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Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?

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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyMer 17 Déc 2014 - 17:19


Il y a vingt-sept ans, je suis sorti du ventre de ma mère, et alors?
camie.

 



Cassie, en compagnie de Jamie, se trouve être une véritable gamine, elle qui d’ordinaire est tellement mature et sûre d’elle. Mais là, elle ne pense qu’à s’amuser et à lancer de la farine sur l’homme supposément bien plus mature qu’elle, preuve que c’est totalement faux actuellement. Il lui dit qu’elle lui est soumise et elle se rebiffe, prenant une mine offusquée. Si, femme. Elle se venge en lui lançant à nouveau de la farine, agacée qu’i lui dise ça et il finit par déclarer forfait. Chose qui rend bien évidemment la Richards on ne peut plus fière, elle expose ses muscles inexistants à qui veut les voir. C’est ça ouais. Allez, range tes petits bras de femmelette. Elle prend un air choqué et il se sauve avant qu’elle ne se venge. Pauvre lâche terrorisé par une nana. Finalement, il lui laisse le choix pour les parfum de gâteaux et elle se jette sur la proposition du chocolat, ce qu’elle préfère au monde. Brownie, fondant au chocolat, trois chocolats, forêt noire, roulé au chocolat… Elle se mordille la lèvre, hésitante. Fondant au chocolat ou brownie ? Va pour fondant au chocolat, elle préfère sentir le chocolat fondu sur ses papilles. Fondant au chocolat, c’est trop bon ! Elle dit avant de lâcher un nouveau rire de gamine, un sourire en coin figé sur ses belles lèvres. On a le choix, mais faut pas un truc trop dur, connaissant notre niveau en cuisine ! Elle rit mais prend bien vite un air offusqué. Hey ! C’est pas ma faute d’abord ! J’avais un cuisto chez moi. Elle rit. je suis pas une pauvre, moi. Elle lui fait un grand sourire, un sourire de gamine innocente. Hey ! Elle lui a sous entendu qu’il était super vieux et elle rit a son air faussement blessé qu’elle sait bien qu’il feint. Bas... c'est bien ! Parce que je n'ai plus toute ma tête, et que ça me donne le droit de tripoter les jeunes filles sans être accusé... il a un sourire lubrique et elle se recule en riant. Même pas en rêve mon gars ! Elle sourit en coin et finit par lui sauter dessus, souriant en coin. Alors comme ça on tripote les jeunes filles innocentes, hein ? Sale pervers. Elle le regarde avec un faux air réprobateur. Alice ne serait pas fière de toi de voir que tu câlines des pauvres filles sans défense… Elle minaude.


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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyMar 23 Déc 2014 - 16:57


       

❝Cassie & Jamie❞
     Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?
Malgré l’apparence frêle de sa meilleure amie, ce sur quoi il n’hésita pas à la taquiner, l’homme s’échappa rapidement pour ne pas subir ses foudres. Parce qu'il pouvait dire ou faire ce qu’il voulait, Cassie restait en supériorité face à sa condition qui l’obligeait à rester assis dans ce fauteuil, mais il ne s’en plaignait pas et s’en amusait simplement à l’instant présent, en cherchant à énerver la jeune femme avec des idées de macho. Elle se moqua alors de lui lorsqu’il fuit, mais il se justifia avec un petit sourire en coin en l’attaquant implicitement. « Par une nana folle ouais. » Il était certain que si elle ne semblait pas pouvoir lui faire mal physiquement, elle était capable de lui infliger bien d’autres souffrances auxquelles il ne voulait pas se frotter, mais de toute façon, ils s’amusaient juste. Il profita de ce moment pour chercher ce qu’ils allaient préparer, après que Cassie ait choisit l’ingrédient principal et il lui proposa donc tout un tas de gâteaux plus alléchant les uns que les autres. Elle réfléchit quelques instants, avant de finalement choisir le fondant au chocolat, suivis d’un petit rire enfantin qui le fit sourire. « Ok ça me va. Faut que t’arrêtes d’être aussi mignonne tu sais ? » Au moins, ce n’était pas trop difficile à faire, connaissant leurs niveaux en cuisine respectif pas très élevé, remarque qu’elle fit semblant de prendre mal, alors qu’il était pourtant réaliste. Même si les raisons de leurs nullités semblaient différentes pour chacun d’eux, au fond elles ne l’étaient pas tellement, à part le fait que lui n’avait jamais eu à payer pour qu’on lui fasse à manger. Mais il était vrai que leur niveau de vie étaient aux antipodes, lui et sa famille avaient toujours vécus avec des moyens correct, tandis qu’elle était née avec une cuillère en argent dans la bouche. Ce à quoi il ne manqua pas de la charrier comme il le faisait souvent. « C’est ça princesse. » Puis il ajouta pour se défendre de sa pauvreté et se justifia à son tour. « C’est parce que moi j’ai toujours eut des femmes pour me faire la cuisine et même pas besoin de les payer. Et tu es la prochaine ma petite. » Il rit doucement. Il n’avait jamais eu à demander et pourtant, après sa mère, Sara et maintenant Cassie, il avait commencé à prendre l’habitude qu’on lui préparer ses repas. Par la suite, la brune lui fit une plaisanterie sur son âge, de quoi il s’amusa en imitant un grand-père sénile, essayant de violer les jeunes filles et notamment son amie. Malheureusement elle ne semblait pas tellement d’accord et il prit un air triste, qui disparut rapidement lorsqu’elle lui sauta dessus de tout son poids. Elle n’était pas lourde, mais son geste n’avait pas été très délicat et il n’avait certainement pas pu l’anticiper. Elle reprit alors le jeu et l’homme ne tarda pas à reprendre aussi son rôle, glissant sa main sur la cuisse de Cassandre tout en haussant ses sourcils avec insistance, le même petit sourire pervers sur les lèvres. « Exact. Innocente et jolie. » N’arrivant plus à tenir, il laissa éclater son rire devant le ridicule de la situation. Mais le propos suivant de sa meilleure amie, lui fit rapidement perdre, laissant un voile de tristesse emplir son visage. Il faudrait déjà qu’elle soit au courant pour ça. Pensa-t-il, se contenant de baisser les yeux. Il n’aimait pas parler de sa sœur, Cassie le savait pourtant, surtout dans un jour pareil où elle lui manquait encore plus. C’était sa faute s’il ne la voyait plus et il le savait bien, ne voulant pas arranger la situation pour l’instant, mais il était évident que cela ne lui faisait pas plaisir et que le vide d’Alice se faisait ressentir. « Elle a surement d’autres raisons de pas être fière de moi.. » Marmonna-t-il presque inaudiblement.

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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyJeu 1 Jan 2015 - 0:59


Il y a vingt-sept ans, je suis sorti du ventre de ma mère, et alors?
camie.

 



Elle fait tout pour qu’il passe un bon anniversaire. Il est vrai que Jamie n’est pas franchement du genre à s’amuser en ce moment en tout cas et elle ne veut pas le laisser comme ça, en petit cochon râleur qu’il est. Ils se battent à coup de farine en riant, en bons enfants qu’ils sont quand ils sont tous les deux. Cass a l’impression qu’elle réussit à alléger le poids que Jamie porte sur ses épaules sans savoir exactement comment ni pourquoi. Par une nana folle ouais. Elle rit et prend un air menaçant alors qu’il lui demande ce qu’ils vont faire comme gâteau. Elle choisit et elle rougit comme une pivoine à sa réponse. Ok ça me va. Faut que t’arrêtes d’être aussi mignonne tu sais ? Elle rit doucement et sourit en coin, avant de répliquer quand il se met à critiquer leur niveau en cuisine, se trouvant la meilleure des justifications : elle a toujours eu une cuisinière, elle ! C’est ça princesse. Elle lui fait un de ses fameux sourires en coin, un sourire de princesse, justement. C’est parce que moi j’ai toujours eut des femmes pour me faire la cuisine et même pas besoin de les payer. Et tu es la prochaine ma petite. Elle le regarde, hautaine, et rit, incrédule. Ah oui ? Tu rêves mon cher je ne serais pas ta petite femme à te faire des bons petits plats ! Et elle rit. Pourtant, malgré tout, c’est assez clairement le cas : elle lui fait presque toujours à manger et elle apprend au fur et à mesure avec lui. N’empêche que je commence à m’améliorer à force j’te signale. Elle rit doucement et lui adresse un délicieux sourire en coin avant de lui sauter dessus quand il se fait passer pour un vieux pervers. Exact. Innocente et jolie. Elle prend un air apeuré, surtout qu’elle doit bien lui accorder qu’il fait vraiment bien l’air pervers. Mais elle dit quelque chose qui lui fait perdre son sourire et s’en veut aussitôt. Elle a surement d’autres raisons de pas être fière de moi.. Elle le serre contre elle et se colle à l’homme, le serrant encore plus fort. Mon chaton… Elle est fière de toi parce que tu es un homme génial dont toutes les filles rêvent petit bébé… Tu es tellement beau, et tellement parfait, et gentil, et génial, et tu mériterais que je te marie là tout de suite si tu étais pas un vieux pervers sénile. Elle rit joyeusement et se lance dans la cuisine. Elle mélange les œufs et la farine, tâchant bel et bien de s’en mettre partout pour paraître ridicule, riant joyeusement.



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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyDim 4 Jan 2015 - 4:57


       

❝Cassie & Jamie❞
     Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?
Pour l’anniversaire de Jamie, les deux meilleurs amis avaient décidés de se mettre aux fourneaux, ce dont le jeune homme se moquait, étant donné leur niveau de cuisine respectif. Heureusement, Cassie avait choisi un gâteau assez simple, tel que le fondant au chocolat. Ils avaient chacun une excuse de ne pas savoir cuisiné et quand il la traita de princesse, elle eut un petit sourire fier, qui se propagea jusqu’à l’homme. Par contre, sa raison à lui, plu moins à la brune qui le regardait de haut avec mépris, bien au-dessus des femmes qui faisaient la cuisine pour leurs hommes. Parce que si elle avait passé sa jeunesse à se faire servir, il n’en était pas de même chez Marshall, chez qui elle s’occupait généralement du dîner. Même s’il n’aimait pas qu’on s’occupe de lui, il ne refusait certainement pas ça. Elle tenta malgré tout de nier l’évidence, ce qui le fit sourire encore plus, et elle finit par avouer s’être amélioré grâce à lui. Il prit un air victorieux et supérieur, pour la charrier. «  Ah bas tu vois ! Ça t’aide et ça m’arrange, on est tous les deux gagnant, femme. » Il rit encore, aimant bien rabaisser la jeune femme, pas aussi supérieur que ses moyens le laissait croire, toujours gentiment évidemment. Se vengeant, elle ne tarda pas à lui faire une remarque sur son âge, ce à quoi il répliqua en jouant un vieux sénile, prêt à violer les jeunes filles innocentes comme elle. Elle se retrouva sur ses genoux et il continua de l’embêter, se prenant au jeu, en riant. Mais finalement, elle brisa l’atmosphère en parlant d’Alice, la sœur de Jamie à qui il ne parlait plus depuis un an. Il détestait cette situation, mais il ne se sentait pas capable de supporter la pitié de sa sœur, ou toutes autres marques d’attentions qu’elle pourrait vouloir lui donner. Il n’avait pas plus d’explications à offrir et ne voulait simplement pas aborder le sujet, surtout pendant un jour pareil, mais l’anglaise avait mit les pieds dans le plat. Le visage du jeune homme se renferma et il sentit qu’elle regretta aussitôt de l’avoir évoquer, tandis qu’elle essayait de se faire pardonner en le prenant dans ses bras. Il se laissa aller contre elle, cherchant un peu de réconfort dans cette étreinte, pour faire passer sa nostalgie. Elle se rattrapa ensuite en le comblant de multiples compliments, plus absurde les uns que les autres, ce qui lui fit retrouver le sourire. Finalement, il ne lui en voulut pas, parce que c’était son anniversaire, qu’elle était sa meilleure amie et qu’il l’aimait trop pour être capable de lui en vouloir plus de cinq minutes. Gêner par tous ses propos, il l’arrêta alors en riant, légèrement rougissant. « C’est bon du calme, arrête de dire n’importe quoi, je te pardonne. C’est plutôt moi qui aie de la chance de t’avoir et qui devrait te marier un jour. » Et il colla un baiser sur sa joue. Puis telle une vraie boule d’énergie, elle ne s’arrêtait jamais et se releva aussitôt pour s’élancer dans la cuisine, où elle sortit au hasard des choses du placard et du frigo, afin de verser le tout dans un saladier et de mélanger à tout allure pour en mettre partout. Décidément, elle ne pensait pas à ceux qui allait devoir nettoyer derrière, lui en l’occurrence et faisait son possible pour faire rire son ami, ce qui fonctionna puisqu’il éclata de rire, en voyant le semblant de pâte voler dans ses cheveux et le reste de la cuisine. Il s’approcha de plus près pour voir les dégâts qu’elle venait de faire et levait les yeux au ciel, exaspérer, tout en souriant de toutes ses dents. « Décidément, faut pas te laisser avec un fouet dans la main toi. En plus, je te ferais remarqué qu’il faut pas mélanger les œufs et la farine en premier, même moi je sais ça ! Tu ferais mieux d’enfiler un tablier petit cochon. » Dit-il en désignant le fameux tablier, après avoir vu sa belle salopette pleine d’œufs, par chance, elle n’avait pas réussi à l’atteindre et il ne s'en plaignait pas plus que ça.

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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyJeu 15 Jan 2015 - 22:22


Il y a vingt-sept ans, je suis sorti du ventre de ma mère, et alors?
camie.




Ils ont toujours été très proches, c’est comme ça et ça n’a jamais vraiment changé depuis qu’ils se connaissent. Il arrive que le courant passe très bien entre deux personnes et c’est exactement ce qu’il s’est passé pour ces deux là. Une amitié très puissante les lie et Cass adore faire chier l’homme, tout comme il le lui rend bien quand on y regarde de plus près. Elle finit par avouer qu’elle a appris en cuisine depuis qu’ils vivent ensemble. Ah bas tu vois ! Ça t’aide et ça m’arrange, on est tous les deux gagnant, femme. Elle le tape doucement. Ils blaguent sur son âge, manière de la demoiselle de se venger de l’homme qui l’agace vraiment au plus haut point. Mais ils finissent malgré tout par presque se disputer à cause d’une gaffe qu’elle a faite. Pour se faire pardonner, c’est tout en câlin et bisous et presque déclaration d’amour que la brunette s’adresse à lui. Il se serre contre elle et en cet instant, ils ont vraiment tout du parfait petit couple. C’est bon du calme, arrête de dire n’importe quoi, je te pardonne. C’est plutôt moi qui aie de la chance de t’avoir et qui devrait te marier un jour. Elle sent un baiser sur sa joue et rit comme une idiote, une idiote qu’elle est d’ailleurs. Ses joues on rougi. Elle lui a presque fait une déclaration d’amour, elle est bizarre en ce moment, décidemment. Ils sont bons amis mais elle est trop mignonne pour se comporter comme une amie normale et venir le voir seuelment de temps à autres. A la place, elle place ses journées avec son ami, avec sa bonne humeur. Elle fait n’importe quoi avec le gâteau, ce qui semble bien faire rire l’homme. Décidément, faut pas te laisser avec un fouet dans la main toi. En plus, je te ferais remarqué qu’il faut pas mélanger les œufs et la farine en premier, même moi je sais ça ! Tu ferais mieux d’enfiler un tablier petit cochon. Elle rit, pour le coup amusée qu’il l’embête ainsi et le regarde d’un œil désespéré. Je peux aussi me déshabiller si tu veux ! Comme ça on salira mon corps et mes sous vêtements.. Elle rit et fait un sourire timide, dansant tout en continuant de faire la cuisine, toujours aussi enthousiaste. Bon, tu m’aides ou pas ?!



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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyDim 1 Fév 2015 - 12:01


       

❝Cassie & Jamie❞
     Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?
Comme les deux gamins qu’ils sont, Jamie et Cassie s’amusent à jouer les apprentis cuisinier, et d’une manière bien peu sérieuse puisqu’ils ne cessent de se chercher, de rire et de mettre de la nourriture partout. Malgré tout ce qu’elle peut essayer de lui faire croire, elle n’est pas bien douée et il ne pouvait guère en dire mieux. Mais puisqu’un anniversaire sans gâteau ce n’était pas la même chose, ils continuaient de persévérer, surtout que la brunette venait de faire perdre un peu le moral à son meilleur ami en évoquant sa sœur. Elle tentait donc de lui faire retrouver le sourire en faisant l’idiote et remuant des ingrédients dans un saladier, de manière à ce que la pâte vole partout. Cela fonctionna puisque le brun se mit à rire en la voyant faire, alors qu’elle salissait volontairement ses vêtements et ses cheveux, sans même prendre attention à ce qu’elle venait de mélanger. Il se moqua donc gentiment d’elle et lui proposa de mettre un tablier, parce que c’était plus sur si elle continuait comme ça, bien qu’il n’y a pas de moyen de protéger la cuisine de la tornade Cassandre. Mais elle préféra plutôt plaisanter en disant qu’elle pouvait tout aussi bien retirer ses vêtements et faire la cuisine en sous-vêtements, pour qu’ils salissent son corps. Il sourit amusé et leva les yeux au ciel. « Moi je ne dis jamais non à ton corps, mais ce ne serait pas très hygiénique. Met le tablier au moins ! » Mais elle s’en fichait pas mal, toujours occupé à danser et remuer la préparation avec joie, ce qui le fit sourire une fois de plus, avant qu’elle ne le rappelle à l’ordre pour venir l’aider. Il remonta alors ses manches et prit un air militaire pour dire. « Oui chef ! » Sur ce, il sortit le reste de ce dont ils auraient besoin et aida sa meilleure amie à faire ce fameux gâteau, pleins de chocolat et autres matières grasses qui ne serait pas bonne pour sa ligne. Quand ils mirent enfin le plat au four, la cuisine était un vrai chantier, de même que les cheveux de Cassie qui ne ressemblait à rien et faisait pouffer de rire l’australien. Une heure plus tard le gâteau était prêt et avait embaumé toute la maison, mettant l’eau à la bouche des deux amis qui étaient impatient de manger et fêter l’anniversaire pour lequel il avait été fait. Pour l’accompagner, Jamie avait trouvé dans son frigo de la chantilly qu’il apporta dans le salon, ainsi que du jus de fruits. Se doutant bien que la brunette voudrait lui préparer une surprise, il emmena ce qu’il restait, soit la vaisselle, jusque dans le salon, pour la laisser mettre la touche finale qu’elle souhaitait. Installer, il l’attendait et le temps ce faisait long, c’est pourquoi il demanda. « Tu viens pas parce que t’as trop peur de m’intoxiquer avec ton gâteau ou t’a déjà tout manger sale Richards ? »  

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Il y a vingt-sept ans, je suis sorti du ventre de ma mère, et alors?
camie.

 



Ils ne savent pas cuisiner. D’ailleurs, il serait plus que grand temps que la beauté qu’est Cassie s’y mette finalement, elle en a un peu marre de ne commander qu’au traiteur ou de ne se baffrer que de cochonneries qui lui font faire du sport après pour ne pas trop grossir. En fait, pour ne pas grossir du tout. Toujours est il qu’ils font les cons la moitié de l’après midi pour faire un gâteau qui sera sans aucun doute raté vu leurs talents culinaires respectifs, mais c’est l’attention qui compte, comme on dit. Finalement, Cass a été se doucher le temps de la cuisson du gâteau, laissant ses cheveux boucler sur ses épaules comme n’importe quoi et enfilant un t shirt appartenant à Jamie ainsi qu’un leggins qu’il a dû hériter de sa sœur, ou d’elle, elle ne fait plus la différence. Elle arrive pile pour quand ça sonne et saupoudre le gâteau d’arômes avant de mettre les bougies, laissant Jamie s’installer dans le salon alors qu’elle met les bougies. Tu viens pas parce que t’as trop peur de m’intoxiquer avec ton gâteau ou t’a déjà tout manger sale Richards ? Elle rit en entendant ça et arrive, entonnant un Joyeux anniversaire à l’accent anglais comme elle seule sait le faire, tout en riant de bon cœur. Elle lui donne une part du gâteau après avoir applaudi quand il a soufflé ses bougies et s’installe près de lui, souriante. Elle se mordille la lèvre et sort un second paquet, qu’elle a acheté à Londres. Enfin fait acheter par son frère, mais ça elle ne le dira pas. Elle lui donne une petite boîte contenant une boule à neige et une autre avec une montre de luxe, se doutant bien qu’il va gueuler. Pour compenser que je sois la seule avec qui tu fêtes ton anniversaire, mon Grincheux préféré. Elle chuchote en le regardant.



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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyJeu 19 Fév 2015 - 2:12


       

❝Cassie & Jamie❞
     Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?
C’est une belle après-midi qui se terminait pour les deux meilleurs amis, une comme il avait d’habitude de les faire, avec beaucoup de rire et de complicité entre eux, d’autant plus que c’était un jour spécial qui mettait à l’honneur Jamie pour son anniversaire. Il devait normalement passer cette journée seul, mais évidemment cela n’avait pas été au goût de la brune qui avait tout organiser pour qu’ils le fêtent ensemble. Ils c’était donc mit aux fourneaux pour préparer un gâteau, non sans quelques embûches, mais après une heure de cuisson, c’est la sonnerie qui annonça que celui-ci était prêt. Cassandre, qui avait eu besoin de se débarbouiller en prenant une douche, sortie de la salle de bain pour s’en occuper. Pendant ce temps, le jeune homme emmena tout ce dont ils auraient besoin tel que la vaisselle et les accompagnements au salon, avant d’attendre sagement la jeune femme. Comme le temps ce faisait long il l’a taquina et il entendit son rire provenant de la pièce voisine, jusqu’à ce qu’elle daigne enfin arriver, le gâteau décorer de multiples bougies en lui chantant la chanson de joyeux anniversaire. Le rose lui monta légèrement aux joues et il sourit gêner, admirant son gâteau qui n’avait pas l’air si mal et les flammes qui vacillaient, en l’écoutant, le cœur serrer par toute cette émotion. Il prit une grande inspiration pour souffler ses vingt-sept bougies, mais cela ne suffit pas et il dut s’y reprendre à plusieurs fois, sous les applaudissements de sa meilleure amie. Il attendit qu’elle serve le gâteau puis la prit doucement dans ses bras pour la serrer contre lui, un large sourire sur les lèvres. « Merci Cass, ça me fait vraiment plaisir… Et j’ai hâte de goûter notre gâteau ! » Il dit d’une voix enjoué, car même s’il avait quelques appréhensions, il restait que cela sentait drôlement bon et lui avait donné envie de goûter. Mais avant ça, la brunette lui tendit timidement deux autres paquets, pour compenser le fait que personne d’autre ne lui en offrirait. Il lui lança un regard mauvais, car elle venait de le surnommer grincheux et qu’en plus elle en faisait beaucoup trop. Il commença alors par ouvrir le premier contenant une boule de neige en souvenir de Londres, le pays natal de la demoiselle et il eut un petit rire, trouvant cela adorable, surtout qu’il n’y avait jamais été, mais il savait à quel point cela comptait pour elle et cela lui faisait plaisir. « C’est trop mignon, je la mettrais sur ma table de chevet pour toi. » Il lui promet en la secouant doucement pour regarder la neige tomber sur Big Ben. Il s’attaqua ensuite au deuxième, plus lourd et une fois le papier retirer, il tomba sur une boîte avec un logo de marque et l’ouvrit curieusement. Là il découvrit une superbe montre, comme il en avait toujours rêvé et il resta bouche bée devant, n’osant pas la toucher. « Putain ça doit coûter une fortune ! » Lâcha-t-il sous le coup de l’étonnement. Ses yeux brillaient comme ceux d’un gamin, mais pourtant il savait ce que cette qualité représentait et il ne pouvait pas se le permettre, même de la part de sa meilleure amie qui était riche. Il se mordilla alors la lèvre gêner et referma la boîte, déçu, mais sachant qu’il faisait le bon choix. « Elle est magnifique, mais c’est trop, je peux pas accepter… »

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Il y a vingt-sept ans, je suis sorti du ventre de ma mère, et alors?
camie.

 



Cassie s’efforce tout le temps de faire plaisir à ceux qui l’entourent. Et évidemment, ça commence avant tout par faire plaisir à son meilleur ami Jamie qui est en ce moment particulièrement aigri et de mauvaise humeur, comme à tous les jours depuis maintenant plus d’un an. Cassandre fait tout pour lui faire récupérer sa joie de vivre, celle qu’il avait quand elle l’a connu quelques années auparavant. Et elle réussit, que ce soit en lui faisant un gâteau autant qu’en lui offrant plein de cadeau, et elle ne s’en cache pas. Merci Cass, ça me fait vraiment plaisir… Et j’ai hâte de goûter notre gâteau ! Elle rit doucement en se rendant compte qu’il a les larmes aux yeux et découpe doucement le gâteau avant de lui tendre avec une certaine appréhension ses cadeaux, ne sachant que trop bien qu’il va faire la gueule. Et comme prévu, il lui lance un regard noir, qui montre bien à la brunette qu’il n’est pas ce qu’on pourrait appeler content de recevoir de nouveaux cadeaux. Il commence par ouvrir la boule à neige et paraît touché du cadeau. C’est trop mignon, je la mettrais sur ma table de chevet pour toi.Elle sourit avec timidité et colle un baiser sur sa joue. Il secoue la boule à neige, regardant les flocons tomber comme un gamin qui n’a jamais vu ce type d’accessoires de sa vie entière. Putain ça doit coûter une fortune ! Il dit en ouvrant la montre. Cass se mord la lèvre sous le coup de la nervosité, ne sachant pas exactement à quoi s’attendre pour son meilleur ami. Il n’a jamais le même genre de réaction et est donc par conséquent plutôt inquiète. Elle le voit se mordiller la lèvre après avoir ouvert la boîte, tout en ayant l’air en même temps d’un gamin le matin de Noël avec ses yeux emplis d’étoiles. Elle est magnifique, mais c’est trop, je peux pas accepter… Elle soupire. Non, ce n’est pas trop. Si, il peut accepter. Il peut faire un effort, elle en est certaine et va tout faire pour que ce soit le cas. Allez chaton, on peut pas la renvoyer, je l’ai faite venir depuis Londres juste pour toi… Elle est pour toi, elle est même gravée. Allez mon Jamie, je serais trop heureuse…. Elle lui murmure doucement. Elle dépose une part de gâteau devant lui, le suppliant toujours de la même manière avec ses yeux. Manges du gâteau, tu décideras après. Elle affirme avec un grand sourire, le suppliant des yeux.


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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyJeu 26 Fév 2015 - 0:58


       

❝Cassie & Jamie❞
     Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?
D’aussi loin qu’il se souvienne, Cassie avait toujours eut la fâcheuse habitude de lui offrir des cadeaux atrocement cher et il détestait ça. Evidemment, il appréciait l’attention, mais il était toujours gêner, car il ne pouvait jamais lui rendre de pareils cadeaux, qui étaient bien trop cher pour son compte en banque et surtout, qu’il ne pensait pas mériter. Et cette occasion n’y avait pas manqué, déjà que son premier cadeau l’avait embêté, il avait fallu qu’elle en remette une couche avec une montre qui devait valoir une fortune. Il n’aimait pas qu’on en fasse autant pour lui et sa meilleure amie était la première au courant, sauf qu’elle s’en fichait pas mal, comme le prouvait sa présence aujourd’hui alors qu’il avait refusé de fêter son anniversaire. Et pourtant il n’avait pas su résister bien longtemps et avait finalement accepté de faire une petite fête entre eux, autour d’un gâteau qu’ils allaient faire. Chose faite, ils se retrouvaient sur le canapé, à souffler les bougies, avant de partager le gâteau et que la brunette lui offrent de nouveaux présents. Il n’en revenait pas et même s’il adorait le bijou qu’elle venait de lui donner, il ne se sentait pas de l’accepter, c’était beaucoup trop, quoi qu’elle puisse dire le contraire. Elle le supplia, jouant de tous ses charmes et ruses pour le faire accepter, utilisant tous les prétextes qu’elle pouvait et qui étaient fondés, malheureusement pour lui. Il se mordilla la lèvre, voyant bien que cela lui faisait plaisir et il ne voulait pas lui faire de la peine, mais il ne savait pas commenter prendre un tel cadeau. « Cass, je sais pas… » Mais elle n’en démordit pas et lui coupa la parole, pour lui laisser un peu de temps pour réfléchir, le temps qu’il mange sa part de gâteau. Il soupira, elle avait vraiment le don pour changer de sujet et ainsi ne plus lui donné l’opportunité de refuser. Il se renfrogna et prit donc un morceau de gâteau qu’il mit dans sa bouche, le mangeant doucement, qui lui fit retrouver son sourire. « C’est pas mal, même bon… A part que c'est hyper sucré et que y’a un peu trop d’œufs. » Il éclata de rire et colla un baiser sur sa joue pour se faire pardonner. Ils n’étaient pas de grands chefs et ne devaient donc pas s’attendre à des mets gastronomique, mais malgré tout, cela était mangeable et il en reprit un peu, gourmand qu'il était. Il reposa ensuite son regard sur la brunette et comme il savait qu’il ne pourrait pas résister à ses grands yeux verts et son sourire, sachant qu’elle finirait par gagner, il anticipa en proposant un compromis. « Si j’accepte, je veux plus de cadeau pendant les dix prochaines années c’est clair ? »

© Pando
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MessageSujet: Re: {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ?   {CASSIE; #111} Il y a vingt-sept ans, je suis sortie du ventre de ma mère, et alors ? - Page 2 EmptyJeu 26 Fév 2015 - 20:06

Cassandre ne dépense pas son argent. Elle possède bien trop de zéros à son goût sur son compte en banque, c’est une chose plutôt clair, mais il ne faut pas oublier que la seule personne pour qui elle choisit véritablement de dépenser cet argent est Jamie. Ainsi, pour elle, claquer près de mille dollars australien pour son meilleur ami n’est pas exactement le genre de chose qui devrait lui poser l’ombre d’un soucis. Non, des soucis, elle n’en a pas, elle n’en a jamais là-dessus en tout cas. Lui, ça le gêne, elle ne le sait que trop bien mais elle s’en moque éperdument. Cass, je sais pas… Il est gêné, elle le voit bien, mais elle s’en tape. Qu’il soit gêné si ça peut lui faire plaisir. Elle, ce qu’elle veut, c’est e rendre heureux et elle sait bien que malgré les apparences, il est heureux de ce cadeau bien qu’il soit un peu trop cher. Elle détourne le sujet en disant qu’ils verront après le gâteau et laisse son ami goûter avant de goûter à son tour tout en écoutant la critique qu’il a à en faire. C’est pas mal, même bon… A part que c'est hyper sucré et que y’a un peu trop d’œufs. Elle rit. Ils ne sont pas de bons cuisiniers et ils le savent parfaitement bien, c’est pour ça qu’aucun des deux amis ne se vexe quand ils critiquent leur cuisine de la sorte. Cass, malgré tout, fait tout pour s’améliorer étant donné qu’elle en a un peu marre de voir son ami se bafrer de pizza en constance. Si j’accepte, je veux plus de cadeau pendant les dix prochaines années c’est clair ? Elle éclate de rire devant lui, se moquant ouvertement de l’homme qui lui sert de meilleur ami. Franchement ? Elle lui offre en constance des cadeaux, les fêtes ne sont qu’une excuse de plus ! Tu rêves chéri, y a Noël bientôt et j’aime trop t’offrir des trucs pour ça. C’est rien cette montre, imagine qu’elle coute dix euros, à l’échelle de mon compte c’est rien. Plus de rolex pour les dix prochaines années plutôt, d’accord ? Elle lui demande en riant, lui passant doucement la montre au poignet comme on pourrait passer la bague au doigt de quelqu’un. Par la suite, sur la montre qu'elle vient de lui mettre, elle regarde l'heure et se mordille la lèvre. Elle va devoir y aller. Faut que j'te laisse mon chat j'ai cours. Je t'aime fort. Elle colle un baiser dans son cou et sourit en se serrant contre lui.
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