What’s wrong between us ? | Alan

Minuit, la musique vibre dans mes oreilles depuis un bon moment déjà. L’alcool embrume mon esprit et ce soir je profite, Emi n’est pas là et j’ai décidé d’accepter l’invitation de pote que je n’ai pas vu depuis un moment. Sortir en boîte, vriller et laisser tous les tracas derrière. Redevenir un peu le Beck que j’étais avant que tout bascule et que je tombe dans une phase plus noir. Maintenant, je reprends un peu l’pied, m’habituant peu à peu à ce nouveau style de vie que j’ai choisi d’embrasser. Fini le Beckham célibataire, fini d’être celui qui baise une fille ou un autre en ne retenant même pas l’nom. Ce soir, j’m’amuse, sachant pertinemment que j’vais rentrer sagement… seul. P’tête qu’Emi s’ra dans mon lit quand je reviendrais, j’en sais rien, mais ça serait bien. J’danse au rythme de la musique pendant qu’mes potes chasse d’la nana. A force de danser comme ça il fait soif, j’me dis que j’pourrais bien aller au bar non ? Histoire de m’saouler un peu plus. C’est là que je me rend compte que j’tombe sur un membre de ma famille, content quand même pour une fois qu’ce soit pas mon frère. Même si au fond Alan ne me porte pas plus dans son coeur. C’est l’fils d’une cousine à ma mère, ils se prennent tellement pour mieux que tout le monde. L’argent ça ne fait pas l’bonheur, ça divise les gens au contraire. Je m’appuie sur le bar pour passer commande, puis j’lui lance un regard, il peut pas m’manquer vu que j’suis prêt d’lui. « On s’mélange au p’tit peuple maintenant ? C’est quoi l’es club privé sont pas assez bien pour toi ? » J’me souviens en ce moment dés regard dédaigneux d’sa mère quand elle me croise. Sa manière de nous rabaisser, sans l’dire tout haut, comme si ma mère avait baissé de grade parce qu’elle avait épousé mon père, alors que mes parents sont des personnes qui ont bossé toute leur vie, pour qui la carrière était ce qui comptait le plus. J’laisse un billet au barman qui me donne mon verre, il me rend ma monnaie que j’refourgue dans ma poche. J’sais pas ce que j'attendais de lui au final, mais j’aime pas quand on ne m'aime pas ! Même si j’peux pas plaire à tout l‘ monde pis je le sais ! 

@Alan Hopkins

Après avoir bien profité de tous les verres au bar, ils ne savaient plus quoi faire, Alan et son groupe. Impossible que la soirée s’arrête maintenant, surtout pas. Il fallait que ça continue, que ça boive, que ça danse, que ça s’amuse. C’est l’essor même de leur groupe. Leur définition. Puis, l’idée émerge. C’est évident, ils ont juste à descendre la rue, et ils se retrouvent dans une des plus grosses boîtes de nuit de Bowen. Voilà donc le petit groupe suivre ce plan, parfait. Un des leurs connait le propriétaire, et les laisse donc passer, comme ça devant tout le monde. Evidemment, ils se prennent le carré VIP, cela semble si logique. Beaucoup trop logique pour le petit groupe de riches arrogants qu’ils sont. C’est ce que doivent penser les trois quarts de la boîte de nuit. Mais ça, ils s’en moquent, car de toute façon, ils ont toujours tout ce qu’ils veulent, c’est comme ça. Ils profitent maintenant de la musique, de l’ambiance, de tout ce qu’il y a à faire à une boîte de nuit. Et Alan, il ne perd pas de temps à boire, puis à reboire, et à rereboire. Sa tête commence à tourner, mais pas grave, il rit, beaucoup même. Il sait que demain il ne pourra pas venir aider son frère, il le sait très bien. Mais il s’en moque. Il n’avait qu’à être là, lui aussi, à profiter de sa jeunesse à la place de jouer au gars sérieux. Bref, il chasse cette idée de sa tête et annonce à ses amis qu’il va reboire. Ils ont plus rien à leur table, alors il se décide à aller au bar, à demander directement. Et puis qui sait, il pourra rencontrer une jolie fille ? Et lui sourire ? Et la charmer ? Et passer une très bonne nuit ? Tous les scenarios sont possibles, c’est donc avec un petite sourire en coin qu’il se dirige vers la foule qui attend une boisson. Il se fraie un chemin parmi tout ce monde et arrive enfin au comptoir. Il demande un cocktail, et attend qu’on lui serve. Il regarde autour de lui, et merde. A la place de tomber sur une belle demoiselle, il tombe sur une tête blondinette qu’il connait bien, un peu trop bien. Un Kavinsky. Son cousin. Tout sauf lui, c’est ce qu’il souhaitait. Il essaye d’ignorer la personne, à la recherche d’une jolie tête blonde avec des seins cette fois-ci, mais rien n’y fait, le cousin en a décidé autrement. Il lui adresse donc son meilleure sourire. « Oh t’inquiète, je venais juste voir ce que ça fait de voir le monde d’en bas, puis je retourne là-haut, dans le coin VIP, te fais pas de soucis pour moi. » Le barman vient servir Beckham, qui donne un billet. Alan lève un sourcil, à la fois condescendant et surpris. Mais il comprend vite quand il voit son cousin récupérer la monnaie. C’est à son tour d’être servi, il donne le billet, et n’attend pas le retour de monnaie. Il sourit à son interlocuteur. [b]« La prochaine fois, laisse-moi t’offrir un verre. » répond-il avec un clin d’œil. [ /b]

Les soirées comme ça, il en fallait et plein. Y’a rien de mieux que de faire la fête et de perdre un peu la tête. La musique est entraînante et le club est assez plein pour qu’on en voit pour tous les goûts. Y’a d’la jolie minette, mais pour une fois je reste sage, je fais pas exprès pour en charmer. Bon évidemment j’ai sûrement lâcher un commentaire ou deux, danser avec une fille ou deux, mais j’ai pas poussé plus loin, j’essaye d’apprivoiser les nouvelles limites. J’ai quand même Emilia qui me comble parfaitement, on a une entente au lit assez incroyable, d’ailleurs, je fais juste y penser et ça me permet de pas vouloir me faire d’autre fille. C’est fort l’amour punaise ! En tout cas, moi l’homme nouvellement en couple je me sens bien, pis là soirée est merveilleuse, enfin, elle l’était jusqu’à temps que je croise le prétentieux d’Hopkins. Pff, j’avais pas envie de voir sa sale gueule ou son air de dégoût. Évidemment que je lui parle, je ne peux pas m’empêcher de lui lancer une pique. Il aurait probablement préféré que je ne lui adresse pas la parole ou que je fasse comme si je ne le connaissais pas. Je lève les yeux au ciel en récupérant mon verre et mon argent. « Ah ouais, en haut c’est la bande de co-sanguin, c’est vrai que ça doit pas être ben beau ! » Je hausse les épaules avant de prendre une gorgée de mon verre, relevant les yeux vers lui quand il me dit que j’aurais pu le laisser m’offrir un verre. « Oh parce que tu te serais abaisser à payer un verre au p’tit peuple ? » Je termine cul sec mon verre. « Je t’en empêche pas ! Vas-y lâche toi lousse ! » Je donne une petite tape sur son épaule. Tant qu’à profiter.

La musique de la boîte de nuit résonne dans le cœur d’Alan qui se sent pousser des aile. Bon, ok, il n’y a pas que la musique qui provoque ça, mais aussi l’alcool. Car, ça, il en a enchaîné les verres le Hopkins. Il ne se prive pas, il préfère largement profiter, et puis c’est pas grave si demain on se réveille avec un mal de tête et sans aucun souvenir de la soirée, c’est le jeu, non ? Malheureusement, à force de boire, les boissons descendent vite, très vite même. Tellement qu’il y en a plus à leur table. Alors Alan est parti se resservir au bar, espérant faire de charmante rencontre. Et charmante, c’est le cas de le dire, ou.. pas vraiment. Contre toute attente, il tombe nez à nez avec son cousin éloigné, Beckham Kavinsky. Malgré toutes les tentatives pour l’ignorer, ce dernier vient lui parler. Pff.. La soirée sera longue, décidemment.  « Au moins on ne risque pas de tomber sur de la vermine. » Il hausse les épaules avec un léger sourire. Et Tac. Aïe, la pique lancée par son cousin l’avait touché, on dirait bien vu sa réponse. Et ce n’était pas ce qu’il y avait de plus intelligent à dire, Alan, vraiment pas. Jamais il se comportera comme un vrai homme mature, jamais. Voyant son cousin accepter le verre proposé, le jeune Hopkins rit. « Profites, c’est ma bonne action du mois, le jour de charité . » Il finit à son tour cul sec son verre. Il tousse un peu. Aïe, le décompte jusqu’au verre de trop est entamé. Combien en reste-t-il ? Dix ? Trois ? Un ? Il n'en sait pas trop. Mais Alan est joueur, parieur, prétentieux, et arrogant. Il ne se laissera pas abattre là, non, loin de là. Surtout pas devant un Kavinsky, ça serait un échec. Alors il offre son meilleur sourire à son cousin, se tourne vers le serveur et commande deux shots. « On va voir ce qu’un Kavinsky vaut… » prononce-t-il en levant les yeux au ciel.

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Je suis dans mon élément, l’alcool qui coule à flot, une boîte de nuit, il n’y a rien de plus ordinaire pour moi. Je peux passer ma vie et mes nuits dans ce genre d’endroits sans vraiment me lasser. Bon, j’ai l’impression que je deviens un peu plus grand, un peu plus mature puisque maintenant je partage aussi mon temps entre ma copine et que je ne suis plus toujours dans ce genre d’endroit pour draguer et ken celle que j’ai choisie pour une soirée. Maintenant, je dois être fidèle, même si mes yeux ne peuvent s’empêcher de croiser de la belle créature et de faire des petits sourire charmeur, Kavinsky un jour, Kavinsky toujours on ne me changera pas non ? Je me serais par contre très bien passé de la présence de mon cousin prétentieux et qui pète plus haut que le trou, non mais, il pourrait bien aller traîner avec les gens de son espèce et arrêter de froncer le nez comme s’il avait une merde qui vivait sur sa lèvre supérieure. Justement, je lui fais remarquer qu’il devrait aller rejoindre les gens de son espèce. Sa réponse me hérisse les poils, non mais comment il peut se permettre de traiter les gens comme de la vermine, je sais qu’il sous-entendait que j’en faisais partie. “J’aime mieux être de la vermine que de me laisser enculer par ces autres merdeux.” Non, on ne peut pas dire que la relation familiale était à son meilleur, je ne sais pas ce qu’on a pu leur faire, mais la mère de ce dernier n’avait jamais rien fait d’autre que de nous critiquer. Il a la générosité, on peut rouler les yeux au ciel en ce moment, de me payer un verre. “J’ai pas besoin de ta charité de merde, mais je crache pas sur de l’alcool gratuit alors, vas y vide ton porte feuille pour moi si ça te fais du bien de penser que c’est une bonne action.” Ce qui me tient à flots c’est clairement pas mon travail de livreur, mais bien le fait que je vende de l’herbe. “Pour te le prouver tu devrais en commander plus qu’un à la fois, c’est quoi ta peur de perdre et que je te ruine par la même occasion ? ” Je suis toujours prêt à relever un défi et si je peux lui en foutre une, ça sera juste un plus.

Plus la soirée avance, plus Alan commence à se faire une promesse. Ne pas dire oui à ses potes pour aller chercher des verres, on ne sait jamais sur qui on peut tomber. Finalement, il n’y a pas que les filles qui peuvent faire de mauvaises rencontres, même les hommes tombent sur de la… vermine. Oui c’est ça, c’est exactement le terme qu’Alan a sous-entendu en s’adressant à son cousin éloigné. Et il l’a bien dit tout haut, tout fort, tout fier. Les cousins ont lancé une joute verbale, et rien ne pourra stopper le jeune Hopkins de surenchérir, par envie de l’écraser, de se montrer plus fort. « Je me fais pas de soucis pour ça, tu viendras un jour ramper pour demander un taff. » ajoute-t-il en tapotant sur l’épaule de son cousin. Un jour, ça explosera sûrement entre les deux, mais pour l’instant, les punchlines sont plus attribués au contexte familial. Enfin, si on peut vraiment appeler ça une famille, finalement. Comme quoi, le proverbe on ne choisit pas sa famille mais on choisit ses amis est bien vrai. C’est ce que ce dit Alan en jetant un coup d’œil à sa bande de pote qui se situe dans l’espace VIP. Le jeune Hopkins lâche un sourire à la réflexion de Beckham. D’accord, il n’a pas besoin de sa charté, c’est ce qu’il veut faire croire. Ce n’est pas grave, ça le fait juste glousser de rire. « On verra bien qui rira le dernier. » dit-il avec un clin d’œil. Alan saisit les deux verres de shot qu’il a commandé, et il en tend un à son cousin. Le jeune Hopkins a lancé un défi, mais il sait pertinemment qu’il ne le tiendra pas jusqu’au bout. Il le sait car le dernier verre a annoncé le décompte jusqu’au verre de trop. Alors à la place, il sourit, se tient bien droit face à son cousin et annonce. « Ca serait trop simple avec de l’alcool, Kavinsky. » il marque une pose d’arrêt, scrute la boîte de nuit, son cousin, les gens autour, le bruit, la musique. Tout. Il cherche un jeu sur lequel il pourrait être gagnant. Ca pourrait être fun. « A la place, je te propose d’être le premier à récupérer le numéro d’une des danseuses. » prononce-t-il en désignant le groupe de femmes qui dansent un peu plus à sa gauche. Il aime bien cette idée, ça lance une petite compétition entre cousin, et surtout, ça lui permet de changer un peu d’air, de ne pas le voir toute la soirée. Et qui sait ? avec un peu de chance, il pourra passer une douce nuit. Il donne donc le verre à son cousin, tend son bras et demande « Alors, défi accepté ou pas ? » comme si boire ce shot ensemble sonne le début du jeu.

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Qu’est-ce qui pouvait gâcher ma soirée ? Probablement le fait de tomber nez à nez avec mon cousin au bar. Je pourrais faire comme s’il n’était pas là, mais je ne suis pas assez mature pour ça et tout le monde est au courant. Je dois, j’ai le devoir même, de me battre pour l’honneur des Kavinsky, lui et son clan ont toujours tout fait pour nous faire sentir comme des minables, des moins que rien. De la vermine quoi, ni plus ni moins. “Jamais de la vie, mieux vaut mieux mourir de manière honorable que de venir vous léchez le cul quoi ! ” Jamais je ne vais m’abaisser à ça, son petit air condescendant et sa petite tape sur l’épaule, non mais je n’ai qu’une envie et c’est de lui faire ravaler sa fierté au pauvre con. Il y en a qui comme lui, pense que le pognon peut tout acheter, mais le respect ça se gagne. J’en ai rien a foutre qu’il se torche avec ses billets, j’aime bien mieux ma vie comme elle est et personne ne me mets des conditions stupide pour un boulot et avoir encore plus de responsabilités. Beurk, y’a rien de pire que de vieillir et devenir mature, j’espère que ça ne m’arrivera jamais. Je prends le shooter qu’il me tend et j’attend, prêt à mettre Alan au défi, voir qui de nous deux tiendra le mieux, pour le moment je n’ai aucun doute, c’est lui qui sera le premier à dégobiller, sa tolérance doit être assez similaire à celle d’Elmo, jamais je croirais que cette asperge tient bien l’alcool. Je hausse les épaules à sa réplique, un sourire mesquin sur les lèvres. “C’est ce que tu crois Hopkins.” M’enfin, il peut bien croire ce qu’il veut, il propose un autre défi pour pallier au fait qu’il ne veut pas se mouiller pour le défi que j’ai lancé. “C’est quoi tu as pas appris à draguer et tu veux que j’te lève une meuf ?” Mon regard se tourne vers les demoiselles et je souris, rahhh ça va, j’ai pas peur je suis certain que je gagnerais en premier. Je me retourne vers mon cousin, bombant le torse. “Tu rigole, c’est clair que c’est accepté.” Bon… Faut pas qu’Emi l’apprenne, mais je ne peux pas refuser un défi, ce serait lâche. Nous trinquons et je pose le verre sur le bar et sans attendre plus longtemps, je vais en direction du groupe de fille, un sourire charmeur à la clé. Je choisis ma proie, une petite brunette assez sexy et je m’approche d’elle et commence à danser avec, sans prendre la peine de demander si je peux. Elle ne semble pas très farouche et se colle d’elle-même à moi pendant que je glisse mes mains sur sa taille. Ça devrait aller vite je pense…

@Alan Hopkins

TW : alcool, mépris de classe.
La rivalité Hopkins et Kavinsky ne cessera jamais, ils ne trouveront jamais un point d’entente. De toute façon, Alan n’en veut pas. Il ne veut pas être mêlé à eux, au Kavinsky, préférant oublier ce nom et ne considérer que le côté Hopkins qui lui convient bien mieux. Pourtant, il doit faire avec. Il doit les voir, plus ou moins régulièrement, puisqu’ils vivent dans la même ville. Comme ce soir, par exemple. Ca le gonfle, ça l’énerve, il préfère éviter tout ça, se sentant bien mieux loin d’eux. « On en reparlera dans dix ans. » dit-il avec un clin d’œil. Il le sait que même s’il partira loin de Bowen, leurs chemins se recroiseront. Mais cela ne le dérange pas du tout pour ce cas-ci. Non, au contraire, ça lui fera un bonne fierté puisqu’il aura réussi, qu’il sera encore plus haut que le sommet. Et que le Kavinsky ne fera que bien porter ce nom, en bas de l’échelle. Et en parlant d’être fier, Alan ne se prive pas de le défier à l’alcool, voir qui tient le mieux. Il lui propose un shooter, mais avant ça, il finit son verre. Et le regrette déjà. Oui, le décompte vers le verre de trop a commencé petit à petit. Oui, il ressent quelque chose dans son ventre. Il sait qu’il ne pourra pas tenir sur le long terme avec l’alcool. « Je participe jamais si je sais que je gagne, c’est pas drôle sinon. » répond-il avec un petit rire. Il trouve donc une nouvelle idée de défi : la drague. Après tout, c’est aussi sa spécialité. Plaire aux femmes, danser près d’elles, observer leurs courbes, sentir leur odeur. Et il aime ça, charmer, jouer à la drague. Ca le rend vivant. « Lance-toi, je te regarde, j’attends ici, je sais qu’elle viendra d’elle-même me donner son numéro. » sourit-il en redressant ses cheveux, pour se rendre encore plus beau. Il observe son cousin s’éloigner et choisir une cible. Pendant ce temps, Alan regarde la boîte de nuit, à la recherche d’une jolie partenaire. Puis, son regard s’arrête. Oh, pour une belle surprise, c’en est une. Emilia. Toujours aussi belle, toujours aussi charmante. Alan se munit de son plus beau sourire, et s’approche. « Ciao bellissima ! » dit-il avec un petit clin d’œil. « Je ne savais pas que Bowen accueillait des aussi belles italiennes. » continue-t-il avant de marquer un point d’arrêt pour mieux reprendre « Je suis content de te revoir. » C’est certain, il a gagné le défi. Et c’est certain, il passera une nuit en très belle compagnie.

Beckham t'avais indiqué un peu plus tôt dans la soirée qu'il allait se rendre en boîte de nuit ce soir, tu lui avais fait part que tu devais dîner avec ton frère et donc que tu le rejoindrais certainement en cours de soirée si tu n'étais pas trop fatiguée. Entourée donc de ton frère, sa femme et ses enfants, une soirée un peu compliqué, les rapports avec Livio n'était pas au beau fixe mais tu étais venue principalement pour Aura et les enfants. C'est d'ailleurs pour ça que dès que l'occasion s'est présenté à toi, tu es rentrée chez toi, t'as enfilé cette petite robe bleue à fine bretelles, petite touche de maquillage et tu prends aussitôt la direction de la boîte de nuit. Aussitôt arrivée tu pars vers le bar pour te commander une boisson, petite vodka RedBull, de quoi te mettre bien dans l'ambiance ainsi qu'un ou deux shooters. Ton regard se pose sur l'assemblée a la recherche de ton petit ami et ... Vision d'horreur, rouge est la couleur qui s'empare de toi, prête à tout démonter sur ton passage. Tu payes et t'enfile les deux shooter avant de récupérer ta boisson et commence à partir en direction du blondinet avant de te faire interpeler et surprise, presque un choc même lorsque tu vois la personne devant toi. "Alan? Mais quelle merveilleuse surprise!" Tu lui fais un large sourire avant de le prendre dans tes bras pour le saluer chaleureusement. "Écoute ça fait 2 ans que j'habite en ville, mais toi qu'est-ce que tu fais la ?" T'en oubliais presque Beckham en cet instant et en vérité, t'oubliais pas vraiment mais Alan était tombé a point nommé. Tu en rajoutes donc un peu en venant poser ta main libre sur son bras en lui parlant, lui lançant un large sourire, espérant bien que Beckham ne vous vois. "Je te paye un verre, t'as pas le droit de refuser!" Tu lui fais un petit clin d'oeil et lui attrape la main direction le bar. Beckham ne savait donc pas sur qui il était tombé en tant qu'adversaire.

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Les gens ne changent pas vraiment, je ne pense pas qu’un jour mon cher cousin changera d’opinion sur le sujet et il a été trop brainwasher par sa famille probablement. Je ne ferais rien non plus pour lui donner l’envie de changer d’idée, c’est lui le con qui est trop coincé du cul pour voir que son petit monde finira bien un jour par s’effondrer et à ce moment là, j’aimerais bien être aux premières loges pour le voir se casser la gueule. “Mouais rêve toujours Hopkins.” Notre vie toute entière est une compétition, qui sera le meilleur des deux, qui réussira mieux que l’autre. Je ne dis jamais non à un défi, pas comme lui qui refuse de faire un défi contenant de l’alcool. P’tite nature, il a peur de perdre au fond, parce qu’il sait que je tolère bien l’alcool… Après tout j’suis paumé, j’ai rien d’autre à faire que de boire moi. “Ouais c’est ça, tu dois juste avoir peur parce que t’es déjà sur le point de gerber.” Son autre défi me plaît, mais je n’irais pas lui faire le plaisir de lui dire. Je suis presque certain que j’aurais plus de succès que lui. Il ne faut juste pas qu’Emilia l’apprenne… Ou bah je lui dirais que c’est une idée de mon cousin, elle pourra aller lui faire savoir ce qu’elle pense de lui après. “Tu rêves en couleur ! Je sais que je vais réussir avant toi ! ” Puis, sans demander mon reste, je pars pour aller charmer une petite brunette. Je ne la regarde pas et fait mon petit numéro de charme qui semble bien prendre parce qu’elle rit déjà et tente même de se coller un peu plus à moi. Je ne sais pas trop ce qui me pousse à jeter un coup d’oeil à mon adversaire, je vois une jeune femme blonde près de lui…. Une jeune femme blonde qui ressemble vachement à Emilia au deuxième regard. Mon sang ne fait qu’un tour et sans même rien dire à la brunette, je quitte pour aller voir ce qu’il est en train de faire à ma copine. Je le repousse violemment et je tente d’attirer Emilia vers moi. “Si tu la touches t’es un mec mort ! Elle ne fait pas partie du jeu ! ” J’ai conscience que je viens de perdre ma chance de gagner un défi face à lui, mais Emilia est ma copine à moi je ne laisserais pas de la vermine ne serait-ce que la regarder.

[justify]La confrontation entre les cousins ne fait que commencer et augmente petit à petit. Mais ce n'est pas pour déplaire Alan qui adore ce combat de coq, de fierté Et puis, il sait qu'il va gagner. De toute façon, Alan part d'un principe : jamais, au grand jamais, il ne se laissera perdre, et surtout pas devant Beckham. Quitte à tout donner. Il regarde son cousin, et rit à sa réflexion. Non, il ne rêve pas. Il en a très bien conscience, il reverra son cousin dans quelques années. Mais ce n'est pas grave, il l'accueillera avec un grand sourire et un sentiment de satisfaction. Pour l'instant il ne fait que de plaisanter, de lancer un petit clin d’œil et répondre « A dans dix ans ! » Pourtant, même si Alan se sent plus résistant, plus fort que son cousin, ce soir, les limites commencent à être atteintes. Mais il ne veut pas le montrer. Alors il profite d'une astuce pour éviter que son cousin le voit mal. Malheureusement, on dirait bien qu'il a repéré sa faille. Une nouvelle fois, il éclate de rire et répond « Je ne veux pas que tu pourrisses ma veste avec ton vomi, surtout ça. » Il aura toujours le dernier mot, toujours. Voyant son cousin partir si sûr de lui, si certain de draguer une fille en premier, Alan se fait beau. Il redresse sa chemise, se recoiffe, bombe son torse pour montrer ses pectoraux et paraître le plus séduisant possible. Et surtout, il travaille sur son sourire. Mais tout ça disparaît qui il voit Emilia. Il est heureux et très surprise de la croiser ici Emilia, c'est un flirt d'été, c'est son histoire italienne. Emilia, c'est la dolce vita à l'italienne. Alors pour tout ça, c'est chouette. Et puis surtout, il est sûr d'avoir gagné face à Kavinsky. « Incroyable ! C'est ma ville natale, je vis ici ! » s'exclame-t-il, content de la voir. Puis, il n'a même pas le temps de parler un peu plus qu'elle l'entraîne déjà loin d'ici, pour lui payer un verre. C'est ça aussi Emilia,la fouge, c'est ce petit caractère qu'il avait apprécié chez elle. On dirait pas comme ça, mais même s'il a tendance à enchaîner les filles, Alan trouve des particularités à chacune d'entre elle, des petites touches mignonnes au quelles il peut s'attacher. Arrivé au bar, il pose son bras autour de sa taille et lui sourit « Ne t'en fais pas, je te l'offre celui-ci, pour mia bella  » murmure-t-il dans son oreille. Puis, Alan sent quelque chose le pousser. Il est surpris, ne comprend pas trop, relève la tête et voit Beckham. Mais qu'est-ce qu'il fait ? Qu'est-ce qu'il lui prend ? Alors, il a peur de perdre comme ça ? Ca fait rire Alan qui n'hésite pas à lui faire remarquer. « Alors Kavinsky, on est jaloux ? » il s'arrête un petit temps, et s'approche d'Emilia au passage. « C'est comme ça que tu traites ma jolie italienne ?  » le gronde-t-il, puis se tourne vers elle avec une voix plus calme, plus douce « Ca va ? Il ne ta pas fait mal ? » demande-t-il, soucieux.
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T'avais super hâte de pouvoir rejoindre Beckham en boîte, pouvoir vous retourner la tête ensemble, et puis passer une nuit des plus charnelles ensemble comme à votre habitude. Mais pourtant tu as vite déchanté alors que tu vois Beckham, au loin entrain de danser un peu trop sensuellement avec une nana. Foutage de gueule puissance mille, c'est donc à ça qu'il joue quand tu as le dos tourné? Avalant tes deux shooters, t'es prête alors à faire ressortir de toi cette rage que tu as de voir ton petit ami draguant une autre que toi. Mais prise par surprise, tu te retrouves nez à nez avec une vieille connaissance à toi, vraiment tout sauf prête à te retrouver face à lui. "Mais non? Vraiment?" Tu ris alors quand il t'avoue être originaire d'ici. Le hasard était dingue quand même, lui que tu avais connu il y a quelques années, avec qui tu avais flirté pendant quelques jours, quelque chose de peu sérieux vous le savez. Tu ne pouvais donc pas louper l'occasion de lui parler et prendre de ses nouvelles, quoi de mieux que boire un verre et surtout tu allais en profiter également pour flirter un peu avec Alan. Au final, Beckham ne se gênait pas lui de le faire. Vous prenez la direction du bar et tu sens son bras et sa main autour de ta taille, t'espérais donc vraiment que Beckham vous verrez comme ça. "Oh toujours aussi gentleman et galant de ce que je vois alors" Tu lui souris en le regardant droit dans les yeux avant que sans que tu ne comprennes quoi que ce soit tu sens qu'on vous sépare, tu tournes les yeux vers la personne et y voit alors Beckham qui essaye en plus de ça te prendre contre lui mais tu te débats et repousse son bras. C'est quoi son délire de mec jaloux là? Dans le fond, bordel qu'il était sexy quand il était jaloux comme ça, c'est bien la première fois que tu le vois comme ça. Tu fronce les sourcils et les regarde agir les deux, ils ont l'air de se connaître. "Je vais bien!" T'es sèches même envers Alan au final et tu regardes ton petit ami et vient alors lui coller des droites dans le bras. "Tu fous quoi toi avec ta brune? Ca va? Je te gêne pas à draguer?" Tu le bouscules un peu en gardant ton air froid. "Viens pas faire ton mec possessif alors que t'es entrain de draguer des meufs dans mon dos Beck ok?" T'as entendu parlé de jeu où t'en savais trop rien mais tu t'en foutais. "Je sais pas c'est quoi votre délire à tous les deux mais toi!!!" Tu pointes ton petit ami du doigt en le regardant droit dans les yeux "Va te faire foutre!" Tu attrapes ton verre sur le comptoir et le bois d'une traite avant de le reposer agacer sur le comptoir. "Je suis pas un jeu pour l'un comme pour l'autre!"

TW: Alcool, jalousie

On ne pouvait jamais vraiment prévoir comment une soirée se déroulerait. Parce que même si on anticipe les événements, on est pas devin et on ne sait jamais la réaction que nous allons avoir quand le dit évènement se produit. La rencontre avec mon cousin était la première surprise de ma soirée, il n’y avait cependant rien de bien surprenant à ce qu’une compétition naisse entre nous, parce que ça toujours été comme ça, il y a toujours eu une compétition entre les deux familles. Il se croit meilleur que tout le monde, meilleur que nous, encore là il me retourne les insultes les unes après les autres. Je lève les yeux au ciel, ma tolérance à l’alcool est assez grande, mais l’idée de gerber sur lui pouvait bien paraître intéressante non. Je ne reste pas plus longtemps que nécessaire près de lui, content d’un certain sens de pouvoir montrer mes talents de drague et honnêtement, je pense que je ne suis pas très loin de pouvoir dégoter le numéro de téléphone de la brunette. Convaincu de gagner, je jette un oeil en direction du bar quand mon coeur lâche. Quand je dis qu’on ne sait jamais ce qui va se produire en soirée… J’en avais parlé avec Emi, mais je n’étais pas certain qu’elle viendrait vraiment me rejoindre. Ce qui me fait plaisir au fond…. Mais ce que je vois n’a rien de réjouissant à mon avis. Je reviens donc aussi rapidement que possible vers le bar, repoussant Alan pour qu’il ne pose pas ses sales pattes sur ma petite-amie. “Oh ce n’est pas ton Italienne, oh ça non ! ” Dis-je en lui lançant un regard noir, il fait encore comme si je n’étais pas là pour s’assurer auprès de ma blonde qu’elle va bien. Emilia se défoule contre mon bras, là-dessus je ne peux pas lui en vouloir, j’étais clairement en train de draguer une autre femme, mais si elle savait… Je repousse de nouveau Alan pour ne pas qu’il touche à ma copine. “Toi t’es pas un jeu, l’autre meuf est un jeu. C’était un défi à la con pour lui faire fermer la gueule à mon crétin de cousin.” Je suis tellement furieux qu’il ait ne serait-ce qu’essayer de toucher Emilia. Je me tourne vers Alan. “Trouve toi une autre meuf, celle-ci c’est la mienne.” J’attrape le bras d’Emi pour qu’elle ne s’en aille pas plus loin, hors de question qu’elle parte pour se laisser draguer par n’importe qui.

Alan est heureux de voir Emilia dans cette boîte de nuit, ça apporte un peu de légèreté à ce lieu qui remonte un peu dans son estime. En effet, depuis qu’il est tombé nez à nez avec son cousin, la soirée ne s’est pas déroulée comme prévue, se lançant défis sur défis pour prouver leur supériorité à l’autre. Une des dernières idées en tête ? Draguer une des filles présentes dans la boîte de nuit, le premier qui a un numéro remporte. Et Emilia se dessine dans la foule. Cela ravit Alan. D’un part, parce qu’il est certain de gagner, d’une autre parce qu’il est heureux de la revoir, la pétillante italienne, et enfin, parce qu’il sait qu’il finira sa soirée en bonne compagnie. Naturellement, il s’est dirigé vers elle, lui a joué son meilleur jeu, sortant son plus grand sourire et tout ce dont il est capable. Il s’apprête alors à lui offrir un verre. « Tout naturellement pour une jolie jeune femme comme toi. » lui dit-il, toujours aussi charmeur. Cependant, il n’a pas le temps de lui payer quoique ce soit qu’on le pousse. Son cousin. Alan rit, voyant le Kavinsky jouer au petit jaloux, qu’il est mignon comme ça, pense-t-il, ironiquement. Et puis, tout s’enchaîne. Ce n’est pas son italienne. Son cousin drague des meufs dans le dos d’Emilia, c’est la sienne. Hein ? Quoi ? Tout va vite, tout est confus dans sa tête, et avec l’alcool, ça n’aide pas trop. Alan met un temps à tout réaliser, à tout comprendre et ne réagit pas directement à tous ces discours, étant un peu extérieur à ce qu’il observe. Pourtant, tout semble plus ou moins clair. Tout semble, net, maintenant. Une fois que leurs paroles se sont calmées, Alan se sent capable d’intervenir et rit. « C’est.. ta copine ? » demande-t-il à son cousin, en levant un sourcil, curieux. « Alors, comme ça, on ne m’en parle pas ? » continue-t-il en souriant débilement, et surtout en étant alcoolisé. « Enfin, attends, laisse-moi deviner, on t’a juste pas appris à bien traiter une jolie demoiselle, c’est pour ça que tu m’as rien dit. Mais personnellement, j’aurai jamais accepté de pécho une autre meuf juste pour faire fermer la gueule à mon crétin de cousin si j’avais une copine. » l’imite-t-il ironiquement, comme un enfant, essayant de tourner le Kavinsky au ridicule sans le paraître avec cette tirade. Puis, il s’approche d’Emilia, tend son bras pour poser sa main sur son épaule disponible et se penche vers son oreille. « Tu n’as jamais été un jeu pour moi, Emilia, et.. tu mérites mieux qu’une vermine qui t’oublie dès qu’il sort. » prononce-t-il, espérant que cela ne soit pas assez fort pour que Beckham l’entende. Ses mots sont peut-être un peu trop durs, il ne s’en rend pas compte, et ça, principalement à cause de l’alcool.

Bien sur que t'allais finir par rejoindre Beckham, cette envie de sortir faire la fête était plus que présente en ce moment, un besoin de changer d'air, un besoin de profiter de la vie. Vous ne faisiez que ça depuis quelques temps et ça te faisait le plus grand bien. Par contre tu ne t'attendais pas à le voir avec une autre nana dans ce qui semblait être quelque chose d'assez intime, et si tu allais foncer dans le tas pour lui régler son compte à ton petit ami, tu finis par tomber sur une vieille connaissance à toi, un garçon, de quoi faire rager Beckham au final s'il te voyait avec. Tu te prends un peu alors au jeu avec Alan, en étant souriante, mignonne, adorable, jusqu'à ce que la furie de ton petit ami ne viennent se mettre entre Alan et toi. Aussitôt ton sang ne fait qu'un tour et tu viens lui défoncer le bras par de multiples coup de poing lui reprochant alors ce qu'il faisait avec cette brune qu'il draguait sans aucune gêne. Tu finis par comprendre que Beckham et Alan étaient cousins et il semblerait que l'entente ne soit pas au beau fixe mais dans le fond tu t'en moquais bien. Tu lances un regard noir à Beckham. "Mais rien à foutre que ça soit un jeu ou quoi? De où tu te mets à draguer d'autre meuf!! T'as le cerveau en compote mec ou quoi? Tu me respectes même pas en faisant ça!!" Tu le bouscules encore quand il te rapproche à lui et tu t'écartes. "J'appartiens à personne, je suis la propriété de personne, encore moins de vous deux là!" Tu lances le même regard noir à Alan et secoue la tête "Oh mais toi aussi ferme là Alan, et insulte pas Beckham comme ça, vous valez pas mieux l'un que l'autre en fait!" Tu fais signes au barman de te resservir un verre et t'approches du bar pour le récupérer et revient vers eux. "Aller bien vous faire foutre les deux, moi je me mêle pas de vos histoires de merde..." Tu regardes Beckham "Compte pas sur moi ce soir pour aller chez toi, ni même demain, t'as qu'à ramener ta brunasse là!" Tu pars vers la piste de danse alors pour essayer de t'éloigner des deux autres.