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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥

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MessageSujet: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyMer 13 Nov 2019 - 19:16

they don't need to understand
« Bon anniversaire mon amour. » Quelques mots doux soufflés au réveil, quand leurs regards se croisent depuis la veille, corps amoureux enroulés l'un contre l'autre sur le lit de cette caravane. Par la fenêtre ouverte se faufile l'air chaud de l'été, mais les amoureux ne s'en soucient guère. Depuis de nombreuses semaines, le couple était à nouveau dans un cocon de calme et d'amour. La thérapie avait fonctionné mieux qu'ils ne l'auraient espéré, et même si quelques crises de jalousie avaient pu percer, ils étaient toujours aussi soudés. Même si le dialogue était parfois rare, le regard de l'un envers l'autre ne changeait pas, et la passion qui les animait continuait à les faire vivre. Et ce matin, comme chaque matin, leurs lèvres se retrouvèrent dans une embrassade de bonjour, avant que leurs esprits ne s'enflamment et que leurs corps ne fassent plus qu'un. Après l'amour, Sacha intima à Brooke de prendre le temps de se lever, afin d'aller comme toujours prendre le petit-déjeuner. Aujourd'hui, c'était son anniversaire, et même si Brooke détestait le fêter, Sacha n'avait pas pu s'empêcher d'avoir de petites attentions envers elle, avec un unique but en tête, que ce jour soit spécial et qu'elle ne l'oublie jamais, pour qu'enfin elle accepte que le jour de sa naissance était bon à fêter. Alors, toute la journée, bien qu'elle sembla aussi banale que toutes les autres, le tatoué avait éparpillé quelques signes de leur histoire dans la caravane. Il avait déjà fait imprimer un petit carnet dans lequel on trouvait des photos d'eux, plus ou moins osées, de leur intimité ou de leur vie de travail, avec des notes de sa part. Il avait dû le faire au travail, en secret dans sa loge, mais il avait beaucoup apprécié faire ce travail pour elle. A la fin, il avait même glissé les portraits d'elle qu'il avait pris soin de dessiner. Mais vu qu'elle n'aime pas particulièrement les cadeaux et les surprises, il le lui avait donné quelques jours plus tôt, omettant le fait que ça faisait partie de leur cadeau d'anniversaire. Certains trouvaient ça ringard, mais il s'en moquait éperdument. Et puis, il avait préparé le dossier pour leur maison, qui avait été envoyé mais dont ils attendaient des nouvelles, avait laissé le couteau que Brooke lui avait offert pour son anniversaire en évidence sur la table, sur lequel il avait même posé un bouquet de pivoines et de roses rouges pour lui témoigner son amour, et avait acheté pour le dessert du midi un Napoléon, ce fameux gâteau qu'il lui réclamait toujours même quand elle proposait une tarte au chocolat. Toute la journée, il avait été aux petits soins, tentant d'oublier les raisons qui le poussaient à agir de la sorte, car bien que l'amour soit sa première motivation, elle n'était pas la seule. Et puis, alors que la soirée approchait à grand pas et qu'ils n'avaient pas à travailler le soir-même, il était devenu davantage plus passionné, jusqu'à, dans un élan de folie, proposer à Brooke un message qu'elle n'avait pas refusé à son grand soulagement. Installés sur le lit, ses doigts étalaient alors de l'huile sur son corps avait une tendresse qu'on ne lui connaissait pas. Quelquefois, entre deux paroles échangées, il ne pouvait pas s'empêcher de chantonner pour lui faire plaisir. Lentement, son corps se cambre pour que ses lèvres puissent venir embrasser la peau de la nuque de sa compagne, alors que ses mains s'attellent à détendre ses muscles en profondeur. « Tu devrais me laisser te masser plus souvent... » souffle-t-il alors qu'il se redresse doucement, observant cette chevelure rousse qu'il aime tant. « J'crois même que ça m'excite un peu, tout ça. » C'est plus fort que lui, il a toujours du mal à contenir ce désir pour elle, accentué par le fait qu'ils soit presque nu au dessus de son corps, si l'on oublie ce foutu caleçon qui lui colle à la peau. « Tu sais, je rêve de te revoir dans la robe que je t'ai offerte à notre dernier road-trip... Tu la remettrais pou moi ? » Il avait toujours adoré le rouge sur la peau de Brooke, il trouvait que cette couleur la rendait encore plus tumultueuse qu'elle ne l'était déjà, et qu'elle faisait étrangement ressortir ses grands de beauté et la couleur de ses yeux vert d'eau. C'était une tenue de spectacle de grande occasion, vu le prix que ça lui avait coûté, mais il s'en moquait bien, de dépenser autant pour Brooke. Depuis la vente de sa maison, il se faisait peut-être un peu trop plaisir de ce côté-là, mais n'oubliait pas d'en laisser de côté pour se trouver un autre cocon pour eux deux, même si chaque endroit en était un en présence de la jeune femme. Tendrement, il revient embrasser son dos, glisse ses mains au creux de ses reins qu'il caresse plus qu'il ne masse, l'esprit en pleine réflexion. « Je t'aime. » susurre-t-il à nouveau, sourire béat aux bord des lèvres.

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Dernière édition par Sacha Kheinov le Lun 2 Déc 2019 - 14:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyJeu 14 Nov 2019 - 5:48

L'horloge de la cuisine qui tic et qui tac, laissant dans toute la caravane un e résonance presque qu'irritante, yeux grands ouverts comme deux billes, le sommeil qui te manque, tu fixes le plafond, incapable de dormir. Rien à faire, rien à dire, rien ne te fera retrouver le sommeil, rien ne pourra te lancer à nouveau dans là bras de Morphée, elle-même ne veut plus de toi. Pas aujourd'hui. Pourtant, si t'avais pu éviter de te réveiller, aujourd'hui, t'aurais pas bronché. Mais ton mécanisme automatique t'a fait rappeler que dès les coups de minuit sonné, t'as franchi une nouvelle année, vingt-huit ans au compteur, vingt-huit années d'amertume envers cette journée que t'aurais voulu voir sauter du calendrier. Ton anniversaire. Le tien. Celui que tu repousses. Qui te rebute. Qui te rappelle que la vie t'en a toujours voulu. Qui marque la solitude qui emplit ton coeur, année après année. Cette année, c'est différent. T'es pas complètement seule. En fait tu ne l'es pas du tout. T'as Sacha. T'as Theo et Aelya aussi. Puis Fauve. T'es entourée, y'a pas à dire. Et, pourtant, t'as toujours cette impression d'être seule, parce que t'as pas de famille, parce que t'as pas une mère ou un père qui pense à toi, aujourd'hui. Parce que t'es la seule de ton espèce, la seule de ton monde à exister. Ça n'enlève rien au bien que Sacha te procure, ni au baume qu'il met sur ton coeur, mais Sacha, il ne peut remplacer l'amour d'une mère. Il essaie, et tu l'aimes pour ça. C'est pour ça que tu ne dis rien, parce que tu le vois s'agiter dans son sommeil, que tu sais qu'il ouvrira bientôt les yeux et qu'il se couvrira d'affection dès son réveil et ce jusqu'à la fin de la journée, pour toi, pour ton anniversaire, même si t'as précisé ne pas vouloir le souligner. Ça lui fait plaisir, à ton lanceur de couteaux, il jubile devant l'idée de faire de cette journée tienne. Et tu ne peux résister à son sourire charmeur. Alors tu te tais quand il ouvre les yeux, tu le laisses t'enveloppes de ses bras, t'embrasser en te chantant presque joyeux anniversaire juste avant de te couvrir d'affection intime, l'amour des tes premiers instants dans ta vingt-huitième année de vie, l'orgasme qui prend ton corps d'assaut. L'envie de rester au lit est forte, mais la journée semble programmée au quart de tour et alors que Sacha se lève pour te préparer un petit-déjeuner de rêve, sous ses ordres à prendre ton temps, tu paresses quelques minutes de plus avant de sauter sous la douche pour le rejoindre. Journée parsemée de petites attentions, parfois des actions, parfois des gestes, parfois des surprises, il s'était donné du mal pour te faire sourire, chose que tu lui rends avec aisance. Quand il est là, tu ne peux pas t'empêcher de le faire. Album photo de vos souvenirs intimes, dessert clin d'œil à vos moments de tendresse, journée en amoureux, annulation de votre show, tu n'aurais pas pu demander mieux. Du moins, tu penses. Il te regarde, yeux secrets, s'approche de toi dans un élan de tendresse contrôlée, murmure à ton oreille une idée folle que tu ne te vois point refuser. Massage dans le confort de votre cocon, ses mains contre ta peau toujours chaude de son envie de lui qui te donnerait définitivement des idées moins chastes pour le reste de votre soirée. T'acceptes, te laisses te faire retirer tes vêtements, t'installer sur ce lit qui connaît toutes vos coutures. Tu le laisses s'installer sur toi, verser de l'huile sur ta peau nue, caresser de la paume de ses mains ton dos, l'effleurer du bout de tes doigts, la cajoler dans cette détente surhumaine. Tendue, ton corps prend goût à la relaxation, tu sens te muscles se relâcher sous la pression des mains de Sacha. Yeux fermés, tu ne vois pas ton amant se rapprocher de toi jusqu'à poser ses lèvres contre la chair de ton cou. A ce contact, tu sursautes, tes lèvres esquissent un sourire satisfait, tu lâches un gémissement de satisfaction, des papillons qui s'emparent de ton estomac, les mêmes que la première fois qu'il a posé les mains sur toi, toujours aussi fortes, toujours aussi chamboulant. C'est lui, pas un autre, qui peut te faire sentir ces émotions. Il chuchote à ton oreille, te fait ouvrir un œil, puis sourire avant d'étouffer un rire. T'as besoin d'un massage pour être excité ?, demandes-tu avec moquerie. T'es doué, en massage, finis-tu pas accorder. Tu devrais m'en offrir plus souvent. Tu ouvres enfin les deux yeux, essaie de trouver son regard malgré l'emprise qu'il a sur ton corps, son poids qui t'empêche de te retourner pour lui faire face. Peut-être que ça m'excite, moi aussi. Faudrait vérifier. Tu te montres joueuse, insinue qu'il faut s'aventurer vers ton intimité pour savoir si ce que tu avances s'avère vrai. Mais Sacha n'a pas besoin de vérifier, il sait sans avoir à glisser ses doigts entre tes jambes, il devine juste à son déhanchement que l'envie te grouille, que tu souhaites le voir se perdre à nouveau en toi. Il ne le fait pas, il propose au contraire de te voir te rhabiller, de vêtir la robe hors de prix qu'il a insisté à t'acheter entre Bowen et Brisbane, robe bien trop dispendieuse pour être mise dans l'antre d'un fantasme caché. Tu t'accoudes sur le lit, fronces les sourcils. Je suis pleine d'huile, je risque de la tacher, refuses-tu avec diplomatie. Si elle venait à être fichue, tu t'en voudrais. D'abord, parce que ce costume de scène est dispendieux, mais surtout pour ce qu'il représente : votre couple, vos souvenirs. Tu soupires longuement, devinant son insistance sans même avoir à le regarder. Débarbouille-moi pour que je puisse l'enfiler sans l'abîmer. Et quand ton dos se retrouve moins glissant d'huile à massage, tu te lèves pour fouiller dans le petit placard de ce qui vous sert de chambre afin de trouver la boîte rouge qui contient cette pièce de trophée, robe rouge pailletée, diamants incrustés et coud à la main, travail acharné d'une couturière Australienne, pièce unique, non commerciale, que seule ta tête rousse se verra porter. Pas deux similaires, totalement unique. Tu enfiles la tenue, te regardes dans la glace avant de te tourner vers un Sacha triomphant, laissant s'échapper un je t'aime admiratif. Je t'aime aussi, plus que toute cette vie. Tu t'avances vers le lit où il se trouve toujours, mordilles ta lèvre, taquine. Alors, maintenant que je la porte, qu'est-ce que je dois faire ?



Dernière édition par Brooke Oxley le Ven 29 Nov 2019 - 23:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyLun 18 Nov 2019 - 14:37

they don't need to understand
Il hausse les épaules, un air peu fier sur le visage alors qu'il meurt d'envie de rire, lui aussi. Il est vrai que dans ce contexte, sa phrase pouvait être interprétée d'une certaine manière. Heureusement, Brooke savait que Sacha s'excitait même sans massage. Le simple fait de la voir semblait provoquer chez lui ce désir immédiat, et aujourd'hui semblait être un jour où tout était permis. Disons qu'avec tout ce qu'il avait en tête, c'était un Sacha romantique qui s'était réveillé ce matin, et depuis, ce désir avait eu du mal à redescendre, parce qu'il voulait que Brooke passe la meilleure journée possible. Depuis ce matin, il faisait tout pour la voir sourire, pour que son regard brille de cette lueur de bonheur, car rien d'autre que son bonheur ne comptait. Rares étaient les journées où le tatoué était aussi calme et aussi dévoué, lui qui avait tendance à refuser souvent les marques d'amour ou de romantisme trop poussées, habitué à faire l'amour sans rien en retour. En fait, tout avait changé depuis Brooke. Les jours ne lui paraissaient désormais plus assez longs pour profiter de l'amour, et il s'avérait être parfois très collant. Les choses s'étaient améliorées depuis la thérapie, mais ce comportement variant jour et nuit pouvait parfois créer quelques bulles de tensions qui, si elles n'étaient pas vite éclatées, pourraient déclencher une guerre nucléaire. « J'ignorais que tu aimais autant les massages. Mais oui, ça peut se faire. » L'idée de masser la jeune femme plus souvent ne lui déplaisait pas, bien au contraire. C'était une chose qu'il ne faisait habituellement à personne, mais à Brooke, il en serait ravi. Après tout, cela pouvait les aider à se détendre après les longues journées de travail et d'entraînement, et permettrait aussi de reposer leurs corps meurtris tout en passant un moment ensemble. Il ne savait pas pourquoi il n'avait jamais eu cette idée avant, mais la garderait dans son esprit pour ne pas oublier que la tendresse de ces instants pouvait être précieuse. Seulement, aujourd'hui était une journée spéciale, et ce massage était aussi une façon de se rapprocher, encore, avant qu'il n'avoue les véritables raisons de ses actes de la journée. « Ah oui ? Alors je vais vérifier moi-même. » suggère-t-il, amusé de voir que les massages pouvaient relancer si facilement la libido, comme si leur séance charnelle de ce matin n'avait été qu'un avant-goût pour l'après-midi. Lentement, Sacha glisse alors ses doigts le long du dos de Brooke avant de venir caresser ses fesses, bien qu'il n'aille pas plus loin pour le moment, car une nouvelle idée venait de passer par son esprit. S'écartant pour la laisser se redresser, il observe, s'attendant à ce qu'elle refuse immédiatement. Au début, c'est le cas, et malgré lui, il se met à faire des yeux de merlan frit, attristé à l'idée de ne pas pouvoir profiter de spectacle. Puisque ses yeux semblent souffler un "s'il te plaît" silencieux, elle finit par accepter, à condition qu'il la nettoie de toutes ces huiles qu'il venait de lui appliquer. Il s'exécute, prenant soin de masser encore quelques zones pour en retirer le maximum, puis la laisser filer pour se changer. En attendant, il retire les serviettes de bain du lit, qui étaient là pour leur éviter de tâcher leurs draps, et les jette dans la panière à linge. Il s'assoit ensuite sur le bord du lit en attendant le retour de son amour, et l'observe, les yeux brillants de joie et d'amour. Elle était si belle qu'il avait envie de lui offrir des milliers de robes comme celles-ci. D'autres rouges, des aussi bleu que ses yeux, et une blanche. Lèvres pincées à cette pensée, son regard bifurque un instant avant de se reposer sur elle. Pas maintenant, pense-t-il d'abord, trop ébloui, ne voulant pas se lancer avant que leurs corps ne se retrouvent dans une danse sensuelle. Ils avaient encore du temps devant eux, et il avait trop peur que Brooke ne se braque à ce nouveau cadeau, bien plus lourd de sens que les précédents. Il la regarde, bouche bée, incapable de se lever du lit alors qu'elle s'approche. « Maintenant j'aimerais qu'on termine ce qu'on a commencé... » un souffle, il tend la main vers elle pour qu'elle s'approche encore, dépose un baiser sur sa main, puis son poignet, glissant sa main libre au creux de ses reins dans l'espoir qu'elle vienne toujours plus près. « Et c'est ta journée. C'est à toi de me dire ce que tu veux que je te fasse. » Sourire en coin, il a déjà une idée derrière la tête, mais il veut que ce soit elle qui lui dise. Si ça se trouve, elle avait cruellement envie de réaliser un fantasme, là tout de suite et il était prêt à le réaliser. Et si elle voulait seulement qu'ils fassent l'amour sans fioritures, il serait d'accord aussi. Il pose ses mains sur ses fesses, l'attire encore pour qu'elle s'assoit à califourchon sur lui et qu'il puisse passer sa main libre dans ses cheveux, tendrement, alors que son regard plongeait sur sa silhouette, dont la robe mettait en valeur chaque courbe. Dans cette tenue, elle pouvait aisément le rend fou, fou d'elle. « Et on va essayer de pas trop abîmer cette robe. Elle te va tellement bien. » Un petit rire qui accompagne ce compliment et il vient embrasser sa gorge, passer sa langue dans son cou, traçant la ligne de ses tatouages avant de venir voler un baiser à ses lèvres, plongeant ensuite son regard dans le sien. En la regardant ainsi, il se sentait soulagé, parce qu'elle était là pour lui, et qu'elle lui renvoyait rien que par les yeux tout l'amour qu'il lui portait. Pour rien au monde il n'irait voir quelqu'un d'autre.

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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptySam 30 Nov 2019 - 0:25

Le contact de la peau de ses doigts contre ton dos dont la chair douce se hérisse à chaque passage, huiles qui viennent lustrés son apparence dorée, couleurs que tu as retrouvées à Bowen et qui donnent à ton roux et à tes éphélides plus de profondeur, tu soupires chaque fois qu'il frôle la chute de tes reins, chaque fois que ses palpables se montrent un peu trop sensuelles. Ta peau respire le bonheur, ton coeur en est rempli depuis qu'il est dans ta vie et, pourtant, t'as du mal à sourire. Y'a que lui pour y parvenir, que lui pour t'en écorché un rapide. Entre les déboires de ta vie, t'as pas trop trouvé le bonheur, t'arrives plus à chasser les angoisses qui s'incrustent et qui collent à ta peau, qui ne partent plus, même si tu tentes de les brûler. Sauf pour lui. T'es malade, t'as besoin d'aide, faut te faire soigner. Malade de lui, malade d'amour. T'aurais jamais cru un jour te rendre là, avouer d'être en mal de lui quand il se trouve trop loin de ton corps. C'est nocif, tu sais bien, c'est mauvais, pour lui, pour toi, et ça commence à se faire ressentir, crisettes jalouse que tu laisses échapper, ici et là, quand il ne regarde pas que toi. Toxique, peut-être un peu, tu l'es surement, sans gants blancs, mais putain que t'y peux rien. Tu l'aimes, c'est tout. À prendre ou à laisser. Il appuie plus fort, là où tes muscles sont tendus, là où la peau est crispée, ça t'arrache un soulagement soufflé, yeux fermés, lèvres étirées par un sourire satisfait, il s'applique, au-dessus de ton corps, jambes qui entourent chacune ton corps prisonnier de lui, son souffle dans ta nuque qui vient réveiller tes envies, ses baisers qu'il dépose à l'envolée qui viennent titiller tes pensées. Et tu en apprécies, fortement, chaque instant, habituellement incapable de laisser les autres te toucher de la sorte, jamais on ne te trouve dans un salon de massage, t'as peut-être envie, finalement, d'adopter cette fantaisie à votre routine hétérogène. J'ignorais aussi que je les aimais tant, avoues-tu avec sincérité. C'est que les douceurs amoureuses, les caresses, les baisers tendres, les mains qui s'enlacent et les corps qui s'accolent, t'as jamais vraiment connu ça. Toi, l'amour, c'était charnel, violent, impatient, sauvage. La tendresse, c'est lui qui te l'a apporté, au travers de ses brutalités et ses incongruences pour former l'équipe que vous êtes devenue. Il passe ses mains sur tes bras, masse les muscles endoloris de tes biceps tendus, le soir, attachés aux différentes planches et structures qui te retiennent prisonnière, immobile, incapable de bouger, alors qu'il martèle la matière de ses lames, encercle ton corps de couteaux qui viennent définir ta silhouette. Tes poignets son parfois si fortement retenus contre les installations que se forment de petits hématomes sur ta peau, bleutée, que tu caches, généralement, le fond de teint couvrant et résistant comme allié, pas envie que les autres pensent que tu es meurtrie, violentée. Ce soir, tes défauts sont visibles, incachés, il passe ses doigts sur les blessures, les embrasse, les cajole avant de reposer son attention sur le reste de ton corps, jusqu'à te proposer l'impossible. Ses mains qui se sont maintenant attaquées à l'arrondissement de tes fesses, qui se sont logées au creux de leur naissance, presque à ta demande, arrêtent leur course. Il quémande le rouge de la robe, ton corps sous ce bout de tissu que jamais encore tu n'as eu l'occasion de porter sur scène. Il te fallait un numéro de choix pour le mettre, un numéro qui le mette en valeur. Et, aucun, encore, n'en est encore à sa hauteur. Robe unique, pas deux pareille sur le marché, faite presque que pour toi, tu hésites à l'enfiler, hésites à laisser les paillettes refléter contre ta peau, écartes l'hésitation pour l'envie de le satisfaire. Il s'écarte, te laisse te vêtir, assis sur le bout du lit qui grince, la base de métal en étant à ses derniers mois de vie, bientôt il vous faudra en acheter une nouvelle, ou la faire réparer, caravane qui tombera en ruine bien avant de vous trouver une maison digne de vous, digne, surtout, de votre modeste budget. Tu t'avances, les étincelles qui illuminent la pièce, reflet rouge de lumière qui se projette sur les murs et le plafond de la maison motorisée. Maintenant qu'il te regarde, maintenant qu'il te désire maintenant quoi ? Il tend sa main, attire la tienne, ton corps qui suit son empressement. Il y dépose un baiser, puis sur tes poignets bleutés avant de laisser sa main se loger dans ton dos. Tu roules les yeux, souris en coin, puis le fixes. C'est une journée comme les autres. Bien banale, même, même s'il s'agit de ton anniversaire. Et t'as pas vraiment envie que ce soit différent. T'as pas envie de penser que vingt-huit années, maintenant, te séparent de l'inexistence, pas envie que ton âme cesse d’errer et devienne trop terre à terre. Ses mains glissent dans ton dos, viennent de loger sous tes fesses, t'attirent fermement contre lui pour t'y assoir, la robe qui se redresse, qui laisse tes cuisses l'éblouir et le décolleté, dépouillé de soutif, l'ensorceler. Attache-moi, ordonnes-tu presque quand tu lis dans ses yeux l'envie, quand il passe sa langue dans ton cou, quand il titille ta libido, quand il te complimente, une explosion de chatouillement dans le bas de ton ventre qui migre vers ton antre. C'est bien à ça que tu pensais, hein ? Tu ries, tu laisses tes lèvres se frayer un chemin vers les siennes, ta langue jouer de la sienne, fantasme sur le point d'être réalisé. Tu te charges des menottes, j'me charge de l'appareil photo, lâches-tu en quittant à contrecœur sa peau, clin d'oeil avant de t'éloigner.
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyMar 3 Déc 2019 - 19:44

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Il lui ferait des massages tous les jours et apprendraient à faire lui-même les Napoléon si elle le souhaitait. Pour elle, il franchirait le Mont Blanc sans hésiter, ferait un saut en parachute sans parachute. Un massage, c'était une attention douce qui, bien qu'ils ne se le permettaient pas au départ, pouvait non sans mal agrémenter leur quotidien, autant que cette robe rouge quémandée. Elle ne l'a porté que pour lui, pour son propre plaisir mais jamais pour les autres. Pour l'instant, cette robe est leur secret, le point qui les unit dans la nuit. Dépensé des sous et des francs pour l'acheter et pourtant, ils l'aimaient tant. Magnifique, sublime, les mots viennent à lui manquer. Il la regarde, l'incite à venir à lui pour que ses doigts courent jalousement sur sa peau, pour que sa langue goûte à nouveau son parfum singulier et que son odeur ne quitte plus jamais la sienne. Prends moi, je suis à toi qu'il semble comprendre quand elle pose le regarde sur lui ou qu'elle frémit sous ses doigts. Ça lui va, plus que tout au monde c'est ce qu'il espère. Elle est son rayon de soleil un matin d'été, sa lune pour toutes les nuits d'hiver. Malgré son côté sauvage, elle était douce dans son amour, si tendre qu'il en crèverait un jour s'ils venaient à être séparés. Plus que tout il la veut, que ce soit pour aujourd'hui ou pour demain. Pour lui elle sera et jamais pour un autre, c'est comme ça, c'est sa vie, c'est son destin. Ils n'en sont qu'à leurs débuts et ont encore beaucoup de jours à vivre en commun. Un jour, cette robe qui symbolise leur passion sera portée face à tous il en est certain, mais peut-être pas dans le contexte auxquels ils songeaient d'abord. Silencieux, langue contre sa peau, la chair de son corps sous la pulpe de ses doigts, il se régale de leur moment qui serait de plus en plus intime. Déjà leurs embrassades réchauffent l'air et on semblerait apercevoir autour d'eux cette tension charnelle qui annonce leurs futurs ébats. Fou, il veut réaliser un de ses rêves les plus dingues. L'attacher, il ne pouvait pas refuser. Elle lui serait soumise et om profiterait de la situation pour la faire jouir à en déranger le voisinage. Il prendrait du plaisir aussi, tout en sachant que la situation finirait par se retourner, car c'était comme ça qu'ils fonctionnaient, avares de la domination, toujours à la recherche de sensations nouvelles là où d'autres acceptaient uniquement le quotidien. Ses lèvres se retroussent dans un sourire, ses yeux pétillent de malice. « Tu sais très bien à quoi je pensais. » Faire l'amour était leur credo, et même si ça avait longtemps été leur moyen d'esquiver la discussion, cela avait commencé à changer. Faire l'amour était devenu plus agréable, plus jouissif depuis que leurs langues avaient réussi à se délier. Alors oui, il allait l'attacher, accepter ce destin commun car menottes et appareil photo, voilà qui lui rappelait cette exposition sensuelle qui les avait alors ensorcelé. Les corps étrangers face à eux, ils s'étaient imaginés à leur place, l'esprit en feu. Voilà qu'ils avaient prévu de créer leur propre catalogue d'art, leurs corps meurtris par le désir pour modèles. Ce soir, cet étrange fantasme devenait le leur. Brooke lui échappe, il l'observe avant d'hésiter. Se mordant la langue, il finit par se lever, la chaleur de la caravane cumulée à celle que Brooke provoquait en lui. Il quitta le lit pour venir attraper dans un haut placard cette caisse qui ne renfermait que leurs jouets, et dans laquelle il se mit à fouiller frénétiquement à la recherche des fameuses menottes. Imaginer sa partenaire attachée au lit provoquait chez lui un petit grognement affamé, avant que son regard ne se pose sur le paquet cadeau caché parmi les objets. Lentement, il s'empare de l'écrin rouge qu'il fait glisser entre ses doigts, s'empare de l'objet convoité puis regagne le lit. Ici, peu de cachettes sont disponibles, alors il glisse le cadeau dans la taie d'oreiller avant que sa compagne ne revienne. Joueur, il s'installa au bord du lit, tendant la main pour arborer fièrement les menottes qu'il allait lui enfiler. « Tu sais combien ça va réveiller mon côté sauvage... » Il lui suffirait d'un fantasme et de la femme de ses rêves pour perdre elle contrôle. Le temps d'une séance photo, il redeviendrait le Sacha qu'elle avait connu les premiers jours, celui qui ne pensait qu'à ce que leurs corps s'unissent pour un acte sexuel intense sur la scène. Ça lui arrivait parfois, bien que moins souvent depuis qu'il avait cessé de boire ou de fumer. Sourire et clin d'oeil actés, il se redressa pour s'approcher de sa femme à pas de loup. Mais derrière cette soudaine envie d'elle, il ne quittait pas l'idée initiale de cet anniversaire. Pour clore cette journée en beauté, il avait prévu un cadeau à la hauteur de leur amour, à leur hauteur, et peu importe ce qu'en penseraient les autres, il était sûr de lui. « J'ai envie de tous les rendre jaloux. » Regard vers l'objectif, il a hâte qu'elle mette enfin en route l'appareil photo.

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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyDim 8 Déc 2019 - 23:45

Parler le même langage, langue du corps que vous connaissez mieux que vos langues maternelles, envies que tu captes qu'à l'échange d'un regard. Tu lances une idée folle, découlée de l'exposition érotique visitée le mois dernier, fantasme que vous avez effleuré du bout des doigts, mis sur la table pour vos prochains ébats, sans, pour autant, les laisser devenir totalement réalité. Fantaisie mêlant désir et exhibition à ce que vous connaissez le mieux, à ce dont vous raffolez. Tu lances l'idée, laisses dans ta voix des teintes d'ordre, réveillant le sadisme en l'homme qui partage tes nuits, cette partie de lui qui semble s'être dissipée depuis que les sentiments se sont mêlés à vos intimes ébats laissant u peu de douceur vous envahir. La douceur, c'est pas mal. Mais, vite, le feu revient et brûle et demande à être consommé. Et quand il te regarde de la sorte, quand il défie presque ton corps de se soumettre au sien, les envies se bousculent, la raison se perd, t'as qu'envie de succomber. Chaleur qui s'installe dans la petite caravane vous servant de cocon, il se lève, guide ses pas jusqu'à l'antre de vos secrets intimes, là où vous détenez caché la recette de vos jouissances pour y trouver les menottes alors que ton corps, lui, s'est éloigné, bien trop loin pour ton envie culminante, bouillante, à la recherche du second ingrédient nécessaire. Appareil installé sur un trépied, objet qui a souvent vu ton corps défiler nu, se dévêtir de tes vêtements, poser dans les plus abstraites positions pour le simple plaisir de voir les gens y réagir, s'indigner d'une si grande vulgarité alors que le corps humain reste la chose la plus pure, la plus simple au monde. Ce genre de clichés n'a pas de secret pour toi, toi qui admires la beauté d'un corps dans toutes ses parutions. Seulement, jamais tu n'as posé accompagné, jamais un autre corps n’a suivi tes danses, tes érotismes, tes messages traversés au travers de l'objectif. Appareil installé, tu te tournes vers Sacha qui, près du lit, attend que ton corps le rejoigne. Attirée vers lui, tu laisses tes pas te guider jusqu'à ses genoux qui s'écartent, qui te font entrer prisonnière de lui dans son processus dominateur. Il tend la main, les menottes cognent, tu souris. Je ne demande que ça, souffles-tu alors qu'il referme l'étau du bracelet sur ton poignet droit. Amour assagit, ces écarts de conduite, ces moments où la sauvagerie s'empare de vos corps, que l'euphorie vous accapare stimule en toi des émotions presque nouvelles, ravivent l'amour que tu portes pour lui. Le danger, le feu, comme chaque fois que vous performez sur la scène du Cabaret, extrapolés à votre chambre à coucher, perte de contrôle que vous ne vous accordez qu'au lit. Perds le contrôle, bébé. Fais-moi jouir, rends jaloux tous ces autres qui ne peuvent pas avoir ce que toi et moi nous avons. Il te guide vers le lit, attache l'autre bracelet de ton ligotage contre la tête de lit, son corps valse autour du tien dans une danse qui te rend fiévreuse, impatiente de lui. De ta main libre, tu brandis le retardateur, regard joueur. Je suis tout à toi, murmures-tu, appuyant sur le déclencheur à distance qui lance la première photo d'une rafale, bien que vous soyez encore trop habillés pour en savourer toute la sensualité. Sacha se perche au-dessus de ton corps, joue avec le tissu de la robe, glisse ses doigts contre les paillettes de la jupe à frange jusqu'à toucher l'intérieur de tes cuisses, encore avec prudence. Tu mords ta lèvre inférieure alors qu'il empoigne la chair de ta peau, que ses ongles laissent des marques sur ton épiderme pour remonter d'un geste vif la robe sur ton abdomen, dévoilant ton intimité à la caméra. Ta main libre cherche appui dans les oreillers du lit, le regard de Sacha s'assombrit alors qu'il remarque ta main s'enfoncer dans les coussins, mais tu n'y portes pas une attention particulière, laissant ton corps s'onduler sous le désir. Qu'as-tu derrière la tête, dis-moi ?
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyLun 9 Déc 2019 - 21:32

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Elle lui donne l'effet d'une lionne quand elle s'élance vers lui, déterminée, prête à ce qu'il lui retire sa robe, prête à ce que ses cuisses l'accueillent à nouveau, comme chaque matin et chaque soir, comme chaque fois qu'ils posent le regard l'un sur l'autre. Le duo de feu ne peut être que parfaitement représenté par cette robe sublime, d'un rouge passion, et dont le tissu ondule sans jamais pouvoir trouver de point stable. Bien que ce ne fut pas leur cas, ils avaient fini par s'accorder et par se diriger ensemble main dans la main sur le même fil, craignant à chaque seconde que l'un ne fasse chavirer l'autre dans le vide. Son regard est né pour elle, et ne la quitte pas, tandis que son corps réagit naturellement à son approche, jambes qui s'écartent pour pouvoir emprisonner son corps contre le sien. Ses mains glissent dans son dos, et viennent enfermer son poignet tatoué dans cet écrin de métal, scellant à sa manière l'amour qui les unit. Lentement, il l'incite à s'étaler sur le lit, pour que son bras soit désormais prisonnier de la tête de lit. Là, elle est à sa merci, et il sait qu'il en profitera pour lui faire subir les plus belles sensations qui soient. L'union de deux corps, les leurs, en symbiose parfaite, comme s'ils étaient moulés l'un pour l'autre. Si Socrate avait raison, alors les deux moitiés d'âmes se sont retrouvées depuis des mois pour n'en former qu'une seule et même entité. Ses propos le font frémir, un rictus éveille une émotion que son visage n'a pas connue depuis longtemps. Excès de colère envolés avec l'arrêt de cette drogue et de cet alcool, atténué par ces cachets qu'il est forcé d'avaler. Mais là, il sent que tout revient, sous une forme différente. Appétit sexuel décuplé par la promesse d'une caméra capturant chaque instant, mêlé à cette boule au ventre à l'idée de faire ce qu'il va faire. Ce n'est pas encore le bon moment, il attend, mais il sait que ce sera bientôt l'heure de clore cette journée par le geste ultime, celui qui, il l'espère fera naître plus qu'une jouissance dans le cœur de la jeune femme, si seulement elle accepte. « Je te ferais jouir et hurler de plaisir. » L'heure n'est plus à la dentelle et aux mots doux. Corps au dessus du sien, il dépose un baiser sur sa main emprisonnée avant de reculer, écartant ses jambes pour se caler à ses pieds, mains sur ses genoux, la vision de Brooke provoquant chez lui une envie soudaine de plonger dans son décolleté. Elle est sublime, ses tasses de rousseur l'ensorcellent, et la nuit, il n'y a qu'un roux qui lui fait faire du zèle. « Je ne laisserais personne d'autre te faire sienne. » réplique-t-il d'un murmure, regard furtivement attiré par le bruit de l'appareil avant de se reposer sur elle. Presque nu, et elle vêtue, ils auraient été magnifiques sur une toile romantique. S'avançant pour prendre position au dessus de son corps, visage en face de son corps si délicat, ses doigts se mettent à glisser le long de ses cuisses, palpant avec fermeté l'intérieur de ces dernières, qu'il compte bien garder en sa possession jusqu'à la fin de l'acte. Jambes contre les siennes, sa chair répond à son contact, poils hérissés sous ce contact si satisfaisant. D'une poigne ferme, il remonte le tissu de la robe sur les cuisses de Brooke, puis son ventre pour avoir accès à son intimité. Sourire aux lèvres un instant, il le perd quand elle glisse la main vers l'oreiller, lieu dans lequel il a caché le présent qu'il voudrait qu'elle ne trouve pas immédiatement. Voulant l'empêcher d'y accéder, il attrapa sa main, entrelaçant leurs doigts un peu brutalement. A quatre pattes au dessus d'elle, il se redresse, silhouette menaçant de l'engloutir. « Je veux seulement te donner du plaisir, mon amour... » Paroles qui camouflent sa pensée, et peu importe. Ses lèvres viennent capturer la peau de son cou, s'y attachent et y laissent leur marque avant qu'il ne les laisse venir retirer le tissu de son décolleté pour en embrasser les seins. Bassin contre le sien, il sent déjà son membre réagir à ce qu'ils sont en train de faire,  alors que sa main libre s'accroche à sa cuisse, alors que ses doigts agitent viennent chatouiller les lèvres de son entrejambe, à la recherche de ce clitoris, provocateur de tant de plaisir. Dans leur dos, l'objectif continue de les fixer comme des milliers de spectateurs silencieux. Sur son front, ses mèches noires sauvages s'installent, donnant à son regard quelque chose de plus bestial. Sa langue caresse le sein de sa compagne, alors que les doigts entre ses jambes sont poussés par les mouvements impatients de son propre bassin. La main dans celle de Brooke se dégage finalement, plongeant dans sa chevelure rousse, forçant leurs regards à se croiser à nouveau pour qu'il y lise cette expression qu'il était le seul à pouvoir provoquer. Bien que ce ne soit que le début, il était satisfait. « Est-ce que tu mérites vraiment tout ça ? » demande-t-il, provocateur alors qu'il lâche son intimité pour venir lui claquer la cuisse, remontant à nouveau la robe qui ne cessait de venir lui faire obstacle. Ce jeu malsain lui plaisait, et il se languissait de l'entendre soupirer sous chacun de ses coups de bassin.

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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyMer 11 Déc 2019 - 22:26

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Jouir, hurler de plaisir, le corps bleuté à force de se trémousser contre l'étau de métal des menottes qui cliquent, les coups de ses mains contre ta peau, ses ongles qui s'enfoncent dans ta chair en y laissant des marques, faisant de ton intimité son territoire, marqué pour que personne d'autre que lui ne se l'accapare. Au fond, c'est tout ce que tu veux. Tu veux qu'il te domine, qu'il te malmène, qu'il te frappe là où d'autres ne peuvent pas, là où l'accès leur est interdit, parce qu'il détient le passe de ton corps. À lui seul. La dentelle, les mots doux, c'est bien. Ça comble le moment. Ça comble l'ennui. Mais, entre vous, il y a toujours eu quelque chose de plus, un truc charnel, sauvage, impossible de s'y détacher. Même au travers des fleurs blanches et de la vanille, y'a ce masochisme qui ne quitte jamais l'érotisme de vos étreintes qu'il soit représenté par une morsure dans le cou ou un sifflet contre votre chair. Lui sur toi, ses mains qui emprisonnent ton corps, qui t'empêchent de bouger, qui te clou sur place alors qu'il te fait atteindre l'orgasme de coups de bassin violent. Toi sur lui, assaut brutal de ton corps qui prend le sien jusqu'à l'entendre crier te supplier d'abréger ses souffrances. Ces images te reviennent, alors qu'il fait glisser son corps contre le tien, ses jambes écartées de chaque côté de tes hanches, tu ondules, tu vibres, t'as envie de lui, la pression monte dans ton intimité, tu sens ton coeur battre dans ton clitoris, le sang qui pompe, qui capte toute ton attention sur cette fragilité. Fais-moi oublier que d'autres m'ont déjà possédé. Qu'il en efface les traces, qu'il ne laisse que son ADN sur le tien, tant pis pour ceux qui t'ont déjà envoyé au septième ciel. Tu lui lances un regard joueur et curieux à la fois, alors que tu sais que ta dernière phrase l'a sans doute mis en colère. Et en colère, il devient sauvage, violent. Ça t'excite de penser qu'il te prendra, qu'il pénètrera en toi avec une telle agressivité que ton cri strident en déchirera la nuit calme velouteuse du quartier caravanier. En transe, tu ne remarques rien des signaux autour de toi, rien qui présage que la soirée se terminera sur un tout autre spectacle et pas que celui de vos corps qui produisent des étincelles. Le brun perd son sourire, transforme son visage en une bête rugissante, certaine que c'est ton dernier commentaire qui le fait réagir, le tien, ton sourire, revient à charge, malicieuse, joueuse, féline. Sa main attrape la tienne, il en plaque le revers contre la tête de lit, le bois du meuble cogne, résonne, alors qu'il se redresse pour te dompter, pour plonger ses yeux bleus, dont la brillance n'a rien de pareil à celle que tu connais, dans les tiens. Il se fond sur ton cou, le mordille, sa langue qui glisse sur tes veines, tu t'enfonces dans les oreillers, tes jambes qui remontent et qui viennent l'entourer, incapable de lui laisser le total contrôle sur le sort qu'il te réserve. Plaisir, c'est déjà ce que tu me fais bébé, lui donnes-tu comme réponse alors qu'il plonge dans tes seins pour les couvrir de baisers plus fiévreux que les précédents. Ses doigts, eux, poursuivent leur course sur ton ventre, peau recouverte de taches brunes dessinant un parcours vers la déesse de ton intimité qu'il suit comme un chemin à emprunter jusqu'à tes lèvres intimes où il s'arrête, où il s'amuse à les embraser, à chatouiller la fine peau de ton abandon alors que sa main libre s'empare des rondeurs de tes courbes, que ta chair se serre entre ses doigts, que ta peau se pince sous la pression de son envie brulante, lorsqu'il juge que ses caresses te sont suffisantes. Tu veux plus, tu veux toujours plus. Et ton bas ventre qui hurle qu'il s'y replonge tente de le lui dire, de le supplier de revenir. Il lâche ta main, celle qui te devait être libre alors qu'il te l'empoignait par autorité. Il la lâche pour attrapa ta rousseur, pour l'empoigner fermement, pour guider ton visage vers le sien alors qu'il crache, provocateur, la prochaine question. Il claque ta cuisse, le son résonne dans toute la pièce en écho à la rougeur qui apparaît sur ta peau au travers des éphélides au même moment où un nouveau cliché s'échappe de la caméra. J'ai été mauvaise, réponds-tu en soutenant son regard. Frappe-moi. Tu l'as mérité, t'as envie qu'il claque tes fesses en te retournant, qu'il te prenne sauvagement jusqu'à se vider et qu'il te fasse crier son nom, tant pis pour les voisins qui pourraient l'entendre, une pensée pour la fenêtre au-dessus de l'évier qui n'est pas bien fermée et qui diffuse sans doute vos échanges.  
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyDim 15 Déc 2019 - 12:40

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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyVen 20 Déc 2019 - 3:16

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Il sait, pourtant, qu'avant lui bien d'autres sont passés sur ton corps. C'était ce que tu connaissais, ce que tu savais bien faire. L'amour, ça n'a jamais été un truc qui te collait. Toi, t'étais plutôt le genre de fille à faire rêver l'instant d'une nuit, le feu de tes cheveux qui se transposait dans tes yeux, bonne à prendre là où les envies se posaient et à quitter silencieusement une fois le plaisir déversé. Et ça t'allait, faut pas penser que tu en as souffert, t'étais aussi hideuse que ces autres, t'avais pas envie de tendresse. Juste qu'on te maltraite, qu'on fasse taire les voix dans ta tête. T'façon, ton trouble avec l'attachement était bien trop fort pour laisser quelqu'un percer ta carapace, trouver le chemin vers l'entre de ton coeur, vers ce qui pourrait te redonner vie. Sauf Sacha. Sauf ton brun, lui qui a été le seul à voir plus loin que tes avantages physiques, plus loin que ton cul et tes seins, plus loin que son membre en toi et ses mains contre ta peau. Et même s’il sait, même s'il peut se douter du nombre de personnes différentes que ton corps a supporté, il agit comme si c'était la première fois qu'il y pense. Il s'impose, de sa voix grave qui résonne dans la pièce, agrippant tes cheveux plus fermement sous sa poigne brutale. Ce qui lui appartient? Ton ventre s'affole, des démangeaisons s'agitent dans le bas de ton corps, c'est idiot l'effet que ça te fait de te sentir sienne, de sentir qu'au travers de ses yeux, il n'y a que toi qui peut lui revenir, que toi dans son coeur, que toi dans sa tête, que toi dans son corps. Il lâche tes cheveux, empoigne ta gorge, te coupe presque le souffle alors qu'il te force à planter tes yeux dans les siens, à regarder la haine de son regard, à y lire toute la jalousie, l'affolement et le dégout de t'imaginer à un autre. Des noms, il veut que ton commentaire devienne réel, il veut savoir qui il doit pester, qui il doit imaginer quand il lance ses lames, quel homme t'a déjà possédé, lequel t'a fait jouir le plus. T'as l'impression que c'est ça, en fait, l'issu de toute cette mascarade. Les filles, il s'en moque. Il trouve peut-être même ça excitant de fermer les yeux et de voir le roux de tes cheveux entre les jambes d'une autre beauté, de t'observer lui faire du plaisir, lécher ses lèvres, aspirer son clitoris, la faire crier en insérant tes doigts d'abord lentement et ensuite plus rapidement, alors que ta main libre vient caresser ses seins devant un Sacha attentif, le membre bien dressé et prêt à vous rejoindre. Il aime, ça tu peux le jurer. Mais l'image d'un autre homme en toi, d'un autre homme sur toi, de tes cris de satisfactions mélangés aux coups de reins d'un autre corps que le sien, ça, ça le rend fou, fou de savoir que t'as déjà vécu l'orgasme ailleurs que sur sa queue. Faudrait pas que tu entres dans cette colère, dans ce jeu dangereux qui pourrait mal tourner. Mais t'es animée par le danger et tout ce qui va avec, t'es motivée par ses mains qui empoigne ta gorge, ta respiration qui se fait difficile, et le chatouillement de ton entre-jambe quand tu penses à la violence dont il fait preuve. T'en veux plus, comme une détraquée, t'en veux encore plus, c'est pas assez, pas suffisant pour tes désirs charnels qui ne sont qu'au début de leurs demandes. Alors tu te tâtes à lui dire, à lui balancer les noms qu'il veut, pour qu'il te violente toujours plus, pour qu'il devienne sauvage, intarissable. Qu'il dévore ton corps sans arrêter, qu'il plaque tes jambes contre le lit et qu'il te domine, qu'il te force à avoir ce plaisir avec lui, et qu'avec lui. Woody, souffles-tu alors qu'il presse plus contre ta peau. Un nom, ce n'est pas assez. Tu souris, machiavélique. Axel, Carlisle, Fauve, commences-tu à énumérer. Jay, Don, Stephen, Gloria. Tu ne t'arrêtes plus, tu le sens bouillir. Ian, Bradley, enchaînes-tu, ton sourire toujours moqueur non loin, Jackson, assainis-tu en dernier, sans vraiment savoir où le placer pour éviter de le faire rager. Et bien d'autres dont le nom m'échappe, ajoutes-tu avant qu'il ne s'en prenne à Jackson, des mecs qui n'ont pas été à la hauteur de me souvenir d'eux. Tu le regardes, sondes ses yeux qui veulent te tuer, qui veulent te faire du mal. Et t'aimes ça. T'es complètement folle. T'aime qu'il te déteste, qu'il veuille te faire du mal. T'attends patiemment qu'il ne puisse plus se contrôler, que ses coups partent seuls, qu'il s'en prenne à toi et qu'il te baise. Tu te fais moins patiente, emprisonnant son corps entre tes jambes qu'il plaque, violent, qu'il repousse pour te dominer. Il descend, longe ton corps qui halète, qui ne demande que l'on s'occupe de lui, trop longtemps en attente. Et il plonge dans ton intimité humectée, il l'assomme de baisés brûlants, de coups de langue qui t'arrache un premier soupir accompagné d'un Sacha, qui lui fait sans doute bien à l'égo, son nom qui résonne dans la caravane au travers de tes cris de satisfaction alors qu'enfin il s'occupe de ton entre-jambe désireuse, chaude pour lui. Il accélère ses caresses, ses dents qui mordillent ta chair, tu cambres le dos, la tête qui s'enfouit dans les oreillers, qui tente de s'envoler. Tu jouis contre son corps, incapable de t'arrêter, sans pour autant en être totalement rassasiée, le liquide de ton plaisir qui se déverse contre lui, qu'il goûte, qu'il déguste avec envie, alors que ton corps en transe ondule sous lui, ses mains qui contrôlent tes cuisses, qui les forcent à rester entre-ouverte, à ne laisser que sa tête y accéder, pas plus, pas moins, et sa langue qui s'arrête, alors qu'il en a assez de goûter, alors qu'il veut te torturer. Le russe retire le bout de tissu qui lui restait, son boxer qui prend envole pour laisser son pénis se dresser fièrement vers toi, gonflé par envie, les veines de sa verge qui pulse le sang qui s'y rend, ses testicules bien rondes qui te donnent envie de toucher avec brutalité, de malaxer jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se retenir. Mais il s'écarte. Il est loin. Trop loin. Tu ne peux même pas l'effleurer. Il titille ta patiente, se moque de toi. Il rit, il prend plaisir. Et toi tu t'enflammes. Tu bouillonnes sur place. Tu grognes. C'est pas drôle. C'est de la torture, craches-tu alors qu'il te demande ce que ça te fait, alors qu'il joue avec la proximité et se recule quand tu penses pouvoir l'attraper. Je te veux, siffles-tu avec fermeté. Baise-moi, jappes-tu. Prends-moi, ordonnes-tu. Fais-moi tienne bébé. J'en peux plus. Supplice. Calvaire. Ténèbres. Ton corps convulse presque, la sueur sur ton front, tu mordilles ta lèvre inférieure. Il faut qu'il te baise. C'est ton seul remède. Sans lui, tu meurs.
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptySam 21 Déc 2019 - 16:16

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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptySam 28 Déc 2019 - 2:33

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Et qu'est-ce que tu en as à chier de ce que pensent les autres? Qu'est-ce que tu en as à chier de ce qui est sain ou pas? Tout ce qui compte, c'est de le savoir en extase devant toi, de le sentir si fragile sous ton corps qu'il pourrait flancher à n'importe quel moment, c'est de le tenir en haleine durant de longues minutes, qu'il se languisse de toi, qu'il te supplie de lui faire jouir ton nom dans un feu d'artifice d'émotions. Et peu importe la façon dont tu t'y prendras. C'est tout ce qui compte. Le regard des autres, le jugement des autres, ce qu'ils peuvent bien se dire lorsque vous quittez la pièce ou lorsque vous passez sur leur chemin, tu t'en fiches. Tant que tu as ton homme à tes côtés, tant qu'il te prend une fesse et qu'il te dit qu'il t'aime, qu'il t'aimera jusqu'à ce que la terre explose, jusqu'à ce qu'il en crève, c'est tout ce qui compte. Et ces autres qui t'ont déjà touché, ces autres qui t'ont déjà goûté, ils te sont déjà oublié, loin dans les souvenirs que tu ne souhaites pas revivre, parce que le présent t'est bien plus agréable, parce que le Russe ondule sa langue contre tes lèvres inférieures, s'amuse à les aspirer, à les mordiller, les titille, les tâtes, les goûte, si bien que tout ton corps se dresse pour lui, ta poitrine qui se durcit, tes mamelons qui pointent vers le plafond, ta chair qui se hérisse. Il donne des coups secs, insère sa langue là où ton corps frissonne, t'excite, te donne chaud. Tu cries son nom, entre les halètements de plaisir, entre les soupirs qui te déchirent les tripes. Bébé, que tu cries, alors que ta main libre dépeigne ses cheveux, les empoigne par insolence. Oh oui, hurles-tu alors que cette main lâche la racine de ses mèches pour glisser contre tes cuisses relevées, se promène sur ton corps jusqu'à retrouver tes seins que tu malaxes, que tu presses contre ta paume, alors qu'il t'achève de sa langue. L'orgasme est près, tu sens ton intimité bouillir, ta respiration qui s'accélère. Et il peut le sentir, au changement de mouvement de ton corps, alors que tes yeux se ferment, qu'un sourire se pose sur les lèvres que tu mordilles, alors que cette main lâche ta poitrine pour agripper la tête du lit qui finira par tomber en ruine à force de le malmener ainsi. Oui!, cries-tu une dernière fois, les cuisses qui se referment en étaux contre la tête de Sacha. Et plus rien. Il se redresse, imposant, amusé, alors que tu halètes, que tu respires si fort qu'il peut sentir ton souffle sur son visage, bien droit devant toi. C'est pas le moment, il ne t'a pas donné la permission de jouir. Cet orgasme, il est repoussé, titillé, il devient rageur, agressif. Tu bouilles de colère, de frustration, t'as envie qu'il te fasse venir, qu'il te satisfasse jusqu'à ne plus avoir l'énergie nécessaire pour marcher, pour rester éveiller. Tu veux qu'il t'empoigne, qu'il te retourne sur le dos, qu'il te baise sauvagement, le poing dans tes cheveux, la main contre ta chair qui se rougit sous sa force. T'as envie de l'entendre grogner de désir et de sentir son bassin contre ton derrière, claquer ta peau, résonner dans toute la caravane. Mais il a arrêté. Et il rit de ta situation, satisfait de te voir rugir, de te voir le supplier de t'anéantir. Il refuse. Non froid. Non ferme. Non qui fait mal. Son pénis se colle contre ton antre, sa peau te brûle lorsqu'elle entre en contact avec la tienne, sans pouvoir réellement s'y perdre. Il recule, et revient. Il fait exprès. Il caresse ta peau. Tendre, doux. Mais tes yeux voient rouge et noir, le feu et l'impatience. Et il te frappe. Ta cuisse rougit, ta chair résonne alors que la trace de sa main s'incruste entre tes tâches de rousseurs. Premier coup qu'il t'assène, tu mords ta lèvre inférieure. T'en veux encore. T'en veux plus. Et il lève la main à nouveau. C'est ton entre-jambe qu'il cherche, c'est ton antre qu'il frappe à nouveau, ton clitoris qui se contracte sous le feu de ton excitation, la douleur qui se mêle au plaisir. Ça fait mal. Mais ça fait du bien. Tout ça en même temps. Tes cuisses re resserrent, parce que l'orgasme est trop près, parce qu'un coup de plus et tu jouis sans même qu'il ait à te pénétrer. C'est douloureux, c'est infernal. Punis-moi, implores-tu, la voix roque, l'impatience qui ne fait plus ressortir toute ta grâce, mais plutôt ton sale caractère de merde qui n'est en rien séduisant. Il guide son sexe, le masturbe, sous tes yeux. T'as chaud. Tu lèches les doigts de ta main libre, les guides vers ton propre sexe. Devant la vision de ton amant qui se procure du plaisir, tu laisses tes doigts caresser ta propre peau, impossible qu'il soit le seul à se faire du bien. T'en peux plus, faut que l'orgasme vienne, parce que tout ton corps est en trans, tout ton être va exploser. Et si Sacha a fermé les yeux, toi t'as planté ton regard océan sur lui, la langue qui humidifie tes pulpeuses, les dents qui  viennent les serrer, le corps qui continue ses ondulations alors que tes doigts, eux, pianotent contre tes lèvres intimes, effleurent ton clitoris. Et il ouvre les yeux, te regarde faire avec un sourire voyeur, vous deux au centre d'une intimité d'ordinaire solitaire. Je t'aimerais mieux en moi. Ta voix trahie ton envie, laisse entendre que tu ne peux plus vivre sans lui en toi, sans sa chaleur dans la tienne. Et il agrippe ta taille, son membre qui s'introduit avec aucune difficulté en toi, le chemin déjà tracer pour sa verge bien dure, des mouvements secs qui claquent ta peau, ses testicules qui s'écrasent contre tes cuisses. N'arrêtes jamais bébé, ordonnes-tu, même si t'es sur le point de le supplier de te délivrer de tes souffrances. Sacha t'empoigne, marque ta peau, te fais jouir, explosion alors que l'orgasme est rapide à atteindre, laissant son érection se vider dans ton corps, votre respiration qui prend enfin un rythme régulier. Vidé, Sacha s'allonge contre toi, la tête entre tes seins, le corps qui pèse contre le tien, son souffle qui chatouille ta chair humide de sueur. Ta main libre caresse ses cheveux alors qu'il touche avec délicatesse les bleus sur tes hanches. T'as mal. Mais putain que tu l'aimes. Et cet amour est si violent, qu'il laisse des traces sur son passage.
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyDim 29 Déc 2019 - 17:40

they don't need to understand

Épuisé de l'effort qu'ils viennent de fournir, Sacha laisse son corps se relâcher, tête contre sa poitrine alors qu'il ferme les yeux, reprenant peu à peu le rythme naturel de son corps, le souffle ralentissant. Il aurait pu s'endormir ainsi, et ne plus vouloir bouger avant le lendemain, peu importe si le froissement du tissu de la robe qu'elle portait toujours le réveillait. Il aurait voulu rester dans ses bras pour l'éternité, ne plus avoir à se soucier d'autre chose que du cœur de Brooke qui battait sous sa tempe. Alors qu'elle lui caressait les cheveux, corps l'un contre l'autre, entrelacés, il repensait à cette petite boîte sous les oreillers, qui, par chance, étaient encore en place. « J'crois que j'ai laissé la clé des menottes dans la taie d'oreiller. Tu peux me les passer, s'il te plaît ? » Mensonge. Il n'ose même pas la regarder encore tant il a honte de lui cacher ça. Il se redresse après avoir embrassé ses seins, vient caresser son menton du bout des doigts, ainsi que les tatouages sur sa gorge. Il sourit béatement, incapable de réaliser ce qu'il allait se passer. Son regard suit son bras, la main qui se glisse sous le tissu. « Tu pourrais être mienne. » murmure-t-il de sa voix grave alors qu'il plante à nouveau son regard dans le sien. Encore campé au dessus de son corps, il a la plus belle vue du monde. « Je sais que tu l'es déjà mais... » Il ne sait pas comment formuler ses propos. Il y a pensé toute la journée. Il pince les lèvres, le souffle court, et vient à nouveau embrasser ses lèvres avant de s'asseoir à côté d'elle, pour lui laisser l'espace nécessaire pour ouvrir cette boîte alors que sa propre main ne quitte plus sa cuisse tachetée de tâches de rousseurs et des bleus qu'il lui avait fait. Jambes emmêlées, il est nu comme un ver alors qu'elle est encore sublime dans sa robe rouge. Lentement, il glisse sa main jusqu'à son bras, jusqu'à son visage et il s'arrête sur sa joue, plus proche que jamais. « Bébé... t'as pas envie de devenir... Madame Oxley-Kheinov ? Pour de vrai. Je veux que tu deviennes ma femme. » Yeux dans les yeux, il ne ment pas. Il a l'impression que son cœur s'est arrêté alors que son regard se fait sondeur, tandis qu'il tente de contrôler les tremblements de son cœur, dont il ne fait pas attention. Il a du mal à se remettre de l'effort fourni, et sait qu'il pourrait s'écrouler à tout instant, mais il s'en fout, car pour l'instant, il y a plus important. Il veut l'épouser. Oui, c'est ce qu'il est en train de faire, une demande en mariage, camouflée sous des mots qu'il ne connait que trop mal. Il est temps que ça change. Il l'aime, et il ne veut pas d'autre femme qu'elle. « Je te demande de m'épouser. » Cette fois, les mots sont sortis. Plus la peine de faire semblant, de passer à côté juste parce qu'il n'a pas formulé correctement sa demande. Cette fois, il ne laisse pas de place aux doutes, ni aux secrets.

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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyMar 31 Déc 2019 - 6:03

Tu cries, ta jouissance au maximum, ton corps martelé de tous les coups qu'il ta assainit, que ce soit ceux de ses mains ou ceux de son membre, ta gorge rouée à force de hurler, de gémir, de saccader ta respiration à force de sentir l'excitation monter en toi, à force de sentir le feu de sa verge te procurer un plaisir qu'il est le seul à pouvoir te donner. Tu cries son nom, une dernière fois, avant de gémir ton plaisir dans des mots qui ne se distinguent pas, son pénis qui se contracte en toi, qui cogne contre tes parois, qui se déverse et qui dégonfle au même rythme que vos corps retrouvent une respiration dite normale, passable, alors qu'il pose la tête contre ta poitrine, qu'il s'y loge entre ta chair, le tissu de la robe et tes cheveux qui lui servent de couverture. Il ferme les yeux, il est bien. Et tu souris. Parce que ça pourrait être ça, votre vie, jusqu'à la fin des temps, jusqu'à la fin du monde. Baiser comme des bêtes, mais se retrouver comme des agneaux, tendrement, avec douceur, ta main qui caresse ses cheveux, ton coeur qui battait si vite qui tente de retrouver un rythme cardiaque normal, mais qui n'y arrive pas. Parce qu'il est là, près de toi, et qu'à cette proximité, il t'est simplement impossible de te calmer. Il fait battre ton coeur, comme le premier jour, tellement fort que ta poitrine pourrait éclater sous ses pulsations. La main toujours attachée au lit, tu sens la peau de ton poignet qui pulse, qui brûle, à force de frictionner contre le métal de l'objet. Ton bras tire, fait mal, s'endolorie. T'as pas envie de bouger Sacha, mais la circulation se fait moins fluide dans ton bras. T'arriveras pas à y passer la nuit. J'sens plus mon bras, lui annonces-tu en déposant un baiser dans ses cheveux. Il te dit qu'il n'a pas les clés, qu'elles sont dans la taie d'oreiller. Tu souris. Quoi?, demandes-tu, joueuse. Tu m'attaches et c'est à moi de retrouver les clés? Tu ries tellement c'est con, tellement c'est pas usuel. Puis, ça ne ressemble pas à Sacha, ça. Lui, il veut commander. Mais tu ne te poses pas plus de questions, tu étires ton bras alors qu'il se redresse, qu'il embrasse ta poitrine et tu fermes les yeux sous le poids de ses lèvres, cherches à tâtons la clé métallique dans la taie, il caresse ta peau et tu frémis. Mmmm, bébé, t'est pas rassasié?, demandes-tu, sourire perché sur tes lèvres, yeux toujours fermés. Mais c'est pas une clé que tu trouves, c'est une boite. Tu fronces les sourcils en ouvrant les yeux, en extirpant cette boite, en l'examinant devant toi, d'une main, l'autre toujours attachée. Tu pourrais être sienne. Mais tu l'es déjà, qu'est-ce qu'il te raconte? Qu'est-ce qu'il dit? Tu comprends pas. Il t'embrasse, tu goutes à un Sacha mielleux, velouté, vanillé. Il s'assoit en face de toi, vos jambes qui s'entremêlent, vos tatouages qui ne font qu'un, comme une grande oeuvre d'art qui dépeint votre histoire. Et il t'invite à l'ouvrir du regard. Tu comprends rien, mais y'a ton coeur qui s'affole. Tu comprends rien, mais y'a ton corps qui s'échauffe. C'est pas possible, t'y crois pas. Difficilement, t'ouvres le boitier d'une main, le pouce qui repousse le couvercle pour faire apparaître, sous tes yeux, un anneau surplombé d'un tout petit diamant, discret, exactement comme tu voulais, exactement ce que tu lui as dit, quand vous aviez parlé mariage, la seule fois que c'est arrivé, par pur hasard. Et il l'a retenu. Rien de tape-à-l'oeil, rien d'extravagant. Tes yeux s'emplissent d'eau, ton corps tremble, et il prononce les mots qui font couler tes larmes. Évidemment que tu veux. Mais tout ton corps est en arrêt. Impossible de faire quoi que ce soir. De dire quoi que ce soit. Et y'a ta foutue tête qui veut dire non. Qui veut gâcher le moment. Parce qu'elle croit pas que tu peux avoir ça, que tu le mérites, que vous le méritez. C'est la mort, merde, tu peux pas dire non. Ta tête, ton coeur, c'est une bataille. Et tu finis par hocher la tête, entre les larmes, entre cette boite qui tombe contre le lit et ta main libre qui vient cacher ton visage émotif. J'sais pas ce qu'on est supposé répondre dans un moment pareil, j'ai jamais rien vécu de la sorte, dis-tu entre tes larmes, entre l'émotion. J'veux plus passer un seul jour sans toi, Sacha. C'est pas si mal, ça? C'est un bon début? J'veux devenir ta femme.
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MessageSujet: Re: they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥   they don't need to understand (+18) |ft brooke ♥ EmptyMar 7 Jan 2020 - 22:18

they don't need to understand
Il sourit, hausse les épaules, partagé entre l'excitation et l'inquiétude. Pour la première fois de sa vie, il veut aller au bout de ses idées, l'amour plein les yeux, prêt à offrir corps et âme à sa bien aimée et pourtant, l'angoisse est là, lui pend aux tripes. Il n'a jamais pu. Jusqu'ici, sa vie n'était qu'emmerdes et chaos, jusqu'ici, il ne connaissait même pas la définition du mot amour. Non, ça ne fait pas si longtemps que ça qu'ils se fréquentent et pourtant tout est allé si vite. Au début, leur relation n'était qu'une multitude de moments où leurs corps se retrouvaient pour s'unir dans des ébats qui devenaient de plus en plus récurrents. Tous les soirs, elle était la cible de ses lames et tous les soirs, il repensait à la première fois qu'ils avaient fait l'amour sur scène. Il ne la connaissait pas mais il la voulait. Elle était belle, non, elle était sublime et éveillait ses sens. Chacun de ses regards le rendait fou, et l'avoir sous les yeux tous les soirs avait fini par le rendre amoureux. Il avait nié, parce qu'il avait trop de fierté, mais telle était la vérité. Sur scène, il se moquait bien du regard du public, parvenu qu'il n'avait d'yeux que pour elle, sans cesse vêtue de tenues excentriques qui rendaient son corps so attrayant qu'il avait de plus en plus de mal à tenir jusqu'à la dernière seconde du show. Entre eux, le tumulte de la passion naissait à chaque regard, et il n'aurait jamais cru qu'un jour elle accepte d'être sienne. Une compagne pour le jour et pour la nuit, celle qui fait vibrer son cœur et qui l'empêche de dormir tant il a peur de la voir disparaître s'il ferme les yeux. Des je t'aime à tout va, des petites attentions qu'il multipliait pour lui montrer qu'il l'aimait. Il n'avait jamais cru qu'il en serait là à l'admirer rire parce qu'il ne veut pas la détacher lui-même, parce qu'il a autre chose en-tête. Et alors il oublie le monte qui l'entoure, estompe la réalité. La clé, elle n'est pas là. Il le sait, elle est sur la table de chevet, en plein visuel de la caméra alors que Brooke sort de l'oreiller cette boîte qui fait naître en son ventre tant de papillons qu'il a peur que son coeur ne lâche soudainement.« Je suis jamais rassasié, j'ai toujours envie de toi. » souffle-t-il pour masquer sa nervosité. Son sourire s'efface peu à peu quand il la voit se mettre à pleurer. Des larmes qui viennent mettre en relief les milliers de tâches de rousseurs. Il se sent con et il s'en veut, murmure un bébé presque inaudible alors qu'il de redresse pour venir attraper la clé, retirer la menotte qui l'empêche de bouger pour la libérer. Il ne veut plus la voir pleurer à cause de lui, ne veut pas non plus qu'elle perdre l'usage de son bras pour des conneries. Et miette, posant une main sur sa cuisse, il attend, le cœur battant. Il s'imagine que ça ferait, que d'être mariés comme il vient de le proposer. Ils pourraient être heureux. Avoir leur petite maison aux abords de Bowen, avec un jardin et un chien, pouvoir se permettre de faire l'amour dans leur lit ou dans le jardin, se sourire d'une pièce à l'autre, faire la cuisine pour se préparer à recevoir la famille. Ils pourraient être heureux. Il pourrait la dessiner, passer son temps a la dévisager. Il ferait tout pour elle, tout pour la rendre heureuse parce qu'il l'aime et qu'il ne veut plus personne d'autre après elle. Il a beau arriver à ses trente ans, il se sent comme un adolescent. L'amour c'est ça. C'est le pouvoir de rajeunir juste parce qu'on est heureux avec l'autre, respirer le même air, partager ses peines et ses colères en trouvant toujours le moyen de se pardonner. Il veut tout ça et plus encore avec elle. Il l'aime. Et quand elle dit oui à cette union, il en a lui aussi les larmes aux yeux alors qu'un sourire plus qu'amoureux éclaire son visage. Il est soulagé. Elle a dit oui, et il n'aura plus jamais un seul jour à passer sans elle. Alors il s'approche à nouveau, pour pouvoir la serrer dans ses bras, la serrer tout contre lui alors qu'il réalise qu'il ne serait rien sans elle. Grâce à elle, il se sent lui-même. Alors, tendrement pour sceller cet accord, il vient l'embrasser, acceptant leur bonheur, acceptant d'être un homme comblé.

Fin.

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