knockin' on heaven's doors ∞ lux

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knockin' on heaven's doors
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@m. lux sévigny & @pippa wojcik

J’aimais mon chez moi, mon nid douillet. Je l’avais acheté cinq ans plus tôt, après mes premières vadrouilles en solo autour du monde et je l’avais aménagé à mon image, avec tout ce qui m’inspirait et qui me faisait rêver. Il était plein de nombreux souvenirs aussi, ramenés de mes différents voyages, ou des plus précieux encore qui concernaient ma famille ou mes amis proches – Nevaeh ou Juliann par exemple – que je considérais comme telle de toute manière. Mon appartement se trouvait en plein centre de Bowen, on pouvait aller n’importe où à pied et c’était l’une des choses que j’aimais le plus avec cet endroit, en plus du fait qu’il était complètement à moi, et pas à mes parents, en plus du fait qu’il était très lumineux et assez grand en prime. Cet été, j’avais décidé de trouver une colocataire, parce que si la plupart du temps j’étais un loup solitaire, j’aimais aussi avoir un peu de compagnie. J’étais tombé sur Lux, une jeune femme pétillante et au caractère de feu avec qui j’avais noué un lien immédiat. J’adorais cette gamine, dix ans nous séparait et pourtant cela n’y paraissait presque pas.
— Luuuuuuuuuuux ! chantonnai-je en passant la tête par la porte d’entrée, je suis rentrée, et je t’ai ramené pleins de cadeaux d’Europe !

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@m. lux sévigny & @pippa wojcik

Tu avais quitter t'a vieille auto au début de l'été... En fait après une énième arrestation M. Parfait t'avais pas trop donner le choix te fessant comprendre que s'il te reprenait a dormir dans celle-ci elle te serait saisie ainsi que ton permis. Non mais pour qui il se prenait. Tu avais fini par trouver l'appartement idéal pour toi. Avec une jeune femme; encore plus pétillante que toi.  Vous aviez vite connecté et il lui arrivait fréquemment de partir pendant une longue période en voyage ce qui te fessait te sentir seul. Malgré vos dix ans d’écart tu avais trouver en Pippa une femme qui te ressemblait grandement et avec qui tu avais l'impression de pouvoir parler comme a une amie. Tu aimais qu'elle ne te traite pas comme une enfant! tu avais quand même 20 ans et pas mal de vécus.  Tu était afférer a faire ta vaisselle  quand tu entendis ça voix. Tu essuya tes mains et te dirigea tout de suite a sa rencontre. Les quelques morceaux qui traînait encore dans le levier n'allait quand même pas ce sauver." PIppa! Aller raconte moi tout! Comment ça été!?"  

Dès que je vis la tête blonde de ma colocataire entrer dans mon champ de vision, mon sourire s’élargit aussitôt. J’étais heureuse de la revoir après un si long moment passé à l’étranger. La jeune fille avait intégré sa chambre peu avant mon départ pour l’Europe, j’avais ressenti une grande détresse en elle, et avait aussitôt eu envie de l’aider. Elle logeait chez moi en échange d’une somme dérisoire. Je n’avais pas besoin de cet argent pour vivre, moi. Je gagnais suffisamment bien ma vie pour ne pas attendre un loyer. J’espérais sincèrement que ce toit pourrait permettre à la jeune femme de retomber sur ses jambes, elle le méritait. J’apportais ma pierre à l’édifice, j’étais foncièrement heureuse de pouvoir aider ce petit bout de femme. Elle était encore si jeune, elle avait le droit à une deuxième chance. J’avançai, lui ouvrant grand les bras puis l’étreignis avec chaleur.
— Trop contente de te voir ma p’tite puce !
Après l’avoir serré contre moi, je me débarrassai de ma veste en cuir que j’allais accrocher au porte manteau. Mes valises étaient encore dans l’entrée. Je prendrais le temps de les défaire plus tard.
— On se met sur le balcon ? Je nous fais des virgin mojitos ça te dis ? Je te raconte ça après.