(hot) go farther in lightness

Aout 2020

Mes muscles se détendent un à un, je sens mon corps s’enfoncer littéralement dans le canapé, jeans ouverts et caleçon baissé, alors que mes doigts passent dans les cheveux d’Ephrem. Ma respiration s’accélèrent, mon torse se lève et s’abaisse au rythme de mon souffle qui se brisent dans mes halètements. Je ferme les yeux, me mord les lèvres et rejette la tête en arrière pour retenir un gémissement.
— Putain, mec…ta bouche, c’est le paradis, je souffle.
On devrait être en chemin pour l’anniversaire d’un pote qu’Ephrem et moi avons en commun, mais je ne vais pas me plaindre d’être en retard si c’est pour profiter d’une intermède comme celle qu’est en train de m’offrir mon ami.
— On va être à la bourre, je lui notifie tout de même, en riant légèrement.
Mon corps se couvre de frisson, alors que je baisse le regard sur son partenaire de natation. La vision est tellement excitante et j’espère que Manwë, mon coloc absent pour le moment, ne m’en voudra pas d’avoir investi le canapé de cette façon.

TW : relation sexuelle explicite

go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Alors, la raison pour laquelle tu te retrouves à genoux, la tête entre les cuisses de ton pote, est légèrement flou. Faut dire qu’entre toi et Elias ça date de plusieurs années maintenant et c’est limite devenu routinier donc en soit, il a dû te chauffer, avec son langage cru et ses beaux yeux à tomber, et toi, faible comme t’es quand il s’agit du sexe, bah t’as pas perdu une seconde à tirer son jean, en même temps que son caleçon pour venir t’occuper comme il faut de la virilité du jeune ouvrier. Quand il souffle, rejetant sa tête en arrière pour contenir un gémissement, tu souris, car ouais, tout ça t’amuses, toi t’aimes lui prodiguer du plaisir et s’il croit que parce qu’un de vos potes fête son anniversaire, tu vas accélérer et bâcler la chose ? C’est mort. Alors tout en te redressant, tu viens embrasser son nombril puis tu viens chercher ses lèvres, y murmurant. « J’vais pas te laisser comme ça, tu vas pas tenir et tu vas avoir du mal à garder ta concentration, alors tais-toi et laisses-moi faire, ok ? » Tu dévores doucement ses lèvres pour lui voler un baiser par la même occasion et tu retournes à ton affaire.

Tes mains de chaque côté de ses cuisses, tu vas-et-viens sur son membre pour le faire venir et tu sais qu’il ne va pas tarder à se laisser aller alors tu joues de ton regard, de ta langue, de tout ce qui fait de toi un chaud lapin et quand il finit par venir entre tes lèvres, tu avales, essuyant ta bouche d’un revers de la main en te redressant, venant t’asseoir à ses côtés en posant ta tête en arrière. « Tu m’as épuisé mec, mais c’est toujours aussi bon, j’m’en lasserais jamais je crois bien… » Tu te tournes alors vers lui et tu viens jouer avec son haut distraitement. « Bon, je crois qu’on peut y aller maintenant… »

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On s’est jamais posé plus de questions que ça, Ephrem et moi. On est ami avant tout, oui, et pote de natation, mais il nous arrive assez régulièrement de faire parler nos corps. C’est simple et réconfortant. On a pas besoin de s’étendre en palabre, on se comprend en un regard. Je souris contre ses lèvres, en accueillant ses arguments.
— T’as pas tort…et j’adore ton petit ton autoritaire…
Un dernier baiser, et mon ami reprend là où il m’avait laissé, mais faisait voir des étoiles. Je me laisse porter, le plaisir grimpant en flèche et se décuplant encore davantage lorsque nos regards s’accrochent. Et cette langue qui me taquine, c’est presque de la torture. Mon bassin bouge en rythme avec le sien alors qu’une vague de chaleur me prend tout entier. Je gémis, bascule à nouveau ma tête en arrière, alors que l’orgasme me foudroie. Je récupère doucement, puis tourne la tête vers Ephrem. Ses doigts joue avec mon t-shirt, alors que mon caleçon n’est même pas encore remonté. Ma respiration ralentis doucement, alors que je reprends contact avec la réalité.
— J’allais dire la même chose, je souffle avec un petit rire.
Je caresse sa mâchoire du bout des doigts puis me penche pour embrasser ses lèvres. Je plante ensuite mon regard dans le sien, ma bouche à quelques centimètres de la sienne, un sourire taquin se hissant sur mes lèvres, alors que ma main glisse sur son torse, pour aller caresser son entrejambe encore couvert.
— Et toi, tu demandes pas ton reste ?  

@ephrem souza

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go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Le pourquoi, le comment, qu’importe. Vous avez sûrement dû vous croiser à une soirée ou un évènement où l’un de vos amis se connaissaient et bam, rencontre, délire, coup de foudre amical et avec vos francs parlers bah ça a vite dérapé et ça dérape encore aujourd’hui, même si t’es en couple depuis trois mois maintenant, pas exclusif et le frisé le sait. Et mine de rien tu le connais. Aussi bien sur le plan amical que sur le plan sexuel et quand il t’annonce que vous allez être en retard, en vrai tu t’en fou, vous y serez pile à l’heure pour les cadeaux t’es sûr et quand il dit adorer ton petit ton autoritaire, tu ne peux que sourire et reprendre là où tu l’as abandonné, à son plaisir, ta tête entre ses cuisses.

Et très vite tu réussis à le dompter, le laissant exploser en toi alors que tu remontes tranquillement sur le canapé pour venir jouer distraitement avec son t-shirt, n’ayant pas pris la peine de le rhabiller, tu le connais, même quand tu lui dis qu’il t’a épuisé et que vous pouvez y aller maintenant, car il ne va pas te laisser comme ça non plus, l’entrejambe dur et prêt à tirer. « Tu veux que je te demande de prendre soin de moi ? » Que tu demandes, le regard aguicheur alors que tu viens doucement grimper sur le plus vieux. « Ok, alors, Eli… Steuplait… » Tu viens doucement embrasser son cou, venant retirer son t-shirt car t’en fou partout quand tu viens de ton côté, et tu embrasses le début de son torse, tes yeux dans les siens. « Fais-moi venir… Montres-moi ô combien t’es doué… » Tu joues de tes yeux, faisant en sorte d’inverser la situation pour vous retrouver allongés, toi en dessous de lui.

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La main sur l’entrejambe encore couvert, mais non moins dure, d’Ephrem, j’esquisse un sourire, puis hausse les sourcils d’un air suggestif.
— J’avoue j’aime bien me faire désirer…
Mon pote se hisse sur mes genoux et je l’accueille contre moi en glissant mes deux mains sur son fessier pour l’empoigner fermement. Je mords ma lèvres et pousse un léger grognement d’aise.  Son baiser dans le cou me fait frissonner tandis que, la seconde d’après, je l’aide à passer mon propre t-shirt par dessus ma tête. Ephrem me cherche, tant par ses gestes que dans ses paroles et ça m’allume en un quart de seconde. Il bascule sous moi tandis que ma bouche accroche la sienne dans un baiser fougueux. Je me replace sur le canapé, pour avoir plus d’aise, mes jeans encore à moitié baissé sur mes fesses. Du bout des doigts, alors que mes lèvres ne quittent pas les siennes, je soulève son haut pour taquiner la peau de son bas-ventre. Je déboucle la ceinture à l’aveugle, puis lâche un rire tandis que mes doigts galèrent avec les boutons de sa braguette. Après un peu de concentration, je parviens enfin à libérer le membre de mon partenaire auxquels j’administre de lent vas-et-viens pour commencer, serrant mon poing autour de cette verge fièrement dressée. Je dépose mon front sur l’épaule d’Ephrem, le regard baissé pour ne rien louper, alors que mon pouce s’amuse à passer sur son gland sans le ménager. Je redresse un regard fiévreux à mon amant, lui décoche un sourire taquin avant de partir en expédition vers son hémisphère sud. Ma langue glisse lentement le long de son sexe, avant que mes lèvres, enfin, ne se renferment sur son extrémité.

@ephrem souza

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go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Un truc qui fait qu’entre Elias et toi, ça match de fou, c’est que vous avez les mêmes envies et vous êtes à peu près les mêmes au niveau sexuel. T’en es pas à ton premier mec, t’en seras pas à ton dernier non plus au vu de ta relation, alors tu sais y faire. C’est pourquoi très vite tu lui grimpes dessus pour finir par l’attirer au-dessus de toi, ses lèvres venant chercher les tiennes assez rapidement, fougueusement et bordel que t’es bien. Tu l’as cherché juste avant et maintenant que tu l’as trouvé, y a plus rien d’autre qui compte, tu préfères penser à vous plutôt qu’à cette fête qui vous attends, toute manière t’es trop occupé à prendre ton pied pour avoir les idées claires, là, tout de suite.

Alors quand il vient taquiner la peau de ton bas-ventre, tu soupires d’aise mais c’est la façon dont il galère à retirer ta ceinture et donc ton pantalon qui te fait doucement rire. « T’as besoin d’aide ou bien… ? » Que tu lui demandes, le taquinant comme t’as l’habitude de le faire et très vite tu vois que non car il prend ta virilité en main et bordel que c’est bon. Il s’active à te faire plaisir et toi tu fermes les yeux, glissant tes doigts dans ses cheveux frisés tandis qu’il s’amuse avec son pouce de ton gland, ce qui te fait gémir un peu plus et quand tu rouvres les yeux, ce sont les siens que tu vois, son sourire taquin alors qu’il se baisse pour finalement te prendre en bouche. « Oh putain de merde… » Que tu lâches, venant glisser tes mains de part et d’autres du canapé, serrant ce dernier tout en gémissant au vas-et-viens que te prodigues Elias.

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Son corps réagi si facilement au miens. Je le connais bien, faut dire. Ezra va nous tué si on arrive en retard à son anniversaire, mais en vérité, je m’en fiches complètement. Le jeu en vaut complètement la chandelle. Alors que je le prend en bouche, mon amant lâche un juron qui me fait sourire aussitôt. Je me mets ensuite à suçoter doucement son membre, jusqu’à trouver un rythme de vas-et-vient qui semble convenir à Ephrem. Je sens son corps se crisper sous l’effet du plaisir et ses gémissements commencent à résonner dans la pièce. J’aime savoir que je lui fais du bien. Ma main droit remonte le long de son buste, jusqu’à trouver son menton. Je taquine sa lèvre inférieur, et l’incite à prendre deux de mes doigts en bouche. La chaleur humide de sa cavité buccale me colle un frisson, je gémis contre son membre. Puis, une fois qu’il a suffisamment humidifié mes doigts, je relève la tête avec un sourire enjôleur. Mon autre main reprend le mouvement circulaire sur l’extrémité de son membre, tandis que mes doigts humides se placent sur son entrée.
— Je peux ? je demande.

@ephrem souza

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go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Ezra, Duncan, désolé les gars mais actuellement t’as que Elias en tête. Faut dire que le plus vieux sait y faire avec ton corps, ça n’a pas toujours été que sexuel entre vous, tu l’aimes Elias, c’est un très bon ami, mais c’est vrai que niveau sexe vous êtes vraiment complémentaires : en un regard, un mot, l’un réveil toujours l’autre. Vous vous connaissez et c’est pour ça que tu te laisses complètement faire, t’as pas besoin de le guider, il connait tes envies, tes désirs et c’est pourquoi, quand il remonte sa main sur ton buste, jusqu’à ta bouche, tu frissonnes et comprends tout de suite ce qu’il veut que tu fasses alors tu chopes ses deux doigts de tes mains et tout en le regardant, tu te mets à les lécher, à les sucer, un peu comme tu faisais avec son membre quelques instants plus tôt.

Et quand ils sont assez humidifiés, il te regarde avec ce putain de sourire qui te fait craquer et tu relâches la pression de ta bouche pour qu’il récupère ses doigts, venant de nouveau te masturber alors que tu sens ses doigts près de ton entrée. « C’est un jeu dangereux que tu joues Eli, tu sais combien je suis gourmand ? » réponds-tu alors que tu hoches finalement la tête, venant choper la nuque du plus vieux pour l’embrasser. Une fois le baiser rompu, tu souffles contre ses lèvres. « J’vais avoir envie de toi… » T’es pas un accro du sexe, du moins tu peux clairement passer des semaines sans rien faire mais si t’as l’occasion de t’amuser, tu le fais, t’es assez ouvert et puis le sexe c’est bon pour la santé, non ?

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Ephrem et moi, on se comprend aisément, en particulier quand il s’agit de sexe. On partage bien d’autres choses, évidemment. Ca n’est pas que physique entre lui et moi. Je le considère avant tout comme l’un de mes meilleurs amis, avec quelques avantages certes, mais je l’apprécie pour la personne qu’il est, avant toute chose. Cela dit, notre complicité est un plus. On ne se pose pas mille questions, les choses sont fluides. Sa remarque me fait sourire. Je sais, en effet, qu’il est plutôt du genre gourmand. Dans plusieurs aspect de sa vie d’ailleurs, il n’est pas du genre à se priver de quoique ce soit. Je lui rend son baiser, un sourire toujours accroché à mes lèvres.
— Je prends le risque, je réponds avec un sourire espiègle.
Je me concentre à nouveau sur lui, titillant d’abord subtilement son entrée, avant de m’y inviter enfin. Mes doigts s’insèrent en lui petit à petit, alors que mon autre main s’octroie le plaisir de passer sous son t-shirt pour caresser son abdomen. Ma bouche suit le même chemin, embrassant sa peau, la caressant de mes lèvres. J’entame de long vas-et-viens, levant les yeux vers Ephrem pour ne rien perdre de sa réaction.

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go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Il est doué et le pire c'est qu'il le sait. C'est ton meilleur pote mais quand il est là, entre tes cuisses écartées, tu ne le vois plus trop comme simplement un pote mais surtout un amant. Et un très bon amant. Tellement que tu ne te gênes pas de lui dire que s'il commence comme ça, tu vas vouloir plus. Tu vas le vouloir lui, tout entier et sa réponse te fait comprendre qu'au final vous serez très certainement en retard pour l'anniversaire de votre pote. Tant pis. Là clairement tu n'es plus toi-même et quand il insère finalement ses doigts en toi tu gémis en fermant les yeux, comme pour apprécier encore plus cette sensation.

Quand il vient s'amuser en glissant une main sur ton torse, tu viens virer ton t-shirt, lui volant un baiser au passage et quand tu croises son regard tu mords ta lèvre inférieure. Il te fait tellement d'effet c'est hallucinant. « Bordel t'es grave bandant comme ça El... » Que tu gémis à nouveau, ne le quittant pas du regard pour observer chacun de ses faits et gestes alors que t'es carrément à poil sur son canapé. Tu viens doucement glisser tes mains sur lui, une dans ses cheveux et l'autre sur son visage alors que tu l'attires de nouveau à toi. « Tu penses que tu peux me faire plaisir ? » Traduction : est-ce qu'il se sent prêt à te pénétrer ou pas. Tu viens lâcher ses cheveux pour glisser tes doigts le long de son torse, descendant vers son entrejambe que tu viens doucement tâter. « C'est moi qui t'excite comme ça ? » Que tu demandes le sourire en coin.

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Je sais que nous allons accumulé du retard, qu’Ezra et les autres devront commencer la soirée sans nous et sans doute ne se gêneront-ils pas d’ailleurs. Je m’en fiche un peu. Le programme de ma soirée étant bien plus excitant qu’une soirée entre potes. J’adore nos soirées, je ne dis pas le contraire, passer du temps avec eux, se marrer, c’est plutôt cool mais celle que je passe avec Ephrem, quand nos désirs s’entrechoquent, ont une toute autre saveur. Mes doigts vont et viennent en lui, frottant contre son point sensible, détendant ses muscles peu à peu. Ca à l’air de lui plaire, je me laisse griser par ses soupirs. Nos regards se cherchent, alors que mon autre main caresse sa peau, que ma bouche embrasse la surface vallonnée de son ventre. Il me demande si je suis prêt pour passer à l’étape suivante, ce qui me fait aussitôt décocher un sourire en coin.
— T’as été sage ? je le taquine alors.
L’une de ses mains s’aventure entre nous, descend le long de mon torse, pour venir s’emparer de ma virilité et attiser encore un peu plus mon désir. Mon sourire s’élargit à la question de mon ami.
— À ton avis ?
Je capture ses lèvres langoureusement, avant de m’écarter de lui. D’un regard, je l’enjoint à patienter un instant alors que je récupère un préservatif dans mon portefeuille posé sur la table basse. Je l’enfile rapidement sur mon sexe, avant de me replacer au dessus d’Ephrem, sans attendre un minute de plus. Je retrouve sa bouche, que j’embrasse avec envie. La température semble grimper d’un seul coup tandis que je me positionne entre ses cuisses. Puis, saisissant ses hanches, je viens lentement guider mon sexe en lui.

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go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Au fur à mesure que le plus vieux s’occupe de toi, tu te sens partir petit à petit dans un autre monde. Tu n’es plus que plaisirs et gémissements alors qu’il fait en sorte que tu prennes ton pied et tu penses que tes réactions lui prouvent que c’est le cas, ou alors tu as perdu un peu en pratique sexuelle (mais ça t’étonnerait, ça). Alors que tu n’en peux plus, que tu te retrouves à venir lui demander s’il peut te faire plaisir, sa réponse te fait doucement rire alors que tu viens tranquillement choper sa virilité. « Moi ? Je suis toujours sage… » Que tu souffles alors que tu joues de son sexe en lui demandant si c’est toi qui le met dans un tel état. « Top alors, au moins c’est réciproque… »

Et alors que tu réponds, aussi langoureusement que lui, à son baiser, tu fais une légère moue quand il s’écarte le temps de récupérer le préservatif et de l’enfiler pour revenir comme si de rien n’était au-dessus de toi. Tu t’apprêtes à le taquiner mais il ne t’en laisse pas le temps et voilà que vos lèvres se retrouvent, envieusement et tu te laisses aller, laissant une main venir se glisser dans sa chevelure frisée et l’autre au niveau de son dos. Quand il vient lentement en toi, tu gémis contre ses lippes, mordillant légèrement sa lèvre inférieure en resserrant tes mains sur ses cheveux et son dos. « Putain El… » Que tu geins alors que tu laisses ton bassin se mouvoir au rythme du plus vieux. C’est bon, tellement bon.

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En règle général, Ephrem n’y allait pas par quatre chemin, en particulier dans nos relations charnelles. Il sait me dire ce dont il a envie, me guider selon ses désirs et j’adore ça. Sa suggestion ne me surprend pas, elle m’excite même. Capturant ses lèvres dans un baiser passionné, baiser qu’il me rend aussitôt avec la même ferveur, je m’insère en lui doucement. Gémissant contre ses lèvres, je fonds en lui, savourant ses doigts dans mes cheveux. Il me tient fermement contre lui, tandis que j’entame de long vas-et-viens. Il soupire, exprime son plaisir, me faisant sourire contre sa bouche. Mon bassin imprime un rythme plus soutenu, le plaisir me saisit. Mon corps tout entier se couvre de sueur, un vague de chaleur semble m’envahir tout entière. Je relève des yeux fiévreux vers ceux de mon amant, et souris, complice.
— Je crois que ça vaut tout les retards…, je fais, avant de fondre sur ses lèvres à nouveau.

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go farther in lightness ft. @Elias Rutkowski
(AOÛT 2020) Tu ne sais pas ce qui rend le moment aussi bon, le fait que ça soit avec Elias ou le fait que vous êtes attendus quelque part et que vous allez arriver avec ce regard en mode « Désolé mais pas désolé » ? Dans tous les cas, tu ne regrettes en rien ce petit écart, au contraire, t’es même heureux d’avoir cet effet sur le frisé et tu ne sais pas si c’est le fait qu’il réponde aussi bien à tes avances, mais là, son corps au-dessus du tiens, sa bouche qui dévore la tienne et tes mains qui s’agrippent tantôt dans ses cheveux, tantôt dans son dos, c’est quelque chose qui te rend dingue, littéralement. Alors quand il accélère le mouvement et t’avoue que tout ça vaut tous les retards du monde, tu ris, t’apprêtant à répondre mais il t’embrasse à nouveau.

C’est dingue ce que tu te sens bien, ton corps qui se meut aux gestes du plus vieux et tes yeux qui se ferment. Tu resserres l’emprise de tes doigts et quand ses lèvres se détachent des tiennes, tu gémis. « Deviens pas accroc, tu tiendras jamais ma cadence… » ris-tu, le taquinant au passage alors que tu viens glisser ta bouche dans son cou, y déposant de multiples baisers mais aussi quelques mordillements.

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La soirée, les potes qui nous attendent, tout ça est à mille lieue de mon esprit actuellement. Je me sens pris dans une sorte de douce frénésie, complètement enseveli sous le plaisir de notre étreinte. La manière dont le corps d’Ephrem répond au mien me grise, j’aime le sentir sous moi, autour de moi. J’aime sa chaleur intime qui m’enivre et le goût de sa peau. Je m’enfonce en lui, laissant mourir mes soupirs contre ses lèvres. Un rire s’échappe lorsqu’il me souffle une vanne au beau milieu de notre ébat. Il ne loupe jamais une occasion de me taquiner et c’est ce qu’apprécie chez lui, tant chez l’ami que chez l’amant.
— Ne me chauffe pas, tu sais très bien que les challenges m’excitent…
Mes vas-et-vients se font de plus en plus soutenu, et ma respiration se saccade, alors qu’Ephrem niche son visage dans mon cou qu’il couvre de baisers. La plaisir grimpe en flèche et j’accélère encore le balancement de mes hanches, me bassin se presse toujours plus étroitement contre celui de mon amant.
— Putain…, je lâche entre mes dents serrés, collant mon front à l’épaule du danseur.
L’orgasme me chope dans la foulée, tous mes muscles se contracte tandis que j’explose littéralement.