Tout conflit mal traité laisse des séquelles durant de longues années Feat Azriel

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Tout conflit mal traité laisse des séquelles durant de longues années
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@eliakim shillinglaw & @Azriel Shillinglaw

j'étais en ville depuis quelque temps maintenant. Mes bleu c'étaient estompé j'avais donc fini par aller voir mes parents. Tout c'étais bien passé je leur avais aussi annoncé par le fait même que je comptais bien revenir pour un bon bout de temps a la joie de ma mère!

Puis j'avais repris mes fonctions au seins du corps hospitalier ou j'avais vite rencontrer une connaissance de mon petit frère. Elle étais d'une beauté implacable et je comprenais les gout de celui-ci. Il restait que nous étions du même sang et qu'en quelque sorte mon retour ici lui était dédier.

j'avais donc fait ma petite enquête après cette rencontre. et avais découvert qu'il travaillait au Hendrix de soir ainsi que dans des chantier de jour.

j'avais donc pris mon courage a deux main en cette journée de congé et avais décider d'aller a sa rencontre. Selon mes source il se trouvait sur un chantier un peu en extérieur du centre-ville.

Je fini par me stationner en bordure de la maison et observe le tout. Je fini vite par le repérer. Je décent et m'approche de lui tranquillement. " tu serais capable de prendre cinq minute pour une vieille connaissance!?"  c'étais ce que nous étions a présent depuis le temps que je n'avais pas dresser la parole a mon cadet!  

hj:

Le soleil tapait fort, mais les ouvriers présents n'en étaient pas moins efficaces : le chantier avançait bien, et si Az sentait des gouttes de sueur perler sur sa peau, il était content d'être à la tâche. Ça pouvait paraître difficile comme travail, et peut-être même dénigrant selon ceux qui aimaient hiérarchiser les types de boulot. Pour l'Italien, c'était simple et satisfaisant, il aimait ce qu'il faisait, il aimait travailler avec ses mains et sentir ses muscles endoloris après une journée de travail. Et avec le soleil australien, c'était encore plus le cas, même si la chaleur pouvait parfois être difficile à supporter. Sa peau légèrement hâlée originaire d'un pays ensoleillé lui aussi supportait assez bien ce climat. Affairé à plafonner une pièce au rez-de-chaussée, Azriel remarqua du coin de l’œil une voiture se garer sur le trottoir. La façade n'était pas encore terminé, deux grands trous carrés perçaient le mur avant, encore sans fenêtre. Si le brun ne prêta pas plus attention que ça à la voiture, il tourna cependant la tête en voyant un homme en sortir et se diriger vers le chantier. Il le reconnut immédiatement, évidemment, et quelque chose se crispa en lui, alors qu'il tenait de garder un visage détendu, se redressant pour faire face à son frère qui le rejoignait. Il ne l'avait plus vu depuis des années. Pourtant, ils se jaugèrent comme s'ils s'étaient vus la veille, et Eliakim démarra la conversation sur un ton ouvert et décontracté. Son cadet ne parvenait pas à effacer un léger froncement de sourcils, mais son expression se voulait neutre, presque avenante. Ouverte à la discussion, en tout cas. « Yo. Ça fait longtemps. » commença-t-il pour saluer celui avec qui il n'avait plus eu de contact depuis bien des printemps. « Oui, ça doit pouvoir se faire. » Le ton était cordial, dégagé, mais quiconque connaissait Az savait qu'il était plus sur la réserve que d'habitude.