, connard !! » Il grogna. Il était frustré car il n’avait pas eu ce qu’il voulait. Mais il voyait bien que cela ne mènerait à rien. Absolument à que dalle. Alors, plutôt que de s’acharner, il décida d’abandonner. Ils règleraient ça plus tard. Pour le moment, il fallait qu’il se calme alors il décida d’aller marcher un peu après avoir enfoncé ses écouteurs dans ses oreilles.
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