Belle demoiselle...PV Lily

Que m'arrive t'il?

Enfin l'heure de ma pause, j'adore mon boulot, chercher des types qui ont fait un crime, ou taper je ne sais qui pour se défouler mais par moment j'adore ma pause. Cela permet de se ressourcer et de penser un peu à autre chose. Je voulais alors me rendre au fast food du coin, cela faisait longtemps que je n'avais pas manger un bon hamburger. Je vais faire la queue et même pas dix minutes, ce fut mon tour. Je pris un hamburger avec frite et coca, paya ma commande et part m'installer. Je commence à manger tranquillement tout en pensant à la jeune femme, dont j'ignore son prénom. Je n'ose pas lui parler, voilà le hic, peur qu'elle me rejette pour X raison ou qu'elle pense que je suis un mec qui drague des tas des femmes voilà tout. J'aimerai bien l'a revoir et lui parler, pour entendre sa voix et faire connaissance, mais vais je arriver à lui parler? Dieu seul sait.Je n'ai jamais eu des histoires d'amour, sauf une qui n'a pas beaucoup compter. Disons que ma petite amie était très jalouse, dès que je rentrais, j'avais droit à un interrogatoire, à un moment, j'ai dis stop et j'ai rompu. Après ça, j'ai plus chercher l'amour, à quoi bon? Pour souffrir, non sans façon. Je finissais mon hamburger quand je vis une jeune femme rentrer, et là je reconnu la demoiselle, c'est elle que je vois tous les jeudis à la bibliothèque. Je reste à ma place tout en l'observant.

sometimes it's like if i didn't have a heart

Il était midi pile, l'heure de manger. Habituellement j'ai toujours quelque chose avec moi, sauf aujourd'hui. Je n'avais pas eu la foi de me préparer quoique ce soit. Du coup, ayant faim, je décidais d'aller au petit fast-food pas loin de la librairie. Après tout, je mange rarement dans ce genre d'endroit, et un petit hamburger ne me fera aucun mal. J'avais juste peur qu'il y ait trop de monde et que du coup, je n'ai le temps de manger. Mais quand je poussais la porte pour entrer, les gens étaient assis et servis, il y avait peu de monde qui faisait la queue. Sur mon passage, mon regard fut attiré par l'homme de la librairie. Coïncidence ? Je l'ignore. On n'est pas jeudi, et je ne l'ai jamais croisé auparavant, vu que je n'y viens jamais. Je continue mon chemin, allant passer commande. Une fois en main, je cherche une table. Et il s'en libère une juste en face du mystérieux inconnu du jeudi. Il est fascinant il faut l'avouer, il croit que je ne le voit pas me regarder, mais je l'ai vu. Je le regarde souvent moi aussi, quand je suis derrière lui et qu'il fait semblant de lire. Je ne sais pas encore pourquoi je ne suis pas allé le voir, par peur peut-être, mais lui non plus n'est pas venu.