And now we lie awake, making beautiful mistakes (Asher)

J’avais raison, il y avait des moments où les câlins n’étaient plus suffisants et tu esquissais un petit sourire. Ça voulait dire que t’avais eu raison de lui… Et ça, ça te plaisait incroyablement. Tes lèvres retrouvaient aisément les siennes et tes cheveux vous isolaient du reste du monde. Alors que t’allais te relever, il te disait de venir avec lui, mais il ne te donnait guère le choix te transportant jusqu’à la chambre. Tu riais doucement. « J’suis capable de marcheeeer! » Tu n’en étais pas si sûre après l’acte, mais pour le moment tu t’en sortais encore. Il s’allongeait et tu te retrouvais sur le dessus. « Te faire rêver? T’en demandes pas beaucoup… » que tu lui dis, taquine. Tu ondulais les hanches et tu dansais sensuellement sur une chanson imaginaire. Tes hanches bougeaient, tes fesses aussi. Doucement, tu lui retirais son haut, tu déboutonnais son short pour le retrouver en sous-vêtements. Tu te mets à fredonner. « Baby let me take the pressure off you, I’ll make the first move and do what I got to. Can we slow this down to my pace? I’ll make you fall in love. » Lentement, sensuellement tu joues avec les bretelles de ta robe. Tu les laisses finalement tomber et tu poursuis la chanson. « And let me show you what my body do, How a real woman do. ‘cause I do what I got to. Let me take you back to my place, where I’ll make you fall in love. » Tu la retires lentement cachant ta poitrine quelques instants et tu laisses le tissu vaporeux t’échapper des doigts. T’as toujours une légère bralette et tes sous-vêtements. « I just wanna play with your body, I just wanna play with your body, Oh and if I play with your body, will you play with me ? » Le reste de la chanson n’était pas aussi beau que ces quelques couplets, mais clairement, il allait sans doute te faire taire d’une toute autre façon.

Kara avait raison, elle n'allait pas avoir beaucoup à faire pour me faire rêver. Elle était juste sur moi et j'étais déjà content. Je l'observais se déhancher, mon corps réagissait et elle put le constater en me retirant mes vêtements, mais ce qui me plut vraiment, c'est lorsqu'elle se mit à chanter en se déshabillant. J'adorais sa voix, il y avait un côté très sensuel lorsqu'elle se mettait à chanter... Surtout ce genre de chanson. Mes mains sur son dos descendirent jusqu'à ses fesses rebondies pour l'arrêter dans ses mouvements, la seconde d'après je me redressais pour aller lui voler un baiser brulant. « J'adore quand tu chantes. T'as une voix magnifique. Ça me fait toujours un petit effet... » Lui avouais-je en pressant mes mains sur son postérieur pour qu'il n'y ai plus d'espace entre elle et moi, qu'elle puisse sentir l'effet qu'elle avait sur moi. Les tissus entre nous ne nous protégeaient de rien, ils étaient juste la dernière barrière entre nos corps brulants. « Ça me donne encore plus envie de t'entendre gémir. »

T’étais pas prétentieuse, à la base, ça se voulait comme une blague mais il l’avait compris de travers. Ce n’était pas bien grave, il savait que tu n’étais pas vaniteuse. Enfin, pas réellement. Tu chantonnes et tu retires les morceaux de vêtements qui retrouvent le plancher. Ses mains sur tes fesses t’arrêtaient un court moment où vous échangiez un fiévreux baiser. Il te complimentait sur ta voix, sur le fait que tu chantais… Et que tu lui faisais toujours de l’effet. Il rapetissait encore l’espace entre vos deux corps pour découvrir ce qu’il ressentait véritablement. « Oh, à ce point? » que tu lui demandais, excitée. Tu caressais doucement son membre à travers du dernier morceau de vêtement qu’il lui restait et t’avais fortement envie de le lui arracher. T’étais loin d’être assez forte, mais la pensée t’excitait. « M’entendre gémir, c’est ce dont t’as envie? » que tu lui demandais honnêtement en prenant son doigt pour le sucer légèrement. « Mais il faut que tu m’aides pour que je gémisse… » Tu ne pouvais pas tout faire toute seule, exact ? Tu passais ses mains sur ta poitrine plutôt que tes fesses le temps d’un instant. Tu te remettais à fredonner et tu faisais glisser tes bretelles sur tes bras lentement.

Je ne connaissais pas Kara aussi bien que je ne le pensais et c'était plutôt normal car je n'avais jamais été son partenaire. Mis à part les quelques fois ou l'alcool nous avait beaucoup aidé, ou tout à l'heure dans la précipitation dans la voiture, je n'avais jamais été plus pour elle. Son corps m'était inconnu, ce qu'elle aimait et ce qu'elle refusait, j'apprenais au fur et à mesure qu'elle me guidait. Son déhanché arrivait à me distraire assez pour que je ne sois plus totalement lucide, je la touchais avec des étoiles dans les yeux... « Qu'est ce que je peux faire pour t'aider à gémir ? » La brunette m'avais mis les mains sur sa poitrine que je caressais à travers le fin tissu. Mes pouces passaient doucement sur ses pointes tendues, elle réagissait en se cambrant vers moi. Ce que je faisais semblait lui plaire, alors je continuais. Elle finit par se débarrasser de son habit et je remplaçais mes mains par mes lèvres. Elle fredonnait la même chanson qu'un peu plus tôt et tout son corps semblait vibrer au même rythme. Nos gestes lents me permettaient de la découvrir à mon rythme, de passer plus de temps contre sa douce poitrine. « You're sweet. »

La découverte de l’un et de l’autre était lente, plaisante et sensuelle. Plus rien n’urgeait, plus rien n’avait d’importance en ce moment précis. Il te découvrait et tu en faisais de même. Il te demandait ce qu’il pouvait faire pour t’aider à gémir et tu affichais une mine songeuse. « Tu fais ce que tu as envie et je te guide. » lui déclares-tu. Prendre les devants n’était pas ce que tu préférais, tu préférais guider en fonction de ce que lui avait envie de te faire. Il découvrait ta poitrine alors que toi, tu te cambrais davantage. Tu soupirais de bien-être. Ta bralette finissait par te quitter puis ta culotte ne tardait pas trop. Il te découvrait en prenant le temps, ce que vous n’aviez jamais fait avant. Tes mains parcouraient son torse. Puis, tes mains se retrouvaient sur son membre pour le stimuler davantage. Tu n’allais pas trop vite, tu ne voulais pas que ça se termine rapidement. T’avais envie de savourer le moment présent. Tu retirais son boxer avec envie, maintenant c'était peau contre peau. Son compliment te faisait rougir et tu t’autorisais à être vulnérable en sa présence.

Le corps de Kara ne m'était pas totalement inconnu, mais je n'avais jamais pris autant de temps pour le découvrir. Sa poitrine délicieusement douce se laissait apprivoiser par ma langue. J'y allais tout doucement, elle se cambrait et je me sentais terriblement puissant. Pas longtemps. Elle me remit rapidement à ma place en m'enlevant mon boxer pour se saisir de mon membre. Elle devait sentir que j'étais sensible, car son touché était léger et contrôlé. Nous étions tout chose, nous nous permettions d'être vulnérables, sincères l'un avec l'autre. « Tu rougis. » Dis-je en allant attraper ses lèvres avec les miennes dans un baiser doux. Elle était à moi et je ne ressentais pas le besoin de me presser.
Je lui avais demandé de s'allonger sur le lit, ce qu'elle avait fait, et j'avais pris une seconde pour l'observer. Elle était vraiment belle... Complètement nue, ses joues avaient pris une teinte rosée qui me plaisait beaucoup. Je lui faisais de l'effet - ce qui était réciproque -. Je n'avais qu'un objectif la faire gémir, et si possible sans même qu'elle n'ai à me guider. Je voulais lui prouver que j'étais un amant attentif, même sans alcool.
Ça faisait quelques minutes que j'avais le visage entre ses cuisses et si j'avais eu l'impression de prendre un bon départ, j'avais à présent le sentiment que je ne m'y prenais pas bien. Elle était tendue, ne se laissait pas faire... « Bébé ? Ça ne va pas ? » Je n'allais pas lui imposer quelque chose que j'aimais si elle n'aimait pas. Même si dans mes souvenirs il me semblait que c'était quelque chose qu'elle avait beaucoup apprécié.

L’homme constatait que tu rougissais et tu gagnais en timidité, tu rougissais davantage à son constat. Tu t’allongeais à sa demande et il prenait les initiatives. Après quelques instants où il était entre tes cuisses pour te faire plaisir, tu n’étais que plus crispée. Tu le regardais avec douceur. « En fait, c’est que j’ai davantage envie de toi, de te sentir en moi… » Que tu admets timidement en baissant le regard. « Je veux te découvrir toi, nous deux, ensemble… Pas que moi. » Que tu complètes en te sentant complètement égoïste. Ton plaisir passait également par celui de ton partenaire et là, t’avais pas l’impression d’être là pour lui. « C’est avec toi que j’veux du plaisir, pas toute seule. » Que tu finis par échapper avec un clin d’œil. Mais tu ne pouvais pas nier qu’il était un amant dévoué et tu en profiterais sans doute plus tard, mais là, maintenant, t’avais envie de vous découvrir tous les deux et de ne faire qu’un.

Je ne m'y prenais pas bien, en tout cas je ne faisais pas ce que Kara voulait, car elle était toute tendue. J'avais pourtant souvenir d'une femme qui adorait ça, mais c'était peut être l'alcool qui avait altéré mes souvenirs. Du coup, plutôt que de continuer dans la médiocrité, je lui demandais ce dont elle avait envie... Et ce n'était pas du tout de ça. Kara voulait tout simplement partager ce moment avec moi, pas être la seule à s'amuser, et ça prenait tout son sens vu le contexte. Alors plutôt que de la torturer avec quelque chose dont elle ne voulait pas, je vins la recouvrir de mon corps pour la prendre en douceur. Je faisais des mouvements lents en l'embrassant et surtout je la sentais se détendre. Ses mains venaient sur mon corps, se crispaient en laissant des traces de griffures. Passé un point, je ne pus plus garder ce rythme lent et mes mouvements s'accélérèrent. Je finis par grogner son prénom en donnant des coups de reins plus fort, essoufflé, vidé... Elle n'avait pas eu à faire grand chose pour que je vienne vite - et c'était en grande partie pour cela que j'aurais aimé jouer un peu plus avec elle, pour faire durer les choses -.
Je m'étais allongé en cuillère dans le dos de ma belle, toujours bien calé entre ses cuisses. J'y restais, je m'y sentais bien. Mon visage contre sa nuque, j'y déposais des baisers en jouant du bout des doigts avec sa poitrine. Je n'en avais pas fini avec elle, j'en voulais encore et tout mon cpr^s semblait prêt pour un deuxième round. J'étais brulant. « Tu sens l'effet que tu as sur moi bébé ? » Lui glissais-je à l'oreille en lui donnant un petit coup de reins.

Tu avais envie de faire l’amour, pas envie de t’envoyer en l’air sans lendemain. T’étais une romantique dans l’âme, Kara. Par moment, tu pouvais être très désinvolte concernant l’acte, mais puisqu’il s’agissait d’une des premières fois… Tu voulais t’en rappeler, tu voulais que tous les deux, vous preniez votre pied : ensemble. Pas l’un sans l’autre. Ses baisers te ramenaient à l’essentiel, à vous deux. Il accélérait la cadence et tu le suivais sans problème. Ça avait été relativement rapide, mais ça t’avait fait du bien et tu n’en demandais pas plus. L’homme venait se blottir contre toi et lui tentait de t’allumer une deuxième fois. Doucement, tu remarquais qu’il était prêt pour une deuxième round. Tu esquissais un petit sourire malgré tout. Tu sentais l’impact que tu avais sur lui et tu hochais la tête positivement. Son petit coup de rein suffisait à retourner en toi et tu savais que pour une deuxième fois, ce devait être un peu plus intense pour l’homme afin qu’il ne perde pas son érection. Tu te mettais à genoux sous ses yeux et tu te retournais vers lui. « Prends-moi. » Lui ordonnais-tu en te mordillant la lèvre. Tu en voulais visiblement plus que ce qu’il t’avait donné précédemment.

Rapide et efficace. Car même si j'aurais aimé tenir plus, j'avais l'impression qu'elle était tout aussi satisfaite que moi, et surtout prête pour un deuxième coup.
Elle me surprit en venant se mettre à genoux, me demandant de la prendre. Je ne m'y attendais pas du tout et j'eus un long moment de blanc avant de venir me mettre derrière elle. Sa croupe était offerte et mon regard courut le long de son corps avant de s'arrêter sur ses deux grands yeux clairs. Elle était très sexy, elle le savait et en jouait pour tenter de me faire craquer. J'étais un homme faible, je n'avais aucune chance face à une déesse comme elle.
Je répondis à son ordre, attrapant ses hanches avec mes mains pour contrôler nos mouvements. Malgré ça, elle arrivait à se déhancher, à me lancer des regards brulants et ses gémissements... C'était autant une récompense qu'une torture. C'était différent de toutes mes autres fois, j'étais bien... Vraiment bien avec Kara. Je me penchais pour aller l'embrasser entre les omoplates avant de l'aider à se redresser pour qu'elle soit coller contre mon torse et qu'elle puisse bouger avec moi. C'était parfait. Je pouvais voir sa poitrine se soulever à chacune de ses respirations, une de mes main caressait son sein gauche, pendant que l'autre était allée combler sa moiteur. C'était de plus en plus intense, et j'adorais.

Pour cette deuxième fois, j'avais tenu beaucoup plus longtemps - et c'était rassurant -, j'étais allongé sur mon grand lit et je regardais le plafond en reprenant mon souffle. Elle était juste à côté de moi, j'avais sa main dans la mienne, je ne la lâchais plus.
« Je crois que je veux bien vivre ça jusqu'à la fin de mes jours. »

Ça te plaisait de le faire craquer incessamment. Tu ressentais un certain pouvoir à l’égard d’Asher et ça te faisait du bien. Ça te flattait beaucoup et surtout, ça flattait ton égo. Il te rattrapait et tu te déhanchais en savourant le moment. Tu gémissais au fil des coups de bassin qu’il t’offrait. Tu bougeais contre lui, tu l’embrassais et tu faisais tout ce qui t’avais été interdit précédemment. Ta respiration saccadée s’accélérait alors qu’il te caressait et que tu gémissais, tu te liquéfiais une énième fois sous ses doigts et peu de temps après, lui aussi vivait cette intensité de plaisir. Tu te laissais tomber contre lui dans son lit. Tu tenais sa main contre la tienne et tu soupirais en décompressant. « Ah ouais? T’es prêt à vivre ça au quotidien avec moi? » Que tu lui demandes avec un fin sourire.

Je lui tenais la main et je ne la lâchais plus. Tout ce qu'il se passait là me semblait irréel, car cette fois je lui faisais l'amour en étant sobre. Il n'y avait plus cette pression de l'adultère ou de la peur de se perdre pour toujours. Non, elle et moi nous étions une entité à part entière. Elle était ma partenaire à présent. Kara et moi étions en couple et ce que nous venions de partager allait faire parti de mon quotidien. J'allais pouvoir l'embrasser, lui tenir la main et l'emmener au restaurant en toute légitimité.

« C'est ce que je voulais depuis longtemps Kara. » Lui avouais-je. « Je suis heureux. » Tout simplement. Je n'avais pas d'autres mots à lui dire, j'étais tout simplement un homme heureux.

Je me tournais sur la tranche, pour pouvoir la regarder. Elle n'avait pas changé, toujours la même, belle et souriante. J'allais pouvoir profiter de son corps en plus de partager des fous rires avec elle. C'était le combo parfait, parce que je savais que je l'adorais au quotidien, maintenant je savais qu'il en était de même au lit. La vie avec elle me donnait déjà envie d'être vécue et savourée.

Tu entremêlais tes doigts aux siens et tu souriais. T’avais le sourire facile, ce soir. Tout était tellement simple, pour une fois. Vous étiez deux êtres en parfaite osmose. Ça te faisait du bien. Tu apprenais que c’était ce qu’il voulait depuis si longtemps et tu esquissais un sourire. Il était heureux. « Je suis heureuse moi aussi, Asher. » que tu lui avouais. Il t’observait et si tu n’étais pas nue, tu te serais tout de même sentie nue à voir comment il te regardait, mais pas qu’au sens charnel. Au sens où il connaissait tout de toi. Le beau, le moins beau, Cali… Tu étais dans une situation dans laquelle tu n’avais pas l’impression de mériter tout ce bonheur et pourtant, tu l’avais. « Je suis amoureuse. » que tu lui souffles avec un sourire aux lèvres. Le bonheur goûtait bon et c’était tellement facile.

Kara venait de souffler qu'elle était amoureuse, c'était des mots que j'avais attendu tellement longtemps qu'il me fallut quelques secondes pour les intégrer. Je souriais en regardant ma brunette qui n'en finissait pas de me rendre heureux ce soir. « Moi aussi je t'aime. »  Glissais-je à demi voix en venant l'embrasser au coin des lèvres.

Ce n'était pas la soirée que je m'étais imaginé lorsqu'elle m'avait invité à venir la voir. Je m'étais dit que son show allait m'irriter au plus haut point, que la savoir à demi nue devant d'autres hommes allait m'énerver. Et j'avais déjà la quasi certitude que cette colère et ce désir refoulé allait devoir s'évacuer sous la douche grâce à ma main... Mais il n'y avait rien eu de tout ça, car elle avait modifié le cours de notre histoire. Kara était mienne maintenant.

Je faisais courir mes doigts sur son corps, je n'arrivais plus à m'arrêter de la toucher. C'était comme si j'avais peur de la voir disparaître et que j'avais besoin de m'assurer d'en avoir assez profité. Pourtant je savais qu'elle allait rester, le cap que l'on venait de passer était beaucoup trop important. La brunette et moi avions enfin fini par officialiser notre couple, après plus de 20 ans à se tourner autour.

Cali était en sécurité et j'allais pouvoir être avec Kara toute la nuit. Elle allait dormir avec moi et je sais par avance que cette nuit allait être bonne. Je me sentais d'ailleurs partir tout doucement, elle m'avait épuisé et comme elle était tout contre moi je me sentais bien. C'était le mélange parfait pour que je m'endorme paisiblement.

Ces mots avaient été dit si rapidement ce soir et pourtant, le désir de les prononcer avaient perduré si longtemps. Il souriait, ses yeux s’illuminaient et toi, tu te sentais toute légère, comme si tu venais de révéler un secret qui te rendait si lourde depuis tellement longtemps. Tu devenais sienne et il devenait enfin tiens. Son toucher te donnait la chair de poule et pourtant, tu restais là, presque immobile à réaliser qu’il était là, pour vrai. Doucement, tes paupières tombaient et t’étais prête pour la nuit à ses côtés, cette première vraie nuit pour tous les deux, ensemble, en tant que couple.

Fin?