Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
STATUT : with golden string, our universe was brought to life, that we may fall in love every time we open up our eyes (isling)
Sujet: Re: Entre l'amour et la haine, il n'y a qu'un pas [Isling] Sam 29 Déc - 18:30
Isaiah avait du mal avec la possessivité. Il avait du mal avec la jalousie, avec l’incapacité à partager quelqu’un. Peut-être était-ce parce que son propre cœur était tellement grand qu’il aurait pu en donner une part à chaque être humain dans ce monde. Il n’aimait pas imaginer Aisling aussi possessive envers quelqu’un, et non pas parce qu’il était jaloux, mais bien parce que ça lui faisait peur. Il savait qu’elle n’était pas parfaite, personne ne l’était, mais c’était une caractéristique de sa personne qu’il redoutait parfois. Parce qu’il avait peur que ça lui fasse du mal, à elle, et il avait raison de le croire puisque visiblement elle en souffrait. « Si lui doit te partager avec d’autres, avec moi par exemple, il faudra que tu te fasses à l’idée qu’il ne peut rester là à t’attendre. » Il caressa la peau de sa main, un sourire en coin. « J’n’ai pas envie de le savoir là à t’attendre. » Ils étaient biens, tous les deux, ils étaient bons l’un pour l’autre. Et même s’il faisait totalement confiance à Aisling, et même s’il pourrait lui pardonner un égarement, il n’avait pas envie que cet homme vienne se mettre entre eux deux. Ils avaient eu tellement de temps pour être avec les autres, là, c’était leur temps à eux. « T’as pas à le chasser complètement de ton monde, tu sais. Peut-être qu’il faut que vous réappreniez à être ensemble, d’une autre manière. » Il haussa les épaules. Qu’en savait-il ? Il n’y avait qu’eux, qu’Aisling et Ciàran, pour comprendre cette relation qui les unissait si fortement. Et il n’y avait qu’eux pour savoir quoi en faire à présent. Il posa son menton sur le dessus de la tête de la blonde, fermant les yeux à son tour. « Je t’aime aussi. » Souffla-t-il.
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moi je traîne dans ma remorque, tous les excès d'mon époque. la surabondance surgelée, shootée, suremballée. pendant qu'les vœux pieux passent dans l'beurre, que notre insouciance est repue, c'est dans le fond des containers que pourront pourrir les surplus. la question qu'j'me pose tout l'temps : mais que feront nos enfants quand il ne restera rien, que des ruines et la faim ? by anaëlle.
Entre l'amour et la haine, il n'y a qu'un pas [Isling]