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Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam)

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bowenien
Sam Wellington
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MessageSujet: Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam)   Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam) EmptyDim 15 Sep 2024 - 18:11


Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie Mi-septembre 2024, fin d'après midi, cimetière de Bowen

{outfit}Tw : décès, deuil♗ C’était rare, mais parfois le blond avait besoin de rendre visite à sa femme et sa fille. Et il pouvait rester des heures devant leur pierre tombale. Déblatérant tout ce qui lui était arrivé dans la journée. Il n’avait pas besoin de venir ici pour leur parler, à l’une comme à l’autre. Il le faisait très régulièrement et certaines fois, il était heureux de vivre seul pour éviter de se justifier. Ça lui arrivait même de parler d’Adelita à sa femme. Parce qu’en plus d’être l’amour de sa vie, elle avait été sa meilleure amie, celle à qui il confiait tous ses secrets. Et il reste intimement persuadé que personne ne pourra jamais nouer une relation comme celle-ci avec lui. Était-ce une vérité ou moyen de se protéger pour ne pas souffrir à nouveau ? Il n’en avait aucune idée, mais en même temps, il n’avait pas réellement envie de le savoir. Assis à même le sol depuis au moins une heure, il parlait de son projet d’exposition, jouant avec les fleurs qu’il avait apporté. Un bouquet de Lys et de Stella de oro. Leurs fleurs préférées. Il en avait sur ta terrasse, les seules fleurs qu’il avait chez lui. Et il en prenait soin depuis dix ans. Et personne ne pouvait s’en approcher, il y tenait bien trop. Le soleil commençait déjà à descendre dans le ciel quand il reprend pied dans la réalité. Lors de ces moments, Sam n’a plus aucune conscience du monde autour. Il est encore auprès d’elles. Et dans son esprit, sa fille a toujours huit ans, sa femme est toujours la même rebelle. Contrairement à lui, les années n’ont plus de prise sur elles. Il essaie, parfois, d’imaginer à quoi sa princesse ressemblerait du haut de ses dix-huit ans. Ce qu’elle lui aurait fait subir comme frayeur, de quelle manière elle l’aurait poussé à bout. Mais systématiquement, après avoir imaginé une vie qui n’était plus la sienne depuis bien longtemps, la douleur était à nouveau aussi vive que le jour de l’accident. Le temps permettait d’accepter la situation, mais il n’efface en rien ce sentiment de perte, d’abandon. Les yeux brillants des larmes qu’il contenait, il se remit sur ses jambes. Déposant délicatement sa main sur la pierre, comme si, dans cette caresse, c’étaient elles qu’il touchait. Après une grande inspiration, il prend le chemin de la sortie. Un mouvement sur sa gauche lui fait tourner la tête. Une femme l’observait, figée. Il se demandait depuis combien de temps elle était là. Si elle l’avait entendu s’épancher devant une tombe. Il s’apprêtait à continuer son chemin, lui adressant un simple signe de tête en guise de salutation. Mais Sam ne t’attendait pas à ce qu’elle s’effondre. D’un geste vif, il la rejoint, la rattrapant in extrémiste avant que son corps ne touche le sol. L’allongeant délicatement sur le sol, glissant sa veste sous sa tête. Vérifiant son pouls, il s’assure que la brune aille bien. Lorsque ses yeux papillonnent, un sourire rassurant étire ses lèvres. "Vous vous sentez bien ?" Tu n’étais pas du genre à t’intéresser aux autres, plus depuis bien longtemps. Mais tu étais bien incapable de laisser une personne qui avait besoin d’aide derrière toi. Surtout quand il s’agissait d’une femme aussi sublime. 

PAR ALCARA.
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MessageSujet: Re: Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam)   Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam) EmptyMar 17 Sep 2024 - 18:05

tw : mort, deuil

Miss Harris était morte. À bientôt quatre-vingt-dix ans, c’était un âge respectable. Ce qui était dommage dans cette histoire, c'était qu’elle prévoyait de se commander son petit plaisir coupable, comme elle aimait l’appeler, chez Imogen, pour souffler sa quatre-vingt-dixième bougie. Le plaisir coupable étant un baba au rhum avec supplément rhum et malheureusement, elle ne soufflerait pas cette dizaine-là. Les voisins s’entendaient tous pour dire qu’elle était partie paisiblement dans son sommeil, sans souffrances. Miss Harris, Charlize ne connaissait même pas son prénom, mais elle avait été l’une de ses premières clientes, à l’ouverture de la première boutique, fidèle même dans la tempête, toujours un petit mot gentil, toujours le sourire. Charlize l’aimait beaucoup, sur la fin, elle venait lui apporter ses pâtisseries directement chez elle, cette course qui ne devait prendre que deux minutes montre en main avait fini par devenir le rendez-vous hebdomadaire. La pâtissière restait prendre le café et discuter de la vie du quartier pendant une bonne heure. Elle n’avait pas le temps pour ça, mais elle le prenait tout de même, parce que c’était important. Cette femme était célibataire, sans enfants, on disait qu’elle n’avait jamais connu d’homme, même pas un seul, c’était la rumeur la plus tenace à son sujet. Pourtant, un jour, la petite vieille lui avait sorti la photo en noir et blanc, jaunie par le temps, d’un très bel homme et d’elle, très jeune, très belle également. Elle lui avait raconté qu’elle l’avait aimé et lui aussi, que ç’avait été court, trop court, parce qu’il avait été emporté par une maladie fulgurante et que jamais plus, elle n’avait voulu d’un autre homme dans sa vie. Cette histoire avait évidemment bouleversé Charlize, ça faisait étrangement beaucoup trop écho à son histoire avec Axten, elle l’avait quitté les yeux humides ce jour-là. Elle se demandait souvent si elle serait capable, si elle avait même envie de rencontrer un autre homme. En vérité, non, elle n’en avait pas envie, toutefois Andrew s’était posé là, sur son chemin, sans y avoir été invité et la réciproque était un peu vraie. Ils s’étaient imposé l’un à l’autre et les sentiments s’étaient frayés un chemin d’eux-mêmes. Charlize ne savait pas si elle aimait cet homme, mais aujourd’hui, elle se sentait bien avec lui. C’était en tout point différent de sa relation avec son défunt mari, mais c’était tout de même beau, comme quoi la vie était sacrément joueuse. Elle pensait à ça et à bien d’autres choses, qu’elle racontait à la tombe encore fraîche de la veille femme. On l’avait enterrée la veille, mais elle n’avait malheureusement pas pu se rendre aux funérailles. Alors, elle était passée aujourd’hui et elle comptait mettre un point d’honneur à venir régulièrement fleurir cette tombe et pourquoi pas continuer à discuter à sa vieille amie. Elle avait beaucoup de choses en tête quand elle entendit une voix non loin d’elle, une voix d’homme étranglée de sanglots. Elle se retourna par réflexe, non pas qu’elle soit curieuse, surtout dans un cimetière ou chacun recherchait une forme d’intimité pour sa douleur. Et elle le vit, elle tressaillit, percutée par un courant électrique fulgurant qui la figeait sur place. Il était là, c’était pourtant impossible. À quelques tombes de celle de Miss Harris, Axten, parlant à une autre tombe. Muée par une force invisible, Charlize se mit en marche, incapable de se retenir, elle s’avança de quelques pas, main sur la bouche, yeux grands écarquillés. Ses cheveux étaient courts, mais ses traits étaient les mêmes, son allure aussi, quoique plus voutée, prostrée, en même temps dans un tel endroit ç'avait du sens. Elle le fixait sans se cacher, scrutant ce visage qu’elle avait tant de fois admiré, adoré, embrassé. Et puis il se redressa et remarqua qu’elle le dévisageait, leurs regards se croisèrent et celui de Lize s’emplit de larmes qui coulèrent sur ses joues sans qu’elle s’en rende compte. Elle aurait pu hurler de douleur tellement c’état insupportable de le voir là, mais au lieu de ça elle s’écroula d’émotions. Elle fit un malaise au milieu des pierres tombales et ne senti pas que le blond l’avait retenue extrémiste, lui empêchant de se fracasser le crane contre le sol. Elle ne resta inanimée, probablement que quelques secondes et quand Lize rouvrit les yeux, elle avait son mari penché sur elle qui la regardait d’un drôle d’air et lui offrait un sourire étrangement rassurant. Axten ? C’est pas possible… Elle allait à nouveau se sentir mal.

@Sam Wellington **

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MessageSujet: Re: Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam)   Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam) EmptyMar 24 Sep 2024 - 23:10


Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie Mi-septembre 2024, fin d'après midi, cimetière de Bowen

{outfit}Tw : décès, deuil♗ Dans ces moments là, il se perdait totalement dans ses souvenirs, ses pensées et ses discussions à sens unique avec sa femme et sa fille. Avant, Swann avait toujours quelque chose à dire, une anecdote que seule une gamine de 8 ans était capable d’étirer durant des heures. Sade, quant à elle, passait son temps à raler, marmonner ou grogner. Tandis que le blond était le plus calme des trois, écoutant sa fille avec émerveillement. Se laissant bercer par les bougognements de sa femme. Parce que c’était quand elles ne faisaient plus de bruit, que c’était le plus inquiétant. Alors aujourd’hui, il devait combler le silence qu’elles avaient laissé, parlant et ralant pour deux. Faisant totalement abstraction du monde qui l’entourait, il n’avait pas vu la jeune femme un peu plus loin. D’ailleurs, Sam ne la remarque pas de suite, c’est seulement lorsqu’elle s’approche de lui avec son air hargar qu’il la remarque. Son regard était fixé sur lui, comme si elle voyait un fantôme. Légèrement mal à l’aise, il lui adresse un simple signe de tête alors qu’il file vers la sortie du cimetière. Mais alors que le quarantenaire s’apprêtait à détourner les yeux pour laisser cette inconnue à son deuil, elle se fige. Il ne sait pas vraiment d’où lui vient un tel réflexe, mais il plonge pour la rattraper avant qu’elle ne s’écroule au sol. Un malaise ? Dans un cimetière ? Vraiment ? L’installant sur les dédales du sentier, il se défait de sa veste pour la lui glisser sous la tête. Guettant des signes plus importants, mais ce n’était qu’un vertige. Lorsque ses yeux rencontrent les siens, elle ne répond absolument pas à sa question. Les mots qui s’échappèrent de ses lèvres lui fit froncer les sourcils. Elle le prenait visiblement pour quelqu’un d’autre. Mais le choc était visible sur ses traits, et il n’osait pas encore la redresser. Vu la paleur de son teint, il avait peur de la voir à nouveau tourner de l’œil. "Je pense que tu fais erreur sur la personne ma belle." Mais le prénom qu’elle avait prononcé faisait son chemin, Sam l’avait déjà entendu quelque part, mais il était bien incapable de se rappeler où, ni même quand. "Tu t’es fait mal ?" Son sourire se veut rassurant, elle semblait tétanisée. Mais le blond n’aurait su dire si c’était dû au choc ou à autre chose. D’instinct, il dégage les mèches de son visage délicatement, laissant courir son regard sur elle, vérifiant qu’elle n’était pas blessée. Toujours penché au-dessus d’elle, il reprend sur un ton un peu amusé, sans se départir de son sourire. "Je sais que je suis beau gosse, mais pas au point d’en tomber dans les vappes !" Il tentait l’humour, pour essayer d’arracher un sourire à cette jolie inconnue. Parce que l’air flippé sur son visage, lui faisait un peu peur à lui aussi. Et puis, ce n’était pas tous les jours, qu’une femme tournait de l’œil en le voyant. "Qu’est ce qui t’est arrivé ?" Comment aurais-tu pu te douter que cette jeune femme avait été mariée à celui dont il portait les traits. On disait qu’on avait tous au moins un sosie dans le monde. Mais la chance de pouvoir le rencontrer était tellement infime. Pourtant, il avait eu l’occasion de le croiser dans les rues de Bowen. Une rencontre étonnante, mais qui avait donné une très bonne soirée. Des doigts glissant des cheveux courts avant que le souvenir de cet homme lui revienne, le souvenir de ce prénom. "Oh mais oui ! Axten ! Tu le connais ?" Question stupide étant donné que la jeune femme venait de l’appeler ainsi et surtout qu’elle avait fait un malaise en le voyant. Mais Sam était bien loin de penser ainsi à cet instant.  

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MessageSujet: Re: Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam)   Le manque de toi, ça me vient par vagues. Et ce soir, je me noie (Charlize & Sam) EmptyLun 14 Oct 2024 - 12:40

tw : mort, deuil

Charlize était une femme très rationnelle, elle était parfaitement ancrée dans la réalité, elle ne croyait pas à la magie, aux fantômes, elle ne laissait pas place à ce genre de fantaisie dans sa vie. Seul Dieu avait sa place, parce qu’elle avait été élevée ainsi. Elle était croyante, mais peu pratiquante, malgré tous les appels du pied de la part de sa mère à faire partie intégrante de la paroisse, elle n'avait pas le temps pour ça. Et puis, de façon très honnête, avec l’épreuve qu’elle avait traversé avec l’annonce de la maladie d’Axten, sa foi avait été largement ébranlée. Comment pouvait-on croire que Dieu était bon, comment ne pas être en colère contre lui alors qu’un homme comme son mari, le genre de personne qui prenait soin des autres, qui était foncièrement bon, qui s’était déjà battu pour pouvoir être papa, pouvait être condamné alors qu’il avait à peine trente ans ? Charlize s’était énormément questionnée sur sa foi, mais finalement dans l’adversité, elle avait trouvé refuge auprès de Dieu. Dans la tempête, elle savait que prier lui faisait du bien et que se réfugier à l’église pouvait l’apaiser. Son mari n’était pas enterré dans un cimetière, il était un homme libre, amoureux de sa moto, il ne croyait pas, alors il ne supportait pas l’idée de rester toute sa mort, enfermé dans une boite. Elle l’avait laissé s’envoler avec le vent et au fond, elle aimait l’idée qu’il soit dans chaque murmure. Dans la brise légère du printemps, dans les chaudes soirées d’été, dans le vent plus frisquet de l’automne ou dans les tempêtes hivernales. Il était toujours un peu là, avec elle, pour toujours. Mais il n’était pas un fantôme. Charlize n’avait jamais eu peur du noir, de le croiser au fond d’un couloir sombre, d’ouvrir les yeux et de le voir là, assis sur leur lit, à la regarder. Elle ne croyait pas en ce genre de choses. Néanmoins, le fait de le voir là, comme en chair et en os, face à elle dans ce cimetière, c’était trop, elle manqua de peu l’asphalte jusqu’à ce qu’il la retienne. Pourtant, elle n’en prit conscience que quand elle reprit connaissance. Il était là, penché sur elle, son regard toujours aussi bleu, ses yeux toujours aussi blonds, son sourire charmeur, il avait tout d’Axten mais quand il ouvrit la bouche, l’intonation était différente. Ou bien, elle avait oublié, après tout… le temps faisait son œuvre. Lize ne releva pas le surnom, ma belle, qui d’ordinaire l’aurait fait grimacer. Mais elle se releva un peu lorsqu’il s’enquit de son état, réalisant qu’elle était allongée sur le sol au beau milieu des pierres tombales. Non, je crois que ça va. Qu’elle répondit faiblement, encore incapable de le quitter des yeux, il était différent, comment était-ce possible ? Elle ne réalisait même pas qu’elle le dévisageait toujours sans ménagement. Il esquissa un nouveau sourire et sa réflexion fit écarquiller les yeux à la brune. Elle rougit probablement, réalisant le grotesque de la situation. Je… heu, non, pardon. Elle bafouillait, comprenant petit à petit qu’elle s’était fourvoyée. Je crois que j’ai… vous n’êtes pas Axten. On pouvait sentir à quel point elle était déçue, c'en était presque grotesque. Le ton de sa voix n’était pas le même que ce lui de son pompier et à force de le dévisager, elle avait remarqué quelques grains de beauté que son défunt mari ne possédait pas. La ressemblance était pourtant frappante, presque identique, mais ce n’était pas lui. À présent, Charlize hésitait entre la déception, la tristesse et la honte face à cet inconnu devant lequel elle venait de faire toute une scène. Mais lui ne sembla pas s’en indigner plus que ça, d’ailleurs, il semblait avoir un éclair de génie tandis que son visage s’illuminait. La pâtissière le fixa douloureusement. Oui, c'est… c’était mon mari. Répondit-elle rapidement tout en se relevant, elle épousseta son jean et remarqua une éraflure sur sa paire d’escarpins adorés, décidément, elle venait de gagner sa journée. Je suis navrée pour le dérangement, j’ai eu une absence. Elle allait le quitter, elle le devait cependant, même en ayant compris qu’elle s’était trompée, elle n’arrivait pas à détacher son regard de cet homme. Elle restait troublée par cette rencontre, involontairement charmée par ces traits qu’elle avait adorés.

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