† how can i talk you down unless you let me in ? (jack)

Elle se pointe à l'improviste, oui, elle le sait. Mais elle est comme ça Pandore. Elle frappe aux portes ou aux vies des autres de manière spontanée, sans que ça ne soit prédit à l'avance. C'est bien plus excitant comme ça, non ? C'est comme ça qu'en cette fin d'après-midi en sortant de son bureau, elle s'est dirigée vers l'hôtel de Jack. Elle connait son étage et son numéro de chambre ; à l'époque, elle l'avait harcelé pour savoir tout ça. Elle lui avait proposé de venir dans son appartement, mais il avait refusé et au fil des semaines, elle avait cessé d'insister. En même temps... c'est pas tout le monde qui veut emménager dans un appart' déjà occupé par quatre personnes quoi, plus une enfant. Ce qui fait cinq. Bref. Elle frappe doucement à sa porte. Pas de réponse. En bonne indiscrète qu'elle est, elle colle son oreille contre la porte. Elle entend pourtant du bruit. Même un.. oui, un objet qu'on vient de jeter au sol. Fort. Elle fronce les sourcils. « Jack ouvre moi ! » Aucune réponse. Elle se met à cogner furieusement dessus. « Jack ouvre cette putain de porte où je la défonce ! » prévient-elle d'un ton impérial. Et puis il est bien placé pour connaître son tempérament fougueux et déterminé. Elle ne partira pas d'ici avant qu'il ne lui ait ouvert. Elle a un mauvais pressentiment.

Le réveil avait été difficile pour Jack. Un appel à six heures du matin par un stricte inconnu qui n'a rien d'autre à faire que d'emmerder les gens, c'est agaçant. Le brun l'avait rapidement envoyé sur les roses, puis il était allé s'allonger dans le canapé, les yeux mi-clos, essayant encore de se réveiller lentement. Voyant que sa technique ne marchait pas, il s'était décidé à aller prendre une douche bien froide. Puis la journée était passée, il était allé remettre un peu d'encre dans ses tatouages, puis il était passé chez le coiffeur. Il en avait eu bien besoin, au final ça ne changeait pas trop, mais c'était déjà moins long. Ensuite il était rentré, il avait mangé un peu, puis il s'était affalé dans le canapé. Et plus les heures passaient, plus il se sentait mal. C'est alors que Jack se rendit compte d'un détail important. Il n'avait rien prit aujourd'hui, mis à part un joint en sortant du tatoueur, il n'avait rien prit. La panique se mit à le submerger et il se leva d'un bond, se dirigeant vers sa boite magique ou était censé se trouver sa drogue. Le bruit de la fameuse boite percutant le sol résonna dans la chambre d'hôtel tandis que des coups se faisaient entendre à la porte. Mais Jack ne voulait pas ouvrir, il voulait trouver sa came d'abord. Alors il se mit à virer tous les objets personnels au sol, fouillant dans les moindres recoins de sa chambre. Et puis de toute manière, il n'y a pas de verrou à la porte de sa chambre. Il continue de fouiller, la sueur perlant à son front, l'air inquiet et anxieux, les mains tremblantes tout comme l'entièreté de son corps. « TA GUEULE ! Putain ! » Et le voilà qui se coupe avec son rasoir, pendant qu'il fouille sa salle de bain, la mettant elle aussi en bazar.

Elle frappe toujours contre la porte sans se démonter. Elle commence même à donner quelques coups d'épaule. Bordel, elle a affronté trois bandits dont deux qu'elle a elle-même tué... elle ne va pas se démonter face à une foutue porte. Elle soupire, cessant quelques secondes de frapper pour écouter ce qu'il se passe à l'intérieur. Un vrai remue ménage. Elle se prépare à gueuler de nouveau lorsque la voix de Jack l'interrompt avec un superbe : « TA GUEULE ! Putain ! » Ok. Elle serre les poings et s'acharne sur la poignée... avant de voir que la porte n'est pas verrouillée et que la chambre est ouverte. Elle l'ouvre sans une seule hésitation. Si son Jack a des ennuis, vous pouvez être sûrs que le responsable va se prendre une tornade dans la tête. Si c'est lui qui fait le con... aussi. Panda est assez dur avec ceux à qui elle tient. Demandez à Emrys, par exemple. Elle ne le voit d'abord pas, mais le bruit vient de la salle de bain. En entrant, elle voit quelques gouttes de sang au sol et fronce les sourcils. « Mais qu'est-ce que tu fous bordel ? » Elle s'approche et le pousse pour fermer le tiroir dans lequel il a tout retourné, mélangeant plein de sang et de sueur à ce qu'il s'y trouve. Elle l'attrape par les épaules, s'attendant à ce qu'il se débatte. Elle cherche son regard et plante ses yeux dans les siens lorsqu'elle l'a trouvé. « Hé, hé, du calme, calme-toi, doucement... Qu'est-ce que tu cherches comme ça ? Arrête de trembler tu m'fais flipper là ! Jack, doucement... » murmure-t-elle de plus en plus bas, tentant de l'apaiser du mieux qu'elle le peut.

Il saigne, la panique commence à le submerger. Il s'est entaillé l'index sur la longueur, assez profondément vu la quantité de sang qui s'en échappe. Mais il s'en fiche, il ne sent presque pas la douleur. Du moins pas cette douleur là. Non, ce qu'il sent, c'est le tiraillement de son estomac, ses poumons qui se serrent, sa tête qui le fait souffrir, ses membres qui tremblent. Il se sent de plus en plus mal, il respire vite et fort, la sueur perle de son front. Le manque, la panique. Alors qu'il continue de fouiller ce tiroir, il se retrouve d'un coup plus loin du tiroir qui est fermé d'un coup. Le bruit résonne dans sa tête, il plaque ses mains au niveau de ses oreilles et lâche un petit cri. Soudainement, deux mains se plaques sur ses épaules et il sursaute en essayant de se débattre au début, mais étant épuisé, il abandonne rapidement. A la place, il regarde son amie, le regard hagard et perdu, tremblant, le souffle court. Il n'entends que la moitié de sa phrase, des bribes de mots. Il comprend qu'elle lui demande ce qu'il cherche, il comprend aussi qu'elle est inquiète. Le fait qu'elle parle moins fort l'apaise, il a moins mal à la tête déjà, mais tremble toujours aussi fort. Puis, il la fixe dans les yeux et fronce les sourcils. Et si c'était elle qui avait pris sa drogue ? Et si elle la lui avait volé ? « ELLE EST OU !? Bordel, rends la moi, où tu l'as mise ? Rends la moi ! » Il panique, la paranoïa le prends à la gorge et il se dégage vivement en la fixant, de la fureur au fond des yeux.

Elle reconnait les effets, Pandore. Elle le sait. Elle aussi s'est, fut un temps, retrouvé quelques fois dans cet état-là. Le manque. Celui qui brouille vos sens et affecte vos émotions. Celui qui fait trembler vos membres et vous laisse épuisé. C'est "grâce" à ça qu'elle connait Jack, d'ailleurs. Mais elle a arrêté. Elle ne peut plus risquer tout ça alors qu'elle est en couple. Elle le comprend vite, qu'il est en manque. Elle voit son regard perdu et hagard, elle voit son cerveau qui essaie de lutter, mais qu'il ne comprend pas vraiment ce qu'elle lui dit. Mais elle n'est pas médecin, juste journaliste, et c'est peu de vous dire qu'elle se sent impuissante à ce moment-là. En plus, elle n'a rien sur elle. Elle n'a pas un milligramme de drogue à lui donner pour le soulager un peu... Ah si ! Enfin, non bien sûr, pas de la drogue. Des cachets. Ceux qu'elle garde toujours sur elle pour son hyperactivité. Le genre de truc qui vous assomme un peu quand ça dégénère. Mais d'abord, Jack se met à l'accuser. « ELLE EST OU !? Bordel, rends la moi, où tu l'as mise ? Rends la moi ! » Elle devine fort que sa tête doit être sur le point d'imploser, mais elle doit faire beaucoup d'effort pour ne pas se forcer à lui monter le ton encore plus que lui. « Je l'ai pas, alors maintenant tu la fermes où je t'en mets une, ok ? » Elle sort un comprimé, et se retourne vers l'évier, chopant le verre où est posée une brosse à dent pour le remplir d'eau. « Tiens prends ça, ça en est, c'est tout ce que j'ai... » Elle essaie de se montrer convaincante et ça tombe bien, Pandore, c'est le genre de fille à être excellente comédienne. Comme pour le rassurer encore un peu, elle caresse doucement son épaule, le fixant droit dans les yeux en lui tendant de nouveau le verre et le petit comprimé blanc, pouvant aisément se confondre avec n'importe quelle pilule de dépendance.

Il a l'impression qu'il va exploser, le manque n'a jamais été aussi fort. Il tremble, son cerveau bouillonne et il ferme les yeux un instant. Pandore est toujours face à lui, il se souvient de leur rencontre, du moment où elle lui a dit qu'elle arrêtait la drogue, qu'elle se faisait aider pour ça. Quand elle lui a proposer de faire de même et qu'il l'a envoyée sur les roses, quand elle lui proposait de venir vivre chez lui et qu'il refusait par fierté, parce que Jack veut se débrouiller seul. Et le voilà, aujourd'hui, complètement dépendant à sa drogue, et son amie qui est là pour l'aider. Il se demande pourquoi il l'a menacée, et il rouvre doucement les yeux, le regard fiévreux. Oui, il a chaud, il est en sueur, il a l'impression qu'on le torture petit à petit. Elle lui parle encore, doucement mais il ne l'entends pas, il voit juste ses lèvres bouger. Jack à l'impression de devenir fou, il se dégage et recule vivement, se cognant le dos contre le mur de la salle de bain. Mais il n'a pas mal, il ne grimace même pas non, le choc le rend juste encore plus abruti. Pandore revient vers lui, elle lui tend un verre d'eau et un petit cachet blanc. Il se demande ce que c'est, il a l'impression que le cachet est entrain de lui parler, il voit les lèvres de Pandore bouger sans son, alors il secoue la tête et crie légèrement de nouveau. « C'EST PAS MA CAME, J'EN VEUX PAS ! » Il crie, mais dans sa tête, ce ne sont que des murmures. Il ne s'entend même pas, il devient fou. Alors il part de la salle de bain en courant, et s'arrête net en se voyant dans le miroir. Son reflet se trouble, il se regarde et voit l'encre de ses tatouages couler le long de son corps. Pourtant ce n'est pas le cas, mais il y croit. Alors il se frotte fort à l'endroit de ses tatouages, mais ça ne fait rien, l'encre s'étale encore plus. Étant en boxer, le brun se précipite hors de sa chambre d'hôtel en criant, en sueur, fou. Il veut de l'air, il ne veut plus avoir chaud, il veut sa came, qui se trouve d'ailleurs dans sa chambre d'hôtel. Mais il ne s'en rendra pas compte dans l'état où il est.

Elle voit bien qu'il ne l'entend pas, qu'il ne la comprend, ou tout simplement qu'il ne veut pas écouter une phrase sans « drogue » dedans. Si elle avait plus de forces encore, elle n'hésiterait pas à lui en mettre une bonne, histoire de l'assommer un peu. Même si elle sait que ça n'arrangerait rien. Que les capteurs dans son cerveau, soumis à cette dépendance, le réveilleraient plus tard avec toujours cette même rage du manque. Et c'est triste à dire mais la seule façon de le calmer à cet instant-là, c'est de lui donner sa dose. « C'EST PAS MA CAME, J'EN VEUX PAS ! » Il la repousse, et sort de la salle de bain. Elle jure toute seule de son côté, et quand elle le rejoint, il quitte déjà la chambre de l'hôtel. Elle se prend la tête entre les mains, elle va imploser elle aussi. Respirant à fond pour recouvrer son calme, elle fouille alors sa chambre, ouvre les tiroirs, les placards, fouine dans les recoins. Elle finit par retrouver ce qu'elle cherche entre les mailles du matelas, entre les lattes et ce dernier. Elle jure, attrape le petit sachet et l'enfouit dans sa poche arrière. Elle se rue alors hors de la chambre d'hôtel, criant : « JACK ?! T'es où ? Allez réponds, je l'ai trouvée ! Reviens ! » Elle contemple le couloir vide, le parcourant de son regard acéré. Peut-être est-il là, au détour d'un couloir, mais comment le savoir, hein ?

Il court dans les couloirs de l'hôtel, se cognant à tous les murs, toutes les portes, ameutant plusieurs locataires. Mais il s'en fiche, lui ce qu'il veut, c'est sa petite dose de poudre qui va le calmer. Il s'arrête à la fenêtre verrouillée d'un couloir et se tape plusieurs fois la tête contre le carreau tout en se parlant, disant des suites de mots incompréhensibles, sans aucun sens, et parfois ne voulant rien dire. Et il commence à saigner du front, mais il ne s'en rends pas compte, il crie parfois, il panique. Tout ses membres trembles, il est en sueur et se sent toujours aussi mal, même plus. Des personnes s'approchent de lui, il les repousses toutes et s'agenouille en mettant son visage entre ses mains. Il se balance, il a peur, il panique. Un nouveau cri s'échappe de sa gorge, plus rauque, le souffle lui manque tant ses poumons le serre.

Spoiler:

Aucune réponse en retour, Pandore panique légèrement. Et s'il lui était arrivé quelque chose pendant qu'elle cherchait sa drogue chez lui ? Et s'il s'était sauvé ? Elle ne sait que trop bien dans quel état ça peut vous mettre ce genre de situation. Et toutes les conneries que ça pousse les gens à faire, également. Elle se rue dans les couloirs de l'hôtel, avant d'entendre plusieurs exclamations, puis un cri déchirant digne d'une bête agonisante. Se dirigeant vers la source, elle n'a aucun mal à discerner Ash, assis par terre au milieu d'un groupe de clients de l'hôtel sûrement, l'observant comme un animal de foire. Elle les écarte d'un bras autoritaire, attrapant son bras à lui pour le forcer à se relever. « Allez viens Jack, j'ai ce qu'il te faut, bouge. » Elle passe un bras par-dessus son épaule pour le soutenir et commence à l'entraîner à sa suite. « Allez fichez le camp, y a plus rien à voir ! » Elle tente alors du mieux qu'elle peut de le ramener vers la chambre de l'hôtel, bien que l'idée de lui donner de la drogue même dans le but de le calmer la répugne un peu. Elle n'est pas médecin. Là, elle n'a visiblement pas le choix.

Le couloir se resserre autour de lui, il suffoque. Ses membres tremblent et il est en sueur, d'ailleurs le seul vêtement qu'il porte, son boxer, est trempé. Il n'entend pas les gens parler autour de lui, il a l'impression de devenir fou. Plaquant ses mains contre ses oreilles, il crie, moins fort, la voix de plus en plus rauque. Soudainement, la foule s'écarte et une main se pose sur son bras. Il veut se dégager, mais quand ses yeux se lèvent, il croise le regard inquiet de Pandore. Alors il se lève difficilement en se laissant entraîner par son ami, se mordant la lèvre. Il ferme les yeux durant le voyage qui lui semble durer une éternité. Puis il se retrouve assit sur le canapé lit de l'hôtel. Lentement, il s'allonge, avant de remarquer ses sachets posés sur le lit. Un sourire se forme sur ses lèvres et il se met lentement sur le côté, ouvre le sachet et se fait difficilement une ligne, épaisse et longue. Mais il en a besoin. Alors il la sniffe, et peu à peu, son corps retrouve sa sérénité. Son cerveau le libère de la pression, il n'a plus mal. Il se détend, s'allonge sur le dos et sourit. « Merci.. » Il se redresse lentement, son visage n'exprime plus que l'euphorie. Il se lève, va vers la salle de bain en laissant la porte ouverte et la regarde. " Je me rince rapidement ma belle. " Et il sourit, allume l'eau glacée et se met dessous.

Elle le fait rentrer dans la chambre de force, mais il ne semble opposer aucune résistance au fait qu'elle le bouge de place comme ça. Heureusement. Au pire, elle l'aurait assommé d'un bon coup derrière le crâne, ça aurait fait l'affaire. Elle n'avait pas le droit de le laisser dans sa crise, en plein milieu des couloirs de l'hôtel, ou c'était la taule assurée. Elle s'imagine mal ce qui serait arrivé si elle n'était pas venue pile à temps. Immobile, elle l'observe muettement se faire une ligne. Elle grimace, détournant le regard ; ça lui rappelle bien trop ce qu'elle a pu être avant, à son arrivée ici. Dévastée par la mort de ses parents, elle s'y était abandonnée faiblement. « Merci.. » Elle ne répond pas, immobile et toujours silencieuse comme une pierre tombale. Elle a croisé ses bras, ruminant sûrement quelques sombres pensées ou peut-être quelques reproches également. Elle détourne le regard, appuyée contre la table, n'allant même pas le rejoindre pour s'asseoir, visiblement soucieuse. « Je me rince rapidement ma belle. » Tournant alors la tête vers lui, elle lui lance un regard distant. « Fais un peu ta vie, Jack, après j'aurais une question pour toi, tiens. » lance-t-elle en allant prendre sa place sur le canapé, rangeant tout son foutu bordel avant de s'y allonger et de fermer les yeux. Mais elle ne dort pas. Non, Pandore ne dort pas, encore moins la journée, là à découvert. Animal sauvage, instincts primaires que de rester sur ses gardes à tout moment. (...) Elle entend la porte de la salle de bain qui s'ouvre de nouveau et se redresse légèrement, rouvrant ses beaux yeux bleus. Elle lance directement, d'une voix calme pourtant : « Quand j'serais plus là, tu f'ras comment hein ? » Eh bien oui. Elle ne va pas jouer le rôle de baby sitting à vie, et là, qui aurait pu le sauver ?

La douche froide lui fait du bien, il reprend lentement son souffle, se calme. Son corps ne tremble plus, il est calmé, il a eut sa dose.L'eau froide élimine la sueur qui colle à sa peau, et au bout de quelques minutes, il sort et enfile un boxer propre avant de se diriger vers elle, souriant doucement. Elle est allongée sur son canapé-lit mais il sait qu'elle ne dort pas. Alors il s'approche doucement d'elle, avant de mettre le canapé en mode lit lorsqu'elle se redresse. Sa phrase lui fait se mordiller la lèvre et il s'allonge à ses côtés, tout en se blottissant contre elle. Il sait qu'il est un fardeau, autant pour elle que pour Sidney. Tout le monde s'inquiète pour lui, et ça le dérange profondément. Fermant les yeux, Jack reste contre elle, appréciait beaucoup les contacts physiques tant qu'il n'est pas encerclé. Dès qu'on commence à la serrer, à le prendre dans ses bras, à le forcer, il panique et devient plus paniqué. Doucement, il pose son front contre celui de Pandore tandis que ses bras pendent mollement le long de son corps, collé à elle mais pas trop tout de même. Après tout, il a du mal encore. « Je.. Je suis désolé... Je ne sais pas, je vais.. Je vais m'arranger, la mettre dans un endroit où je m'en souviendrais. Ça n'arrivera plus, Panda, plus jamais. J'suis désolé. » Il ouvre doucement ses yeux bleus et la fixe dans les yeux en se mordant la lèvre. Son cœur bat plus vite, à cause du contact trop proche sans doute.