We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.

Je n'arrivais vraiment pas à croire qu'elle ait pu faire ... Tout ça là ... Tous ces trucs totalement dingues qu'elle venait de faire sur moi. Avec mon ... Ma ... Bref. Avec mon truc dans son truc. Sérieusement, j'étais incapable de réfléchir. J'étais juste à moitié à l'agonie sur le lit. Je ne bougeais même plus. A croire que j'étais carrément mort tiens ! Dans le fond, c'était un peu ça oui. Mon kiki ? J'aime mieux quand tu dis titan. Ricanai-je mollement. C'était nettement plus valorisant quand même, il fallait bien le dire. Et bien sûr, j'avais besoin de ce genre de chose pour me sentir bien dans ma tête et dans ma peau ! Après tout ça, j'avais juste besoin de dormir et vite. Ce que je ne me fis pas prier de faire, dès qu'elle fut blottie contre moi. Et le réveil, quelques heures plus tard, fut incroyablement difficiles. Je me sentais presque autant crevé que la veille, sans exagérer ! J'eus un peu plus de courage qu'elle quand même, puisque je me levai. Mais répondis bien vite à l'appel de la sirène, en la rejoignant dans le lit. T'aime aussi. Répondis-je comme un petit garçon, en m'enroulant littéralement autour. Elle était vachement confortable quand même ! Entre ça et la fatigue, je ne mis même pas une minute à me rendormir. Et là encore, ça me fit bien un fou ce somme. Le fait de se réveiller une fois que j'avais assez dormi, c'était vraiment le pied. Et surtout, de me réveiller près d'elle !

Elle fini par ouvrir les yeux à son tour, les plantant dans les miens. Je souris à ses mots et vins caresser sa joue du bout des doigts. Et moi j'étais en train de me dire que tu ressemblais à un adorable ange. Soufflai-je d'une voix douce, sans cesser de la caresser avec lenteur. Ses mots doux m'arrachèrent un petit grognement de bien être et j'enroulai mon bras autour d'elle pour la serrer fort contre moi. Eh ben ma puce ... C'est le sexe divin qui te rend comme ça ? La taquinai-je ouvertement. Bien sûr que c'était une taquinerie de ma part. Parce qu'elle était toujours ainsi et j'en étais bien conscient quand même ! Elle déposa plein de baisers sur mon visage, qui me firent sourire et garder les yeux fermés. C'était trop agréable ça ! Evidemment, j'acceptai le fameux petit déjeuner au lit, sans me faire prier. Et en quelques minutes à peine, elle était de retour avec un plateau bien garnit. Je souris comme un gamin en regardant tous ces trucs fort appétissant ! Naturellement, j'attrapai le pot de Nutella pour en attraper un peu de mon doigt que je portai à ma bouche. Je soupirai d'aise et trempai à nouveau mon doigt dedans, avant de le porter cette fois à la bouche de ma petite amie. Si tu veux pas aller en cours aujourd'hui, tu veux faire quoi d'autre ?


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Moi macho ? Je roulai des yeux tant cette insulte ne me correspondait pas du tout. J'étais tout sauf un macho, il fallait bien le dire ! Mais le fait qu'elle me le dise, m'amusait plus qu'autre chose. D'autant plus que j'étais certain qu'elle ne le pensait pas. Et ne le disait que pour me taquiner ! Je ne répondis rien et me contentai finalement d'un petit rire avant de sombrer dans le sommeil. Après un réveil plus que difficile quelques heures plus tard, nous décidâmes de rester à la maison pour la journée. Ca ne serait pas plus mal en effet ! Et puis nous étions tous les deux totalement crevés. Même avec quelques heures de sommeil en plus, nous demeurions tendrement et paresseusement enlacés l'un contre l'autre. On était tellement bien là ! Oui c'est vrai. Mais quand tu dors, tu ressembles à un petit ange tout paisible. Lui fis-je tendrement remarquer. Je la taquinai ensuite quand elle me fit une soudaine déclaration d'amour. Mais mon sourire se fit plus tendre qu'autre chose, quand elle m'assura que même sans sexe, elle continuerait de m'aimer. Je fis courir le bout de mes doigts sur sa joue, sans la quitter un seul instant du regard. Je sais mon amour. Et tu sais que je t'aime tout autant ? Que je nous imagine parfaitement à l'âge de la retraite, tous les deux vieux croulants mais toujours débordant d'amour ?J'étais sincère également bien sûr. Je n'imaginais pas pouvoir un jour vivre sans elle.

Elle se proposa alors pour se charger du petit déjeuner. Ce qu'elle fit, pour me le ramener ensuite au lit. Je pris tout de suite du Nutella, avant de lui en donner également. Bien sûr, la voir sucer et lécher mon doigt avec autant d'application, ça me fit une petite pique de désir. Mais pour l'heure, j'avais surtout envie de rester contre elle à l'embrasser et la câliner. Le sexe torride de la nuit même, m'avait totalement mit sans dessus dessous ! Tout en faisant honneur au petit déjeuner qu'elle avait préparé, je lui demandai le programme de la journée. Mais elle me retourna bien vite la question, me faisant sourire par ses idées. En fait, t'es déjà ma muse. J'ai écris plusieurs chansons depuis que je te connais. Plus que je n'en avais jamais écrite avant toi. Avouai-je en rougissant. Même si c'était le genre de truc qui pourrait facilement me mettre mal à l'aise, je me sentais assez de partager avec elle désormais. Vu notre relation, je pensais même que nous pouvions tout partager tous les deux ! Je pourrai t'en faire découvrir une ou deux ... Et on pourrait aussi voir ensemble pour les changements à faire dans la maison ?


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Et en réalité, elle était ... Elle, en effet. Elle n'avait rien d'un ange en vérité. Mais ce n'était pas grave du tout. Celle qu'elle était véritablement, n'était pas non plus un pur démon. Et j'aimais cette fille là. Elle avait de bons et de mauvais côtés. Mais c'était humain. J'étais loin d'être parfait également, après tout ! Je ne pouvais donc décemment pas m'attendre à avoir une petite amie avec zéro défaut. de toute façon, ça ne m'intéressait absolument pas ! Il n'y avait vraiment pas pire pour se faire chier en vérité ! T'es mi ange, mi démon. C'est pas plus mal tu sais ! Au moins avec toi, on ne risque pas de s'ennuyer, parce qu'on ne sait jamais à quoi s'attendre. Lui assurai-je avec un tendre sourire et toute la sincérité du monde. Je n'avais aucune raison de lui mentir ou d'exagérer les faits. Je n'y tenais pas de toute façon. Nous parlâmes ensuite de nouveau pleinement d'amour. Elle était certaine que nous nous aimerions toujours, même quand on serait trop vieux pour faire l'amour. j'étais totalement d'accord avec elle. Si je l'aimais au point de vouloir faire ma vie avec elle, ce n'était pas pour rien ! C'était parce que je savais que je l'aimerais jusqu'à la fin, quoi qu'il arrive. Je ne voulais quand même pas trop penser à nos dernières années de vie. Parce que l'un de nous allait forcément y passer avant l'autre. Et franchement, l'idée me dérangeait beaucoup. J'étais du genre à rapidement aller mal, quand je me laissais submerger par de sombres pensées. Or, pour l'instant, je voulais encore pouvoir profiter pleinement de ma petite amie. D'autant plus que nous venions de décider que nous allions rester chez nous, pour le reste de la journée. ce n'était pas dans mes habitudes, pourtant, de faire ainsi sauter des jours de cours.

Au programme, elle proposa que je lui fasse écouter des chansons que j'avais écris en pensant à elle. La vérité, c'est que j'en avais écris beaucoup plus qu'elle ne pouvait imaginer. Bien sûr ! des tas ! T'es très inspirante. Les sentiments que j'ai pour toi, aussi, sont vachement inspirés ! Lui confirmai-je avec joie, devant sa réaction que je trouvais fort plaisante. Elle avait l'air très heureuse d'apprendre tout ça. Et pour couronner le tout, elle rougissait. Elle était tellement adorable quand elle rougissait de la sorte ! Je fis d'ailleurs de nouveau courir le bout de mes doigts sur l'une de ses joues brûlantes. Je proposai une suite à ce programme, mais elle était trop occupée à rêvasser sur toutes ces chansons, pour vraiment m'entendre. Ce qui m'arracha un petit rire amusé. Elle était trop adorable ! En tout cas, je ne me fis pas prier pour me lever, enfiler un boxer et un pantalon, avant de quitter la chambre pour aller récupérer ma guitare et quelques papiers. Je revins ensuite dans le lit, souriant à sa question. Bien sûr que je m'en rappelle. Mais la première que j'ai écrite, c'est la première fois que je t'ai vu. Et elle parlait de la force de l'attirance que j'avais éprouvé. Dans cette chanson, je ne parlais pas du tout du côté négatif de cette "rencontre". A savoir, que je m'étais rendu compte très vite qu'elle était ... une garce. Je me contentais d'appuyer sur le fait qu'elle était trop bien, trop belle, trop intelligente, trop riche et donc trop intouchable pour un mec comme moi. C'est la première que j'ai fais et je l'ai retravaillé pendant des mois. J'aime bien le rendu. Mais c'est pas ma préférée. Je préfère celle où je parle de la sirène que j'ai rencontré chez les parents de cette fille incroyable. Ou l'une des dernières, qui parle uniquement d'amour !


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Je n'avais jamais fais attention à ça. Au fait que je transformais les petites choses négatives de sa personne, en des choses positives. Mais j'étais en train de m'en rendre compte maintenant qu'elle me le faisait remarquer. Et en effet, c'était très certainement l'amour qui faisait cet effet. Je sais pas. C'est l'amour qui fait ça je suppose. Je t'aime tellement, que même tes défauts je les aime. Répondis-je finalement. Oui, c'était tout à fait ça. J'adorais ses petits défauts. Parce que pour moi, ils faisaient son charme. Et je ne pensais pas non plus qu'elle déteste mes défauts de toute façon. Sans quoi, elle ne me supporterait même pas. Vu qu'il s'agissait surtout de trucs bien lourds et bien chiants, que je supportais moi même avec difficulté. Je l'aimais également au point d'avoir écris des tas de chansons en pensant à elle. Parce que je l'aimais depuis le premier jour et qu'elle m'inspirait depuis le début. Alors ne dit rien ma puce ! La taquinai-je en caressant son nez du bout d'un doigt. Les mots entre nous, n'étaient pas vraiment utiles de toute façon. En tout cas, je le pensais vraiment. Quant au fait que j'avais écris des tas de chansons sur elle, ça voulait tout dire me semblait-il !

Je ne fus pas vraiment surpris d'apprendre qu'elle ne se rappelait pas de la première fois que nous nous étions vu. Soit, ce n'était pas la chose la plus plaisante qui soit. Mais c'était comme ça. Et je m'étais fais à l'idée depuis longtemps, qu'elle avait mit bien plus de temps que moi, à tomber amoureuse. Du temps pour tout en fait, contrairement à moi. Oui ma puce. Désolé mais c'est bien le cas. Je te l'ai déjà dis. Lui rappelai-je avec un petit sourire. Soit, à ce moment là, je ne pensais pas encore que j'étais amoureux d'elle. Mais j'étais bien conscient du fait que je ressentais déjà quelque chose d'assez dingue et de parfaitement incontrôlable. Qui n'avait fait que grandir au fil du temps et se faire de plus en plus fort. Je souris et fermai les yeux quand elle déposa plein de baisers au creux de mon cou. Ca c'était super agréable. J'adorais ! Elle ne me laissa pas le temps d'aller chercher ma guitare, puisqu'elle couru tout de suite hors de la chambre en exigeant que je les lui chante toutes. Celle là, je ne m'y attendais pas du tout ! Vêtu d'un boxer et d'un pantalon, je l'attendis sagement et elle revint très vite avec tout ce qu'il fallait. Elle ne me laissa pas le temps de vraiment réagir. Je m'installai plus confortablement, guitare sur moi, pour entamer la première chanson. Celle qui parlait de mes émotions au premier regard que j'avais posé sur elle. C'était incontestablement l'une de mes préférées. J'espérais qu'elle allait également l'aimer, évidemment.


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J'étais quand même un peu rassuré d'apprendre qu'elle aimait mes défauts. Un peu, dans le sens où on ne pouvait pas dire qu'elle me donnait une autre impression que celle ci. Je voyais bien qu'elle trouvait mes défauts plus attendrissants qu'autre chose, depuis le début. Alors que moi même, j'en étais super gêné. Voir carrément agacé. C'était tout de même un comble que d'être agacé par soi-même ! Quoi qu'il en soit, j'aimais beaucoup l'entendre me confirmer la chose. Ca me fit sourire et me poussa à déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Je lui fis ensuite mention des chansons que j'écrivais en pensant à elle. Autant dire qu'il y en avait maintenant un tas ! En la voyant réagir de façon aussi adorable, je vins caresser son nez du bout du doigt. Elle réagit en le plissant. Ca aussi, c'était trop adorable ! Faut vraiment que t'arrêtes d'être aussi craquante ! J'ai envie de te mordre ! Quoi que ... Non arrête pas. J'aime trop ça ! Je continuais de la regarder avec un certain émerveillement. Ok, j'étais vraiment amoureux fou d'elle. Il n'y avait pas le moindre doute. Et franchement, je le vivais plutôt bien. Et je l'aimais depuis le premier regard. Et ce n'était pas grave du tout que ça ne soit pas pareil pour elle. Je ne lui en voulais pas. A vrai dire, je ne lui en voulais plus pour rien du tout !

Tu penses que je serais aussi amoureux de toi si t'avais encore des choses à te faire pardonner ? Tout est déjà complètement oublié mon amour tu sais ! Lui assurai-je avec toute la sincérité du monde. Je n'avais absolument aucune raison de lui mentir de toute façon. Et puis le fait est que je ne lui mentais jamais et ne voulais vraiment pas commencer ! Evidemment, arriva le moment où je fus presque obligé de lui chanter les chansons que j'avais écrite en pensant à elle. Elle y tenait vraiment et ça se comprenait, bien sûr. Alors une fois qu'elle m'eut ramené ma guitare, j'entrepris de lui chanter la première. Concentré sur la chanson, je ne tournai pas le regard vers elle. Ce ne fut qu'à la fin que je le fis et je me figeai net en réalisant qu'elle pleurait. Soit, de joie et émotion, je le savais bien. Mais quand même, c'était de grosses larmes là ! D'ailleurs, elle se jeta sur moi pour enfouir son visage dans mon cou. Hey ma puce, pleure pas. Ca me fend le coeur de te voir pleurer ... Marmonnai-je doucement. Au bout de quelques minutes, elle se détacha de moi et exigea que j'enchaîne. Je fis la moue et l'observai en silence durant quelques minutes. Mais je finis, évidemment, par lui obéir. J'entamai la suivante. Puis une autre. Avant d'en venir à ma préférée. Celle qui ne parlait que d'amour. De cet amour dingue que je ressentais pour elle à l'heure d'aujourd'hui. Quand j'arrêtai, je dardai un regard amoureux sur elle, petit sourire aux lèvres. C'est ma préférée celle ci. Qu'est-ce que t'en penses ?


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Pour certaines personnes, je passais sans doute trop de temps à complimenter ma petite amie et à lui rappeler à quel point je pouvais l'aimer. Mais sincèrement, de mon point de vu, ce n'était jamais trop. Ce n'était même jamais assez en fait ! Je l'aimais comme pas possible et je la trouvais véritablement parfaite, même avec ses défauts. Et ce, quoi qu'elle en pense et en dise ! Toutefois, la voir pleurer d'émotion, ça me fit quand même quelque chose. Il ne s'agissait pas d'adorables petites larmes. Mais d'un torrent de larmes plutôt ! Du coup, je fus un peu hésitant et la serrai fort contre moi comme si elle avait besoin d'être réconfortée d'un gros chagrin. C'était tout simplement plus fort que moi. Je sais oui. Mais ça me fait quand même quelque chose. Marmonnai-je doucement, presque sur un ton boudeur. Bien conscient que ses larmes allaient continuer de me faire quelque chose, je repris quand même ma guitare en main pour lui chanter quelques autres chansons. je la sentais encore toute émue à mes côtés. J'aimais ça autant que ça me faisait étrange, pour ne pas dire un peu de mal même. Ok, c'était certainement très bête de ma part. Mais c'était comme ça ! Je fus surpris par ses premiers mots quand je cessai de jouer. Comment ça, elle n'arrivait pas à y croire ?

Tu avais encore des doutes ? M'étonnai-je presque aussitôt à voix haute. Pourtant, je n'avais eus de cesse de le lui assurer. En un sens, je pouvais la comprendre ... vu que de mon côté également, je doutais parfois qu'elle puisse m'aimer aussi fort que moi je l'aimais. Il faut dire que j'étais incroyablement dingue d'elle et que ça ne changerait jamais. Quoi qu'il en soit, je fus rassuré de savoir qu'elle aimait mes chansons. Même si là encore, je n'étais pas trop surpris. Depuis le début, elle avait tellement l'air d'aimer tout ce que je faisais ! C'est bien parce que je les composées en pensant à toi. Lui fis-je remarquer avec un tendre sourire, en la serrant de nouveau contre moi. Après quoi, elle se recula un peu pour me regarder avec une insistance qui me fit craindre le pire. A quoi devais-je m'attendre ? La réponse ne tarda pas à arriver et me fit un peu plisser le nez. Je savais qu'elle finirait par remettre ce sujet sur le tapis ! Mais ça c'est plus ou moins ce que je fais en chantant dans un bar ma puce. Pourquoi vous l'étendre au pays entier ? C'est même pas certain que ça marche. Des tas de gens avec du talents, ne parviennent pas à avoir du succès ... Tentai-je de lui faire entendre raison.


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