I know you think she's cute (w/Maggie)

La gestion de mon emploi du temps était toujours problématique, il manquait des heures à mes journées qui étaient toujours très remplies. Ce matin j'avais promis à Maggie de passer un moment avec elle, oubliant totalement que je devais assister au spectacle de gymnastique de Pénélope. Du coup je m'étais retrouvé à supplier mon ami de changer notre lunch en quelque chose d'un peu moins glamour. Elle avait accepté, mais c'était en grande partie parce que ma fille était la plus mignonne des petites. Et également car Maggie est moi avions une histoire qui remontait à quelques années maintenant. Elle avait été mon avocate pour des dossiers personnels avant de tomber malade, je l'avais soutenu comme je le pouvais tout en apprenant à être papa en même temps. Mais maintenant qu'elle allait mieux, je la retrouvais, pas en tant qu'avocate, mais en tant qu'amie. Nous avions traversé énormément de choses à nous deux, nous avions eu notre lot de malheurs, il était temps de profiter du présent maintenant.

Pénélope ne tenait plus en place. Du haut de ses deux ans, dans son mini justaucorps, elle trépignait d'impatience. Elle voulait aller rejoindre ses copines, mais nous attendions Maggie qui devait nous rejoindre devant la salle des fêtes. Elle n'était pas en retard, j'avais juste eu une mini puce qui s'était réveillée beaucoup trop tôt. Une vraie pile. Quand la jeune femme fut à quelques mètres de nous, Pénélope partit dans la salle de fête sans même attendre l'arrivée de notre invité. Elle était trop excitée. Je la laissais filer, sachant qu'elle serait bien entourée à l'intérieur.

Trop d'émotions. Dis-je en plaçant un bisou sur la joue de mon amie.

Tu t’étais accordé un moment de répit à force d’hésiter à quoi faire avec ta carrière. Retournerais-tu dans un bureau qui n’était pas le tiens avec toutes les contraintes que ça impliquait, mais avec moins de responsabilités? Accepterais-tu un rôle d’associée? En voulais-tu non seulement un? Ou au contraire, tu voulais faire ta petite affaire de ton côté? T’en parlerais bien à Knox un peu plus tard, il aurait surement quelques idées pour toi et quelques conseils. Après avoir accepté un changement dans les plans, tu te retrouvais avec un billet pour le spectacle de ballet de la petite de ton ami. Tu les rejoignais à la salle de fêtes alors que la fillette sautillait sans même t’attendre pour rejoindre ses amies. Tu riais doucement à la voir se sauver comme ça. Tu lui rendais sa bise bien gentiment. « Pour toi ou pour elle? » Que tu demandais pour le taquiner. « Comment tu vas, Knox? » Tu l’invitais à entrer dans la salle de fêtes, t’étais prête à les suivre tous les deux, même si Pénélope était déjà clairement bien entourée de sa professeure de danse et de d’autres petits papillons du même âge.

Maggie et moi étions à des carrefours de nos vies professionnellement parlant. Il y avait beaucoup à discuter, autant de son côté que du mien. La belle avait le choix entre retourner ou non dans un cabinet, à quel poste, mais également si elle ouvrait son propre business. Mon choix n'était pas plus simple, mais mes options étaient plus limitées. Reprendre une place de pilote ou rester team principal. Mon cœur penchait clairement pour une de mes options, seulement je devais également prendre en compte que j'avais Pénélope et qu'elle n'avait plus que moi.
La petite fille me faisait tourner en bourrique la plupart du temps. Je n'avais pas décidé d'être père, c'était un rôle qui s'était imposé à moi et que j'avais accepté sans sourciller. Ma nièce, qui était à présent ma fille, comblait un vide que je n'avais jamais réussi à combler. Et s'il était compliqué pour moi de garder une relation par le passé, je ne m'y étais plus tenté depuis qu'elle était dans ma vie. Je n'osais plus me lancer avec une femme de peur que Pénélope s'y attache et que ça finisse mal. J'étais un abonné au célibat. Pourtant l'amour me manquait, j'avais envie de ressentir à nouveau ce sentiment si particulier, de me sentir aimé par une partenaire... Il ne fallait plus rêver, ma vie était autre chose à présent. Il n'y avait qu'à voir mon rendez vous avec Maggie.

La jeune femme m'avait rejoint devant la salle où devait se dérouler le spectacle. Pénélope ne l'avait pas attendu avant de s'enfuir pour retrouver ses amis. Elle était prête, archi prête, plus que prête. Moi j'étais tendu. C'était son premier spectacle et j'avais les nerfs en vrac. J'avais vérifié vingt fois que mon téléphone était bien chargé et je croisais les doigts pour que tout se passe bien pour elle. Tu serais gentille de ne pas te moquer de moi. Dis-je en lui tenant la porte pour qu'elle puisse entrer dans la salle. Nous avions des places attitrées et il ne me fallut pas longtemps pour les trouver, au premier rang. J'étais devenu un papa gâteau pour Pénélope, je lui portais un amour inconditionnel... Elle était la fille que je n'avais jamais eu. Je ne nous aurais jamais imaginé là il y a quelques années de ça...

Tu envisageais grandement ouvrir ton propre cabinet, mais c’était risqué avec ton historique de maladie. Tu aurais aussi des comptes à rendre dans un autre cabinet… Tu ne savais pas trop. En attendant, Knox te ramenait à la réalité en te disant que tu serais gentille de ne pas te moquer. Tu riais doucement « Tu crois vraiment que je ne vais pas me moquer de toi? » Tu lui donnais un coup de coude dans les côtes, un peu taquine. Tu entrais dans la salle devant tant de galanterie. Un peu plus jeune et il aurait été parfait pour toi, Knox. Tu t’immisçais dans les rangées pour finalement trouver vos places où tu t’installes en mettant ton sac à mains sur tes genoux. « T’as bien raison. » Que tu soupirais, tu envoyais tes cheveux valser vers l’arrière. « Alors, t’as bien retenu la choré? » Que tu lui demandes, toujours moqueuse, certaine qu’il l’avait pratiqué au moins mille fois avec Pénélope. « Les choses vont vite, tout le temps. » que tu confies. « Alors, tu vas comment, je veux dire en dehors du spectacle ? » que tu lui demandes, curieuse. Vous aviez encore un peu de temps avant que le spectacle ne commence. Vous étiez pas mal d’avance à cause de la petite vedette.

Tu sais bien que je ne sais pas lui dire non. Alors forcément, j'avais passé des heures à danser avec Pénélope jusqu'à connaître la chorégraphie par cœur. Elle s'était déjà produite sur plusieurs grand prix, dans les écuries devant les mécaniciens et les pilotes. Entre Dodger, mon chien, et elle, je ramenais l'ambiance à moi seul dans le paddock. Ce n'était pas étonnant que je sois épuisé comme ça avec ces deux là.
Maggie me demanda comment ça allait et je lui fis un sourire qui en disait long sur mon état. J'étais heureux, mais toujours incertain sur mon avenir, épuisé... J'avais besoin de guidance, seulement je ne trouvais personne à même de me donner des conseils avisés. Mais j'avais pris une grande décision et j'avais commencé à chercher pour prendre une fille au pair. J'allais prendre l'aide là où il y en avait. Si je trouvais quelqu'un pour me garder Pénélope quelques heures par ci par là, peut être que je pourrais faire une sieste, ou aller boire un verre. Peut être que je pourrais trouver quelqu'un pour partager ma vie. Non. C'était stupide. Ce n'était pas ma fille qui m'empêchait de faire des rencontres, c'était juste moi et mon incapacité à faire durer une relation. Je n'y arrivais pas avant elle, ça n'allait pas changer aujourd'hui. Encore moins maintenant que je n'avais quasi plus de temps pour quoi que se soit. J'attends aout avec impatience. J’emmène Pénélope une semaine en vacances en Polynésie et le reste du mois on va se reposer. Surtout moi en fait. Car elle aurait école. J'imaginais déjà les siestes que j'allais pouvoir faire, même s'il y avait de grandes chances pour que j'ai des tas d'autres trucs à faire à la place.
Maggie, qui avait gentiment accepté de me retrouver ici, avait traversé de drôles d'aventure ces dernières années. Certaines plus agréables que d'autres... Je me permettais de la regarder de la tête au pied, elle avait meilleur mine qu'avant, son sourire était resplendissant. Tout m'indiquait que je pouvais la taquiner. Et toi ? Tout va bien ? Tu n'as toujours aucune amie à me présenter ? Plaisantais-je.

Tu éclatais de rire en l’entendant te confirmer une fois de plus ce que tu savais déjà. Tu esquissais un sourire par la suite. « Knox, j’dois te l’apprendre : t’es une grosse guimauve toute moelleuse! Mais tu dois le savoir, depuis le temps. » que tu ris. Son sourire en disait long. Il semblait bien, mais ses cernes en disaient long elles aussi. « Oh, donc le mois des chats t’appelle. » que tu lui confirmes en hochant la tête alors qu’il confirmait qu’il allait se reposer. « T’as pensé à demander de l’aide? T’es pas obligé de tout faire tout seul, tu sais. » que tu lui confies, un peu comme si tu étais devin. « Une baby-sitter à l’occasion ou une fille au pair ou une nanny… Tu gagnes bien ta vie, tu serais en mesure de la payer. » que tu lui dis. « Tout va bien, enfin, c’est vite dit. J’ai encore des rendez-vous de suivi à l’hôpital… J’ai recroisé mon ex, ma meilleure amie d’enfance et j’te dirais que ça roule, Raoul. » Que tu confesses. « J’te présenterai pas mes ex. » Que tu lui dis en riant, faisant allusion à ce que ta meilleure amie d’enfance et toi ayez eu une histoire. « Je te fais signe si je trouve une cliente intéressante. Enfin, si je recommence à travailler un jour. » Parce que rien n’était moins sûr. « J’sais pas si j’ai envie de me partir à mon compte ou de réintégrer un cabinet… » Voilà, le chat sort du sac.

Je n'avais jamais douté du fait que j'étais un homme très câlin, j'aimais partager mon affection et montrer à mes proche qu'ils étaient chers à mon cœur, mais avec Pénélope c'était un autre niveau. Elle était ma vie et je me donnais entièrement pour elle. Je ne l'aimais pas comme le commun des mortels, elle était plus que ma fille, elle était la lumière qui éclairait ma vie. J'ai longtemps hésité à prendre quelqu'un pour m'aider, mais j'ai craqué. Normalement j'ai une fille au pair qui arrive début juillet. Je t'avoue que j'ai un peu peur de comment ça va se passer entre elle et Pénélope. Avouais-je nerveusement. Le bonheur de Pento était le plus important pour moi et passer la main à quelqu'un d'autre était compliqué. J'avais l'impression de ne pas être à la hauteur. D'être un mauvais père... Mais plutôt que de me morfondre sur mon cas, je me mis à poser des questions à Maggie. D'abord en plaisantant en lui demandant de me présenter de potentiels rencards, puis plus sérieusement sur son boulot. Elle était perdue et je comprenais, ce n'était pas simple de se relancer après ce qu'elle avait traversé. Ma situation n'était pas si différente de la sienne et je ne savais toujours pas ce que j'allais faire de mon futur. Tu as déjà pesé le pour et le contre je suppose... Tu sais, même si tu choisis une de tes deux options et que tu te rends compte que ça ne te convient pas, tu peux toujours revenir sur tes pas. Rien n'est définitif. La vie était courte, mais il y avait toujours moyen de changer de chemin et retomber sur ses pieds. Parfois plus facilement que d'autre. Sinon prend la question à l'envers. Pourquoi tu n'es pas sur de vouloir retourner en cabinet ? Qu'est ce qui te fait douter ? Qu'est ce qui ne te plaisait pas ?

Tu savais qu’il s’était retrouvé avec une enfant à la charge assez rapidement et tu devais dire qu’il s’en était sorti avec brio. Tu ne pouvais pas faire autrement que de l’approuver. L’homme te disait qu’il avait hésité longuement à prendre quelqu’un pour l’aider. Tu hochais la tête positivement. « Ça ne peut qu’être positif pour Pénélope. » Que tu confiais alors que tu apprenais qu’une fille au pair devait arriver début juillet. Tu esquissais un sourire. « Ça devrait bien aller, papa poule. Penny, elle est pas un monstre non plus. » Tu te dois de le rassurer un peu. « J’pense même que tu pourras retrouver une vie un tant soit plus normale, Knox. » que tu lui disais ouvertement.

L’homme te rappelait que tu avais pesé le pour et le contre pour ta propre décision. Tu ne savais pas trop si c’était réellement ça qu’il fallait pour toi. Tu soupires longuement. « Mais c’est que j’ai pas envie de m’en mettre trop sur les bras, non plus. » Que tu admets. Puis, il te disait de prendre la question à l’envers. « Parce que s’il y a quelque chose qui se passe mal dans ma santé, j’veux pas avoir de comptes à rendre. Même si en même temps, j’ai des comptes à rendre à mes clients. C’est juste… compliqué. » T’es pas très douée avec les problématiques quand ce sont les tiennes. « Si j’avais un partenaire d’affaires sur qui compter, ça pourrait m’aider un minimum… »

Je sais bien que Pénélope est un amour... C'est avec moi que ça va être le plus compliqué. Je ne sais pas ce que ça la cohabitation va donner. Je ne sais pas si elle va réussir à être à l'aise avec moi. Je n'étais pas plus méchant que Pento, mais j'étais un homme célibataire qui allait accueillir une jeune femme chez lui. Je n'avais aucune intention de la draguer, mais je comprenais le malaise qu'elle pouvait ressentir. C'était en parti pour ça que j'avais pris une jeune femme de 25 ans et non pas une de 18 ans, je l'avais voulu un peu plus mature. Puis de toute façon Pénélope était tombée sous le charme de la jeune Mercedes. A partir de là, j'avais perdu le contrôle de la décision.

Maggie était perdue dans sa décision, celle ci était assez complexe en effet et méritait que l'on s'y penche entièrement. La santé ça peut se dégrader pour tout le monde du jour au lendemain. Je ne le savais que trop bien, car c'était un accident qui m'avait privé des circuits. Si je peux te conseiller une chose, c'est qu'il faut parfois surmonter ce qu'on craint. Foncer. C'est ce que je faisais en négociant pour redevenir pilote la saison prochaine. J'étais prêt à sortir de ma zone de confort pour atteindre un rêve et je souhaitais à Maggie d'être capable de faire la même chose. Trouve toi un partenaire solide, et s'il t'arrive quoi que se soit tes clients comprendront et je suis certain que tu trouveras un nouvel associé pour vous aider.

« C’est clair que c’est toi la problématique dans tout ça. » Tu ris doucement. « Pourquoi elle serait pas à l’aise? Évite de te promener à moitié nu – voire complètement nu, parce que j’suis pas certaine de pouvoir te protéger contre une poursuite dans ce contexte-là. Tu lui loues un appartement ou une maison secondaire. » Que tu expliques alors le plus simplement du monde. Tu ne savais pas encore que son choix s’était arrêté sur une demoiselle spécifique.

« Ouais mais quand t’as des antécédents de cancer, ça enchante pas grand monde, je te dirais… » Que tu admets, un peu penaude. Tu l’écoutes te conseiller de surmonter ce que tu crains et tu passes une main maladroitement dans tes cheveux. Tu sais pas trop où tu en es sur ce point… Trouver un partenaire solide, tu soupires. « Y’en pleut pas des tonnes à Bowen, des avocats en droit de la famille … » Puis, tu songeais à aller recruter à l’université et ça te semble pas si bête que ça. « J’pourrais aller chercher une stagiaire ou un nouveau diplômé pour m’épauler dans ça… Ça serait formateur, tu ne crois pas? » Tu crois tenir une piste là…

Je me traine beaucoup moins nu chez moi depuis que j'ai Pénélope. Dis-je rieur. Et maintenant qu'une jeune femme allait venir vivre à la maison, ça n'arriverait plus du tout. Je ne comptais pas faire fuir Mercedes. Elle aura la dépendance à côté de la piscine. Comme ça si elle veut être un peu tranquille, elle peut s'isoler de la folie Hendrix. J'avais essayé de penser à tout, et même si l'adaptation allait prendre quelques temps, je pensais sincèrement que la présence de Mercy chez nous allait être bénéfique.

Je comprenais la situation de Maggie, car même si ce n'était pas la même que la mienne, elles étaient assez similaires. D'une certaine façon. Je l'écoutais parler, elle avançait dans son cheminement et c'était une bonne chose. Stagner n'était pas une solution. Je serais ton premier client. J'ai reçu quelques courriers des grands parents de Pento et je ne sais pas trop quoi en penser. Je ne la lâcherais jamais. Ce n'était pas ma femme, il n'y avait aucune attraction de la sorte, mais mon amitié pour elle était à vie. Je serais son client, et je resterais avec elle contre vent et marée s'il le fallait.

Oh ça commence. Dis-je en voyant apparaître ma petite - et son groupe accessoirement - sur la scène. Elle était toute mims à danser, lever ses bras, tourner sur elle même. J'étais fan. Pas du tout objectif. J'étais tellement dans le moment que j'avais oublié de filmer le moment.

« Ouais, ouais. J’y crois. Pour vrai, j’y crois. » Que tu lui dis en riant. Puis, il te confiait qu’elle aurait la maison d’invités près de la piscine. « T’sais, c’est pas si fou les Hendrix. Faudrait que tu te fasses à l’idée. » que tu lui confies en riant un peu. Concernant les affaires, l’homme disait qu’il avait reçu des courriers. Tu fronces les sourcils : « Quel genre de courrier? » Puis coup de théâtre, le ballet commençait! Tu sortais ton téléphone pour capter le moment de la ballerine en herbe. Le numéro se déroulait à merveille et se terminait sous un tonnerre d’applaudissements, dont les tiens. Pénélope avait de quoi être fière d’elle! Et puis, son père aussi… Tu ne savais pas combien de numéros il y aurait, ni même si elle suivrait dans d’autres numéros. Tu tentais d’attarder ton regard sur le feuillet du spectacle mais il fallait admettre que tu ne voyais pas grand-chose, peu importe l’angle dans lequel tu le prenais.

Le genre de courrier que personne n'aime recevoir. Ses grands parents veulent récupérer sa garde. Dis-je sans vraiment prendre cela au sérieux, car ils n'avaient jamais cherché à être dans sa vie avant ce courrier de leur avocat.

Le spectacle avait commencé et j'avais les yeux rivés sur ma petite fille qui dansait au milieu de ses copines. Elle était vraiment mignonne et mon cœur flanchait à chaque fois qu'un sourire apparaissait sur son visage. J'étais complètement gaga. A la fin de la musique, tout le monde se mit à applaudir, moi le premier. Il n'y avait qu'une prestation, elles étaient petites, mais elles avaient été géniales. Toutes. Mais surtout ma petite puce.
Je pris la main de Maggie pour la faire venir avec moi à l'extérieur de la salle pour pouvoir retrouver Pénélope. Ça avait été très rapide comme spectacle, mais en voyant ma miss je lui fis le plus gros des câlins en la soulevant du sol. C'était génial ma ballerine que j'aime. Je crois même que tata Maggie à tout filmé.