| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| (hot) La famiglia è tutto (Aura) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Dim 3 Jan - 1:17 | |
| Livio et moi vivions notre amour avec intensité. Tout allait si vite entre nous, comme si nous avions du temps à rattraper, mais avec cette intensité, allait la passion, et son mauvais coté, la jalousie. Parfois incontrôlable et déplacée. Livio comme moi en avions fait quelques excès, qui dépassaient même notre raison, qui défiait la logique. J’avais entièrement confiance en lui, je savais qu’il m’aimait, qu’il n’aimait que moi, et une part de moi était convaincue que je lui suffisais, mais parfois les peurs refaisaient surface et éradiquaient le rationnel un moment. C’était exactement ce qui s’était passé pour Livio cet après midi, devant le musée des Offices, avec mon ancien collègue. Les choses étaient apaisée maintenant, et cela me rassurait que mon amoureux comprenne qu’il n’y avait rien entre Giuseppe et moi, qu’il n’y avait que lui qui occupait mes pensées, depuis longtemps déjà. Dans la pénombre de sa chambre d’enfant, je lui souriais, caressais doucement son visage. Tendrement, j’avançai la nuque et déposai un baiser sur ses lèvres. Puis, un air malicieux passant sur mon visage, je relevai le regard pour l’ancrer dans le sien. — Je vois bien quelque chose, fis-je en minaudant, si seulement…tes parents n’étaient pas dans la pièce à côté…
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| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Ven 15 Jan - 14:59 | |
| Qu'il était stupide. Ils étaient à l'autre bout de la planète, dans leur pays natal, prêts à se présenter à leurs familles mutuelles et Livio trouvait le moyen de gâcher le moment avec une jalousie exacerbée. Il savait qu'elle l'aimait, irrémédiablement, mais la piètre image qu'il avait parfois de lui-même le poussait sans cesse à se comparer, à craindre qu'elle trouve bien mieux que lui, qu'elle veuille se lancer dans d'autres expériences. Si Livio avait butiné pendant de longues années, il était le premier vrai petit ami de l'italienne. Alors que lui savait qu'elle était ce qu'il cherchait, l'italienne serait peut-être amenée à vouloir tester d'autres relations avec des hommes ou femmes. C'était cette peur de ne plus la satisfaire, de ne plus lui convenir qui le rongeait et le faisait totalement dérailler. Mais pour l'instant, il devait mettre ses doutes de côté et sauver ce voyage qu'ils avaient attendu avec tant d'impatience. Il était prêt à tout pour se racheter, pour lui faire oublier son comportement exécrable. Il était prêt à l'amener à l'autre bout du pays, à la suivre où elle voulait, sans rechigner. Mais la brune semblait avoir un tout autre programme en tête, de quoi sceller dès à présent leur réconciliation. En la voyant minauder, en l'entendant parler de ses parents dans la pièce à côté, un sourire malicieux se dessina sur les lèvres de l'italien. "Un Monopoly ?" la taquina-t-il, s'empressant de rouler sur le lit pour la surplomber de son corps. Il déposa un baiser sur ses lèvres, qu'il fit durer quelques secondes, puis vira sur le long de sa mâchoire que sa bouche s'amusait à frôler. "Si ça peut te rassurer, à cette période de l'année, mes parents dorment dans le sous-sol aménagé..." La pièce la plus fraîche de la maison. Il embrassa ensuite son cou, lentement, s'attardant sur les zones qui la faisaient réagir. Il s'arrêta à la naissance de sa poitrine, délimitée par le tissu de son haut de pyjama, sous lequel il fit glisser une main. Il releva le regard et souffla, toujours aussi malicieux : "J'espère que c'est ça que tu avais en tête ? Sinon, on peut toujours faire un Monopoly" |
| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Lun 8 Mar - 0:23 | |
| Il était rare que Livio et moi dormions dans le même lit sans nous toucher, c’était un besoin que nous avions, que nous ressentions dans nos tripes. Cette nécessité de se couvrir de la chaleur de l’autre, de sentir cette peau tant aimé contre la sienne. J’avais besoin de sentir cette proximité ce soir, de ressentir notre complicité pour chasser les effets négatifs de notre dispute. Alors que Livio se redressait pour venir me surplombé de son corps, je laissai un sourire trainer sur mes lèvres. — Si tu me laisses la rue de la paix…plaisantai-je avec légèreté. Je lui rendis son baiser puis ris doucement. Sa bouche taquinait la peau de mon cou qui se couvrit rapidement de petits frissons. — Oh ? Tu veux dire qu’on a la maison presque que pour nous ? Les parents de Livio dormaient au sous-sol comme venait de me l’expliquer le milanais. Cela écartait donc ma peur de déranger ou d’être entendu tout simplement. Livio avait beau m’avait longuement répété que le sexe était naturel, et qu’entre nous c’était quelque chose d’intense et de beau, je n’étais pas encore parfaitement à l’aise avec le sujet. Mes yeux se fermèrent et je laissai échapper un soupir d’aise lorsque les lèvres de Livio insistèrent sur un zone très érogène, juste sous l’angle de ma mâchoire. Livio me taquina au sujet du monopoly, mais ses mains sous mon haut de pyjama me faisaient déjà tourner la tête. J’avais chaud, terriblement chaud, le désir grimpant rapidement en moi. — Je pensais plutôt à une bataille navale… Un sourire espiègle accroché à mes lèvres, je fis descendre une main entre nous et, sans détour, la passai entre les jambes de Livio pour venir caresser, par dessus son vêtement, l’objet de mon désir. — Touché ? m’amusai-je alors, plantant mon regard dans le sien.
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| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Lun 8 Mar - 16:40 | |
| Leurs forts caractères, leurs peurs inavouées et leurs craintes invraisemblables les poussaient souvent à la dispute, Aura et Livio. Ils s'aimaient d'un amour si fort qu'il suffisait d'une étincelle pour faire un brasier incommensurable. Fort heureusement, ce brasier se nourrissait aussi de leurs retrouvailles. Leur fierté mal placée ne durait qu'un temps et s'effaçait toujours face à ce besoin incessant de se toucher, de se retrouver. Leur alchimie dépassait leurs conflits et cette soirée le prouva de nouveau. Ils avaient mis de l'eau dans leur vin et très rapidement, ils trouvèrent le plus beau moyen de sceller leur réconciliation. Parlant de ce Monopoly qui ne correspondait pas au programme qu'Aura avait en tête, Livio picora le visage de sa belle avec des baisers empreints de douceur. Quand elle évoqua la fameuse rue de la paix, l'italien redressa la tête, plissant des yeux, secouant négativement la tête : "Hum, il va falloir être plus convaincante, je suis rude en affaires." Il joignit rapidement son rire au sien, bien vite étouffé par le baiser qu'elle lui rendit. Alors qu'il plongeait sur son cou, il apaisa bien vite les peurs d'Aura quant au fait de se faire surprendre par ses parents. "Oui, c'est bien ce que je dis." dit-il, d'une voix étouffée, bien trop occupé à taquiner ses zones érogènes. Il n'était pas fou, Livio. Même s'il avait très peu de pudeur, il aurait joué la carte de l'abstinence si ses parents dormaient dans le coin. Mais comme le loup n'était pas là... La main de Livio finit par se glisser sous le haut de sa petite amie, ses doigts caressant sa peau si douce, remontant lentement le long de sa hanche. Ses lèvres, quant à elles, insistaient sur ce coin de son cou qui fit réagir Aura. Son soupir d'aise augmenta le désir qu'il avait et lui donnait envie de plus, tellement plus. Il redressa la tête, plongeant son regard dans le sien quand elle parla de bataille navale. Le sourire espiègle d'Aura trouva son echo sur les lèvres de Livio, quand il comprit où elle voulait en venir, quand il sentit sa main se glisser entre eux pour caresser la bosse qui trahissait déjà toute l'envie qu'il lui portait. "Dio mio..." jura-t-il, fermant les yeux, un soupir s'échappant de ses lèvres. "Touché..." affirma-t-il, au bout de longues secondes de pur plaisir. Sa main alla récupérer celle d'Aura qu'il plaça au-dessus de la tête de la jeune femme, le temps pour lui de lui retirer son haut de pyjama, dévoilant ainsi sa poitrine nue. Ses yeux bleus s'animèrent sous la force de son désir et de sa malice alors qu'il glissa jusqu'à ses seins, sa langue provoquant ses pointes durcies. "Touché ?" demanda-t-il, à son tour, avant d'embrasser pleinement ses atouts féminins, l'un après l'autre. Et comme il voulait attiser encore plus son désir, sa main continua son voyage jusqu'à glisser sous l'élastique de son bas de pyjama, ses doigts partant à la rencontre de son intimité qu'il titilla longuement. Longuement, jusqu'à ce qu'il souffle : "... coulé ?" |
| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Mer 14 Avr - 13:35 | |
| Livio avait su réveillée ma féminité comme jamais personne avant lui. Pendant des années, je m’étais convaincue que le couple, l’amour et même les rapports charnels n’étaient pas pour moi. Avec lui, je découvrais tout autre chose. J’aimais qu’il me touche, autant que j’aimais le toucher. J’apprenais à son contact et parfois, je me lançai sans filet. Il n’y avait qu’avec lui que j’avais envie de faire ça, que lui que je désirais si ardemment. Et mon désir était profond, intense et - j’aimais à le croire - sans limite. Satisfaite de l’effet que produisit mon petit jeu sur Livio, je souris contre ses lèvres. Mais très rapidement, Livio saisit lui-même les rênes et s’empara de mon bras pour venir le maintenir au dessus de ma tête. Dieu que c’était sexy ! Je me retrouvai bien vite démunie de mon haut de pyjama, et un long soupir s’échappa de ma bouche quand la langue de mon amoureux vint taquiner la pointe de mes seins. — Touché, confirmai-je à mon tour. J’aimais qu’il embrasse ma poitrine, au delà du plaisir que cela me procurait, cela éveillait encore plus cette féminité que je sentais naitre en moi de jour en jour. Mon plaisir s’intensifia quand sa main passa sous l’élastique de mon pyjama et que ses doigts trouvèrent mon intimité. — Livio, soufflai-je longuement. Mon corps se cambra tant la sensation était exquise, ma tête s’enfonça dans les coussins tandis que de petits gémissements commençaient déjà se faire entendre. Coulé ?, dit-il. Je lâchai un petit rire. — Coulé…englouti, même… Je baissai un regard tendre, emprunt du sourire qui habillait encore mes lèvres puis tandis la main pour caresser son visage. — Viens là, lui intimai-je avec tendresse, profitant du mouvement pour me défaire complètement du short en flanelle que j’avais mis pour dormir. J’incitai Livio à remonter jusqu’à moi et embrassai ses lèvres. Je l’entourai de mes bras et passai mes mains dans ses cheveux, l’embrassant comme si mon dernier souffle dépendait de ce baiser. Avec douceur, je fis basculer mon amant sur le lit, plaçant mes genoux de chaque coté de ses hanches pour le maintenir sur le matelas. Avec un sourire de malice, je me redressai pour m’assoir à califourchon sur lui. Il ne restait que nos sous-vêtements pour faire barrage, mais déjà nos désirs s’entrechoquaient avec force. Je me penchais légèrement pour venir caresser son ventre, puis glissai à nouveau une main entre nous pour cette fois aller délivrer son sexe dans son dernier vêtement et amorcer de longues caresses.
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| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Mer 21 Avr - 15:49 | |
| Il n'y avait pas que Aura qui se découvrait dans leur relation, qu'elle soit physique, charnelle ou psychologique. Livio aussi apprenait de jour en jour avec elle. Lui qui butinait un peu partout n'avait désormais d'yeux que pour une femme. Elle l'élevait vers le haut, elle lui faisait découvrir que le désir allié à l'amour était un cocktail des plus plaisants. Il n'avait jamais été aussi épanoui, aussi accro à une femme. Lui qui avait peur de se lasser, de ne pas réussir à entretenir la flamme, s'était trompé sur toute la ligne. Leurs étreintes étaient de plus en plus belles, puisque les petits défauts, les petites craintes, les petits doutes s'estompaient doucement aux yeux de l'un et de l'autre. Et Aura était pleine de surprises. Ce petit jeu qu'elle initiait plaisait énormément à Livio, grand joueur, lui aussi. C'était évidemment la plus belle partie de bataille navale qu'il avait pu jouer. Prenant le dessus, il s'amusait à frôler, à dessiner du bout de ses doigts et de sa langue les parties les plus sensibles du corps de la jolie brune. Il aimait entendre ses gémissements, sentir sa peau frémir sous son contact, voir ses yeux se fermer et ses muscles se détendre. Il aimait lui faire du bien. Coulé. Englouti. Un sourire se dessina sur les lèvres de Livio quand il entendit ces quelques mots. « Déjà engloutie ? Tu es sûre ? » la provoqua-t-il, montrant clairement qu'il ne comptait pas en rester là. Il ferma brièvement les yeux quand elle posa sa main sur son visage. C'était cela qui était beau dans leur relation, il aimait tout autant les gestes tendres que les contacts plus physiques. Il obéit docilement quand elle lui demanda de revenir vers elle, remontant doucement et plaquant son torse contre sa poitrine nue. « Je crois que tu as perdu quelque chose au passage. » dit-il, tout sourire, en jetant le short en flanelle qu'elle venait d'enlever. Quand elle l'embrassa, il ferma les yeux, lui rendant ce baiser avec fougue et passion, sa main caressant le long de sa cuisse à laquelle ses doigts s'agrippèrent. Mais visiblement, c'était elle qui voulait l'engloutir. Après ce baiser qui le laissa pantelant, Aura exerça une pression contre lui pour le faire basculer. La malice sur les lèvres d'Aura, alors qu'elle s'installa à califourchon sur lui, trouva son écho chez Livio. « T'es sexy, Aurelia ! » Il aimait tant susurrer son prénom complet. Ses mains remontèrent le long de ses hanches jusqu'à s'emparer du galbe de ses seins. Mais c'était Aura qui avait tout en main et très vite, d'ailleurs, sa main alla s'emparer de son membre qui révélait déjà bien le désir qu'il lui portait. Les caresses qu'elle lui prodigua étaient des plus exquises. Les yeux fermés, des soupirs de plaisir s'échappèrent de ses lèvres. « Aura... sei eccezionale,.. » parvint-il à murmurer, dans un long soupir. Quand il rouvrit les yeux, la lueur de désir avait éveillé la couleur si bleue de ses iris. « Coulé... » dit-il à son tour, alors que sa main descendit jusqu'à son sous-vêtement, sexy certes, mais qui était bien de trop. « Enlève ça... vite... » souffla-t-il, avec empressement. |
| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Sam 1 Mai - 23:18 | |
| Il n’y avait que lui que je laissais m’appeler par mon prénom complet. Dans sa bouche, étrangement, je le trouvais beau ce prénom, je trouvais ça sexy. Un sourire mutin accroché aux lèvres, je me laissai porter par mon désir. Il était brûlant et demandait à être assouvi. Ma main allait et venait sur son sexe dressé et ses soupirs de plaisir me transcendaient. J’aimais sentir le bien que je lui procurer, j’adorais l’entendre me le souffler. J’avais ce sentiment qu’il n’était rien qu’à moi durant ces moments là, des instants de grâce, complètement uniques et purs. Quand ses mains cherchèrent mon sous-vêtement et qu’il me demanda de l’enlever, je crus m’embraser toute entière. Ce dernier bout de tissu entre nous était de trop, en effet. L’empressement dans la voix de mon amoureux m’excitait encore plus que ce que je ne l’étais déjà. Je me débarrassai donc rapidement du morceau de dentelle. Enfin nue contre lui, je sentis mon corps s’embraser. Mon regard, emprunt d’un désir difficilement contenu, tomba dans le sien. J’avais envie de lui, à un point que l’attente était une douleur dans mon ventre. Alors, réduisant à une peau de chagrin l’espace entre nous, je guidai son sexe en moi, dans un soupir de satisfaction ultime.
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| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Lun 10 Mai - 18:26 | |
| Il aimait ce sourire mutin qu'elle affichait sur ses lèvres. Cela le rendait encore plus dingue d'elle qu'il ne l'était déjà. Ses yeux brillant de désir le montraient à merveille. Elle qui avait cru que son inexpérience la rendait moins désirable s'était trompée. De jour en jour, il la voyait déployer ses ailes, dompter sa féminité, apprivoiser son désir et conquérir celui de Livio. Et c'était beau à voir. Chacune de leur étreinte était inoubliable et attisait cette flamme de plus en plus vivace. Il ne pouvait pas se lasser d'elle, de sa sensualité, de cette osmose qu'ils solidifiaient de mois en mois. Là, elle le prouvait encore. Chacune de ses caresses, chacun de ses baisers, le laissaient pantelant. Son envie d'elle le poussait à agir avec empressement, lui ordonnant presque de retirer ce dernier sous-vêtement qui était de trop. Dans le mouvement, il envoya valser son boxer, son regard revenant vite vers elle pour la couvrir avec chaleur. Et quand enfin, nue tout contre lui, elle lia leurs intimités, un soupir de plaisir s'échappa de ses lèvres. Les mains sur ses hanches, il l'aida à amorcer ses mouvements, ne la quittant pas un instant des yeux, tant la vision qu'elle lui offrait était belle. Seulement, au bout d'un moment, il se redressa, s'asseyant sur le lit, collant son torse contre sa poitrine nue, ses bras l'entourant et ses mains glissant le long de son dos. Ses lèvres retrouvèrent les siennes avec avidité, migrant ensuite jusqu'à son cou et la naissance de sa poitrine. Sentant son plaisir grimper abruptement, il fit basculer Aura sur le lit, reprenant des vas-et-viens avec passion, l'une de ses mains redessinant les courbes de ce corps qu'il connaissait tant, qu'il aimait tant. Leur alchimie n'était pas que sexuelle. Même si elle éveillait ses sens de la plus belle des manières, qu'elle détenait son corps, ses baisers et ses regards, psychiquement, il en était de même. Il n'était qu'à elle, rien qu'à elle. Corps et esprit compris. « Ti amo così tanto. » parvint-il à souffler, entre ses soupirs et sa respiration haletante, donnant encore plus de vigueur dans leur échange, dans leurs mouvements qui, au fil des secondes et des minutes, les menaient vers le paroxysme. |
| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Jeu 3 Juin - 22:27 | |
| Il était le seul qui avait réussi à me faire percer ma coquille, le seul pour qui j’en avais eu envie. Même si j’avais apposé une certaine résistance au départ, qui avait durée plusieurs années, je l’avais eu dans la peau dès que nos regards s’étaient rencontrés la première fois. Il n’avait fallu qu’un déclic pour que l’attirance, entre nous, ne devienne irrésistible. Il m’avait fait rencontrer la femme qui sommeillait au plus profond de moi, et je me plaisais, depuis lors, à la découvrir chaque jour un peu plus, comme ce soir-là où je pris des initiatives dont je ne me serrais jamais sentie capable auparavant. Le regard de Livio, malgré tout, semblait m’en donner la force. J’avais le sentiment d’être si belle dans ses yeux, cela me donnait des ailes. Il se redressa et colla son torse brûlante contre ma poitrine. J’aimais cette sensation, la fusion de nos peaux, la communion parfaite de nos deux corps. Nos lèvres empruntèrent le même chemin, se goûtant avec douceur et ferveur à la fois. J’enroulai mes bras autour de des épaules de mon amoureux, me fondant dans cette étreinte, jusqu’à ce que Livio ne me face complètement basculer sur le lit. Nous fîmes l’amour en parfaite symbiose, jusqu’à ce que Livio me dise qu’il m’aimait, dans un souffle. Mon coeur était déjà à lui, mais il explosa littéralement dans ma poitrine, en même temps que mon plaisir dans chacun des fibres de mon corps. Ne parvenant à retenir un cri, je finis par enfouir ma tête au creux de son cou, serrant Livio contre moi pour savourer mon orgasme. Mon corps se secoua et je mis un petite minute avant de toucher à nouveau terre. Essouflée et comblée, je relevai des yeux enfiévré vers Livio. — Ti amo anch’io, soufflai-je, en venant embrasser ses lèvres. Ma peau était couverte de sueur et je peinai à retrouver ma respiration, malgré tout, sur mes lèvres, un sourire ne pouvait s’effacer. — Tantodis-je en l’embrassant à nouveau avec amour.
*`
Trois jours plus tard, nous nous réveillâmes en Sicile, dans le village en bord de mer où Enzo, Fede et moi avions grandi. Alors que les rayons du soleil matinal nous caressait la peau, mes doigts, eux, redessinaient les tatouages que Livio avait sur l’épaule et le bras. Une odeur de café avait commencé à embaumé la maison. J’étirai bras et jambes quand la porte de ma chambre s’ouvrit soudainement, me faisant sursauter et remonter la couverture sur nos corps nus. — Alors tu es là et tu ne passes même pas me voir ? Tu as oublié ta nonna ou quoi ?! Ma grand-mère se tenait dans l’embrasure de la porte, mains sur les hanches et sourcils froncés. Même du haut de son mètre cinquante six, elle était intimidante. — Nonna ! protestai-je. Tu…tu… Je me redressai, tâchant de cacher notre nudité du mieux que je le pouvais. — On…on allait passer, mais on est arrivés tard hier soir. — Et alors ! fit ma grand-mère avec une gestuelle purement sicilienne, ce n’est pas une excuse ça ! Habille-toi, et descend prendre le café avec ta nonna ! Elle capta le regard de Livio et leva le menton. — Jeune homme, il en va de même pour vous ! Et elle repartit aussi sec, comme elle était venue. Restant coite un moment, je me tournai lentement vers Livio. — C’était…euh…ma grand mère, fis-je avant d’exploser de rire.
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| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Lun 14 Juin - 22:03 | |
| Il était temps de quitter sa Florence adorée, encore plus soudé, encore plus amoureux de Aura. Finalement, leur dispute avait été vite oubliée, tout comme les craintes qui en découlaient. Il savait qu'elle était celle avec qui il voulait faire sa vie – validée par sa famille, sa mère s'étant empressée de prendre Aura dans ses bras le jour de leur départ – et il savait que la réciproque était de mise. Aura voulait le présenter à sa famille. Lui. Pas un autre. Ils s'étaient donc envolés pour la Sicile où ils arrivèrent tardivement dans la soirée. La première rencontre avec les parents de Aura avait été intimidante pour le jeune italien. Même s'ils ne s'étaient jamais rencontrés, ses parents avaient déjà entendus parler de Livio, par le biais d'Enzo. Mais ce n'était pas le jeune Luciano qui le présentait aujourd'hui, mais la benjamine de la famille. Et elle ne le présentait pas comme ami, mais bien comme petit ami. Etrangement, Livio s'était fait tout petit, presque timide, fasciné par la prestance des parents Luciano. La mère semblait avoir un caractère de feu. Le père, plus distant, avait quand même réussi à intimider Livio, avec son regard qui semblait scanner chacun des mots, chacun des gestes de son gendre. C'était sûrement ça, la grande joie de la visite chez les beaux-parents.
Au petit matin, encore ensommeillés, Livio et Aura se réveillaient doucement, sous les chants d'oiseaux et la chaleur du soleil qui s'infiltrait dans la chambre d'adolescente de la jeune femme. Il garda les yeux fermés, appréciant les doigts d'Aura qui courraient sur son bras. Mais quelques minutes plus tard, la porte s'ouvrit brusquement, faisant sursauter Livio. Heureusement, Aura eut le réflexe de remonter le drap sur eux, chose que Livio n'aurait sûrement pas pensé à faire. Un petit bout de femme fit son entrée, réprimandant avec vigueur Aura sur le fait qu'elle n'était pas passée la veille. Livio, lui, s'était redressé, restant silencieux, dans le but de se faire oublier. Mais quand la sicilienne posa ses yeux sur lui, lui ordonnant aussi de s'habiller pour venir boire le café, le jeune homme se sentit bien mal. « Oui... bien sûr, Madame... » répondit-il d'une petite voix. Et elle repartit tout aussi brusquement, laissant les deux amants complètement hébétés. Ce fut Aura qui brisa le silence. Cette dame, c'était sa grand-mère. Livio posa ses billes bleues sur elle, restant bête un instant, avant de rire de bon cœur : « Toutes les femmes de ta famille sont aussi impressionnantes ? » Entre la mère et la grand-mère, il était servi. Il fit mine de se remettre dans le lit, remontant le drap sur lui, sur sa tête, de façon à se cacher. « Tu ne vois pas d'inconvénients à ce que je reste ici jusqu'à la fin du séjour ? Vous me faites peur, les Luciano. » dit-il d'une voix étouffée avant qu'un rire ne s'empare de lui. |
| | | Invité | Sujet: Re: (hot) La famiglia è tutto (Aura) Mar 6 Juil - 0:05 | |
| L’intervention de ma grand-mère m’avait laissé coite, et morte de honte par la même occasion. Si j’avais évacuer cette émotions par le rire, je n’en menais pas large en réalité. Mais Livio, comme à son habitude trouva le moyen de détendre l’atmosphère, se cachant sous la couette et prétendant que les femmes Luciano lui faisaient peur. Je ris de plus belle, tirant sur les couvertures pour découvrir sa tête. Les cheveux ainsi ébouriffés, il était encore plus séduisant qu’à son habitude. — Et moi, je te fais peur ? dis-je en le toisant avec un air de malice. J’arquai les sourcils, déposai un bref baiser sur ses lèvres puis éclatai de rire avant de sa sauter du lit pour enfiler un grand t-shirt et une culotte. Je me tournai vers Livio, un grand sourire aux lèvres, puis ajoutai : — Tu nous rejoins en bas ? Je m’occupe d’amadouer ma grand-mère. Avec un clin d’oeil, je quittai finalement ma chambre. the end |
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