“Est-ce que je crois aux fantômes ? Non, mais j’en ai peur.” Ft. Eibell

Once upon a time

Nous approchons l’heure de la fermeture de la pâtisserie. Ma sœur et ma mère finalisent ensemble les recettes de la journée. Elles vont aller déposer le tout à la banque ensuite. Pour ma part, je suis toujours dans la cuisine dans la confection d’un gâteau pour l’anniversaire d’une jeune fille de 14 ans.  Il se trouve que son animal favori est la baleine. Je suis justement en train de finaliser les derniers détails de la baleine bleue quand ma mère m’interpelle de l’entrée de la cuisine. « Elliot, nous sommes prêtes à y aller. Est-ce que tu pars avec nous? » Je pousse un soupir de lassitude avant de tourner la tête dans sa direction. Je sais exactement quelle réponse elle espère de moi. Elle voudrait que je rentre chez moi pour me reposer. Je bosse trop. Elle a peur que je devienne un bourreau de travail comme mon père. « Je veux finaliser ce gâteau avant de rentrer. » « Elliot… » Je coupe ma mère sans hausser le ton. « Gus, dois le livrer demain en début de matinée. J’ai peur qu’avec l’ouverture, je ne sois pas en mesure de le terminer convenablement. » C’est au tour de ma mère de soupirer. « Faites attention en route maman. Bonne soirée. » « Bonne soirée, mon chéri. » Elle vient déposer un baiser sur ma joue malgré le sucre en poudre et la farine qui me couvre. Ça ne lui a jamais dérangé. Elle dit que c’est des petits baisers sucrés. Il me reste qu’une couche de fondant à mettre sur le gâteau avant de pouvoir dire que mon œuvre est terminée. Je ne sais pas combien de temps je reste après la fermeture, mais quand je sors de la cuisine, le soleil est couché. Je m’assure que la porte d’entrée est bien verrouillée avant de passer dans la salle des employés. Mon père a fait installer une douche dans la salle de bain. Il en avait marre de traîner de la farine jusqu’à la maison. Je récupère mes vêtements de ville et m’enferme dans la salle de bain. L’eau chaude détend mes muscles endoloris. Je n’ai pas été de main morte avec les sacs de farines et de sucres de la livraison. Je vais m’en ressentir demain matin. C’est donc tout propre et frais comme une rose que je sors de douche. J’enfile rapidement un jeans ainsi qu’un t-shirt noir. C’est avec mon blouson sur le dos et accompagné de mes clés que je sors enfin de la pâtisserie. Je m’assure que le système d’alarme est bien enclenché. Quand tout est OK, je prends la direction du stationnement des employés. Ma petite Jeep m’attend tranquille, sauf qu’il y a une personne accoter contre le capot. « Excusez-moi, est-ce que je peux vous aider? » Dans la pénombre, je n’arrive pas trop à discerner son visage. Je sais qu’à sa silhouette c’est une femme. J’arrive finalement à sa hauteur. « Vous attendez quelqu’un? » La jeune femme tourne son visage vers moi. Je recule aussitôt. Mon sang fait qu’un tour dans mon corps. Je suis sûr que je suis blanc comme un drap. « Tu..Tu…impossible! » Je dois rêver! Oui, c’est ça ! Je dois avoir collectionné un peu trop les heures de travail. « Tu es morte. » Des mots murmurés plus à moi-même qu’à elle. « Sophia….Comment… Pourquoi?! »

Once upon a time

Cela fesait deja quelque mois que je reportais ce qui allais ce passer dans les minute qui allait suivre... LA pénombre commeçais deja a bien s'installer quand j'entrepris de déambuler dans les rue de la ville.  Le chemin ce fait tout naturellement comme si mon subconscient me disait qu'il était enfin venu temps de la confrontation. Moi qui préférais eviter le tout directement je savais que j'allais me jeter tout droit dans la gueule du loup mais j'en avais bien besoins.  Je commencais a être lasse de l'observer de loins surtout que je m'inquietais de plus en plus pour lui; son attitude était différente, il paraissait plus renfermer et cela me perturbais. j'avais attendu sagement de l'autre coté de la ruelle que sa mère ainsi que ses soeurs partent je n'étais pas prette a tous les revoir en même temps et m'étais diriger vers son véhicule. Je commençais a me dire que j'avais eu la prie idée du siecle; mais il étais hors de question que je fasse demi tours rendu si pret du moment fatidique.

Je suis accoudé au Jeep quand j’aperçois enfin sa silhouette s’approcher de l’endroit de stationnement. Sa voix me fait frissonner ; cela fait si longtemps que je ne l’ai pas entendu ; que j’en reste sans voix. Je me tourne enfin complètement vers lui et ne peut m’empêcher de lire l’incompréhension ; il semble complètement aux dépourvues et moi donc... j’avais ou bel et bien décider de lui parler, mais pour lui dire quoi.. Qu’est-ce que'y s’est passé pendant ces 5 dernières années !? ; il allait me revirer de bord bien assez vite. UN peu comme Nell l'avais fait au fête passer quand nous nos route c'étais croiser dans un marché.

« Elliot. C’était compliqué et ce le sera toujours ; en fait je ne voulais pas vous mettre en danger voilà...! »

Je prends une pause ne sachant pas trop vers ou commencer et si mon ami va bien vouloir me croire pour ce qui va suivre. Je n'avais quand meme jamais aimer devoir mentir quoi que j'avais du le faire pratiquement toute ma vie. j'en avais désormais assez de fuir et je voulais retrouver les personne qui autrefois avait compter pour moi

« Tu n'as pas tout a fait tord de m'avoir cru morte Sophia est bel et bien disparue de tout système et donc je crois bon que comme début de conversation je devrais te dire que désormais je me prénomme Eibell... Je sais que tu dois avoir mille et une questions qui te passe par la tête et je vais tenter de leur répondes du mieux que je peux; mais sincèrement toi comment vas-tu ? »