Home Sweet Home (Emma)[hot]

J'avais été contraint d'aller passer la semaine aux USA afin de veilleur aux intérêts d'un de mes clients, le mec avait du s'incliner lors de son combat de boxe s'étant tenu à Las Vegas mais plus que la défaite en elle-même ce sont les séquelles qui risquaient d'en découler qui m'inquiétait pour ce dernier. Alors que la plupart des gens parlait encore de cet affrontement qu'il avait perdu , alors que le titre mondial des lourds était en jeu, je m'inquiétais pour l'autre combat qu'il allait devoir mener – un combat de tout les instants s'il en est un – puisqu'il allait devoir mener un dur combat  afin de demeurer parmi nous. Je n'avais que peu de clients et je m'étais fait un devoir de les traiter comme s'ils étaient des amis alors de le voir dans un tel état ne pouvait que m'arracher le cœur.

Le fait de me retrouver ainsi loin des miens était de nature à me peser sur les épaules, bien sur il y avait Skype mais ce n'était pas comme être en chair et en os avec ceux que j'aime. La famille de mon client ayant décidé de le rapatrier en Australie j'entrepris de nous trouver un transporteur pouvant mettre à notre disposition des facilités médicales et je fis en sorte de rentrer le plus rapidement possible à Bowen.

Le vol, ainsi que le décalage horaire,  entre Las Vegas et Bowen avait été de nature à m'épuiser mais néanmoins je n'avais pas su résister à cette folle envie de laisser un message à ma douce et tendre Emma qui n'avait pas été sans me manquer.

Bonsoir beauté, je viens tout juste de rentrer des USA … tu m'as manqué. Bisous

Je pris le temps de lire mon message et puis j'appuyai sur la touche envoyer pour ensuite m'étendre sur le lit, j'étais mort de fatigue et il ne m'avait fallu que bien peu de temps pour que je ne tombe dans les bras de Morphée. Je ne saurais dire combien de temps j'avais bien pu dormir mais toujours en est-il que je finis par me réveiller alors que la sonnette de la porte d'entrée retentit , me levant  alors que je n'étais vêtu que d'un pantalon j'enfilai une chemise que je ne boutonnai pas et c'est torse nu – tout en affichant un visage aux traits tirés – que je finis par ouvrir.

Hey Emma, je suis heureux de te voir tu m'as terriblement manqué. Lui dis-je en la serrant dans mes bras l'embrassant sur la joue, lui souriant je la fis entrer et je refermai derrière nous. Je suis désolé de te recevoir dans un tel état mais ces aller-retour entre l'Australie et les USA sont entrain d'avoir ma peau. Me tenant derrière elle, passant mes bras autour de sa taille, je me laissai aller à savourer ce moment. Comment se portent mes deux princesses?

La vie n'avait rien de simple pour personne , je le savais pertinemment, mais lorsque j'entendais mes riches clients se plaindre pour des broutilles je ne pouvais que difficilement réprimer cette colère qui montait en moi car je savais qu'il y avait des gens qui éprouvaient de véritables problèmes et qui – néanmoins – tentaient de marcher la tête haute afin d'affronter l'adversité … par moment je me surprenais à tout vouloir lâcher mais il fallait bien payer les factures. Cette histoire de boxeur ayant reposé entre la vie et la mort – dans un état quasi végétatif – avait été de nature à me recentrer sur les priorités que j'avais dans la vie et l'une d'entre elle était Emma … c'est d'ailleurs au nom de cette priorité que ne tardai pas à communiquer avec elle peu de temps après mon arrivée.

Le vol ayant été interminable et le décalage horaire m'ayant foutu sur les rotules il ne m'avait fallu que bien peu de temps pour que je ne me réfugie dans les bras de Morphée. Entendant frapper à la porte je finis par émerger de ce profond sommeil dans lequel j'étais et enfilant vite fait un pantalon et une chemise je me rendis à la porte afin d'ouvrir. Me trouvant face à Emma j'étais visiblement heureux de la revoir, bien que les effets du décalage horaire pouvaient encore se lire sur mon visage, la serrant dans mes bras et l'embrassant je l'invitai à passer à l'intérieur. La sentir tout contre moi était un plaisir de tout les instants et puis l'entendre me dire que je lui avais manqué ne pouvait que me combler.

Par moment les mots étaient futiles il ne suffisait que d'un regard , ou d'un sourire, afin de se faire comprendre et cette façon que j'avais de la regarder ne pouvait que s'avérer des plus éloquente. Ce parfum m'avait tant manqué et puis j'aimais tant profiter de la douceur de sa peau qui – au contact de la mienne – ne pouvait que me faire frémir de désir. Passant mon bras autour de sa taille je m'excusai pour l'état dans laquelle je la recevais mais fidèle à son habitude elle se montra rassurante.

T'es un ange ma belle et douce Emma.

Bien entendu je me faisais toujours énormément de soucis pour elle et la petite, même qu'elles étaient ma principale source de préoccupation, il n'y avait donc rien de surprenant à ce que je me permette à prendre de leurs nouvelles. Je l'entendis me répondre pour ensuite m'interroger sur mon voyage … je m'apprêtais à lui répondre et c'est alors qu'elle posa sa main contre mes lèvres , histoire de me faire taire, afin de me proposer d'en discuter autour d'un muffin.

Tu sais bien que je ne sais jamais dire non à une pâtisserie. Je lui souris et nous nous dirigeâmes vers la table de ma cuisine. Je suis heureux d'apprendre que tout va bien pour vous deux, moi pour ma part le voyage à Vegas n'a pas été de tout repos un de mes clients c'est retrouvé dans un coma pour quelques jours et je devais négocier avec les membres de la famille qui ne s'entendaient pas entre eux sur la suite des choses … par moment je me dis que je devrais prendre une pause, un congé sabbatique histoire d'être plus présent pour toi. Je lui souris et je lui tirai une chaise afin qu'elle s'installe et je pris place près d'elle.

De plus en plus je réalisais que cette vie que je menais était de nature à me déplaire je ressentais l'ardent besoin de me poser et d'aspirer à une vie plus rangée et le fait d'avoir vu mon client reposant entre la vie et la mort alors que sa famille était tout aussi atterrée que paniquée m'avait fait comprendre bien des choses et c'est au nom de ce que j'avais tiré comme leçon de cet événement fort regrettable que j'en étais venu à me dire que le moment était venu de redéfinir mes priorités et l'une de ces priorité concernait la place que je réservais pour Emma et Zoé.

La revoir était un pur plaisir, un bonheur de tout les instants, et bien que j'aimais énormément Zoé je n'en appréciais pas moins le fait de me retrouver seul avec Emma. Nous étions si proches l'un de l'autre que par moment j'avais l'impression que nous étions un couple sans toutefois en avoir le nom.

Discutant de choses et d'autres, à la fois de tout et de rien, nous discutâmes de mon voyage aux USA et je lui fis part de la tournure des événements et je ne qu'apprécier l'empathie dont elle faisait preuve … Emma a toujours eu le cœur sur la main et je crois qu'il s'agit là de la qualité en elle qui avait sur me séduire en tout premier lieu … je ne connais que bien peu de gens pouvant se targuer d'avoir une telle grandeur d'âme. Il se porte mieux, son état est stable, d'ailleurs j'ai réussi à la faire transporter des USA jusqu'à l’hôpital universitaire de Sydney mais pour lui la boxe c'est terminé … je vais lui annoncer , lorsqu'il sera rétabli, que je mets un terme à notre entente je ne veux pas être celui qui l'envoie se faire assassiner en direct et qui devra vivre avec les remords que peuvent engendrer ce genre de cupidité pousser à l'excès. D'une certaine façon ma décision avait été influencée par le fait que mon client est marié et père de deux enfants je me devais de penser à ses intérêts et non pas qu'à ceux qui sont d'ordre financier.

Confortablement installé je ne pus que lui sourire lorsqu'elle me parla de jouer mon rôle de père auprès de Zoé. Bien sur j'ai du temps à rattraper avec ma princesse … ainsi qu'avec toi. Je glissai ma main tout contre la sienne. Et puis la discussion devint un peu plus sérieuse alors qu'elle me demanda si je pensais réellement ce que je venais de lui dire relativement à mon désir de prendre un peu de recul avec ma carrière. Je suis le plus sérieux des hommes lorsque je dis vouloir revoir mes priorités et de me libérer du temps afin d'être plus présent pour ceux qui comptent le plus à mes yeux. J'étais là plongeant mon regard dans le sien, jamais je n'avais été aussi sérieux à propos de quoi que ce soit.

S'il y a bien une habileté que j'avais fini par développer en pratiquant ma profession c'était bien celle de lire au travers des gens en demeurant à l'affût de leur langage non verbal et celui d'Emma s'était voulu plus qu'éloquent. Sur certains points nous étions si semblables que par moment j'avais l'impression que nous étions issu du même moule, je ne pus que lui sourire lorsqu'elle me dit qu'elle comprenait parfaitement ma décision. Évidemment à ce stade ma décision n'en était plus une qui concernait les affaires … il en allait de la santé d'un individu ainsi que de son avenir je me refusais de le mettre dans une situation des plus risquée en retour d'une somme tout aussi substantielle soit-elle … j'avais des principes et il était hors de question que je me laisse duper par une offre contractuelle des plus alléchante, c'était avant tout une question d'intégrité. Ce qui était bien lorsque j'étais avec Emma était que nous nous connaissions si bien qu'il n'était pas toujours nécessaire que j'utilise des mots afin de me faire comprendre et je savais qu'en ce moment, malgré mon silence, qu'elle comprenait parfaitement cet état d'âme qui m'animait.

Cette histoire avait finit par me faire réaliser l'importance qu'occupait Emma et Zoé dans ma vie, bien que nous n'en avions jamais réellement parlé, et le fait d'avoir passé ces quelques jours avec mon client et son entourage avait finit par me faire réaliser que la vie ne tenait qu'à un fil. Je me refusais de  subir les aléas de la vie j'avais plutôt envie de lui imposer mes désirs et de mener l'existence que je désirais mener et c'est dans cette optique que j'en vins à prendre la décision de m'accorder un peu plus de temps pour moi. Les mots qu'elle utilisa en m'adressant la parole ne pouvait que me faire sourire, j'aimais tellement ce que j'étais entrain d'entendre. Tu sais j'ai toujours su que je pouvais compter sur toi, ta présence à mes côtés est mon bien le plus précieux. Il était vrai que je n'avais pas de petite amie il faut dire qu'avec mon métier il était difficile de concilier vie professionnelle et vie amoureuse mais je comptais bien y remédier même que la pause que je comptais m'offrir allait en ce sens.

J'aimais tant cette sensation que me procurait ses doigts glissant contre les miens , pour ensuite s'entrelacer, et puis il y avait ses yeux qui invitaient mon regard à s'y plonger … une invitation à laquelle je ne pouvais que m'abandonner corps et âmes. J'adore ce que tu as fais à tes cheveux.

Comment puis-je ne pas succomber devant tant de charmes? Emma avait toujours su comment me faire sourire et puis elle me comprenait si bien par moment j'avais même cette folle impression qu'elle me connaissait mieux que je ne pouvais me connaître moi même, elle avait cette faculté complètement dingue de pouvoir me percer à jour d'un seul regard même qu'il n'était même pas nécessaire de parler pour qu'elle en vienne à me décoder … j'avais l'impression qu'elle lisait en moi comme si j'étais un livre ouvert. Je lui souris lorsqu'elle me dit qu'elle comptait passer beaucoup de temps avec moi lors de ma pause, c'était d'ailleurs une idée qui ne pouvait que me réjouir. T'avoir près de moi est loin de me sembler un scénario désagréable , bien au contraire.

Ce moment que nous étions entrain de partager avait ce petit je ne sais quoi d'unique et de magique, j'avais cette folle impression que nous étions plus proche que nous ne l'avions jamais été auparavant. Soucieux des détails je n'avais pas été sans remarqué ce qu'elle avait fait à ses cheveux même que je m'étais permis de la complimenter. Mais de rien c'est tout naturel. À ce moment je ne me doutais pas de la tournure qu'allait bientôt prendre notre relation et alors que je la regardais, noyant mon regard dans le sien, je la vis rapprocher son visage du sien et irrésistiblement attiré je fermai les yeux afin de savourer la douceur de ses lèvres venant se river tout tendrement contre les miennes. La regardant alors qu'elle décolla ses lèvres des miennes je me mordillai là lèvre inférieure et lui caressant la main je rapprochai à nouveau mes lèvres des siennes afin de l'embrasser avec un plus de passion glissant ensuite une main dans ses cheveux afin de les caresser du bout des doigts … ce moment j'y avais tant rêvé.

Si un jour quelqu'un avait osé me dire que je finirais par trouver la force et la courage d'avouer mes sentiments à Emma et que nous finirions par nous embrasser jamais je ne l'aurais cru et pourtant c'était bel et bien ce qui avait finit par se produire. Je ne saurais dire d'ou cette force m'était venue mais toujours en est-il que je finis par me livrer à elle nous ne pouvions plus nous mentir de la sorte après tout. Je fus surpris de la voir initier le rapprochement mais je vous prie de me croire il s'agissait là d'une bien agréable surprise. Prolongeant le tout avec tendresse je la vis ensuite s'éloigner afin de mettre un terme à ce baiser et puis attrapant sa main je l'entraînai en ma direction afin de reprendre le tout de plus belle.

Nos lèvres glissant les unes contre les autres notre baiser devint fougueux et passionné, ma main contre la sienne je me mis à frissonner au gré de sa main glissant contre ma nuque tout en effleurant mes cheveux … plus que jamais je réalisais à quel point je pouvais en être épris. Nous embrassant , encore et encore, je me sentais si heureux – flottant sur un nuage – et c'est alors que j'entendis le bruit causé par son porte clé tombant en bas de la table afin de heurter le sol. Lui souriant, tout en lui tenant la main, je ne pus que me mordiller la lèvre alors que mon regard était toujours captif du sien … elle m'attirait depuis si longtemps.

J'avais rêvé de ce moment depuis si longtemps. Lui dis-je alors que mon autre main venait de remonter contre sa joue, jamais je ne me serais attendu à un tel moment en sa compagnie si le tout était un rêve alors je ne pouvais qu'émettre un seul souhait soit celui de ne jamais me réveiller.

Cette ambiguïté qui nous liait l'un à l'autre était présente depuis déjà plusieurs années mais sans trop en comprendre la raison  nous avions toujours fait en sorte de ne pas y céder. Pourquoi? Je n'en ai pas la moindre idée. De toute façon je n'avais pas envie de me prendre la tête avec tant de futilité puisque tout ce qui comptait à mes yeux étaient que nous avions fini par nous abandonner à cette folle envie qui nous tenaillaient depuis trop longtemps.

Ce moment d'une grande tendresse, au cours duquel nous nous étions embrassés tout en laissant nos mains se toucher et se caresser, avait été la confirmation de la réciprocité de nos sentiments et mon seul regret avait été d'avoir mis autant de temps avant de me lancer … avoir su que le fait de la complimenter et de lui ouvrir mon cœur de la sorte aurait été de nature à accélérer le tout vous pouvez être assuré que je m'aurais lancé il y a de cela déjà un bon moment. Bien que notre moment fût interrompu par l'épisode du porte clé nous n'étions pas sans être demeuré pendus aux lèvres l'un de l'autre alors que nos regards – ainsi que nos gestes – se voulait d'une éloquence plus qu'attendrissante.

Profitant de cette pause et de l'accalmie qui allait en découler je me laissai aller afin de lui mentionner que j'avais désiré ce moment depuis déjà un bon moment  et je ne pus que lui sourire lorsqu'elle me confirma qu'elle refoulait cette même envie depuis un bon moment également.

En effet il y a si longtemps que l'on se tournent autour sans avoir la force , ni le courage, de tout s'avouer que nous nous devons maintenant de rattraper tout ces beaux moments auxquels nous avons bêtement renoncés.

Je lui souris tout en continuant d'admirer ce regard qui me plaisant tant, laissant mes doigts glisser contre les siens, et puis nos lèvres finirent par reprendre là ou elles en étaient. Ce baiser était unique, tout aussi tendre et langoureux que fougueux et passionné, fermant les yeux je ne pouvais que m'y abandonner. Remontant ma main le long de son bras je finis par lui caresser la joue et, alors que mon autre main venait de se positionner derrière sa nuque, j'entrepris de l'embrasser avec plus de fougue … ce moment je comptais bien faire en sorte qu'il soit mémorable en tout point.

Il est difficile de d'afficher une attitude empreinte de logique lorsqu'il en vient aux sentiments humains puisque, c'est bien connu, nul ne peut prétendre contrôler pleinement ce qu'il ressent et je n'y fis pas exception. Sentir ses lèvres se coller contre les miennes n'avait que m'inciter à prolonger ce délicieux moment cédant ainsi à cette folle tentation qu'elle éveillait en moi depuis déjà un bon moment. Me laissant envahir par la passion et me laissant guider par mon désir j'entrepris de prendre l'initiative du second baiser le rendant même un peu plus torride alors que je lui caressai la nuque du bout des doigts avant de glisser ma main alors que l'autre parcourait sa joue. Continuant de nous embrasser je ne pus que frissonner au gré de cette main qu'elle glissa sous ma chemise la faisant remonter avec douceur contre mon torse pour la poser contre mon épaule … ce genre de caresse , aussi douce que sensuelle, ne pouvait que me procurer le plus insoutenable des frissons.

Puisque toute bonne chose se doit immanquablement d'avoir une fin nous finîmes par mettre un terme à ce baiser, au bout de quelques minutes d'échanges passionnés, et je ne pus que me laisser à la regarder admirant ce charmant regard que je chérissais tant lui caressant la joue. Je lui souris lorsqu'elle me proposa d'aller s'installer au salon, plus précisément sur le sofa, afin de nous offrir un peu plus de confort et avant que je ne puisse lui répondre quoi que ce soit elle reprit possession de mes lèvres. Le désir qu'elle éveillait en moi était tel qu'il m'était difficile – voir impossible – de résister à l'appel charnel de ses lèvres et je me laissai aller à prolonger son baiser tantôt avec tendresse tantôt avec fougue mais toujours avec passion. C'est une excellente proposition que tu me fais là ma belle. Je lui déposai un tendre baiser dans le creux de son cou pour ensuite lui mordiller le lobe de l'oreille et me levant je lui pris la main afin de l'entraîner en direction du sofa m'y installant en sa compagnie.

Ayant pris place en premier je la regardai dans les yeux et , faisant glisser mes mains contre ses cuisses et ses hanches, je continuai de la regarder tout en me mordillant la lèvre l'entraînant ensuite contre moi et passant mes bras autour de sa taille. Tu sais que je ne pourrai plus me priver de tes baisers et de tes câlins?