Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Dim 18 Aoû 2019 - 22:55
Elle essayait de donner le change, de montrer au monde entier qu'elle pouvait s'en sortir sans Niels, qu'elle n'errait pas en apnée et qu'elle n'avait pas besoin de sa présence pour sourire de manière franche, mais elle se mentait depuis le départ. Elle ne se remettrait jamais de son absence et la douleur qu'elle portait dans le cœur en était la preuve. Dès que son esprit divaguait, c'était Niels qu'elle voyait, qu'elle entendait, qu'elle sentait, comme s'il n'était jamais vraiment parti, qu'il était incrusté dans la moindre de ses cellules qui désiraient le garder précieusement, comme dans la peur qu'on ne vienne lui retirer le peu de moments de bonheur qui lui restaient. Elle ne pouvait pas jouer devant son regard qui la sondait, qui l'avait toujours lu comme un livre ouvert. Elle n'avait jamais exercé énormément de résistance devant l'effondrement de sa carapace qui n'avait plus lieu d'être face à la tendresse qu'il lui offrait, et celle qu'elle ne disposait qu'avec lui. S'il savait, à quel point Evan ne le remplacerait jamais, à quel point elle mourait loin de Niels, sans avoir d'autres choix que d'accepter cette situation qui ne leur convenait pas. Elle rigola légèrement à sa remarque, se prenant à penser qu'Evan ne mettrait sûrement pas un centime dans sa libération si ce scénario viendrait à se présenter, lui qui ne l'aimait qu'en surface, comme elle pouvait le faire.
- Vu comme je suis insupportable, peut être qu'il te payerait même bien plus cher pour que tu me gardes, qui sait. Je l'énerve souvent, s'amusa-t-elle.
Et elle savait que ce mot était faible, qu'il piquait des crises de rage au moindre fait et geste qui n'allaient pas dans son sens, se défoulant très régulièrement sur le mobilier qui les entourait dans leur appartement, imprégnant les murs d'un vent de stress perpétuel. Elle haussa un sourcil curieux et joueur à ce qu'il vint ajouter, se plaisant à imaginer cette image qu'il dépeignait d'eux.
- On se la joue toujours un peu comme ça nous deux, ça m'étonnerait pas qu'un jour on vienne à fuir toi et moi. Avec Hank évidemment. On irait partout et nulle part, mais je sais que je me sentirais toujours chez moi avec vous deux, admit-elle sur un ton rêveur.
Elle ne plaisantait pas tant que ça, voyant dans ces songes un moyen de s'extirper de la vigilance d'Evan et de son père qui avait des yeux partout, son esprit s'apaisant en faisant défiler ce film qui les mettait en scène, eux deux contre le monde, leurs mains liées, leurs âmes foulant le même chemin animées par l'espoir de toujours s'en sortir pour se retrouver à deux. Elle avait besoin de ces quelques rêveries pour voir sa douleur diminuer, parce qu'elle savait que dans quelques heures, elle reviendrait de toute façon la hanter. Elle aimait entendre qu'il l'attendrait, comme elle le ferait, parce que son quotidien ne se poursuivait que dans ce but ultime. C'était ce qui la faisait respirer, elle qui espérait chaque jour que tout ne vienne s'arrêter pour simplement leur permettre de s'aimer. Aelya comprenait ce que Niels ressentait, cette jalousie qui administrait une angoisse sourde dans le creux de ses pensées alors qu'il s'imaginait qu'elle puisse ne plus le désirer dans sa vie, suite à son départ. Elle se faisait les mêmes films, serrant instinctivement la mâchoire rien qu'à la seule idée qu'elle se faisait de Sienna et Niels quand ils se retrouvaient seuls entre ces murs. Elle avait cherché à le rassurer, à éteindre toutes ses pensées obscures qui ne représenteraient jamais la vraie valeur de ses sentiments.
- On trouvera une solution mon cœur. Faut juste qu'on se laisse le temps de se retrouver déjà pour commencer. Faut qu'on soit patients, ajouta-t-elle doucement.
Ils n'avaient jamais vraiment appris à attendre, eux qui adoraient se brûler les ailes dans la passion de leur amour, sans s'intéresser à ce temps nécessaire qu'ils devaient prendre pour ne pas s'écraser en plein vol. Le fait est qu'Aelya ne regardait pas les conséquences de ses actes quand elle ne voyait que l'opportunité d'être avec Niels. Ses lèvres répondirent aux siennes dans un baiser animé par leur désir et affection qu'ils se voulaient mutuellement, Aelya se réfugiant un peu plus près de lui pour sentir la chaleur de son corps dans la danse enivrée de leurs lèvres.
- Faut croire que cette fille elle aime beaucoup trop son mec qui s'attire souvent des problèmes aussi, répondit-elle sur un ton joueur, son front caressant doucement le sien, insistant sur son appartenance parce que dans sa tête, il était toujours à elle.
Elle tendit une nouvelle fois la nuque pour l'embrasser, ne se lassant jamais de lui montrer l'étendue de ses émotions qu'il provoquait.
- T'as juste pas eu de chance bébé... C'est surtout ça, se moqua-t-elle d'elle même, le regard pétillant d'admiration pour l'homme de sa vie.
Elle déposa quelques baisers fiévreux dans son cou, avec le besoin de le marquer sans pourtant y céder, n'ayant aucune intention d'attirer l'attention sur leur relation interdite même si ce n'était pas l'envie qui lui manquait. Elle le suivit sans hésitation dans la chambre, son corps accueillant le sien au milieu de ces draps qui avaient trop de fois été maltraités sous l'effet de leur amour, le laissant la déshabiller alors qu'elle en faisait de même, ses yeux valsant sur son être dont elle était follement amoureuse pour toujours.
- Je te fais confiance mon amour, murmura-t-elle, agitée par le désir qu'il déployait en elle.
Elle se tordait sensuellement à la sensation de sa main qui était venue se loger entre ses cuisses, la sienne faisant en sorte de lui donner le même plaisir dans des caresses brûlantes qui animaient son souffle, alors qu'elle sentait son envie se développer sous ses doigts.
- Tu m'excites trop bébé, souffla-t-elle à son oreille, laissant ses expirations chaleureuses s'y échouer.
Elle continua ses mouvements jusqu'à ce qu'il ne vienne à retirer leur bas, sa peau frémissant au contact de son corps contre le sienx invitent ses cuisses à presser ses flancs pour l'attirer au plus près d'elle. Elle capta son regard à sa question, désirant qu'il puisse se donner de l'amour sans aucune limite, ses lèvres accrochant les siennes avant d'entendre sa réponse.
- Y'a jamais rien qui changera tant qu'on s'aime comme ça, admit-elle amoureusement.
Elle le guida à l'intérieur de son corps, ressentant une immense vague de bien être l'atteindre, la poussant à soupirer de manière plus bruyante, ses bras se refermant autour de ses flancs comme pour le garder près de son cœur qui battait pour lui, de manière survoltée. Elle attrapa ses lèvres en suspension au-dessus des siennes, réprimant ses soupirs de plaisirs alors qu'il ondulait contre elle, ses jambes se rejoignant dans son dos.
- C'est la seule promesse que je veux qu'on se fasse mon bébé, avoua-t-elle entre deux expirations.
Ses mains vinrent se loger dans sa nuque quand il vint tout près de son oreille, Aelya fermant les yeux sous l'effet de ses murmures qui la faisaient frissonner de plaisir alors que son bassin suivait les mouvements du sien.
- Mon amour... Gémit-elle quand elle sentit ses lèvres jouer avec son lobe puis cou. J'ai trop envie que tu me dévores bébé... J'en ai vraiment trop envie... Laisse moi une trace de toi, même légère, mais fais le mon coeur... Le tenta-t-elle, n'ayant plus aucune notion de raison qui coulait dans ses veines alors que son sang entrait en ébullition.
Ses doigts vinrent passionnément érafler son dos en glissant tout du long alors qu'elle tendit sa nuque vers ses lèvres qu'elle attrapa entre ses dents de manière joueuse.
- T'es toujours mon plus beau fantasme, j'espère que tu le sais, murmura-t-elle, séductrice.
Elle le fit basculer sur le côté pour venir au-dessus de lui, un sourire malicieux sur les lèvres maintenant qu'elle savait qu'elle pouvait mener la danse.
- Je veux que ça dure mon bébé... J'vais te torturer un peu... Affirma-t-elle, charmeuse, ralentissant le rythme pour se déhancher dans des mouvements plus amples, ses doigts caressant les courbes de son torse, laissant échapper quelques gémissements entre ses lèvres, désireuse de profiter de lui le plus longtemps possible.
Levi Wheeler
MESSAGE : 24793 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : lumos solem (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Lun 19 Aoû 2019 - 19:42
Rien n’était pareil sans Aelya, la vie elle-même perdant en couleurs, en luminosité, poussant Niels à prendre des décisions hâtives, parfois sans aucun sens. Il regrettait leur vie ensemble, repensant à toutes les promesses qu’ils s’étaient faites après avoir perdu leur bébé, eux qui avaient souhaité rester soudés même dans la douleur. Et même ça, ils n’avaient pas réussi à le faire. Parce-que Niels s’était mis dans la tête qu’Aelya méritait une autre vie et un homme qui ne ferait pas que la tirer vers le bas. Sauf que maintenant, le fait de la savoir avec Evan appuyait encore plus sur son manque de confiance en lui, comprenant qu’elle avait trouvé bien mieux ailleurs, cet homme à qui tout semblait réussir et qui avait tout pour lui plaire. Si l’envie de la récupérer lui brûlait la peau à chaque seconde de sa vie, il savait aussi que tout ne serait pas aussi simple, plus maintenant. Il avait souri à ses propos qui essayaient de le faire rêver, se prenant à penser qu’un jour, ils parviendraient à se retrouver officiellement eux aussi, sans qu’il n’y ait personne entre eux. « Je te l’ai dit… y’a que moi qui puisse te supporter. » Ajouta-t-il, le sourire aux lèvres, finissant par lui adresser un clin d’oeil empli de malice. Il se plaisait à croire que la personnalité d’Aelya était faite pour se fondre à la sienne, eux qui se comprenaient sans le moindre mot, à travers des regards qu’ils étaient seuls à pouvoir déchiffrer. Et il sentait bien, Niels, que leur complicité était toujours là, presque intacte, ayant survécu aux pires sévices. « On est le trio gagnant, j’ai jamais douté de ça. Et tu sais bien que moi non plus, j’ai besoin de rien d’autre que vous deux. » Souffla-t-il amoureusement, imaginant très clairement la route qu’ils pourraient suivre tous les trois, dans la plus grande des simplicités, eux qui n’avaient de toute façon jamais eu besoin de beaucoup, ni d’artifices, pour trouver leur bonheur. Et Aelya était la seule à le comprendre, que Niels n’avait besoin que de ses bras pour pouvoir sourire sans avoir à se forcer, son coeur parvenant seulement à battre dans son étreinte qui n’avait aucun égal. C’était la raison pour laquelle il n’avait pas d’autre choix que de l’attendre, sans même savoir ce qui allait se passer pour eux, ayant l’impression qu’il s’engageait dans une impasse sans issue. Mais Aelya valait le coup, et s’il n’avait pas su le lui montrer avant, il savait qu’il comptait le faire maintenant. Il tentait de se rassurer avec son regard brillant, qui semblait porter l’amour qu’elle lui vouait, le même qu’il éprouvait à son égard. Ses doigts liés aux siens, il hocha la tête à ses paroles, cherchant à ne pas penser à Evan, ni à Sienna, leur vie étant déjà rythmée par eux, par ces personnes qu’ils avaient choisi par défaut, parce-que la solitude ne leur réussissait pas. Il avait néanmoins du mal à songer à être patient lorsqu’il s’agissait d’elle, lui qui aurait certainement voulu plonger la tête la première dans cette relation qui lui tendait les bras et à laquelle il voulait s’accrocher. « J’espère. On verra bien… » Répondit-il, essayant de capter la lueur d’optimisme qu’il lisait dans ses yeux, se confortant avec les baisers qu’ils vinrent échanger sans se réprimer, son amour explosant contre elle et la chaleur de ce corps qui lui avait terriblement manqué. Un sourire s’inscrivit sur ses lèvres à sa rétorque, sa bouche tentant encore la sienne en la frôlant tandis que son coeur battait au rythme des mots qu’elle glissait jusqu’à son oreille. « Je crois qu’ils étaient faits pour être ensemble alors… » Dit-il, d’un air joueur et malicieux, approchant son visage du sien lorsqu’elle l’embrassa à nouveau, sa main se réfugiant sur sa joue pour prolonger leur échange. Il pouffa de rire à ses mots moqueurs, faisant mine d’entrer dans son jeu alors qu’il feignait un soupir s’exaspération, levant les yeux au ciel. « Ouais je sais. Faut faire avec maintenant… » Il adorait la chercher, lui tourner autour de la sorte alors que leur complicité refaisait surface, sans montrer aucun signe d’affaiblissement. Son désir, lui aussi, commençait à reprendre forme sous les baisers appuyés qu’elle lui laissa dans le cou, mettant à mal la régularité de sa respiration qui vint s’emballer, le poussant à l’amener dans la chambre qui avait accueilli leur amour pendant de longs mois. Il se mordit la lèvre en la voyant allongée, prête à le recevoir contre elle, sa peau s’enflammant au contact de la sienne. Il laissa son souffle précipité s’échouer contre son oreille alors que ses doigts étaient venue se faufiler derrière les tissus, tentant de la faire vibrer de plaisir avant de la retrouver entièrement, Aelya ayant l’idée de le suivre dans sa démarche en s’occupant de lui. « Toi aussi bébé… C’est bon de te sentir comme ça. » Lâcha-t-il, les quelques mouvements de son corps l’incitant à continuer ses caresses fiévreuses, jusqu’à ce qu’il ne vienne retrouver sa peau où elle pouvait largement se rendre compte de son désir pour elle, appréciant de sentir l’étau que formaient ses cuisses contre son bassin alors qu’il cherchait à faire patienter leur acte. « J’compte pas t’aimer autrement que comme ça mon bébé. J’suis tellement amoureux de toi… » Lui avoua-t-il, déposant quelques baisers sur ses lèvres, avant que la liaison de leurs corps ne vienne s’effectuer, le propulsant dans ce monde qui n’appartenait qu’à eux. Il se mordit fortement la lèvre avant d’expier son plaisir dans un gémissement plus bruyant, incapable de tout retenir pour lui alors que son corps ondulait contre le sien dans un rythme contrôlé, approfondissant ses mouvements pour lui procurer le plus de plaisir. Il ferma les yeux à son soupir, ses lèvres venant se réfugier près de son cou, jouant avec son lobe et les mots qu’il lui glissait à l’oreille. « Bébé… On prend des risques. » Lâcha-t-il, relevant les yeux vers elle, ses lèvres se pressant près des siennes, glissant sur sa joue puis sa mâchoire, avant d’entamer une descente fiévreuse vers sa poitrine où il taquina sa peau avec ses dents, lui laissant une marque bien plus discrète que ce qu’il avait l’habitude de faire. « Ça devrait être interdit par la loi d’être aussi sexy… » Souffla-t-il, charmeur, son regard cherchant le sien, assombri par le désir, alors qu’il contracta les muscles en sentant ses ongles s’enfoncer dans sa peau, l’incitant à accélérer ses coups de rein. « Rappelle-le moi encore. » Dit-il, un sourire malicieux sur les lèvres, avant de se retrouver basculé sur le dos, Aelya semblant vouloir prendre les commandes. « T’as pas changé… » S’amusa-t-il, faisant référence à son envie de le torturer, se mordant la lèvre en la voyant se déhancher avec une sensualité folle contre lui. « Putain bébé… » Lâcha-t-il, tendant la nuque sous le plaisir qui le foudroyait, ses mains venant empoigner ses hanches pour guider ses mouvements. Les pupilles dilatées par l’envie, il fit glisser une de ses mains sur son corps, caressant ses clavicules, passant sur sa poitrine pour descendre jusqu’à son nombril avant de rejoindre son entre-jambe. Epris d’un désir incontrôlable, il se redressa pour atteindre les lèvres d’Aelya, ses deux bras l’entourant amoureusement, renforçant son étreinte pour la sentir au plus près de lui. Il se laissa porter par leurs mouvements mutuels, son souffle devenant de plus en plus bruyant jusqu’au point de non retour, Niels déversant son plaisir dans son corps, foudroyé par le bien-être de la sentir contre lui. Il se laissa tomber sur le dos après quelques secondes, sa cage thoracique se soulevant à un rythme rapide alors qu'il tentait de reprendre son souffle, laissant Aelya se détacher de lui pour s'installer à côté de lui. « Laisse-moi cinq minutes mon amour... J'veux encore profiter de toi. » Lâcha-t-il à son oreille, venant se coller contre elle, ses lèvres plongeant dans son cou où il l'embrassa doucement, conscient que leurs retrouvailles toucheraient bientôt à leur fin.
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Invité
Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Lun 19 Aoû 2019 - 23:30
Aelya avait tout mis en œuvre pour recueillir Niels contre son cœur quand il s'en éloignait, allant même jusqu'à lui offrir une parcelle d'espoir en la présence de leur chiot, pensant qu'il ne suffisait que de ça finalement, d'une overdose d'amour pour colmater les brèches qui s'ouvraient de jour en jour sous ses yeux impuissants. Ils s'étaient tous les deux emmurés dans le silence de leur peine, Aelya devenant lasse de voir que tous ses efforts s'épuisaient dans le néant, elle qui avait toujours voulu inscrire le plus beau des sourires sur le visage de l'homme de sa vie, celui qu'elle se prenait à admirer en cet instant, imprimant cette dose de bonheur qu'elle percevait, comme pour réchauffer ses souvenirs lugubres qui dansaient encore dans les tréfonds de son esprit.
- Faut pas être net pour me supporter. J'ai toujours su que t'avais ce truc en plus que personne n'a, le taquina-t-elle, séductrice.
Leur complicité crevait les yeux, leur donnant cette impression presque palpable que la distance et les problèmes n'auraient jamais raison de ce lien si profond, celui qui avait planté ses racines dans le creux de son cœur amorphe, quémandant les battement de celui de Niels pour se donner la possibilité de refonctionner normalement.
- Je pense que Hank aussi est d'accord avec ça, il a pas l'air de vouloir d'un quatrième membre dans notre équipe de choc, s'amusa-t-elle fièrement.
Elle était rassurée à l'idée qu'elle ne soit pas la seule à regarder Sienna d'un mauvais œil, Aelya qui voyait en elle la personnification de toutes ses peurs, parce qu'elle était arrivée à s'accaparer l'amour de sa vie en son absence, permettant à sa jalousie de devenir bien plus acide, Aelya tentant tout naturellement d'attirer Niels dans ses filets en l'invitant à entrer dans son jeu de séduction, elle qui lui tournait autour pour mieux lui céder, trahissant son amour immortel pour lui, puisqu'en dépit de ses fiançailles, c'était Niels qu'elle regardait de cette manière, hypnotisée par tout ce qu'il dégageait constamment. Elle interiorisait cet espoir enfoui dans son âme, celui de les voir réunis à nouveau, évitant de le faire exploser bien qu'elle en avait envie, parce qu'elle savait que Niels serait capable de se brûler les ailes en essayant de la rejoindre s'il savait toute la vérité. Elle n'avait aucune envie de prendre le risque de le perdre pour de bon, lui qu'elle se devait d'accepter dans les bras d'une autre, mettant à mal son âme qui n'avait jamais eu l'intention de s'allier à une autre, agitée par la crainte de comprendre que Niels avait peut être trouvé la perle rare. C'était aussi pour ça qu'elle était là, lui remémorant d'une manière égoïstement amoureuse qu'elle pensait toujours à lui, qu'il était en elle et qu'elle ne pouvait pas se faire l'idée qu'ils ne vienne à s'oublier avec d'autres. Caressant ses lèvres avec les siennes, elle s'essouflait dans ces baisers empreints d'une affection infinie. Son regard brillant d'émotions croisa le sien, animant un sourire joueur sur ses lèvres qui dansaient juste au-dessus des siennes, s'amusant de cette proximité qui avait toujours agit comme un aimant entre leurs deux corps.
- Je veux croire qu'ils sont toujours faits pour être ensemble, renchérit-elle entre l'amusement et la tendresse.
Elle voulait encore disséminer de l'espoir dans ses yeux, parce qu'elle croyait en ses mots, en ce qu'ils tenaient entre leurs mains et qui ne s'était pas brisé malgré leurs cœurs en miettes suite à leurs difficultés. Elle approcha son visage du sien pour l'embrasser sa main se posant sur la sienne pour la caresser alors qu'il la posa sur sa joue. Elle était touchée par l'attention qu'il lui vouait, surtout maintenant que son quotidien était compromis par une autre présence qu'Aelya aurait voulu balayer pour ramener Niels sur son chemin qu'il avait décidé de quitter. Son rire rejoignit le sien à son air faussement exaspéré, s'amusant du fait qu'elle n'était pas vraiment un cadeau. Et pourtant, dans ses bras à lui, elle s'était toujours sentie d'une valeur inestimable, le genre de sensations qu'elle avait constamment cherché à lui administrer également.
- Essaye de me survivre. J'ai pas envie de perdre mon souffre-douleur favoris moi, répondit-elle malicieusement.
Elle savourait cette ambiance légère qui se dessinait autour d'eux, sentant sa volonté à rentrer chez elle s'affaiblir alors qu'elle vint grignoter son cou de baisers, goûtant à la douceur de son corps et à ce parfum qui lui avaient tant manqué. Elle n'avait rien oublié de lui, et elle savait que ça aurait été la même chose si des années s'étaient écoulées, Aelya qui avait avant l'habitude d'occulter la présence de n'importe qui après quelques heures passées en dehors des draps qui avaient pu l'accueillir. Le suivant dans la chambre, son corps s'était directement collé au sien, re-découvrant avec une hâte non dissimulée son être qui la ferait toujours chavirer, sentant la brûlure de son désir taquiner son bassin tandis qu'il jouait avec elle, Aelya ayant ce même appétit pour le faire bondir d'envie, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus penser à personne d'autre qu'à elle, qui secrètement voulait imprégner les murs de ses soupirs, de son parfum, de sa présence pour ne jamais plus le quitter.
- Tes mains m'ont trop manqué mon amour... Y'a que toi pour me faire cet effet si tu savais comme tu me rends dingue là... Souffla-t-elle entre deux soupirs saccadés qui se percutaient contre les murs de la chambre.
Elle n'était jamais comme ça avec Evan, elle n'était tout simplement pas là, perdue dans ses images passionnées qu'elle partageait avec l'homme de sa vie. Sa peau frémissait à la sensation de son bassin tout proche du sien après qu'ils aient tous les deux été dépossédés de leurs sous vêtements, ses cuisses se pressant sur ses flancs pour l'inciter à s'infiltrer à l'intérieur de son corps désireux de se lier à celui de Niels, alors que ses pupilles luisaient d'envie au contact de son envie palpable.
- Bébé... Personne arrivera jamais à nous détruire. Parce que personne peut nous faire arrêter de nous aimer, susurra-t-elle amoureusement suite à ses mots d'amour qui n'avaient de cesse d'activer son cœur.
Elle cilla quand elle perçut son âme se lier à la sienne, agitant sa respiration qui s'emballait alors qu'elle étouffait ses gémissements contre ses lèvres, ceux-ci s'animant à l'entente des siens, peinant à réprimer cette vague de bien être qui la faisait tout oublier, jusqu'à leur triste réalité qui les déchirait. Dans ses bras, c'était comme si elle était revenue à ses côtés, comme s'ils étaient encore ensemble. Et quelque part, elle savait que c'était le cas. Parce qu'ils étaient indestructibles. Le cœur au bord des lèvres, elle lui avait demandé de la marquer, son sang bouillonnant sous l'effet du plaisir et du désir urgent qu'il déployait dans son corps avec la chaleur de son souffle près de son oreille.
- Je m'en fou des risques bébé... Je te veux sur ma peau, là où t'as toujours été, admit-elle d'une voix passionnée, son regard se plantant dans le sien avant qu'elle ne lui rende son baiser, le regardant descendre le long de sa mâchoire avec intérêt, fermant les yeux à la sensation de ses lèvres sur sa poitrine, sa cage thoracique se soulevant au même moment. S'il faut ça pour que tu me reviennes tout le temps, j'pense que je peux m'arranger pour être de plus en plus sexy amour, répondit-elle, se mordant la lèvre inférieure.
Ses lèvres s'entrouvaient dans des gémissements à chacun de ses coups de reins, laissant ses ongles tracer des chemins sur sa peau rougie par la passion, sa peau brûlant de chaleur contre la sienne alors que le lit tanguait contre le mur.
- T'es l'homme de tous mes désirs mon amour... Murmura-t-elle à son oreille d'une voix envieuse.
Elle inversa quelques secondes plus tard leur position, son corps venant se placer au-dessus du sien pour gérer leur plaisir, ses yeux s'illuminant dans la malice à sa remarque.
- Jamais quand c'est toi, dit-elle avec un clin d'œil.
Elle bougeait sensuellement contre lui, ses mains parcourant son torse en même temps, son regard ne le lâchant pas, jouant avec son plaisir qu'elle aimait entendre, aggrémentant ses gémissements alors qu'il vint empoigner ses hanches pour guider ses mouvements.
- Laisse toi aller bébé... T'es magnifique quand t'es comme ça, ajouta-t-elle, la voix suave.
Elle soupira profondément à la descente de sa main qui fit le trajet du haut de son corps jusqu'à son bas ventre, la faisant renverser la nuque, l'incitant à augmenter la cadence de sa danse qu'elle menait. Ses mains vinrent se loger dans son dos quand il se redressa contre elle, ses lèvres expirant son plaisir contre les siennes avant qu'elle ne vienne mordiller sa mâchoire, son front venant effleurer celui de Niels jusqu'à l'atteinte du nirvana qui la projeta dans leur univers, l'invitant à gémir une dernière fois, celui-ci s'éteignant dans sa respiration saccadée. Elle se détacha de son étreinte quand il se laissa tomber dans le lit, Aelya s'allongeant à ses côtés, fondant pour ses mots.
- Ce sera pas la dernière fois mon cœur... J'ai trop aimé ça, avoua-t-elle, sa main caressant doucement sa joue alors qu'il disposait de légeres pressions dans son cou. Dis moi qu'on va se revoir bébé... J'ai besoin de toi, ajouta-t-elle amoureusement en tendant la nuque pour retrouver ses yeux.
Elle se mit sur son flanc pour mieux le regarder, ses doigts traçant une courbe sur son torse qu'elle caressait.
- Elle te fait autant de bien... Elle ? Demanda-t-elle, jalouse.
Levi Wheeler
MESSAGE : 24793 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : lumos solem (av), awona (sign), strangehell (icons)
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Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Mar 20 Aoû 2019 - 3:37
Il savait qu’Aelya avait fait tout son possible pour le sauver, pour les sauver du naufrage qui avait menacé leur couple, sans pouvoir l’éviter. Pourtant, aujourd’hui, il se rendait compte qu’il aurait dû y croire plus fort, s’accrocher à elle même si son espoir avait été réduit à néant. Parce-qu’il ne croyait plus en rien depuis qu’elle n’était plus dans sa vie, lui qui avait pensé que ça serait la meilleure des solutions pour eux, pour leurs bonheurs respectifs. Mais il était incapable de lui mentir, pas à elle, qui devait très certainement se rendre compte qu’il avait terriblement besoin d’elle, qu’importe ce qu’il pouvait essayer de faire croire aux autres. Elle le connaissait mieux que personne, parvenant à lire en lui comme dans un livre ouvert, déceler tout ce qu’il passait sous silence et qui ne lui échappait pas. Son sourire se fit plus franc à sa remarque, se plaisant à penser qu’elle avait raison, qu’il était le seul à être fait pour elle, son âme-soeur. « On arrive à se supporter tous les deux, j’présume qu’on est loin d’être nets. » S’amusa-t-il, pensant à Sienna, à sa façon d’essayer de le réparer sans comprendre réellement le mal qui le rongeait, la voyant se donner du mal, sans doute trop. Son regard valsa sur leur chiot à sa remarque, s’amusant de son air interrogateur alors qu’il avait compris qu’il était le sujet de leur conversation. « Il a bien compris qui était sa vraie famille. » Dit-il, à la fois amusé et attendri, rêvant de pouvoir rendre ces songes concrets même si pour l’instant, le désir de se retrouver officiellement semblait compromis par le fait qu’ils n’étaient plus libres. Il ne pouvait d’ailleurs pas s’empêcher de craindre Evan qui avait posé son empreinte sur la femme de sa vie, se l’appropriant comme s’il était le seul à l’aimer, Niels sentant la jalousie le ronger à chaque fois qu’il pensait à lui. Il aurait sans doute aimé qu’Aelya ne rende ses paroles concrètes, lui prouvant son amour en le choisissant lui, même s’il se doutait bien que cet homme avait pris une place importante dans sa vie, et c’était sans doute pour cela qu’elle s’était liée à lui aussi rapidement. Mais ce soir, c’était avec lui qu’elle était et il refusait de laisser sa rancoeur leur gâcher ce moment si spécial, son coeur trépignant d’impatience depuis la soirée où ils s’étaient revus, lui qui s’était forcé à ne pas précipiter les choses bien que l’envie le démangeait. Il se laissa embrasser, redécouvrant avec passion la douceur de ses lèvres qui se fondaient toujours aussi harmonieusement sur les siennes, suivant le rythme qu’elle imposa, son souffle se perdant contre le sien pendant cet échange passionné. Il se mordit discrètement la lèvre à ses mots qui ravivaient la flamme d’espoir en lui, comprenant qu’Aelya partageait la même envie que lui, celle de les voir de nouveau réunis. « Ils le sont toujours. » Ajouta-t-il, sur un ton plus confiant, comme s’il était certain de ce qu’il avançait, ses yeux brillant d’affection pour elle, refusant de croire qu’il y avait une fin à leur histoire, parce-que tout semblait toujours les ramener l’un vers l’autre. Personne ne pouvait prendre sa place, Niels ne se sentant pas prêt à aimer une autre qu’elle, son coeur restant figé dés qu’on lui demandait de s’ouvrir à une autre femme, comme Sienna cherchait à le faire, s’impatientant de son manque d’initiatives pour leur couple. Il culpabilisait à l’idée de lui donner de l’espoir alors qu’au fond de lui-même, il savait très bien qu’il ne pourrait jamais se donner à elle comme il l’avait fait avec Aelya, se voyant incapable de se projeter dans l’avenir. Et maintenant qu’il avait l’impression que leurs chemins pouvaient de nouveau s’entremêler, Niels comprenait que ses agissements avec Sienna seraient de plus en plus compliqués, lui qui aurait souhaité donner tout son amour à Aelya. Il apprécia la caresse de ses doigts sur sa main, ses lèvres accueillant les siennes sans parvenir à s’en lasser, son contact le faisant frémir. Il s’amusa de ses mots, hochant doucement la tête à leur malice, Niels se prenant à rêver qu’il garderait sa place pour l’éternité. « J’vais faire de mon mieux. J’te promets rien. » Souffla-t-il, continuant le jeu qui se tramait autour d’eux, avant de rire légèrement. Parce-que s’il y avait bien une activité dont il ne se passerait jamais, c’était bien celle d’aimer Aelya et d’être son compagnon de vie, lui qui avait appris à aimer la vie de couple à ses côtés, devenant bien vite accro à tout ce qu’elle lui apportait au quotidien. Elle ne le perdrait jamais et c’était ce qu’il avait tenté de lui faire comprendre en l’invitant contre lui dans ce lit qu’il considérait toujours comme le leur, même s’il l’avait partagé avec une autre pendant ces dernières semaines. Il voulait inscrire son empreinte sur son corps, comme avant, se prenant à jouer avec son désir, ses mains redécouvrant ces parcelles de ce corps qu’il aimait tant et dont il n’avait rien oublié. « Elles sont faites pour ton corps, mes mains… Ça m’a trop manqué de te toucher comme ça bébé. » Souffla-t-il fiévreusement, son coeur se débattant à l’entente de ses soupirs, ceux qu’il laissait également échapper, son plaisir se répercutant sur les murs alors qu’elle continuait de faire grandir son envie avec ses doigts. Finalement, il fit tomber bien rapidement leurs derniers vêtements, n’attendant plus que son accord pour se lier à elle, comprenant par la pression de ses cuisses sur son bassin qu’elle désirait le percevoir en elle, comme avant. Il répondit à leur envie commune, son anatomie se glissant dans celle d’Aelya, sa peau se parsemant de frissons à ses mots et aux sensations qu’il redécouvrait. « T’es mon âme-soeur… » Murmura-t-il amoureusement, retrouvant ses lèvres qui atténuaient le bruit de ses gémissements, les écrasant contre son souffle, sentant qu’il touchait du bout des doigts ce rêve de la récupérer, de l’avoir pour lui même si la réalité viendrait de nouveau les bousculer après ce moment d’égarement qui n’en serait jamais un pour lui. Parce-qu’après ces longs mois, c’était sans doute la première fois qu’il avait l’impression de faire quelque chose de sensé, son corps se mouvant contre celui de la femme qu’il aimait éperdument. Il se mordit la lèvre à l’entente de ses mots, décidant de franchir la limite de raisonnable en la marquant de sa passion, choisissant une parcelle de sa peau qu’elle dissimulait en temps normal afin de lui faciliter la tâche. « J’aime tellement te voir avec mes marques mon bébé… » Lâcha-t-il, regardant avec envie la trace rougeâtre qu’elle portait sur le haut de sa poitrine, ses lèvres s’écrasant de nouveau contre les siennes alors qu’il se laissait porter par son envie de la voir crouler de plaisir, le lit chancelant sous l’effet de leurs mouvements de plus en plus rapides. « C’est trop bon mon amour. » Souffla-t-il, avant qu’Aelya ne vienne le faire basculer sur le dos, contrôlant son plaisir comme bon l’entendait. Rapidement, il sentit ses sensations se décupler sous l’effet de ses hanches qui dansaient contre lui, ses muscles se contractant devant ce plaisir presque insupportable, son souffle précipité se transformant en gémissements. « T’arrête pas mon coeur. » Il guidait ses mouvements, finissant par se redresser après avoir caressé son corps, l’étreignant contre lui, cherchant à atteindre l’apogée du plaisir en même temps qu’elle. Un gémissement bien plus long et profond s’égara de ses lèvres lorsqu’il sentit l’envie le foudroyer, Niels finissant par se laisser tomber dans les draps, à court de souffle. « Je refuse que ça soit la dernière fois. J’veux faire l’amour avec toi toute ma vie. » Dit-il, se réfugiant dans son cou qu’il embrassa doucement, éteignant le feu de leur ébat dans des gestes plus doux. Il releva les yeux à sa remarque, son regard se voulant amoureux alors qu’il hocha doucement la tête. « C’est toujours chez toi ici. Tu peux venir quand tu veux, je t’attendrai tous les jours… J’ai besoin de te retrouver bébé. » Dit-il, comprenant que leur séparation allait engendrer un manque inouï dans son coeur, dans son âme qui se verrait vide sans elle, sans sa présence vitale. Il avait du mal à songer aux minutes qui suivraient son départ, ressentant déjà la brûlure de son absence le ronger. Il fronça les sourcils à sa demande, ses doigts caressant son bras au bout duquel ses mains caressaient son torse. « Y’a personne qui me fait autant de bien que toi… Ce qu’on fait, toi et moi, j’le retrouve nul part ailleurs. » Souffla-t-il, ses mots se voulant sincères. Il se mordit la lèvre, peinant à cacher son appréhension, ses doigts se glissant sur sa taille. « Il compte te faire un bébé… ? » Parce-qu’il y aurait forcément une suite après leur mariage, Niels n’étant pas rassuré à l’idée de la voir franchir ce pas qui les éloignerait définitivement l’un de l’autre. « J’ai pas envie que tu rentres. Tu vas trop me manquer… »
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Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Mar 20 Aoû 2019 - 12:27
Elle n'avait que faire de ces minutes et ces heures qui défilaient tant qu'elles ne s'écoulaient pas dans le but de les réunir, Aelya qui avait trop longtemps espéré que ces retrouvailles ne surviennent afin de stopper ce torrent de larmes qui se déversaient dans la solitude de son sommeil sans rêve, leur rupture lui ayant retirée le peu d'espérances qu'elle avait placé pour son avenir. Son absence avait semé du chaos dans son quotidien, elle qui s'était laissée entraîner dans les bras de la mauvaise personne, celle qui ne lui correspondrait jamais. Il lui manquait tout ce que Niels lui apportait sans le moindre effort, parce que c'était en lui, la magie de sa personnalité si tumultueuse se liant à la sienne dans une harmonie qui l'avait toujours sans voix, puisqu'elle était apte à le comprendre en un seul regard et leur séparation n'avait rien modifié à cette fusion si spéciale de leurs âmes. - Y'a aucun doute là-dessus, on est pas sortables, s'amusa-t-elle de manière complice.
En dépit de leurs tempéraments sulfureux, elle aimait ce qu'ils étaient, ce qu'ils possédaient à eux deux, eux qui n'avaient pourtant pas grand chose de concrets si ce n'était cet amour qui explosait dans chacune des pièces qu'ils fouleraient ensemble. Son regard suivit le sien lorsqu'il se posa sur leur chiot, souriant devant sa bouille qui la faisait fondre. Elle acquiesça à la remarque de Niels, rigolant légèrement de son innocence qui n'était qu'en surface. - Je crois qu'il jouera les entremetteurs et les briseurs de couple jusqu'à ce qu'on soit réunis, lança-t-elle, amusée.
Parce qu'elle comprenait sans mal que leur animal s'était attaché à ce qu'ils avaient fondé à trois, prenant ses marques dans cet espace animé par Aelya et Niels qui n'avaient jamais cessé de se donner de l'attention, des marques d'affection jusqu'à la fin qui avait sonné l'arrêt de leur relation. Et même à distance, elle n'avait jamais pu s'empêcher de parsemer ses sms de mots doux, de mots qu'elle ne dirait qu'à lui, Aelya se voyant incapable de s'ouvrir de cette manière à une autre personne. Il n'y avait que lui qui comptait, et elle cherchait à l'en persuader dans ses baisers qui se voulaient d'une douceur infinie, comme dans le but de disséminer cette évidence pour qu'elle ne vienne se loger jusqu'à son coeur qu'elle était toujours prête à posséder, à protéger des autres qu'elle ne laisserait jamais s'immiscer entre eux. Elle aurait tant aimé que tout ne soit aussi simple, qu'elle puisse tout simplement l'aimer comme elle le voulait, avec urgence et dévotion, comme ce désir qui enveloppait son âme alors que la passion se chargeait d'enflammer sa peau pour l'inviter à se brûler contre elle. Son rythme cardiaque s’accéléra à sa remarque, laissant son regard caresser le sien d'espoir devant ces mots qui faisaient écho à tout ce qu'elle désirait voir se réaliser, parce qu'au fond, elle savait bien qu'ils étaient faits pour rester ensemble, et qu'ils se retrouveraient dans n'importe quelle vie, se référant à cette promesse qu'ils s'était toujours faits et qui semblaient perpétuellement se concrétiser dès lors qu'ils se voyaient arrachés l'un à l'autre. Si d'un aspect extérieur, elle donnait cette impression de partager son coeur en deux, il n'en était rien, le seul destinataire restant uniquement Niels et elle espérait qu'il en était de même de son côté, Aelya souffrant d'une jalousie extrême à la seule idée qu'il puisse nouer des sentiments profonds pour Sienna, sa rivale, celle qui avait réussi à attirer l'attention de Niels en son absence et qu'elle désirait lui reprendre, parce qu'elle vivait pour lui, pour son regard exclusif sur sa personne. Elle sourit en coin à sa rétorque qui entrait dans son jeu, les yeux d'Aelya s'allumant de séduction. - Promets-moi juste de continuer à me faire tourner la tête comme ça, souffla-t-elle d'une voix charmeuse.
Elle fondit contre ses lèvres une nouvelle fois, sentant sa peau s'habiller de frissons sous la chaleur de son corps qu'elle attira contre le sien lorsqu'ils furent dans le lit, reconnaissant aisément cette aura amoureuse et chaleureuse qu'ils avaient l'habitude d'instaurer dans cette pièce, lui rappelant toutes les nombreuses fois où ils s'étaient confiés l'un à l'autre dans le secret d'une étreinte harmonieuse, leurs coeurs battant en symbiose, au rythme de cet amour effréné. Soufflant de manière anarchique, elle l'avait laissé découvrir son anatomie, la première fois depuis de longues semaines, permettant à ses doigts de renouer avec le plaisir de son partenaire qu'elle avait toujours adoré voir exploser. - J'veux que tu me touches comme ça toute ma vie... J'ai jamais pu m'habituer à être sans toi bébé, avoua-t-elle entre deux soupirs.
Elle avait survécu, c'était tout ce qu'elle avait pu faire durant cette traversée qui avait semblé durer une éternité, assombrie par le manque de sa peau qui avait comme amoché son corps en profondeur et que Niels semblait réparer sous l'effet de ces caresses brûlantes. Elle reprenait vie en sentant son corps se fondre au sien pour de vrai lorsqu'ils se retrouvèrent dépourvus de leurs sous-vêtements, Aelya s'imprégnant des soupirs de l'homme de sa vie qui répondaient aux siens, son corps se sur-élevant légèrement sous les à-coups du plaisir. - T'es toujours mon premier et mon dernier amour mon bébé... Admit-elle, touchée par ses mots d'une valeur inestimable, sous-entendant sans hésitation qu'Evan n'avait pas réussi à le remplacer.
Elle se sentait en sécurité entre ses bras qui entouraient son corps dans l'assaut de ce délicieux tumulte qu'il inscrivait dans son bassin, ses soupirs devenant de plus en plus indiscrets à mesure que les minutes défilaient, comprenant qu'il n'y avait que lui pour lui faire expier ce plaisir qu'elle n'avait pas avec Evan. Parce qu'il n'était pas Niels, parce qu'Aelya ne se donnait pas corps et âme pour lui comme elle le faisait présentement avec son ex petit ami qu'elle voyait toujours comme son futur. Elle voulait porter sa trace, la marque de son appartenance qui était toujours effective, comme pour lui rappeler les jours où il ne serait pas là, qu'elle l'avait retrouvé en secret pour l'aimer. Elle retint sa respiration en le sentant doucement grignoter sa peau au niveau de sa poitrine, sa main caressant ses cheveux avant de se mordre la lèvre inférieure à ses mots. - Y'a que toi que je t'autorise à me marquer mon coeur... Y'a que toi à qui j'appartiens vraiment, répondit-elle amoureusement.
Evan avait beau montré à tout le monde qu'elle était sienne, Aelya prouvait le contraire dans ces gestes qu'elle ne partageait qu'avec Niels, ceux qu'elle ne réservait qu'à eux. Sa respiration s'ébruitait entre les murs entre deux gémissements, ses mains s'accrochant passionnément à sa peau de manière instinctive, cherchant elle aussi à le marquer de son amour. - Je comprends pourquoi je suis toujours aussi droguée à toi, dit-elle, faisant référence à toutes ses sensations qu'il lui provoquait constamment, de la tendresse à la passion.
Elle désira inverser les positions pour s'occuper de son plaisir à lui, cherchant à animer la flamme de son regard par la vue qu'il possédait sur son corps qui se déhanchait sur lui, agrémentant son rythme sous l'effet de ses gémissements qui l'incitaient à continuer et qui se mêlaient aux siens, sa main caressant son bras alors qu'il était venu faire glisser ses doigts le long de son abdomen, croulant sous une vague de plaisir qui ne faisait que de s'étendre. Elle l'enlaça contre elle quand son buste vint rencontrer sa poitrine, continuant ses ondulations contre son bassin, celui d'Aelya s'embrasant jusqu'à l'atteinte ultime de son plaisir, l'invitant tout doucement à ralentir ses mouvements jusqu'à le regarder s'allonger sur le lit. Elle se plaça à ses côtés, essoufflée, attendrie par son désir de la voir rester. - Y'aura jamais de dernière fois bébé, tu me combles bien trop pour ça, le complimenta-t-elle amoureusement, fondant pour ses baisers dans le cou. Je sais pas si je pourrais venir tous les jours... Mais c'est pas l'envie qui va me manquer. Je pense que je suis pas prête d'arrêter mes bêtises si c'est pour te retrouver mon amour... Ajouta-t-elle, amusée et attendrie.
Elle évitait de penser à son départ qui était proche, Aelya désirant trouver tous les prétextes du monde pour passer la nuit ici, dans ses bras, dans une volonté de rattraper tout ce temps perdu sans lui. Elle n'avait pas pu s'empêcher de penser à Sienna à ce même instant, se doutant qu'elle, elle avait le droit de passer tout le temps qu'elle désirait ici, dans le creux de son étreinte. Ses mots la rassurèrent, lui décrochant un léger sourire tendre et amoureux qui vint animer ses traits. - C'est pareil pour moi mon ange. Tu me rends toujours heureuse. J'veux jamais que t'en doutes, assura-t-elle d'une voix douce, détaillant son visage d'un regard admiratif alors qu'elle continuait à caresser son torse.
Elle savait que cela avait été la cause de leur rupture, le fait qu'il puisse douter de ses compétences à la faire sourire, lui qui pourtant, ne faisait que de lui faire du bien. Elle haussa légèrement les épaules à sa question, parce qu'ils n'en avaient jamais parlés même si Aelya savait déjà la position qu'elle tiendrait à ce sujet.
- C'est pas encore dans nos projets. Mais de mon côté, ça le sera jamais mon coeur. Y'a rien qui a changé : y'a que de toi que je voudrais un bébé... Avoua-t-elle en captant son regard, comprenant cette crainte qu'elle partageait également.
Elle sourit à sa remarque, venant directement plaquer le dos de Niels contre le lit afin de venir au-dessus de lui, collant leurs corps pour mieux l'enlacer, ses lèvres restant en suspension au-dessus des siennes. - Alors fais moi rester mon amour... J'ai un million d'excuses pour expliquer que j'ai passé la nuit chez toi... Lança-t-elle malicieusement, ses lèvres glissant sur sa machoire puis dans son cou avant de retrouver son regard de manière joueuse. C'est pas raisonnable j'le sais, mais est-ce qu'on l'a déjà été toi et moi ? Rigola-t-elle. J'veux juste dormir avec l'homme de ma vie ce soir, murmura-t-elle, sa main caressant sa joue.
Levi Wheeler
MESSAGE : 24793 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : lumos solem (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Mar 20 Aoû 2019 - 16:52
Le temps semblait s’écouler à une lenteur atroce dés lors qu’il était loin d’Aelya, lui rappelant ce qu’il avait perdu en mettant fin à sa relation avec elle. Pendant ces longs mois, il avait dû se faire violence pour ne pas céder à son envie de la rejoindre, conscient qu’il n’arrangerait rien en brisant ses engagements. Parce-que tout ce qu’il voulait, et tout ce qu’il avait toujours voulu était de la voir heureuse, que ce soit avec ou sans lui, c’était sans doute la seule promesse qu’il voulait tenir. Et les derniers instants de leur relation avaient eu raison de lui, le poussant à s’imaginer que ce n’était pas lui qui détenait les clés de son bonheur, lui qui avait vu ses forces s’épuiser, ses yeux devenir las à force de ne plus le voir sourire. Il aurait probablement aimé arranger les choses en prenant une décision moins définitive, voyant bien que leur séparation n’avait rien arrangé à ses maux, parce-que Niels n’était rien sans Aelya, restant l’ombre de lui-même, Sienna pensant pouvoir l’apaiser dans son étreinte dans laquelle il ne parvenait pas à se retrouver. Il avait doucement souri à ses mots, comprenant qu’ils n’avaient pas changé de ce côté-ci, ce qui le rassurait parce-qu’il était amoureux d’elle, de sa personnalité si unique, de ce qu’ils étaient à deux. « Vaut mieux qu’on reste ici alors... à l’abri des regards. » Ajouta-t-il, ne manquant pas une occasion de lui faire comprendre qu’il désirait la retrouver, seulement elle, cette femme pour qui il donnerait encore son âme. Il posa un regard tendre sur elle, avant de le dévier sur leur chiot qui semblait bien plus apaisé que lorsque Sienna était présente, Niels ayant vite compris qu’il peinait à être docile lorsqu’elle était sans les parages. « C’est pas notre bébé pour rien. » S’amusa-t-il, riant légèrement en regardant Hank, sa malice lui rappelant leurs propres caractères. Ses lèvres vinrent se réapproprier les siennes alors qu’il tentait d’oublier le fait qu’ils n’avaient normalement plus le droit de s’adonner à ce genre de rapprochements. Il n’avait aucune envie d’être raisonnable lorsqu’il s’agissait d’Aelya, son amour pour elle parlant toujours trop fort pour qu’il ne puisse le réprimer, leur complicité ne demandant qu’à revoir le jour. Il l’embrassa patiemment, prenant son temps alors que tout semblait l’attirer contre elle, comme le feraient deux aimants qu’on laisserait à proximité l’un de l’autre. Il n’y avait plus d’Evan, plus de Sienna, lorsqu’il était question d’eux, qui s’aimaient au-delà de toute raison, de toute limite qu’ils ne prendraient jamais en compte dés qu’ils se retrouvaient tous les deux. Parce-que Niels n’avait jamais eu peur du danger si c’était pour se rapprocher de l’amour de sa vie, le risque étant bien moindre à côté du bien-être qu’il ressentait quand il trouvait refuge dans ses bras. Aelya lui avait toujours donné ces marques d’attention particulières dont il n’avait jamais pu se passer, lui qui s’était pris à relire les sms qu’ils s’étaient échangés après leur séparation, ses yeux ne se lassant pas de relire les mots doux qu’elle avait parsemé dans ses textes. Il comprenait que rien n’avait changé entre eux, qu’ils étaient toujours animés par cette même flamme d’amour, de désir, leurs corps finissant par se retrouver après qu’ils aient rejoint la chambre, incapables de se tenir après quelques minutes seulement. Il voulait lui mettre en tête qu’il n’y avait qu’elle, qu’il n’y avait toujours eu qu’elle, même s’il était officiellement lié à une autre, son coeur continuait de lui appartenir. Il sourit à sa demande, fondant sous le ton de sa voix qui le faisait frémir. « J’te le promets… » Répondit-il, se mordant la lèvre avant qu’elle ne vienne s’en emparer, sa langue se permettant de taquiner la sienne en même temps que son corps vint s’allonger sur le sien avec envie. Il adorait sentir ses mains glisser sur son corps, Aelya étant la seule à réveiller son envie aussi aisément, comme si elle connaissait tous les secrets de son anatomie, ce qui était vraiment le cas. Il la regarda s’occuper de lui, cherchant à lui procurer ce même plaisir en jouant avec son désir, interceptant son souffle chaud avec ses lèvres. « J’veux pas que tu t’y habitues. Je veux toujours être là avec toi mon bébé. » Souffla-t-il amoureusement, refusant l’idée même qu’elle puisse un jour s’habituer à son absence, conscient que cette étape viendrait marquer une réelle rupture entre eux. Il la débarrassa de ses derniers vêtements avec une envie palpable, en faisant de même avec ses propres sous-vêtements, avant de se lier à elle, ne pouvant plus supporter cette faible distance qui les séparait encore. Ses soupirs témoignant du plaisir qu’elle lui procurait, il sentit son coeur se débattre sous l’effet de ses mots amoureux, ses lèvres venant effleurer les siennes pour lui répondre. « C’est avec moi que tu devrais faire ta vie bébé. C’est avec moi que tu devrais te marier… » Se confia-t-il, s’emportant dans ce moment de tendresse inouïe où il n’avait pas peur de laisser entrevoir sa vulnérabilité, parce-qu’Aelya l’utilisait toujours pour le réparer et le rassurer. Il voulait qu’elle se sente aimée, voulue, lui qui la désirait comme ça n’était pas permis, son corps se mouvant contre le sien dans des gestes de plus en plus amples et profonds, Niels interceptant son plaisir en même temps qu’il l’embrassait. « Je t’aime. » Lui souffla-t-il une nouvelle fois, expiant cet amour qu’il éprouvait à son égard, finissant par répondre à son envie de porter sa marque sur elle, ses lèvres s’amusant à grignoter une parcelle stratégique de sa peau, lui qui ne souhaitait pas qu’elle ait des ennuis, parce-que leurs retrouvailles resteraient secrètes, personne n’étant censé savoir que leur passion avait de nouveau frappé. « T’es vraiment trop belle comme ça. » Lâcha-t-il, entre deux gémissements, soufflant plus bruyamment en sentant ses mains marquer son dos, conscient qu’il aurait de belles marques rouges pour les jours à venir. Il lui adressa un sourire tendre, parsemant ses lèvres de baisers vifs avant d’attraper sa lèvre inférieure entre ses dents. « J’peux continuer à te donner ta dose quotidienne si tu veux. » S’amusa-t-il, la laissant prendre place sur lui, lui confiant son plaisir qu’elle savait gérer d’une main de maître. A bout de souffle après avoir atteint l’apogée de leur plaisir, Niels la laissa se détacher à contre coeur, ses yeux la suivant lorsqu’elle s’installa près de lui, ressentant l’envie de lui donner encore de l’affection par le biais des baisers qu’il déposa dans le creux de son cou. « Ça va être dur de pas te voir tous les jours… Tu m’enverras des messages, hein ? » Demanda-t-il, lui faisant les yeux doux, son bras entourant son corps pour l’approcher un peu plus de lui, ramenant les draps sur leurs corps nus pour conserver leur chaleur. « J’vais essayer de m’en rappeler. » Répondit-il, un sourire amoureux sur les lèvres, lui qui savait que c’était ce manque de confiance en lui qui l’avait poussé à rompre avec la femme qu’il aimait. Il leva les yeux vers elle après sa demande, reprenant un air un peu plus sérieux parce-que cette question lui tournait en tête depuis un bon moment, craignant qu’elle puisse lui échapper pour de bon. « Le laisse pas faire… On pourrait plus rien faire si ça arrivait bébé. » Dit-il, d’un air plus concerné, rassuré de savoir qu’elle le voyait toujours comme tel, que leurs projets n’avaient pas changé. Il lâcha un léger rire en la sentant venir contre lui, à califourchon, Niels tentant de tendre la nuque pour attraper ses lèvres, ses yeux luisant d’amour pour elle. « Jamais je t’inciterais à rentrer chez toi, tu le sais bien. Ta place, elle est ici, avec moi. » Il ferma les yeux en percevant ses lèvres glisser sur son visage, frissonnant à son toucher si délicat. Le regard empli de malice, il secoua la tête, ses mains venant caresser ses cuisses. « Alors reste ce soir mon bébé. J’essayerais d’être plus docile demain pour te laisser partir. » S’amusa-t-il, ses doigts rejoignant sa main qui était posée sur sa joue, la caressant du bout des doigts. « Tant que t’as pas d’ennuis avec lui, j’franchirais toujours toutes les limites. » Murmura-t-il, amoureusement, la faisant basculer pour se retrouver contre elle, le dos d’Aelya collé contre son torse, son bras enroulé autour d’elle, au niveau de sa poitrine. « On est bien tous les deux… » Il déposa un baiser sur sa nuque, puis juste derrière son oreille. « Bonne nuit mon amour. »
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Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya) Mar 20 Aoû 2019 - 22:19
Il avait simplement fallu d'un seul regard pour qu'Aelya ne sente son cœur rebattre après ces mois longs mois de latence, l'invitant même à se mettre en danger tout simplement pour le revoir encore une fois, lui, l'homme de sa vie, celui pour qui elle respirait, et si son devoir de discrétion l'avait incité à ne pas sauter dans ses bras dès le premier soir où ils s'étaient revus, c'était uniquement par sécurité, parce qu'elle n'avait aucunement pu résister à ses avances qui avaient bien fini par la conduire dans le berceau de leur amour.
- On a toujours été bien ici, à bien s'occuper, répondit-elle, laissant ses sous-entendus parler, un air séducteur inscrit sur ses traits.
Elle était capable d'apprivoiser n'importe quel lieu tant qu'il était là, sa main fermement accrochée à la sienne pour l'attirer au travers des chemins qu'il empruntait, mais toujours avec elle. C'était ça qu'elle voulait, et ce pour quoi elle continuerait à se battre, pour revenir dans son étreinte afin de lui montrer qu'il la méritait amplement. Elle accorda un regard tendre à leur chiot, hochant la tête aux mots de Niels, consciente qu'à trois ils formaient tout ce dont elle avait besoin pour se sentir complète, choisie et aimée. Elle aurait tellement aimé accéder à son envie de se ré-approprier cet appartement qu'elle connaissait par cœur, ses moindres recoins lui rappelant chaque souvenir qu'elle partageait avec Niels depuis le début, ces moments qu'on finissait toujours par leur arracher pour ne laisser que ce douloureux sentiment d'amertume qui aggrémentait le manque dans ses cellules. Elle appréciait la douceur de ses lèvres qui venaient rompre ce sevrage insoutenable, celui qu'elle n'avait jamais choisi de subir, qu'elle aurait même désiré effacer le premier soir où ils s'étaient revus, prenant le risque de se faire prendre sur le fait par leurs partenaires respectifs. Plus rien ne semblait avoir d'importance quand il s'agissait de Niels, parce que c'était lui, qui importait. Il était sa seule faiblesse et sa seule force, et elle voyait sa raison se déliter doucement mais sûrement sous l'effet de la proximité de leurs corps qui se cherchaient pour mieux se lier, parce qu'elle n'avait que ça en tête : l'aimer, l'avoir sur sa peau meurtrie par son absence. Le cœur à la renverse, son corps vint se blottir contre le sien dans le nid de leur passion, Aelya accrochant son regard à sa promesse avant de laisser sa langue danser avec la sienne, ses mains venant très vite se débarrasser de ses couches de tissus pour valser contre son être qui la faisait tanguer dans un océan de désirs que seul lui pouvait recevoir. Elle joua avec son envie, la sienne explosant dans son souffle saccadé qui mourait contre sa bouche qu'elle attrapait dans des baisers urgents, survoltée par toutes les sensations qu'il provoquait en elle.
- Alors, me laisse plus mon cœur. Me laisse plus jamais, murmura-t-elle, comme une supplication, comme un écho à toute la douleur qu'elle avait pu ressentir à son départ.
Il était irremplaçable et elle l'avait compris à ses dépens, noyant son chagrin dans ses larmes qui portaient les effluves de son parfum, parce qu'elles lui étaient destinées, comme son être tout entier. Elle le regarda retirer leurs sous vêtements, l'accueillant dans son corps qui ne s'épanouissait qu'à son contact, Aelya ne réprimant pas le bien être qu'il diffusait dans ses veines grâce à l'alliance de leurs peaux qui se répondaient sous la chaleur de leur affection impérissable. Son cœur bondit dans sa poitrine aux mots qu'il murmura, son regard rejoignant le sien pour y trouver les étoiles qu'elle avait toujours cherché à inscrire dans ses yeux.
- Mon amour... T'as le droit à bien plus qu'une bague toi pour que je te prouve que je t'aime. T'as mon âme mon bébé. J'te dirais oui dans n'importe quelle vie mon ange. Parce que je suis déjà à toi. Jusqu'à la fin, répondit-elle dans une infinie douceur, ouvrant son cœur à son âme sœur.
Tout contre lui, c'était là où elle se sentait le mieux, où elle se mettait à nue autant physiquement que psychiquement, laissant parler sa tendresse et ses envies pour le seul homme qui la faisait rêver sans même qu'elle n'ait à fermer les yeux, ses soupirs se muant en gémissement, se percutant tout autour d'eux, comme avant, comme si le temps ne s'était jamais arrêté entre eux, que leur relation avait continué d'évoluer parce que leur amour n'avait jamais fait de pause.
- Je t'aime plus que tout, renchérit-elle amoureusement, lui volant des baisers amoureux.
Elle soupira profondément en sentant ses dents mordiller sa peau, appréciant qu'il l'ait pu accéder à sa volonté de la porter sur elle comme elle avait toujours eu l'habitude de le faire, se doutant qu'il faisait en sorte que sa marque soit discrète, parce qu'elle n'avait aucune envie de s'expliquer devant les yeux enflammés d'Evan s'il venait à reconnaître cette trace passionnelle.
- Je suis belle dans tes bras mon amour. On est plus beaux quand on est ensemble, ajouta-t-elle amoureusement.
Ils étaient comme deux pièces qu'on ne pouvait détacher, deux pièces qui ne trouvaient leur sens que lorsqu'elles étaient réunies, enchevêtrées dans l'une et l'autre. Son bassin suivait la cadence du sien, sa voix poussant des gémissements de plus en plus forts à mesure que la plaisir augmentait dans son organisme, ses doigts s'affairant à glisser sur son dos, le marquant sous l'effet de la passion qui la gagnait, elle qui ne pouvait pas empêcher de faire exploser le bien-être qu'elle ressentait, le genre de sentiment qu'elle ne possédait dans aucune autre étreinte. Parce qu'elle ne se laissait vraiment aller qu'avec Niels. Sans vraiment l'expliquer, sans vraiment de raison, juste parce que c'était lui, son toucher, ses caresses, son souffle qui s'alliaient à tout ce que dégageait Aelya comme dans une évidence qu'elle ne pouvait taire sous un tas de mensonges qui de toute manière, se verraient trahis dans ses bras. Elle sourit de manière joueuse à sa remarque quand il vint mordiller sa lèvre inférieure, bien consciente qu'elle pourrait vouloir de lui tous les jours, et autant de fois qu'il pouvait lui donner de l'amour dans les draps.
- Faut pas me dire ça bébé... Je pourrai bien t'épuiser, à tel point que t'irais même plus au travail, lança-t-elle malicieusement.
Elle vint sur lui, se déhanchant fiévreusement sur son corps jusqu'à l'explosion de leur plaisir, sa cage thoracique se soulevant anarchiquement alors qu'elle s'installa à ses côtés, frissonnant sous l'effet de ses doux baisers dans son cou.
- Je serais pas capable de pas te donner de nouvelles mon cœur. Je pourrai même t'envoyer des photos, si jamais on peut pas se voir tous les jours... Répondit-elle avec un sourire amusé, emplit de sous-entendus.
Elle vint coller son corps au sien sous la couverture qu'il déploya sur eux, sa main caressant tendrement son torse. Elle hocha la tête à ce qu'il vint ajouter, lui offrant un sourire confiant, parce qu'elle savait ce qu'il valait, lui qui ne faisait que de la conduire vers le bonheur le plus pur qui soit, celui qu'elle n'avait jamais connu, ni ne serait-ce seulement imaginer sans lui. Elle plissa les lèvres à sa remarque, sachant pertinemment qu'elle n'irait jamais sur ce terrain avec Evan puisqu'elle ne l'aimerait jamais, et surtout, jamais comme elle l'aimait Niels.
- Je ferai jamais rien qui pourrait nuire à notre relation mon amour. Je reviendrais pas sur ce que je t'ai dit parce que personne me fera un bébé. Le seul qui a ce droit c'est toi, affirma-t-elle, d'une voix douce et sincère.
Elle n'accepterait jamais d'enfant d'un autre homme, elle qui était tombée amoureuse de sa manière de vouloir être père, de sa manière d'être tout court, de toutes ses failles qui le sublimaient et qu'elle se prenait à apaiser. Elle rompit le peu de distance qu'il y avait entre eux pour venir sur lui, souriant avec enthousiasme en l'entendant rire, s'amusant de cette proximité si tendre et si complice alors qu'elle répondit à son baiser.
- La seule manière que tu me rendes heureuse, c'est que tu me séquestres ici avec toi, avança-t-elle, espiègle, faisant glisser ses lèvres sur sa peau alors qu'elle oubliait encore une fois sa raison pour se perdre dans le secret de leur intimité retrouvée. Je compte sur toi pour pas me retenir avec tes regards trop adorables là qui me font craquer à chaque fois, ajouta-t-elle, admirant ses traits en caressant sa joue, appréciant le contact de sa main sur la sienne. Je me débrouillerais toujours pour pas en avoir bébé si c'est pour te retrouver.
Elle se regarda valser sur son flanc, les mains d'Aelya caressant ses bras qui entouraient ses côtes, cambrant son dos pour ne laisser aucune espace entre leurs peaux.
- Y'a rien qui pouvait m'arriver de mieux que de te retrouver mon amour, murmura-t-elle doucement. Dors bien, je t'aime, souffla-t-elle amoureusement avant de fermer les yeux.
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Sujet: Re: i have died everyday waiting for you (aelya)