| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) | |
| | Auteur | Message |
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Invité | Sujet: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Jeu 4 Jan 2018 - 20:09 | |
| - Essence, t'as un de tes patients qui est là pour un examen. Tu prends des rendez-vous désormais ?
J'étais dans la salle de repos en train de finir de boire mon café, je ne savais pas de qui elle parlait et j'avais peur. J'avais un rendez-vous... Cela voulait dire que mon référent me laissait prendre plus de responsabilité et m'avait donné l'autorisation d'ausculter un de ses patients? C'était bizarre, j'en aurais eu le souvenir. Je finissais d'un trait mon café, jetant le gobelet en plastique à la poubelle pour vite me diriger vers la salle d'attente du service de neurologie.
- Oui bien sûr pardon, il est un peu en avance.
Mensonge mais je ne me voyais pas faire la fille qui hésitait. Je voulais donner bonne impression et je verrais cela au moment venu en tête à tête avec le dit patient. On accélérait la cadence, il y avait six personnes dans la salle d'attente et j'espérais que la personne concernée se lève mais il n'y avait toujours aucun mouvement. Je fronçais les sourcils, me forçant ensuite à sourire avant que ma collègue rajoute:
- Il a dû aller aux toilettes, il ne va pas tarder. Il semblait pressé de te voir. Il a dit qu'il manquait de temps et n'avait pas pu repousser son prochain rendez-vous.
Ma collègue haussa des épaules avant de revenir à son post. Pourquoi ça ne me disait rien? Il était 15h, je regardais discrètement mon bipeur et je n'avais aucun rappel sur ce fameux rendez-vous. J'aurais pu regarder mes emails mais ce n'était pas avec mon nokia 3310 que je pouvais avoir accès à une telle application à l'instant T. J'entendis ensuite la porte des toilettes s'ouvrir, elle grinçait assez, elle était reconnaissable. Je me retournais et là mon coeur s'arrêta.
- Anton?
Fis-je tout doucement. Pourquoi était-il ici? Il ne m'avait pas prévenu par sms... Normalement quand il voulait me voir il me prévenait. Etait-il réellement... Souffrant? Avais-je loupé un épisode?
- Euh...
Je buguais quelques secondes en me rapprochant de lui, les autres patients nous observaient. Je sentais déjà mes joues se rougir.
- Bonjour Anton.
Je lui tendis la main en guise de salue. Je voulais paraître professionnelle sans perdre de ma crédibilité.
- Suivez-moi je vous prie.
Je me forçais à le vouvoyer pour rester polie et professionnelle sauf que ma main était devenue moite à peine son corps face à ma personne. Je déglutissais difficilement en passant devant lui pour qu'il vienne dans le bureau réservé aux consultations. On entrait dans ce dernier, je fermais la porte derrière lui. Mon coeur battait la chamade.
- Je t'attendais pas aujourd'hui... Ca... Ca va?
Je ne savais pas quoi faire, je restais là, face à lui, encore près de cette porte, les bras croisés sur ma poitrine.
Dernière édition par Essence Messerschmidt le Sam 20 Jan 2018 - 15:29, édité 1 fois |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Ven 5 Jan 2018 - 14:58 | |
| Encore l’hôpital. Toujours l’hôpital. Je connais ces couloirs par cœur, et j’en ai foutrement marre. Non pas que je ne veuille pas m’y rendre, mais je fatigue. Vraiment. J’ai toujours cette affection pour ma femme qui ne faiblira certainement jamais, mais je ne supporte plus cette obligation de venir la voir, de venir m’occuper d’elle parce qu’elle devient un légume. Elle n’a même plus la force de manger par elle-même. Elle devient de la même couleur qu’un cadavre, mais vit toujours. La seule chose qui me peine, c’est ma fille, Lilly, elle qui aime tant sa mère. J’ai mal pour elle. Malgré sa crise d’adolescence parfois un peu trop poussée, je sais qu’elle souffre de cette situation. Ma femme est tellement dopée qu’elle ne ressent plus la douleur, mais elle ne ressent même plus les bienfaits de la vie. A quoi bon être maintenue en vie dans ces circonstances, je ne le comprendrais jamais. J’étais donc sur le départ après avoir passé plus d’une heure dans cet enfer, quand le panneau neurologie attira mon attention. Je n’hésitais pas un seul instant, me foutant bien de l’adage, et allais me présenter à leur accueil pour m’annoncer auprès d’Essence. Bien sûr que je n’avais pas rendez-vous, elle n’était même pas encore une véritable neurologue et je ne savais même pas si elle était vraiment habilitée à avoir des rendez-vous, mais ça avait fonctionné. En l’attendant, j’en profitais pour passer aux toilettes et pour me rafraîchir. J’avais le teint de plus en plus pâle à passer tous les jours ici. Je ne pouvais clairement pas laisser ma fille faire ce sale boulot, non, je me bats pour elle et je ne veux pas qu’elle subisse ça. Quand je ressortais des toilettes, je tombais nez à nez avec la demoiselle avec qui j’étais sensé avoir rendez-vous. Sourire en coin, je la dévisageais du regard, encore plus que jamais, ne pouvant pas nous afficher, ça avait quelque chose d’assez excitant. Je profitais pour lui caresser doucement et légèrement le haut de sa main de mon pouce pour répondre ensuite à sa politesse Bonjour Docteur. Autant jouer le jeu à fond, ça m’amusait et je savais que ça allait la gêner encore plus. Je la suivais donc jusqu’à son bureau et vint m’appuyer contre le bureau sans aucune gêne Tu ne veux pas approcher plutôt ? Sa question n’était que futilité, elle devait bien savoir pourquoi j’étais venu la voir n’est-ce pas ?!
Dernière édition par Anton R. Swindell le Mar 16 Jan 2018 - 16:30, édité 1 fois |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Sam 6 Jan 2018 - 20:13 | |
| Inconsciemment je caressais le dos de ma main sous mes bras croisés. Je le regardais s'adosser au bureau tandis qu'il me disait d'approcher... A sa manière. A chaque fois qu'on se voyait c'était pour coucher... Etait-il venu sur mon lieu de travail pour cela?
Je sentais déjà mon estomac se tordre, mon coeur commençait à battre un peu trop fort. Je me trouvais conne à ne pas savoir quoi faire, ce genre de situation me perturbait toujours autant alors que j'en étais plus à ma première fois, surtout avec lui.
- Si... Bien sûr...
J'avais envie de l'embrasser, c'était à chaque fois ainsi, il m'attirait comme un aimant. Je fis quelques pas avant d'arriver à sa hauteur, je posais mes deux mains sur son torse que je venais caresser doucement avant de lever mon menton pour venir déposer un baiser sur ses lèvres. Baiser très furtif et timide. J'avais fermé à clé derrière nous, mais être sur mon lieu de travail me stressait comme m'intriguait. Je ne me reconnaissais vraiment plus...
- Tu me préviens en général quand tu viens me voir et je travaille là... Je veux pas avoir de problèmes.
Je ne le regardais pas dans les yeux, je regardais mes doigts fins sur son haut, je le caressais tout en douceur, sentant ses pecs bien dessinés à travers la couche de tissu.
- T'as dit quoi à ma collègue pour prendre rendez-vous avec moi? Je ne suis qu'interne, personne prend rendez-vous avec des internes...
Je riais nerveusement en me mordant ma lèvre inférieure: toujours ce même tic quand j'étais stressée. Je sentais limite mes mains devenir moites et mon coeur allait juste sortir de ma poitrine pour venir faire des rebons sur le sol bien lavé de cette salle de consultation. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Jeu 18 Jan 2018 - 20:23 | |
| Certes, je n’étais jamais venu sur son lieu de travail, même si j’y avais pensé bien des fois. Le fait est que cette relation devait absolument rester secret. D’abord parce que c’était l’une des rares femmes que je me permettais de revoir de façon prévue, et surtout qu’elle avait à peine passé la vingtaine. Moi qui suis si proche de la quarantaine, je ne me suis jamais très senti à l’aise à cette idée. Même si au final, je savais faire d’autres choses qui pourraient être jugées bien plus grave. Mais pour l’instant, je n’avais affaire qu’à ma conscience, et je n’imagine même pas la réaction de ma fille si elle apprenait que je devenais dépendant du corps d’une jeune femme qui pourrait très bien être son amie de lycée. Non, elle ne me le pardonnerait pas. Je sais qu’elle se doute que je ne sois plus si fidèle, mais si elle découvrait les deux en même temps, j’ai bien peur de la perdre à jamais. Elle qui aime tant sa mère, et qui a si peur de la perdre, je ne veux pas lui faire davantage de mal. Toujours est-il que je prenais un risque à venir voir Essence, ici, sachant que ma femme se trouvait dans le même bâtiment. Mais je n’avais pas pu m’y empêcher, ça avait été plus fort que moi. Je sentais surtout encore les effets du petit rail de coke que je m’étais pris avant de venir supporter les soins que je devais apporter à ma femme. C’est moi qui devais me doper pour assumer sa maladie. Et je n’en pouvais vraiment plus. Pourtant, je ne lui souhaite pas de mourir. Surtout pas pour ma fille. Essence s’était donc rapprochée de moi, mais je voyais bien son inconfort vu la situation. Je m’en doutais bien. Mais ce n’était pas pour autant que je n’allais pas profiter de la situation. Je n’aime pas me déplacer pour rien. Son léger baisé me faisait bien comprendre que je n’étais pas forcément le bienvenue, mais je m’en fichais pas mal. Je resserrais l’étreinte autour de sa taille, descendant inévitablement sur son fessier, que ça lui plaise ou non Je passais dans le coin. Lui signifiais-je tout simplement. Elle n’avait pas besoin d’en savoir plus. Mais sa curiosité était bien plus forte, et avant même que je ne puisse avoir le temps de kidnapper de nouveau ses lèvres, elle me demandait comment j’avais pu prendre rendez-vous. Je soufflais légèrement, pour bien lui montrer mon agacement tellement c’était inutile comme question, mais je lui répondais tout de même Je n’ai absolument rien fait. J’ai seulement dit que j’avais rendez-vous avec toi. Je pouvais bien être persuasif par moment et là, je n’attendais plus que plus aucun mot ne sorte de sa bouche et je l’embrassais franchement, langoureusement, resserrant encore plus ma prise sur elle. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Sam 20 Jan 2018 - 15:29 | |
| Il était agacé, je le voyais bien. Je parlais trop, je posais trop de questions, je le savais aussi. Je continuais de caresser son torse timidement tandis que sa prise autour de ma taille puis sur mes fesses se faisait plus persuasive. Je sentais mon coeur s'emballer et mon bas ventre commençait à me titiller. Je savais très bien pourquoi il était là mais j'étais partagée entre envie et frayeur. Je n'eus même pas le temps de répondre quoique ce soit qu'il vint m'embrasser avec passion, me collant complètement à lui comme si je ne pouvais plus lui échapper. Je me laissais faire en l'embrassant en retour et instinctivement mes mains redescendaient vers la boucle de sa ceinture mais je me stoppais. Je reculais un peu ma tête pour respirer un peu et surtout pour pouvoir reprendre la parole.
- Attends Anton, t'as pas peur qu'on... Qu'on nous surprenne? J'ai fermé à clé mais d'autres collègues ont la clé en question...
Qu'est-ce que je disais? S'il était là c'était en connaissance de cause, il savait les risques mais est-ce que je réussirais à être prête pour aller jusqu'au bout? Je ne voulais pas avoir mal... Je me souvenais encore de ma première fois avec Anton, j'avais eu mal et je ne voulais plus revivre ça. Alors au lieu de trop penser, je préférais agir en défaisant la boucle de sa ceinture avant d'enlever ma blouse blanche d'interne pour la laisser tomber à mes pieds mais clairement je n'avais jamais été dans cette situation... JAMAIS. Et je ne savais pas trop comment m'y prendre, comme d'habitude. Je me désespérais toute seule et je savais si je parlais trop j'allais l'énerver. Mais faire "ça" ici, dans cette salle de consultation... Ca avait un coté excitant et en même temps, ma conscience me rattrapait.
- On a vingt minutes devant nous...
Oui je parlais encore mais tout en parlant je défaisais délicatement sa braguette finissant par passer mes mains sous son haut où je pouvais effleurer sa peau toute chaude et si agréable au touché. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Mar 23 Jan 2018 - 19:09 | |
| Bien sûr, elle ne connaissait pas tout ce monde de perversion, et je ne pouvais pas lui en vouloir, après tout, c’était pour cela dans un premier temps qu’elle m’avait plu. Une telle innocence était terriblement attrayante. Même si je dois bien avouer que je n’avais pas couché depuis très longtemps avec une jeunette. J’avais parfois l’impression de trahir ma fille, vu qu’elles sont de la même génération. Mais c’est plus fort que moi, c’est comme si mon corps était déjà addictif de son corps.. J’avais connu bien plus expérimenté, et pourtant je ne les avais jamais revu. Faut croire que la crise de la quarantaine est bel et bien présente. Même si le charme d’une vraie femme mûre n’a pas son égal. Essence avait juste le don de me rendre dépendant et sans gêne. D’où le fait que je ne trouvais pas ça surprenant de débarquer à son boulot après avoir débarqué dans sa chambre. Mais elle semblait bien plus mal à l’aise que je n’aurais pu l’imaginer. Je n’allais pas non plus insister trois mille ans. Mais je sentais qu’il lui fallait tout de même un petit coup de pouce. Je roulais tout de même des yeux quand elle me demandait si je n’avais pas peur qu’on nous surprenne. J’émettais même un rire amusé. Et alors ? Lui répondais-je. Va falloir que tu apprennes à vivre dangereusement un peu. Je t’assure, ça fait du bien parfois. Lui assurais-je en arquant un sourcil et affichant un sourire enjôleur. Mais finalement elle continua sa recherche du plaisir en défaisant un peu plus mon pantalon et en retirant sa blouse. J’enlevais complètement mon t-shirt quand elle s’aventura dessous et finissais par l’attraper et la fis s’asseoir sur le bureau contre lequel j’étais appuyé quelques instants plus tôt. Je reprenais ses lèvres en otages et retira sa culotte au moment où je lui répondais Ne t’inquiète pas, on n’en aura pas pour aussi longtemps … et si jamais on nous surprend, je prendrais toute la faute … Maintenant, détend toi, par pitié. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Sam 27 Jan 2018 - 16:13 | |
| Je devais prendre sur moi, si je restais trop renfermée, je savais qu'il allait partir et qu'il n'allait plus vouloir me revoir. Je le sentais à sa façon de me répondre ou de me regarder quand je parlais trop alors oui, j'avais pris les devants un peu, mais ce n'était pas assez pour lui. Il enleva vite son haut, je le regardais de haut en bas puis de bas en haut mais il me prit par les hanches me faisant asseoir sur le bureau. Je n'avais que ma robe sur moi et mes chaussures, il voulait aller si vite que j'avais peur d'avoir trop mal.
Il voulait me rassurer tout en ne voulant perdre aucune seconde, je le laissais enlever ma culotte noire, l'aidant à la faire tomber au sol pour reprendre possession de ses lèvres mais je ne me sentais pas prête du tout "en bas". Je voulais aller plus loin mais la dernière fois il m'avait si longuement préparé que là en allant trop vite j'ai peur que ça bloque.
- J'ai besoin d'aide pour être détendue Anton...
Je revenais l'embrasser en l'essayant de le calmer, juste un peu... Je caressais son torse nu puis ses bras musclés et je venais embrasser son cou, descendant doucement jusqu'à son entre jambe pour caresser son sexe à travers son boxer. Je le sentais déjà monter à pression comme s'il se préparait depuis un moment à venir me voir. Je déglutissais en déposant de tendres baisers dans son cou mais si on devait aller vite, je voulais être prête... Et là je ne l'étais pas, j'avais peur qu'il me déteste.
- Est-ce que tu peux me... Me...
J'avais du mal à dire ce que je voulais, encore. Mais il le fallait, on n'avait que vingt minutes et je perdais déjà assez de temps à chercher mes mots. Alors au lieu de parler, je préférais agir. J'enlevais ma robe, ne restant qu'avec mon soutien-gorge face à lui et je pris une de ses mains pour qu'il vienne me caresser à l'endroit qu'il semblait tant désirer puis je le laissais faire, revenant à mes baisers sur son cou puis sur son torse musclé. Je fis sortir son sexe de son boxer, commençant à le caresser doucement. J'espérais juste ne pas l'énerver davantage en y allant "trop" doucement... |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Mer 31 Jan 2018 - 19:22 | |
| Même si on avait largement le temps pour faire ce dont j’avais terriblement envie, je savais que ça n’allait pas être du rapide. Bien sûr, j’ai osé l’espérer. Mais après tout, Essence n’a pas l’expérience ni l’âge que j’avais. Et ce genre de situation, bien sûr qu’elle ne la connaissait pas. C’est pour cela que ça m’excitait davantage. Avant elle, je ne pensais pas que faire découvrir les joies du sexe à une jeunette aurait pu me plaire. Mais voilà que c’était le cas et que j’étais prêt à lui faire découvrir la rapidité de l’acte. Sauf que forcément, elle se mit à paniquer face à mon empressement. J’aurais du m’en douter. Je m’étais trop laisser emporter par le désir. Il fallait que je me calme un peu, que je sois un peu plus patient. Particulièrement avec elle. Et c’est certainement parce que tout change avec elle que j’ai pour une rare fois, envie de la revoir. C’est aussi parce que son corps m’avait rendu addict à nos ébats. Elle est si douce et si fragile que j’ai besoin de la posséder. Quand elle me fit alors savoir qu’elle avait besoin d’aide pour se détendre, je soufflais légèrement, cette fois-ci contre moi et baissais le regard légèrement avant de le remonter vers ses doux yeux Oui, excuse-moi, je m’enflamme trop vite. Et je n’étais pas du genre à me reprocher des choses, mais je savais les reconnaitre quand il y en avait. Que la personne en face de moi ait 10 ou 100 ans, c’était la même. Toujours est-il qu’elle finissait par me dire ce qu’elle voulait. J’étais patient, j’attendais de voir son prochain mouvement, et finalement elle fit aller ma main vers son entre-jambe, que je ne tardais pas à caresser. Je reprenais sa bouche en otage, et l’embrassais de nouveau, espérant que tout ceci pourrait la détendre comme elle en avait besoin. Peut-être que le stress de la situation était un peu trop tôt pour elle, et je commençais à me dire si cet imprévu était bien calculé au final. Je la brusquais bien trop et elle semblait incapable de me rejeter. Mais si elle ne le faisait pas, j’allais profiter de ces minutes avec elle jusqu’au bout. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Mer 31 Jan 2018 - 21:52 | |
| Il soufflait encore, j'en avais presque les mains tremblantes à ce rythme. Me détestait-il? J'avais envie de m'excuser de ne pas être... Comme "les autres femmes". Je n'étais pas dupe, je savais très bien qu'il voyait d'autres femmes mais après tout j'avais bien couché avec Aloysius deux semaines après... Qu'il m'avait pris ma virginité. Mais quand il remonta ses yeux vers moi et qu'il s'excusa, je cru reconnaître un brin de sincérité dans le timbre de sa voix. Mon coeur s'emballa jusqu'à qu'il prenne en otage mon sexe et mes lèvres. Il m'embrassa avec fougue tandis que je quittais son sexe pour venir agripper son visage entre mes mains pour ne pas que ses lèvres me quittent aussitôt sauf que je repensais à nos ébats d'avant et le manque s'installa rapidement.
Mes jambes firent plus d'espace pour qu'il vienne se blottir entre ces dernières, laissant sa main expérimentée me caresser, ce qui ralluma instinctivement la flamme en moi. Je sentais mes muscles se détendre peu à peu pour finir par quitter ses lèvres et regarder ses doigts s'amuser avec mon antre de plaisir. Je ne savais pas pourquoi j'avais ce réflexe de vouloir "regarder" à chaque fois, je me sentais perverse ou alors l'opposé total: stupide au possible. Je gémissais de bien être doucement avant de revenir chercher son sexe un peu plus tendu pour reprendre mes mouvements où j'avais arrêté un peu plus tôt. Je le caressais avec plus de vivacité et d'envie, sentant son sexe se tendre sous mes doigts fins.
- Tu m'as manqué.
Je ne disais pas cela de façon amoureuse mais sous l'envie. Je savais que j'étais accroc à Anton, je le savais... Trop. Peut-être était-il là car ses autres conquêtes n'étaient pas disponibles. Pourquoi donc me trouvait-il un minimum attrayante? Je me mordais ma lèvre inférieure, ma main de libre caressais le bras qui tenait la main qui me titillait. Doucement mes doigts vinrent sur la main torturant mon objet de désir et je lui faisais comprendre d'y aller plus fortement, sans peur, sans barrière... Je savais qu'on manquait de temps, je le savais et plus les secondes s'écoulaient, plus j'avais envie de passer à l'étape supérieure. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Mar 6 Fév 2018 - 20:53 | |
| Est-ce que je pouvais dire qu’elle m’avait manqué ? Oui, son innocence, son manque d’expérience, son étroitesse, sa perversité naissante, oui, tout cela m’avait manqué. Elle était si jeune et pourtant, elle avait su me rendre addict’ comme jamais cela ne m’était arrivé. J’aurais pu être atteint dans mon égo, mais j’avais bien trop envie d’elle et je devais aussi mettre de l’eau dans mon vin si je la voulais. Elle est si fragile, je le sais, elle n’a pas une vie facile et c’est peut-être ça aussi qui fait qu’elle me touche particulièrement. Je ne réfléchis pas à ce genre de choses, c’est tellement futile, mais parfois, c’est plus fort que moi. Je continue alors de lui faire du bien, doucement, à son rythme, la sentant de plus en plus mouillée et décontractée. On ne mettrait heureusement pas une heure à y arriver. Si encore on avait du temps devant nous, ça ne me dérangerait pas, comme la première fois. Mais là, ma patience avait des limites. Sauf que je devais aussi m’adapter à elle, et c’est pas en étant exécrable que j’allais y arriver. J’avais envie d’elle, et j’allais l’avoir. Je n’entendais donc que d’une oreille distraite sa remarque sur son manque alors que mes lèvres se perdaient dans le creux de son cou, voulant son corps encore plus contre le mien. L’envie montait de plus en plus, et je fus rassuré quand ses jambes s’ouvrirent davantage et que son impatience se fit également ressentir. Mais pas question de rejouer au con une deuxième fois. Je sortais finalement un préservatif de mon pantalon et l’enfilais rapidement d’un geste habile, tout en lui faisant du bien et rentrais en elle. Mon impatience était mise à rude épreuve mais il fallait que je prenne mon temps, que je ne sois pas ce bourrin que je peux être avec les autres femmes, non, il fallait que je sois doux, il fallait que je me retienne au maximum. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Mar 6 Fév 2018 - 23:17 | |
| Je sentais sa main me torturer, je me sentais de plus en plus humide et je savais qu'il voudrait vite plus... Alors je me concentrais sur lui, sur ses gestes, son odeur, la chaleur de son corps, ses mains sur se baladant sur ma peau... Je gémissais légèrement lorsque ses lèvres vinrent titiller mon cou, il ne répondit pas à mes mots certes mais je ne préférais pas penser au comment du pourquoi... Il n'était pas du genre bavard avec moi... Alors je décidais de me taire, me concentrant sur lui... La situation me stressait, mais il me faisait presque oublier l'endroit où on était, je disais bien "presque".
Il m'embrassa avec fougue et envie, je sentais mes tétons frotter le tissu de mon soutien-gorge, la seule couche de tissu encore sur moi. Mes cuisses s'ouvraient à lui, mes pieds se mettaient à plat contre le meuble, n'aimant pas les savoir bêtement pendus au dessus du sol. Ma respiration s'accélérait et mon coeur en faisait de même, pourtant je ne me sentais pas prête à 100%, mais il n'allait pas perdre les vingt minutes qu'il nous étaient offertes juste à me masturber ou à me faire mouiller sans aller jusqu'au bout.
Je déglutissais, caressais son torse, plantant timidement mes ongles dans sa peau où je caressais ses bras musclés... Puis il arrêta. Je le regardais, mes yeux parlaient pour moi : ils lui demandaient ce qu'il faisait et quand il sortit un préservatif de sa poche de jeans je compris qu'il voulait vite passer à l'étape supérieure. Instinctivement mes deux mains se posèrent sur son torse, comme si j'étais prête à le rejeter "au cas où"... Je savais que je ne le ferai pas mais si j'avais mal? Encore? J'avalais une nouvelle fois ma salive, il enfila rapidement le préservatif et sans crier gare, il commença à me pénétrer. Un bref gémissement de douleur m'échappa et mes mains vinrent se plaquer sur le bureau. Je grimaçais un peu, je le sentais se faufiler en moi mais je me sentais comme bloquée. Je mordais ma lèvre inférieure, je le voyais disparaître en moi mais je n'avais pas l'habitude du préservatif, c'était si étrange même si ce dernier était si fin. J'avais peur qu'il arrête ou qu'il me hurle dessus en voyant que... Ca me faisait mal, j'avais peur qu'il croit qu'il ne me faisait pas d'effet ou bien encore qu'il me forçait alors que je voulais... Mais mon corps ne réagissait pas comme le sien, j'avais pas son expérience et lui il s'était préparé à cette idée depuis un moment alors que moi ça faisait à peine dix minutes.
Doucement je mis une main sur son pénis comme pour qu'il me pénètre à ma façon et surtout à "ma vitesse". J'écartais un peu plus les jambes, pensant que ça allait m'aider et quand je le sentis entièrement en moi, je lâchais son sexe, soufflant un peu avant de dégrafer de mes mains mon soutien-gorge pour être seins nus. Je n'avais que mes chaussures à mes pieds mais qu'importe... Instinctivement mes lèvres vinrent retrouver les siennes, mes mains caressaient son torse mais je me sentais encore si "fermée" en bas.
- Désolée...
Susurrais-je contre ses lèvres. Désolée de ne pas être aussi prête que lui mais je voulais aller plus loin... Je m'énervais à être aussi prude...
- T'arrête pas.
Je me sentais obligée de préciser, j'avais trop peur qu'il croit que je voulais que tout s'arrête. Alors je quittais ses lèvres, à contre coeur, je remettais mes mains à plat sur le bureau, un pied contre la bordure de la table, maintenant mon genou plié pour qu'il ait plus d'espace au niveau de mon sexe. |
| | | Invité | Sujet: Re: ANTON&ESSENCE ▼ It always seems impossible until it’s done. (-18) Mar 13 Fév 2018 - 18:45 | |
| Il est évident que la première fois ensemble, on avait pris tout notre temps. Mais j’étais loin de m’imaginer qu’elle aurait besoin d’autant de temps, encore une fois. Après tout, malgré son étroitement, elle n’était plus vierge, elle était bien moins étroite, logiquement. Mais ce n’était pas évident de rentrer en elle. Je sentais bien qu’elle avait encore mal et je regrettais d’être passé à l’improviste. Je n’aurais pas du la forcer, et ça m’agaçait. Elle dut le sentir puisqu’elle vint attraper mon pénis pour l’enfoncer davantage en elle. La sensation avec le préservatif est bien moins amoindri, mais c’était comme si son vagin me mangeait et la pression me donnait un gémissement un plaisir. Je la regardais avec avidité dégrafer son soutien-gorge et admirais sa si belle poitrine, sans oser la toucher pour l’instant, étant bien trop concentrer pour ne pas faire de mal à la jeune femme. Je ne savais même pas ce que je devais faire, elle me perturbait complètement et c’est comme si toute mon expérience s’était volatilisée. Pourtant, elle finissait par me dire de ne pas m’arrêter. Je n’étais pas sûr que ce soit une si bonne idée, mais je n’avais plus envie de partir, maintenant que j’avais réussi à m’infiltrer en elle. Je n’avais plus qu’à être le plus doux possible et surtout le plus rapide. On avait du déjà perdre dix minutes à tout casser. Elle était tellement sexy que je ne pouvais clairement plus reculer. Je ne m’activais tout de même pas tout de suite, je venais l’embrasser dans son cou, descendant doucement le long de son épaule pour revenir vers sa poitrine généreuse. L’une de mes mains calait son bassin contre le mien, pendant que l’autre malaxait avec envie le sein que je n’embrassais pas. Je n’étais pas sûr que ça suffise vraiment à la détendre un peu plus, mais je commençais doucement mes va-et-viens, espérant vraiment ne pas lui faire de mal. |
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