flood édition numéro six

Will Hughes a écrit:

P’tête qu’un jour on va se rencontrer
Ou p’tête pas parce qu’on est bien gênées
Mais PROMIS, jamais j’vais t’oublier

Parce que, j'étais quand même obligée de réagir à ce poème avec autre chose qu'un simple merci

A travers le poème de Bibi, «pour 10 points, voici ma déclaration d'amour. de moi à toi », vous démonterez qu’une déclaration d’amitié peut toucher sa destinatrice.


Introduction.

De toute évidence, à la première lecture de ce poème, il est clair que l’auteur accorde une attention toute particulière à cette dénommée « Louise ». Nous partirons du postula suivant : il est totalement limpide que les deux protagonistes se connaissent, s’apprécient et ont lié une véritable relation amicale. Dans une première partie, il est intéressant d’analyser en profondeur la structure solide de ce poème, qui est définitivement au service du message porté. Dans une seconde partie, il est nécessaire de se pencher sur l’intérêt que porte la destinatrice à cette déclaration. Ce qui constitue, en toute logique, une vraie belle amitié.

I – Une structure au service de la relation.

Le poème commence simplement en énonçant le prénom du destinataire. Louise. L’auteur ose une rime un peu facile. Il est assez simple d’imaginer que Bibi un peu décontenancée par ce prénom, n’a malheureusement pas eu beaucoup plus de possibilité pour faire rimer ce prénom. En effet, les mots terminant pas « ise » sont assez rares dans la langue française. Il est alors acceptable de le faire rimer avec « cerise ». Qui, toute proportion gardée, reste un fruit frais, au goût délicat, tout à l’image du destinataire de ce poème. On notera également la dualité de ce fruit, qui fonctionne toujours par paire. Deux cerises rattachées par leur rameau, à l’image de Bibi et Louise, toutes deux rattachées par un lien d’amitié fort. Si d’apparence, cette rime semble facile, il est important de souligner son grand intérêt dans ce poème.

Les deux protagonistes semblent partager une passion commune. Celui du RPG. L’auteur le souligne en utilisant un mot fort, « âme-soeur ». Ce n’est sans rappeler les deux cerises fortement encrée l’une à l’autre. Si le terme « âme-soeur » est davantage employé dans une relation amoureuse, il convient de souligner l’intention ferme de l’auteur d’ériger sa destinatrice à un rang bien particulier. Ce qui est sans aucun doute très fortement apprécié de cette fameuse Louise.

L’auteur utilise un bon nombre de protagoniste dans sa troisième strophe, « Elijah, Maddie, Ramsay, Orso, Arielle ». Ces nouveaux personnages qui pourraient à première vue brouiller le message, est tout bonnement apporté avec une telle intelligence que l’on comprend aisément que leur amitié s’est développée à travers leur écriture, leurs imaginaires et leur volonté de faire se rencontrer les propres extensions d’elles même. De toute évidence, leurs personnages, aussi différents soient-ils, trouvent leur compte dans ces relations. D’une amitié très forte, à quelques explosions, nous pouvons supposer, sans trop de difficultés, que la relation de Bibi et Louise s’est avant tout relevé à travers leurs mots et leur volonté commune d’approfondir les liens qui unissent leurs personnages.

En opposition avec le paragraphe précédent, et en analysant la deuxième strophe ainsi que la dernière, il est facile d’imaginer que les deux protagonistes discutent également en dehors du cadre des rps. Nous pouvons facilement le ressentir grâce à la présence de nombreux émojis, qui semblent avoir une signification toute particulière. Avec les mots « rire » et « sourire » , l’auteur souligne les émotions qu’elle peut ressentir. Il en va de même à la fin du poème, lorsque l’auteur souligne la « gêne » que les deux personnes pourraient ressentir à se rencontrer. Il s’agit donc d’une relation virtuelle, mais qui semble tout de même très aboutie et sincère. Le dernier vers, fort de sens, insiste sur l’importance que chacune accorde à cette relation. Car de toute évidence, cette amitié qu’elles partagent, semblent très puissante, inscrite dans le temps. L’auteur utilise les mots « jamais j'vais t'oublier» qui représente une sérénité solide.

A travers ce poème, Bibi pose les bases de quelque chose qui semble tomber sous le sens, pour elle comme pour la destinatrice. Il serait intéressant à présent de se pencher sur l’aspect réciproque de cette relation.

II – Une relation réciproque évidente.

La réciprocité est un fait. Dans cette partie, nous émettrons des hypothèses, (validée par la destinatrice elle même). Ce poème est fait pour toucher. Pour mettre en lumière une vérité. L’auteur parvient parfaitement à donner cette sensation à celle qui reçoit le poème. Cette Louise a beaucoup de chance d’avoir croiser la route de Bibi.

Tous les personnages évoqués à la troisième strophe se sont véritablement forgé une personnalité, une essence, à travers les mots des autres personnages de Bibi, qui ne sont pas nommé ici. A l’exception d’Arielle, indissociable d’Orso. Il est important, ici, de mettre à l’honneur les autres personnages qui ont fortement contribué à l’épanouissement RPGiste de Louise. A savoir, Leyla, la petite perle d’Elijah, Alexis, la meilleur aux yeux de ce dernier, mais aussi la raison des explosions de fureur d’un certain Ecossais.  Et puis Noa, qui, paradoxalement, éteins un peu plus chaque fois, la rage présente chez ce fameux Ecossais. Il est également important de nommer Will, encore inconnue de Louise. Cela dit, cette dernière n’a pas dit son dernier mot. (Comprenez ici, « n’a pas dit son dernier personnage.)

La réciprocité de cette relation est une évidence. Louise est fortement attaché à cette amitié. Parait-il qu’il leur arrive même, ces deux là, de se faire quelques déclarations lorsque leurs esprits sont un peu cocktail. Ni vivant pas si loin l’une de l’autre, les deux protagonistes pourraient aisément se rencontrer. Chacune d’elles apportent d’ailleurs un grand intérêt à l’environnement de l’autre. Il faut dire que Montréal et San Francisco sont deux destinations fortement tentantes. Cela dit, comme l’auteur le mentionne, les deux sont de nature timide. Même si, régulièrement, elles n’hésitent pas à se confier l’une à l’autre.

Leur relation, nouvelle de quelques mois, est forte, sincère et il semblerait qu’elles se nourrissent l’une de l’autre, à travers leurs écrits mais aussi leurs discussions.

Conclusion.

En définitive, l’auteur nous offre là une véritable déclaration d’amitié. Et qui, il faut le souligner, va directement droit au coeur de la destinatrice. Nous sommes là, à l’aube d’une belle histoire, qui, c’est certain, ne va jamais s’arrêter. Généralement, quand deux personnes se trouvent si bien l’une avec l’autre, les choses sont simples, évidentes et douces.

Pour conclure, il est indispensable de remercier l’auteur Bibi, pour ces belles strophes, pleine d’émotion. C’est fortement apprécier, très touchant et entièrement réciproque.

Note de fin : Merci ma Bibi, ma petite pépite, de rendre ma vie bien plus belle depuis que tu y est entrée.

ANAIS ! Mais ce poèèèème
Wesh, que de talent en toi
Et pis, c'est si vrai tout ça
@Kay Armstrong , @Alexis Silveira @Beckham Kavinsky ,
JE VOUS AIME

Désolée du double post, mais
POÈME TIME OBLIGE

C'est en l'honneur d'Anaïs , que j'ai sorti mes plus belles rimes en "ISSE".
@Kay Armstrong

GLOIRE À ANAIS

Ô Anaïs, petite pain d’épice
Tant de talent dans ce petit épis de maïs
Chacun de tes mots m’étourdissent,
Emerveillée par tes talents d’autrice

Beaucoup de cordes à ton arc, câlisse !
C’est à s’en taper par terre le coccyx.
Ta dextérité en tant que créatrice
fait de moi, une vraie admiratrice.

Et quand parfois, in extremis
Ton Kay mène Maddie vers le vice
C’est surtout autour d’un bon verre de pastis
que j’aimerais te rencontrer, ma petite fleur de Lys !