(#16) who are you -r.

Invité

Le réveil était la chose la plus dure, parce que tu avais un sourire béat sur le visage, pensant continuellement à lui, et te demandant si la journée allait passer vite, puis après un regard sur le réveil et le post-it qui te disait de lire le dossier posé juste à côté, tu fis une grimace, ne comprenant pas ce qui se passait. Et une fois la lecture finie, tu te sentais vide, et triste, parce que tu ne t'en souvenais pas, Et après le dossier, c'était l'ordinateur pour savoir qui tu avais vu ces derniers jours, et de quoi vous aviez parlé. Tu prenais toujours un air choqué en voyant que tu avais vu Liam, mais tu n'arrivais pas à t'en souvenir et ça t'énervais. Et après ça, tu t'équipais de ton bon vieux dictaphone, qui te permettait de te souvenir de toute ta journée. Ce matin, en te dirigeant vers la cuisine, tu te heurtas à une blonde, que tu n'avais pas vu arriver. « Euh.. Bonjour ? » Tu n'étais pas sûre que c'était la chose la plus appropriée à dire, mais au moins, tu donnais un semblant de politesse. Tu ne savais pas qui était cette jeune femme, mais si elle était chez toi, c'était pour une raison précise. Et oui, il y a quelques jours tu avais pris une colocataire, tu avais mis une annonce bien avant ton accident, parce que depuis le départ de ton ancien colocataire, tu t'étais retrouvée un peu seule, et tu avais voulu mettre sa chambre sur le marché, et tu n'avais trouvé personne avant l'accident. Mais il y a deux jours, cette charmante blonde était venue à toi, et tu avais dis oui sans hésiter, seulement, sans ta mémoire, tu avais déjà oublié qui elle était. « Qu'est-ce que vous faites chez moi ? » Tu lui adressas un sourire, ne sachant pas quoi faire.

Invité

Les rayons du soleil se frayaient un chemin entre les rideaux de la chambre, révélant de fines particules virevoltant dans les airs avec une certaine magie, comme de minuscules fées se réjouissant à l’unisson du retour du soleil. La blonde couché entre les draps chauds émergeait de son sommeil lentement, un long soupire s'échappa de ses lèvres pulpeuses alors qu'elle sortait du lit, elle se faisait un chemin vers la porte parmi les boites qui jonchaient la pièce. Jade avait enfin trouvait un logement, depuis son arrivée à Bowen elle vivait dans une chambre d'hôtel pendant qu'elle effectuait des recherches elle avait fini par trouver un appartement ou elle vit désormais en colocation avec une jeune fille nommée Tara. jade s'est tout de suite sentit à l'aise avec celle-ci et était même heureuse de vivre avec elle. D'un pas lent la blonde fit son entré en cuisine quand on la percuta, elle retourne le regard vers Tara qui affichait une mine plus au moins surprise et déclare souriante se disant que celle-ci s'était peut être réveillé du mauvais pied. « Bonjour comment... » Elle n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'elle cligna les yeux de surprise et d’incompréhension devant la suite des mots de la blonde en face d'elle, Jade sourit en levant un sourcil se demandant ce que a quoi Tara jouer « Je....suis ta coloc' Tara...Jade, tu t'en souviens? »

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Tu l'écoutas, avant de cligner des yeux plusieurs fois en pensant rêver. Et le plus drôle dans tout ça, c'est qu'elle te demandait si tu t'en souvenais, tu ne savais pas comment tu devais le prendre, après tout, si elle disait vrai, peut-être que tu ne lui avais pas dit, par peur, ou par honte. Là tu n'en étais pas sûre. Tu levas ton doigt en l'air, pour lui faire comprendre d'attendre quelques secondes. Tu retournas d'un pas vif dans ta chambre, cherchant à comprendre pourquoi ça n'y était pas. Et tu trouvais une pile de post-its que tu n'avais pas encore classé, comme le fait que tu avais revu Nelligan, ou bien que Louis avait pris un petit congé, ou encore que tu avais une colocataire. Tu retournas vers elle aussi vite, le post-it à la main. « C'est exact, je suis désolée.. » Tu lui fis un sourire, et tu te sentais vraiment mal. Tu ignorais pourquoi tu avais eu autant de retard à mettre en page tes derniers jours, mais il était clair que c'était une tâche que tu devais faire au plus vite parce que sinon cette situation serait gênante pour elle, si tu t'amusais à l'accueillir ainsi tous les matins. Tu secouas doucement la tête ne sachant pas comment tu pouvais rattraper cette situation. « Comment vas-tu ? »

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