Manger ensemble, c’est plus sympas | Lily-Anaëlle

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Manger ensemble,
C’est plus sympas

Un fond musical résonné dans la pièce à vivre de ma petite maison. Personnellement c’était ans la partie cuisine américaine, devant les fourneaux je m’évertuais a préparé le repas de ce soir pour moi et ma colocataire tout en chantonnant. Cuisiner n’était pas ma grande passion, mais j’aimais bien le faire lorsque je n’étais pas la seul à manger et lorsque j’y trouver le courage. C’était l’un de des avantages imprévue qui c’était produit lorsque j’avais pris la décision d’avoir une colocataire. C’était il y a quelques mois a présents, ça avait juste commençait par une idée, oui une simple idée. Je vivais encore seul avec Jupp, qui était encore tout jeune et nous venions d’emménager dans la maison, Jupp avais l’espace extérieure pour jouer, en même temps c’était fait exprès, mais a l’intérieure il n’y avait pas beaucoup d’animation malgré la place et surtout la seconde chambre. Le choix pour Lily ce fit partie les différentes réponses à mon annonce, c’est celle avec qui j’avais le sentiment que la colocation serais le plus simple.

Aujourd’hui Jupp avait grandi et bien qu’ils n’étaient pas encore adulte, il était déjà bien imposent, mais c’était un amour et grâce aux cours de dressage que l’on suivait tout deux j’arrivais plutôt bien à me faire obéir. Pour Lily, la cohabitation se faisait plutôt bien, même très bien, elle se partageait les tâches sur volontariat, il n’y avait pas vraiment de règles, puisque le respect naturel qu’elles avaient l’une envers l’autres régisseur leur vie jusqu’à présent et tout ce passé très bien, l’une faisait autant que l’autre et les tâches tournées naturellement. J’avais même était l’un des premières clientes lorsqu’elle avait changeait de vois, il faut dire que notre bureau avait besoin d’aménagement pour que l’on puisse le partager. Ce n’était pas l’espace qui manquer, mais l’aménagement, alors elles avaient vue ça ensemble, mais c’est surtout grâce aux idées de Lily que maintenant on pouvait travailler un peu plus facilement dans ce bureau.

Pendant que mes pommes de terre cuisaient dans la poêle, je sortais assiettes, verres et couverts pour nous deux afin de les disposait sur le comptoir ou on avait l’habitude de s’installer lorsque l’on était que nous deux. Au centre je posé mon saladier avec la salade que j’avais préparé un peu plus tôt, puis une dessous de plat qui accueillerais bientôt ma sauteuse pleine de pomme de terre lorsqu’elles seraient prête. En plus se midi j’avais même fait un dessert, en même temps j’étais bien plus souvent motivé par la pâtisserie que par la cuisine. Pour le moment je sortie de la pièce pour remplir la gamelle de Jupp qui était installer dehors, oui parce qu’un terre-neuve, c’est beaucoup plus heureux dehors que devant et puis ça fait moins de poils. Revenant à la cuisine je rajoutais de l’emmental râpé, rester plus qu’a le laissait fondre et c’était bon.

« Lily ! »

J’ignorais ou elle pour l’instant, elle pourrait être dans le salon/salle-à-manger que je ne l’aurais pas vue puisque j’avais le dos tournée. Alors j’avais légèrement crier le prénom de ma colocataire. Est-ce que ça me faisait étrange d’appeler le même nom que moi ? Non, pas vraiment, plus maintenant en tout cas. Les seuls moments de galère c’était lorsque l’on répondait au téléphone… Bah oui, les gens demandait toujours a parler a Lily… A la porte ça aller, il avait un visuel, mais au téléphone, ce n’était pas le cas.

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Une nouvelle vie s'offrait à toi, tu avais finis par vendre ta boutique, tu ne pouvais plus y aller, trop de souvenirs, trop d'hommes dans ce si petit espace. Et la fait que Sloàn soit encore parti sans laisser de trace, tu avais sombrer dans une petite dépression, tu avais eu un gros coup de mou et tu as finalement consulté une psy. Tu avais peur de te faire avoir mais au final, elle a été très professionnelle et tu avais pu remonter la pente. Son conseil : démarrer une nouvelle vie, faire table rase de ton passé. Alors adieu la librairie, et bonjour la décoration d'intérieur. Mais ce n'était pas la seule chose que tu avais laissé derrière toi. Tu avais aussi vendu ton appartement, enfin l'appartement de ta mère. La seule chose qui te restait d'elle. Mais c'était nécessaire pour avancer. Et puis tu avais trouvé une chambre dans la maison de Lily. Une sœur de prénom, et qui était très gentille. Ce qui était une bonne chose pour toi. Vous n'aviez pas de règlement, ce que tu avais pu voir dans certaines télé-réalité, où tu étais choquée de voir ce qu'il fallait aux gens parfois. Avec Lily, la vie était assez simple, chacune exécutant ses tâches, et faisant en sorte que tout se passe pour le mieux.
Il était midi, et Lily t'avait proposé de rentrer afin de manger avec elle, ce que tu appréciais grandement, ça te changeais de ta petite vie dans ton appartement immense. Et puis Lily était une très bonne cuisinière, tu appréciais grandement ses petits plats. Tu étais rentrée il y a une heure, après un rendez-vous pour la décoration d'une petite maison d'un jeune couple. La première chose que tu avais faite, était d'aller prendre une douche. Tu snetais que tu en avais grandement besoin. Et après, tu étais allée te relaxer sur ton lit. Mais quand la voix de Lily raisonna dans toute la maison, tu te levas rapidement, enfilant une blouse et une jupe et de te rendre rapidement dans la cuisine « Présente ! » Tu lui fis un petit sourire. Avant de regarder autour de toi. Avec de grands yeux, il y avait tant de choses sur la table, tu te croyais à Nöel. « Wahou ! Tu fais encore à manger pour des ogres ? » Tu rigolas un instant. Ce n'était pas méchant, loin de là, et Lily s'y était fait, enfin, tu crois. En tout cas elle ne s'en était jamais plainte. « Je peux faire quelque chose pour t'aider ? » Tu te réveillée un peu tard ma petite, mais on ne sait jamais, peut-être qu'elle n'avait pas encore tout à fait fini, peut-être que tu pourrais contribuer à ce repas, au moins pour cette fois. Et si tu ne pouvais pas, ce soir, ce serait toi qui ferais à manger. Si Lily était là bien entendu. Ele pourrait peut-être avoir une réunion et en ce moment tu ne retenais rien si ça ne concernait pas ton propre boulot, et encore, parfois tu te faisais des mémos pour ne pas oublier. « En tout cas ça sent divinement bon, ça me donne l'eau à la bouche ! »

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Pendant un instant lorsque je criais le prénom de ma colocataire pour aller manger j’avais l’impression de revivre avec ma mère. Sauf qu’à l’époque c’est moi qui débarquer en vitesse à l’attente de ce prénom et ce n’était pas toujours pour de bonne raison. Je souris a cette pensé, j’entendis alors quelqu’un descendre les escaliers, certainement Lily. « Présente ! » Je me retourne à ses mots avec un sourire. Elle aussi souriait, rien à dire on était fait pour s’entendre. « Super, tu auras le droit à un bon point. » Dans un moment enfantin, je lui tirer la langue, heureusement pour elle, on n’avait pas commençait à manger. « Wahou ! Tu fais encore à manger pour des ogres ? » Je regardais vite-fait ce qu’il y avait autour de moi. Il n’y avait pas tellement, en tout cas de mon point de vue. Bon d’accord, j’avais peut-être encore abusé sur les quantités, mais j’avais toujours peur de ne pas faire assez et puis de toute manière, je n’avais jamais su dosé correctement de toute manière. « Bah… On aura de quoi manger demain midi. » Oui, voilà, c’était une réponse. Surtout que moi j’avais qu’une à peine une heure de pose pour manger demain entre deux cours. Alors ça tombé parfaitement bien. Car certes il était important d’enseigné au jeune, mais il ne fallait pas pour autant ce négligé et faire un malaise en plein cours. Surtout que vous pouvez compter sur vos élèves pour vous le rappeler pendant un bon moment.
« Je peux faire quelque chose pour t'aider ? » Je regardais encore une fois autour de moi essayent de me souvenir ce que j’avais oublié. Pomme-de-terre, on avait les féculents, salade, on avait de la verdure… La viande, il manquait ça. « Oui, pour la viande j’avais pensé a du jambon, tu peux le sortir si tu veux. Personnellement je préfère le fumé, mais il y a du blanc si tu en veux. » Je souris une nouvelle fois, la remerciant de se proposer. J’espère que l’idée du jambon lui conviendrait, je trouvais ça léger et à côté des pomme-de-terre ça pouvait être agréable. Pendant ce temps, je ne chaumais pas, me pomme de terre arrivèrent en fin de cuisson. En bref, l’emmental ajouté était tout juste fondu et créé des filets. Coupant le feu je pris la casserole et la posé sur la table. « En tout cas ça sent divinement bon, ça me donne l'eau à la bouche ! » « Merci, j’espère qu’elles seront aussi bonne. » C’était notre majeur d’homme qui me l’avais apprise lorsque j’étais plus jeune, un peu avant que je m’éloigne de la maison familial pour les études. Hors de question pour lui de me laissait partir sans quelques recettes pour bien manger. Servant dans les deux assiettes en féculents et salades nous étions prêts pour remplir nos ventres. M’installent sur mon tabouret je pris la parole. « Alors, comment va la vie en ce moment ? » Rien de mieux qu’un repas pour discuter de tout et de rien.

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Une fois en bas, la remarque de Lily te fit rire. Et elle te rendait triste au fond de toi. Parce qu'elle te rappelait ta Jade, qui était institutrice et qui parfois pour te taquiner, te donner de vrai bon point, comme si tu étais son élève. Le fait que Lily en parle, même si elle ne savait pas toutes les petites habitudes que tu avais avec Jade, te donnait un peu coup de mou, que tu ne laissais pas apparaître. Ce n'était pas le bon moment de sombrer. Tu pourrais peut-être penser à appeler ta psy pour lui en parler, ça te ferait un peu de bien. Une fois qu'elle te tourna à nouveau le dos, tu lui tiras aussi la langue. Petite fille que tu étais, tu avais envie de rire un grand coup qu'elle sache que tu fais l'andouille mais tu te retiens. Ce que tu aimais beaucoup chez elle, c'est qu'elle avait toujours réponse à tout, jamais elle ne te regarde, hésitante sur ce qu'elle peut dire ou non, même si parfois ça n'a aucun rapport, elle te répond. Il y a toujours de quoi rebondir avec elle. « C'est pas bête ça ! » Si demain tu n'avais pas le temps de te poser pour manger un bout, tu pourrais te préparer une petite boite, dans ce sens, tu appréciais beaucoup qu'elle fasse autant à manger. Tu ne savais pas si parce qu'elle avait une grande famille ou qu'ils mangeaient beaucoup chez eux, mais toi t'étais une tortue, une feuille de laitue et c'était bon. Bon peut-être pas aussi peu mais tu ne mangeais pas beaucoup, et ça depuis ta plus tendre enfance. « Non, le fumé c'est parfait. » Tu t'approchas du frigidaire afin de sortir le jambon. Tu ouvris le paquet et en sortit une tranche afin de la rouler et de la poser dans l'assiette de Lily. Puis te renouvela l'opération trois fois, afin que chacune de vous ait deux tranches. Et tu laissas le paquet sur la table au cas où elle en voudrait une tranche de plus. Puis tu te mis à table, en attendant les patates. Plus tu attendais, et plus tu salivais, et tu n'avais qu'une envie, croquer à pleine dent dedans et te régaler. « Ça va être délicieux, comme toujours ! » Tu lui fis un sourire très amical. Depuis le temps que vous viviez ensemble, tu avais goûté à tellement de petits plats maisons, que tu te demandais où elle avait le temps et l'inspiration pour faire tout ça. Toi en voyant une patate, tu pensais à l'écraser et à en faire une purée. Elle, elle t'en faisait des gratins. C'est vrai qu'à côté, toi tu avais l'impression de ne pas savoir cuisiner. Et en même temps tu ne savais pas cuisiner. Et tu appréciais quand c'était le tour de Lily. Elle sortit les patates, et tu attendis qu'elle se serve pour te servir à ton tour. Tu en pris quelques unes, que des petites, ou du moins les plus petites possible, et tu étais prête à attaquer ton assiette. « Bon appétit ! » Tu lui adressas un petit clin d'oeil avant de couper un peu de jambon, une patate en deux et de prendre une feuille de salade pour accompagner le tout avant de tout mettre dans ta bouche. Une seconde après, tu te jettais sur ton verre d'eau parce que tu avais la bouche en feu. Et oui, c'était chaud, mais tu avais tellement faim que tu avais oublié que ça sortait du four. « C'est bon mais c'est chaud ! » Tu terminas ta bouchée avant de jeter un coup d'oeil à Lily. « Je ne pensais pas qu'une reconversion professionnelle pourrait être aussi compliquée mais je m'en sors, enfin je crois. Et toi ? »

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« C'est pas bête ça ! » Je n’étais pas quelqu’un qui voulais avoir le dernier mot, non j’étais même bien là de ça. Sauf peut-être quand je savais que j’avais raison ou alors face à l’un de mes élèves. Mais cette fois, elle m’avait tendu la perche et je me devais de la saisir ou ce ne serais pas digne de moi. « Hé ! Qu’es que tu crois il y en a là-dedans. » Désignant de mon doigt mon crâne je finis par laissé échapper un rire. Laissons ça de côté, il était temps de s’installer pour déguster le repas, car tout le monde le savais il était plus intéressent de mangé ce qu’il y avait sur la table plutôt que de l’admirer.
Nous avions alors finit par nous installer devant des pommes de terre rôtie et une tranche de jambon avec un petit peu de verdure, car nous pensions tout de même à notre ligne au moins un petit peu. Au bout de quelques minutes Lily la brune prit de nouveau la parole. « C'est bon mais c'est chaud ! » Je lui souris, rapidement, j’étais contente que ça lui plaise. Je suis sûr que vous me comprenais, on est tous un peu dégouté lorsque ce qu’on a préparé ne plais pas. « Contente que ça te plaise, mais dis-moi tu n’aurais pas piqué cette réplique a pub ? » Je sourie de nouveau, mais cette fois, je lui adressais aussi un clin d’œil. Par la suite, je finis part la questionner sur sa journée, par politesse, mais aussi par curiosité. « Je ne pensais pas qu'une reconversion professionnelle pourrait être aussi compliquée mais je m'en sors, enfin je crois. Et toi ? » C’est vrais qu’elle c’était reconvertie il y a peu encore, qu’elle devait encore prendre ses marques dans ce monde qui était devenu le sien. Je la trouvais courageuse. J’ignorais si moi j’aurais pu changer de vie comme ça. La réponse dépendait de tellement de chose que je chassais vite cette interrogation de ma tête. « Des maths et toujours des maths. J’ai un jeune qui veux trop faire carrière dans la physique, mais qui a pas mal de difficulté en math. Je suis chagriné pour lui, surtout qu’il met beaucoup de volonté. » Je n’aimais pas ne pas pouvoir aidée mes élèves. Etres impuissante face à leur difficulté me faisait me sentir nul, surtout lorsqu’il était volontaire. « Autrement je pense que mon meilleur ami risque de me faire la tête pendant quelques temps… » En même temps, j’avais fait une belle boulette.

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La voir mettre son doigt sur son crâne comme pour indiquer son cerveau te fis rire, parce que tu savais qu'elle n'était pas bête mais qu'elle ne devait pas avoir fait attention au premier abord qu'elle en avait fait trop, elle avait juste était assez maligne pour trouver une parade, et ça t'amusais. Tu n'ajoutas rien de plus, tu n'allais pas la contredire, il était temps de s'installer et de manger. Et tu ne perdais pas une seconde, une fois que tu étais en place, tu plantais ta fourchette dans la première pomme de terre qui se trouvait dans ton assiette avant de la fourrer dans ta bouche et de souffler parce que c'était chaud. Tu complimentas Lily, qui semblait amusée par ton comportement, tu devais passer pour une affamée, mais ce n'était pas grave, Lily devait avoir l'habitude maintenant. « Non, je suis innocente, on m'a plagié ! » Tu pris un air sérieux pour lui faire croire que tu en étais à l'origine, même si tu avais peu de chance qu'elle te crois, parce qu'au bout de quelques secondes, tu avais finis par pouffer de rire, telle une enfant. Tu étais de bonne humeur et tu lui partageais. En écoutant Lily parlait de son élève, ça te faisait de la peine aussi, parce que tu trouvais ça dommage de passer à côté de ses rêves parce qu'on a pas les capacités sur le coup. « Tu ne peux pas lui donner des cours supplémentaires, ou lui conseiller un cours de mise à niveau ? C'est vrai que ce serait vraiment dommage pour lui. » Si tu étais capable de faire plus que de simples additions ou soustractions, tu te serais proposée pour l'aider, mais ta compréhension des maths ne dépassaient pas les simples calculs, et tu ne pouvais pas y faire grand chose, bien que ça te chagrinait. Mais peut-être que Lily avait déjà fait tout ce qu'elle pouvait pour lui, tu ne savais pas. Quoiqu'il en soit, elle changea rapidement le sujet pour parler de ce qu'elle avait fait à son meilleur ami, et qui semblait être assez important. « Oh, qu'est-ce qui se passe ? Vous vous êtes disputés ? » Tu ne connaissais pas trop les amis de Lily, tu avais déjà vu une petite brunette venir plusieurs fois mais tu ne savais pas son prénom, ni d'où elle la connaissait.

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« Non, je suis innocente, on m'a plagié ! » Le repas avait commencé dans la bonne humeur et celle-ci avait de se maintenir. Ca me plaisait, je préférais grandement un repas dans la joie qu’être en face à face avec mon assiette. Pas qu’elle n’était pas sympa mon assiette, mais la conversation était plutôt limiter, ainsi que son humour. « Oh, les copieurs ! J’espère au moins que tu as porté plainte. » J’avais bien comprit qu’elle faisait de l’humour, mais je suivais, qui sais ou pourrez nous mener cette conversation.
Au sujet de la conversation, celle-ci partie sur nos journées et donc sur nos différent métier. Puisque moi j’étais professeur de mathématique au collège et au lycée de la ville, Lily exercé celui de décoratrice intérieure depuis ça récentes reconversion. « Tu ne peux pas lui donner des cours supplémentaires, ou lui conseiller un cours de mise à niveau ? C'est vrai que ce serait vraiment dommage pour lui. » J’avais parlé de l’un de mes élèves pour qui je m’inquiété. Ce dernier était passionné par la physique et voulait ce lancé dans de grandes études sur ce thème. Seul bémol à l’histoire, il manqué de logique en math ce qui était une grosse difficulté. Mettre des cours supplémentaire, je le faisais déjà, mais ce n’était pas le plus dure à faire. Volontaire, il y était, mais ce n’est pas si facile d’apprendre à quelqu’un à voir les choses autrement qu’il ne le fait. « Un cour de mise à niveau n’est pas la solution. Il suit très bien en cours, il n’a juste pas l’esprit logique… Par logique, j’entends celle qu’il faut pour les mathématiques… Difficile à expliquer. Mais t’inquiète, j’y bosse, je ne l’abandonnerais pas comme ça. » Pour une fois qu’un élève était bien motivé, c’était même un plaisir d’essayer de lui inculqué des choses.
Je parlais aussi de mon ami Nelligan avec qui j’avais fait une belle bourde récemment et ou je l’avoue je craignais un peu les prochains jours. « Oh, qu'est-ce qui se passe ? Vous vous êtes disputés ? » Ah, ma chère Lily, j’aurais préféré ? Je me rendis alors compte que malgré le fait que l’on vivait dans la même maison, on avait jusqu’à présent pas vraiment discuté de nos amis respectif. Passé-t-on un cap ? « Non, pas vraiment, il se peut que j’ai fait une belle gourde… Et pas qu’il m’en veille, mais il pourrait bien m’évité quelques temps. »

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Tu secouas la tête de manière verticale, pour lui donner ta réponse à sa question. Et surtout parce que tu avais un morceau de patate dans la bouche et que parler la bouche pleine était un peu mal poli. Et en même temps, tu n'avais rien à ajouter, après tout tu pourrais partir sur le fait que tu n'avais aucune chance de les battre, que tu n'avais aucune preuve qui avançait tes dires, mais c'était une blague à la base, donc ça ne servait à rien de l'enfoncer si loin, il fallait trouver le moment où arrêter la plaisanterie et ce moment était venu. Une fois ta bouche vide, tu attrapas ton verre d'eau avant de le descendre d'une traite, parce que tu avais chaud. C'était ça d'être gourmande, tu ne pouvais pas t'empêcher de manger vite et surtout de ne pas souffler sur tes aliments avant de te les enfiler comme un ogre. Après quoi, tu l'écoutais parler de son élève et de tout ce qu'il pouvait subir comme soucis, et tu voyais bien à quel point elle se sentait investie dans toute cette affaire et tu posas ta main sur son épaule, en lui offrant ton plus beau sourire. « Je n'en doute pas, tu es une des professeurs les plus impliquées que j'ai pu rencontrer ! » Tu te mis à rire en l'écoutant, parce que tu trouvais qu'elle en faisait des tonnes, certes, tu ne savais pas qui c'était, mais tu étais persuadée que pas la plus grosse bourde du monde puisse mettre une barrière entre deux amis, surtout quand ils sont très proches et très fusionnels, surtout qu'elle disait clairement qu'il n'y avait pas eu de dispute, peut-être une divergence d'opinion, ou un gaffe. « Oh, je ne pense pas que ton meilleur ami te tourne le dos quelques temps parce que tu as fais une bourde, d'ailleurs, qu'as-tu pu dire ou faire pour penser que se soit aussi grave ? »

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Je ne sais pas si on peut me qualifier de bonne prof. Je suis la moins bonne pour me juger, vous le comprendrait j’en suis sûr. Qui peut ce jugé soi-même de manière tout à fait objective. J’ignorais si j’avais la bonne pédagogie, mais vue les résultats qu’obtenait mes élèves je pensais ne pas trop me trompé. Mais ce que je savais, c’est je n’abandonnais pas mes adolescents, quitte à devoir passé pour la méchante auprès d’eux parce que je me permettais de le secouer un peu pour qu’il se réveil dans l’espoir qu’il soit un peu plus attentif en cour. « Je n'en doute pas, tu es une des professeurs les plus impliquées que j'ai pu rencontrer ! » Vous l’auriez compris, je savais plutôt bien que je m’impliquais dans la vie de mes élève, mais il était agréable d’entendre quelqu’un d’autre me le dire. Ca me soulagé en quelques sortes, mon implication n’était pas qu’une illusion puisque quelqu’un d’autre le voyait. C’était rassurant. « Merci Lily, espérons que ça suffise. » La conversation dévia alors sur Nelligan, oui, j’avais tout de même envie de me confier à quelqu’un par rapport à cette discussion. Non, parce que même si ça avait plutôt bien finit, j’avais peur que les choses change et ça, je n’avais vraiment pas envie que ça se produise. « Oh, je ne pense pas que ton meilleur ami te tourne le dos quelques temps parce que tu as fait une bourde, d'ailleurs, qu'as-tu pu dire ou faire pour penser que ce soit aussi grave ? » Je ne pus m’empêcher de me mordre la lèvre. Il est vrai que j’avais du éveillé sa curiosité, mais comment pourrais-je bien formuler ça. Il faut dire en plus aussi que j’étais à deux doigts d’éclater de rire de ma connerie. « Euh… Il se pourrait que pendant quelques temps je me sois trompé sur sa sexualité… En le pensent gay… Ce n’était pas le cas. Il ne l’a pas super bien prit. » En même temps ce n’était pas ce qu’il u avait de plus étonnant. « De ton coté, des rencontres intéressante ? » Oui, j’étais un curieuse.

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Tu hochas la tête en l'écoutant, tu était persuadée que ça irait, tu ne saurais dire pourquoi, c'était un sentiment que tu ressentais au fond de ton coeur, et tu ne pouvais t'empêcher de lui communiquer ton sentiment. « J'en suis certaine, et puis ce n'est pas comme s'il n'était pas motivé, alors vous avez toutes les cartes dans vos mains. » Tu l'écoutas te raconter ce qu'elle avait bien pu faire, et tu étouffas un rire, parce que même si c'était assez drôle, tu n'étais pas là pour te moquer d'elle, ça arrive à tout le monde. On n’interprète pas toujours les choses de la bonne manière. Lors des tes relations amoureuses, tu avais toujours cru que tu finirais ta vie amoureuse avec l'un d'eux, et pourtant, ils étaient tous partis, sans te prévenir. Donc tu comprenais très bien ce qu'elle devait ressentir, la manière dont elle devait se sentir. « Bon c'est vrai que ça peut être vexant, mais il n'y a pas mort d'homme non plus donc à part son égo qui en a pris un coup, il n'y a rien qui justifie qu'il t'évite, sauf si c'est un grand susceptible ! » Tu lui fis un grand sourire. Puis tu attrapas ton assiette, afin de la débarrasser, toi tu avais fini de manger. Tu lui tournas le dos le temps d'une seconde et quand tu lui face, tu haussas doucement les épaules. « Oh, tu sais, c'est assez compliqué, je crois qu'il y a quelque chose chez moi qui fait fuir les personnes qui m'entourent, et j'ignore ce que c'est... » Tu fis une petite moue avant de te ressaisir, ce n'était pas le moment de te laisser abattre. « Tu veux un yaourt, un café, ou un thé peut-être ? »

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