if i'm down just leave me there, let me be sad (owen)

Ça tombe bien, car refuser était loin d'être dans ses plans. Cela faisait trop longtemps qu'ils ne l'avaient pas fait, et aujourd'hui était le bon moment. A chaque sourire, chaque soupir, il ne doute pas qu'elle sera à sa façon la seule vraie femme de sa vie. Peu importe les relations qu'ils peuvent entretenir autour d'eux, avec les autres, il espère que leur alchimie va durer jusqu'à ce que tout le monde appelle l'éternité. Une éternité qu'ils grave ce soir, en quelques délicieuses minutes. Nu face à elle, il ne s'est jamais senti si bien. Elle est parfaite, et chaque regard qu'il lui porte est une seconde de plus à la dévorer. L'anglais se sent empli de désir et son corps le fait savoir. Lorsqu'il s'allonge au dessus d'elle, cela fait bien longtemps que son membre a manifesté sa présence. Le souffle court, il plonge son regard dans le sien, ses doigts se perdant sur la peau de Freja, absorbant la douceur de ses courbes ainsi que de ses cheveux. Il sait qu'il n'a besoin de rien d'autre. Elle est là, et c'est tout ce qui compte. Son corps la réclame, il souhaite que leurs odeurs s'entremêlent et s'imprégnent l'un de l'autre. Elle lui envoie ce signal qu'il attendait tant, enroulant ses jambes autour de lui. Lâchant un soupir, il se laisse guider. Son sexe n'a aucun mal à se frayer son chemin en elle, et c'est une sensation qu'il a toujours adoré. Plaquant les mains de la jeune Ivanova contre le matelas, il se meut cette fois pleinement contre et en elle, chaque mouvement nouveau lui arrachant soupirs et gémissements. Ses yeux clos, il les rouvre parfois pour admirer le visage de Freja dont les traits sont magnifiquement déformés par le plaisir qu'ils se procurent. S'il y avait une formule magique pour que l'instant dure encore et encore, il l'aurait lancée sans hésiter. Malheureusement, le corps a ses limites, et Owen se doit d'accepter que ce n'est pas au creux de ses bras qu'il pourra rester éternellement. Grognon plus fortement cette fois, son corps se retrouva à son tour immobilisé sous celui de sa partenaire. Les bras le long des draps, prêt à les déchirer au moindre mouvement, son souffle se fait plus court à mesure que les minutes s'écoulent et que la brune se fait plus sauvage au dessus de lui. Il admirer son visage, ses seins, puis laisse ses yeux glisser contre son ventre pour voir l'agréable torture qu'elle lui fait subir. Quand elle vient l'embrasser, sa langue rejoint instinctivement la sienne et ses mains s'accrochent à sa taille. Il ne compte plus le temps qui passe aloès qu'il refuse de laisser ses lèvres lui échapper. « Pas autant que toi, ma femme. » souffle-t-il alors que son corps se lâche enfin. Il étouffe son gémissement de jouissance en emprisonnant à nouveau chaudement les lèvres de sa compagne. « Reste. » Ses doigts caressent ses fesses alors qu'il colle contre torse contre sa poitrine. Yeux dans les yeux, il voudrait pouvoir admirer son regard d'étoiles dans cette position pendant des heures encore. Mais il le sait, les heures finiront par les séparer, alors il profite de cette seconde pour tenter de lui transmettre par son regardbtout l'amour qu'il lui porte.

Pando