Puppies, puppies everywhere! (jassie)

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❝Jassie❞
puppies, puppies everywhere!

Rien de mieux ne pouvait lui arriver en ce matin d’anniversaire, entre sa copine sexy et son cadeau parfait, elle savait comment le satisfaire et il n’en avait jamais douté. Ravi, il l’admira faire la cuisine, ses petites fesses remuant sous son sweat quand elle préparait le mélange, ce qui était soudainement devenu plus intéressant que les chiots qui venaient de faire une glissade, même s’il n’avait pas pu s’empêcher de rire en les voyant. Il se concentra ensuite de nouveau sur sa voix et lui sourit avant d’accueillir son baiser. « Oui, ils auront de quoi faire et on s’occupera bien d’eux ! Ils vont rester tous les deux-là alors ? Ils vont te manquer quand tu dormiras chez toi, ça fait longtemps que tu les avais non ? » Il répondit en la regardant câliner les chiots qui était tout content d’avoir droit à un peu d’attention de la part de leur maîtresse, mais Jamie restait l’homme de la journée et il n’allait pas se laisser voler sa chérie si facilement. Même si celle-ci se moquait gentiment de l’australien qui râla en lui tirant la langue, parce qu’au fond il savait qu’elle avait raison et il était encore étonné qu’elle soit là après ces deux années à le supporter où il avait vraiment été horrible. Mais heureusement que Cassie avait tenu, car il était bien content de l’avoir aujourd’hui et il ne voulait plus jamais la quitter. Elle revint par la suite s’asseoir sur ses genoux et il vit bien qu’elle prenait des pincettes en lui proposant d’aller chez ses parents pour célébrer ce soir. En effet, il n’avait pas toujours été tendre avec eux et il avait refusé ces deux dernières années de fêter son anniversaire ou même noël avec sa famille, ce qui leur avait certainement fait du mal. Maintenant, il tentait d’arranger les choses timidement, en douceur et cela fonctionnait puisqu’il se rapprochait peu à peu d’eux, alors cette soirée ne pourrait qu’être bénéfique pour les Marshall. Il la regarda et hocha doucement la tête en souriant. « Ça me va, si tu m’accompagnes évidement… » Puisque même si ses parents étaient déjà au courant de leur relation, chose qu’il soupçonnait déjà depuis un bon moment, ils n’avaient pas encore eut l’occasion d’avoir un vrai repas de famille, avec une vraie sortie officielle de couple, donc cela ferait aussi du bien à leur couple, ce qui ne pouvait pas être mal pour oublier les derniers nuages qui avaient pesé sur eux. D’humeur taquine maintenant, il lui lança un regard coquin, tandis que sa main caressait sa cuisse et s’aventurait dangereusement plus haut sur sa peau nue. « Mais oublie pas de mettre une culotte hein. » Il chuchota en embrassant et mordillant doucement son oreille.

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Oui, ils auront de quoi faire et on s’occupera bien d’eux ! Ils vont rester tous les deux-là alors ? Ils vont te manquer quand tu dormiras chez toi, ça fait longtemps que tu les avais non ? Tu es tellement contente que Jamie paraisse heureux de la surprise que tu lui as faite, toi qui ne trouvait rien pour marquer le coup et qui a fini par te retourner vers un potentiel animal de compagnie. Tu as visiblement fait le bon choix en optant pour des chiots afin d’offrir à ton homme, puisque tu as bel et bien l’impression que c’est un véritable gamin qui a ouvert ses cadeaux le matin de Noël. Voilà des années que tu n’as pas vu celui qui fut et est toujours ton meilleur ami si heureux, et cela te met du baume au cœur de voir qu’au final, malgré les difficultés, tu as fini par réussir à prendre soin de l’homme et à lui redonner goût à la vie. Tu penses à la question que Jamie vient tout juste de te poser, Cassandre. Ils vont me manquer, mais je sais que leur maître s’en occupera avec tout l’amour du monde, ça me réconfortera. Tu dis en riant doucement et en lui faisant un beau sourire comme tu sais si bien les faire. Tu finis par lui proposer, un peu plus hésitante, d’aller fêter l’anniversaire de ton amoureux chez ses parents. Cette question est délicate, tu sais combien il leur a brisé le cœur en refusant maintes et maintes fois leurs invitations, que ce soit pour son anniversaire ou pour Noël, alors forcément tu as un peu peur même si tu sais que le caractère de cochon de ton amoureux s’est quelque peu amélioré. Ça me va, si tu m’accompagnes évidement… Tu hoches la tête et sourit : bien évidemment que tu vas l’accompagner ! Que ce soit à titre de petite amie où de meilleure amie de leurs enfants, tu as toujours été la bienvenue chez les Marshall et ce n’est pas pour te déplaire, certainement pas même. Mais oublie pas de mettre une culotte hein. Tu deviens écarlate tout en frissonnant, le regardant en riant. Evidemment bébé ! Y a qu’avec toi que j’en mets pas tu le sais. Je vais me faire toute belle parce que c’est un jour spécial, même. Ils vont être contents… Je vais leur envoyer un message. Tu affirmes en attrappant ton portable, tapant rapidement un message histoire de confirmer votre venue le soir même. Puis tu te lèves et fait chauffer la poêle, commençant à faire cuire des crêpes. Je suis contente qu’on soit à nouveau tous les deux bébé, je te le dirais jamais assez je crois. Je t’aime tellement. Tu marques une pause et le regarde après avoir retourné la première crêpe. Tu veux quoi dans les crêpes amour ? tu demandes en souriant.

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❝Jassie❞
puppies, puppies everywhere!

Jamie était assurément heureux en ce jour d’anniversaire, qui s’annonçait pour une fois être un jour de fête, grâce à Cassie évidemment qui avait appris comment le faire sourire et réussissait à merveille. Il était bien entouré avec cette demoiselle et il le serait d’autant plus maintenant qu’ils allaient partager leur vie avec deux chiots adorables qui allaient vivre ici avec lui et sa petite amie quand elle viendrait, c’est-à-dire très souvent. Elle affirmait lui faire confiance pour s’occuper d’eux et il grimaça légèrement, pas tout à fait d’accord avec elle, avant de répondre. « Avec amour, ça oui ! Mais bien s’en occuper, ça je sais pas, je vais avoir besoin de ton aide. » Il rit et la réceptionna sur ses genoux avant qu’elle ne se mette à parler d’aller chez ses parents le soir. Il n’était pas tout à fait rassuré étant donné que cela faisait plusieurs années qu’il ne l’avait pas fait, mais accepta tout de même, car il savait que c’était important pour eux, ainsi que pour Cassie et il n’avait plus vraiment de raison de décliner leur offre. Sa réponse sembla plaire à la brunette qui devait être fière d’avoir réussi à le convaincre après toutes ses années et il en profita pour la taquiner au sujet de leur première apparition à un repas de famille ensemble. Elle rougit : objectif accomplit, ce qui fit bien rire le Marshall. « Heureusement, sinon je me poserais des questions ! T’es déjà belle de toute façon et t’as rien à prouver, ils t’adorent déjà. » Il lui dit entre deux baisers dans son cou, tandis que l’anglaise envoyait un message à ses parents, leur relation était toujours aussi étrange pour le brun qui était devenu bien moins proche d’eux qu’elle ne pouvait l’être aujourd’hui. Il la laissa ensuite se remettre aux fourneaux et de son coté, il commença à sortir la vaisselle pour le petit-déjeuner, ainsi qu’à faire chauffer du café, quand elle évoqua insidieusement leur dernière dispute. Ce n’était pas vraiment le sujet adéquat à aborder en ce jour, mais les conclusions étaient bonnes, puisqu’elles avaient un réel impact maintenant. « Moi aussi mon ange. » Il répondit en la regardant amoureusement, malgré ses blessures, il n’avait pas pu lui en vouloir éternellement, il comprenait qu’on pouvait faire des erreurs et lui avait pardonné. Par la suite, elle lui demanda ce qu’il voulait dans les crêpes et il répondit aussitôt. « De tout ! J’emmène ça sur la table et on choisit là-bas ? Sur la terrasse ce sera bien. » C’est donc tout joyeux qu’il porta le plateau sur ses genoux avec du chocolat, de la confiture, du miel et même des fruits jusqu’à l’extérieur, il fut d’ailleurs obligé de faire plusieurs aller-retour pour apporter toute la nourriture. Il attendit ensuite l’arrivée de Cassie, mais surtout des crêpes, dans le jardin, impatient et s’occupa en jouant avec les chiens, tout excité d’être au grand air.

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Des chiots. C’est le meilleur des cadeaux que tu aurais pu trouver, c’est certain. Ils sont tellement adorables et puis Jamie a l’air tellement heureux que tu ne peux qu’être fière de ton présent Cassandre. Ca te ravit de le voir aussi heureux d’être là et comme avant que tu es certaine d’avoir choisi le bon présent pour satisfaire l’homme de ta vie. Maintenant que vous n’êtes plus en froid tous les deux tout va pour le mieux et tu en es totalement ravie. Revoir le sourire de l’homme ne fait pas de mal après tout ce temps où il a été mal et il mérite à ton sens d’être heureux enfin, pour la première fois depuis l’accident qui a basculé sa vie. Tu es certaine que Jamie saura s’occuper à la perfection de vos deux bébés mais lui, avec son manque de confiance habituel, n’y croit pas tellement. Avec amour, ça oui ! Mais bien s’en occuper, ça je sais pas, je vais avoir besoin de ton aide. Tu ris mais hoches néanmoins la tête. Tu ne changeras pas ce manque de confiance en lui qu’il ressent et tu feras tout pour que ça évolue avec le temps ; tu sauras totalement le guérir Cassie, tu en es certaine. Heureusement, sinon je me poserais des questions ! T’es déjà belle de toute façon et t’as rien à prouver, ils t’adorent déjà. Tu fais un petit sourire et reste doucement dans les bras de ton meilleur ami qui te sert de petit ami. Venir à titre de petite amie de ton Jamie te fait on ne peut plus bizarre mais c’est comme ça maintenant et tu dois t’y faire, parce que c’est ce que tu es et tu espères avoir ce titre encore longtemps. Moi aussi mon ange. Lui aussi il t’aime, cassandre, lui aussi il est content que tu sois de retour avec lui et tu en es ravie. Tu espères que désormais plus rien ne pourra vous séparer parce que tu es folle de lui et que tu sais bien que tu ne t’en remettrais jamais. De tout ! J’emmène ça sur la table et on choisit là-bas ? Sur la terrasse ce sera bien. Tu hoches la tête en lui souriant et continue à faire les crêpes. Une dizaine de minutes plus tard, tu rejoins ton copain en posant une assiette remplie de crêpes sur la table avant de retourner chercher vos boissons et de les poser avec un sourire à l’encontre de ton chéri. Tu t’installes et regardes les chiots courir en riant joyeusement. Ils sont trop mignons nos bébés à nous tu trouves pas ? Tu dis en lui faisant sa première crêpe avant de le la lui donner.

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❝Jassie❞
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La journée démarrait bien pour Jamie, il était tout excité, presqu’autant que les chiots qu’il avait emmené dans le jardin pour jouer avec eux en attendant Cassie et ses crêpes. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas été aussi heureux, surtout le jour de son anniversaire et ça il le devait sans hésiter à la femme qui partageait sa vie. Comme un gamin, il chercha des branches à lancer aux chiots dans l’espoir qu’ils le lui rapportent, mais ne comprenant rien, ils courraient après et se roulaient dans l’herbe avant de rejoindre leur maître en remuant la queue. Trop attendri par ce spectacle, il ne pouvait pas leur en vouloir. Finalement la mannequin réapparu, toujours aussi élégante et sexy, malgré sa petite tenue et il la regarda s’installer puis lui préparer sa crêpe comme une petite maman l’aurait fait. Elles sentaient bon et il avait déjà l’eau à la bouche. « Oui, adorable ! Je les aime déjà. » Il lui répondit en souriant en jetant un œil aux bébés, avant de commencer à manger et à s’extasier. « Mmh ! C’est succulent ! » Il rit et la regarda en dégustant tranquillement, avant d’attraper une des jambes de Cassie pour la mettre sur ses genoux et la caresser en la bouffant des yeux. « C’est toi que j’ai envie de croquer. » Il lui chuchota malicieusement, avant de boire une gorgée de son café, puis de se rapprocher d’elle en attrapant sa deuxième jambe afin de poser ses pieds de chaque côté de son fauteuil et de se retrouver entre celles-ci pour pouvoir l’embrasser. Longuement, il goûta ses lèvres et fit danser sa langue avec la sienne, savourant leur union. « Comment tu fais pour être si parfaite ? » Il souffla en caressant toujours ses cuisses, profitant de leurs derniers instants de tranquillité avant que les deux monstres ne viennent envahir leur intimité.

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Voir Jamie sourire est la meilleure des récompenses que tu puisses avoir, Cassandre, à n’en pas douter. Parce que lorsque ses parents t’ont appelé, il avait sans hésiter dit adieu à tout à la suite de son accident et que maintenant, peu à peu, une nouvelle possibilité de vie se dessine. Tu es heureuse, toi aussi. Parce que cette fameuse possibilité de vie qui se dessine, comme tu le dis si bien, elle est à tes côtés, Cassandre, et ça, tu n’aurais pas pu demander mieux, c’est certain. Tu es amoureuse de ton Jamie, tu en es raide dingue même et peu à peu tu apprends la vie à ses côtés en découvrant toujours plus de manières de vivre, toujours plus de méthodes pour le faire sourire et pour le rendre heureux. Toi qui étais par le passé tellement perturbée par tout ce qui pouvait se passer au sein de la vie quotidienne des personnes bien moins riches que toi, tu dois à présent apprendre à cuisiner, à faire le ménage et à faire un tas de choses dont tu n’aurais jamais soupçonné l’existence. Mais le moins que l’on puisse dire, cassandre, c’est que tu es heureuse. Oh que oui, tu es la plus heureuse en ce jour et voir Jamie sourire ainsi alors que tu lui prépares tranquillement son petit déjeuner, c’est le plus beau cadeau du monde à n’en pas douter, tu en es certaine. Tu as confiance en toi pour le rendre heureux, et cela te rend tellement heureuse de le voir réapprendre à apprécier la vie, de le voir redevenir celui qu’il était par le passé. Oui, adorable ! Je les aime déjà. Tu as fait le bon choix avec ce cadeau pour lequel tu as pourtant tellement hésité, et tu en es ravie. Tu le laisses manger la crêpe que tu lui as préparée avec amour en le regardant, avant de sursauter quand il attrape ta jambe. Tu te laisses faire, tu frémis et sourit doucement, le regardant. Mmh ! C’est succulent ! Mais ta jambe est retenue en otage, et il la caresse, te faisant très largement frissonner en le regardant. Il te chauffe et le pire, c’est que dès qu’il a commencé à te caresser, la prude que tu es a été se reclure très loin en toi, laissant plutôt la place à ta déesse intérieure qui a hâte de sauter sur Jamie et qui a d’ailleurs visiblement oublié tout ce qui vous entoure. C’est toi que j’ai envie de croquer. Tu le regardes. Tes yeux brillent d’une intensité que seul lui connaît, et tu le regardes se rapprocher, laissant ses doigts répandre des nuées de frissons si agréables sur ton corps menu. Tu le laisses s’approcher, tu laisses tes lèvres fondre au contact du baiser que tu échanges avec ton amoureux. Tes lèvres cèdent sous la puissance des siennes, tu te perds dans ses bras, faible créature que tu es, faible créature qui n’hésite jamais avant de faire quelques câlins encore et encore. Comment tu fais pour être si parfaite ? Parfaite, toi ? Tu n’es parfaite qu’aux yeux de celui que tu aimes, Cassie. Ca, tu en es totalement certaine. Tu le regardes, ton souffle se fait court, tu halètes doucement tout en le regardant, retenant cette petite voix en toi que tu entends t’inciter à lui sauter dessus sans faire davantage d’histoires. J’ai un amoureux parfait, ça me donne envie de toujours plus me dépasser pour lui. Tu chuchotes avant de l’embrasser, sursautant quand tu entends japper à vos pieds. C’est comme les enfants : ça fait en sorte qu’on ne puisse pas avoir un semblant de vie intime en dehors de dans le lit. Alors tu t’écartes et tu ris, rougissante, comme prise sur le vif alors que tu faisais une bêtise alors qu’il n’en est rien. Tu regardes Jamie et attrape un des chiots pour le poser sur tes genoux, laissant ses pattes te salir alors qu’il semble bien plus intéressé par les crêpes que tu as faites que par tes caresses. Alors tu le reposes et prépare une crêpe à chaque chiot, en faisant une nouvelle à ton amoureux et t’en faisant une aussi. J’ai pratiquement envie de retourner me coucher, pas toi ? Tu demandes en rigolant doucement, lançant les crêpes que tu as faites aux chiots.

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❝Jassie❞
puppies, puppies everywhere!

Sans aucun doute, on pouvait dire que Jamie était heureux. Le sourire sur ses lèvres et son appétit le prouvait assez bien. Cassie était son rayon de soleil et sa simple présence suffisait à le faire sentir complet, bien dans sa peau, ce qui vu son état n’était pas gagné. Mais les choses avaient bien changés durant cette année, la jeune femme s’était donnée beaucoup de mal et ses efforts avaient fini par payés puisqu’elle avait réussi à se faire une place dans le cœur de l’homme. Il sait qu’il lui doit beaucoup, alors pour l’en remercier, il fait tout son possible pour la rendre heureuse. Cependant, la demoiselle était bien plus douée que lui pour faire des cadeaux et des petits plaisirs à son petit-ami, qui se rattrapait plutôt sur les câlins pour lui prouver son amour. Au moins ils faisaient la paire. Alors, quand elle revint avec les crêpes, il sauta tout d’abord sur le met qu’elle avait préparé, et l’agrémenta de quelques caresses sur les jambes de son anglaise. Il vit bien dans ses yeux que cela ne la laissait pas indifférente, alors que pour une fois, il pensait seulement être mignon ! Même si ce serait un mensonge que de dire qu’il ne rêvait pas de glisser ses doigts sous ses vêtements depuis qu’il l’avait vu sortir du lit. Ne se faisant pas désirer plus longtemps, il se rapprocha pour l’embrasser avec amour, ne cessant pas de toucher Cassie pour l’émoustiller encore davantage. Il adorait l’effet qu’il avait sur elle, il lui suffisait de peu pour l’avoir tout à lui et en faire ce qu’il voulait, l’inverse était également vrai malheureusement pour lui, il ne pouvait résister aux corps et au regard du magnifique mannequin. Il eut à peine le temps de lui répondre par un sourire, que déjà les chiots se mirent à aboyer en sautant pour se faire remarquer. Jamie rit et les regarda faire amuser, tout de même déçu qu’il ait mit fin à sa petite pause tendresse avec sa chérie. « Voilà, comme des vrais enfants, plus de répit pour les parents ! » Il répliqua en la laissant reprendre une position décente afin de prendre l’un des bébés et de le réconforter. Il la regarda alors avec une moue triste, jaloux du chien qui avait le droit à toute son attention à présent, mais il se battrait et ne le laisserait pas devenir le préféré de la belle Cassandre. Mais finalement, cet ingrat avait senti l’odeur des crêpes et c’était ça qu’il voulait ! Sans plus attendre, la jeune femme céda à leur caprices en leur donnant une crêpe chacun et il leva les yeux au ciel, avec néanmoins un sourire parce qu’elle était beaucoup trop mignonne pour être ridicule. « Une vraie petite maman ! T’as une poussée d’hormones ou quoi ? » Il demanda en riant pour se moquer d’elle, même s’il savait bien que c’était dans sa nature d’être ainsi, mais c’était d’autant plus flagrant actuellement et il n’avait aucun doute sur le fait qu’elle allait cajoler ces chiots avec amour, presque comme de vrais bébés. Il mangea sa deuxième crêpe avec entrain tandis que la brune lui proposait de retourner au lit, ayant visiblement des idées derrière la tête maintenant. Joueur, il lui fit un sourire en coin malicieux et répondit mielleusement. « Ah c’est à mon tour maintenant d’être câliner ? J’aurais droit à des papouilles aussi ? »

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Tu es ravie que les chiots fassent plaisir à Jamie et ce même si il gâchent votre intimité comme présentement par exemple : en effet, alors que c’était une sorte de moment câlin avec Jamie, qui te chauffait doucement, les chiots se sont mis à vous taquiner l’un tout autant que l’autre et bien que ça te fasse bien rire et que tu en prennes un afin de pouvoir les câliner tout en douceur avant de finalement leur donner des crêpes. Tu t’en occupes aussi bien que tu peux, allant jusqu’à les materner à la manière de véritables enfants, chose que Jamie ne manque bien évidemment pas de voir. Une vraie petite maman ! T’as une poussée d’hormones ou quoi ? Tu rougis. En effet, peut être que c‘est les hormones qui commencent peu à peu à te pousser à materner ces chiots de la manière dont tu le fais, tout en les câlinant et en leur parlant comme si tu étais vraiment gaga. Tu tires la langue à ton amoureux pour lui montrer que non, ce qu’il te dit ne t’atteint pas véritablement mais tu sais bien que c’est totalement faux, tu sais bien qu’il a raison et que tu te montres relativement niaise face à ces chiots. Comme pour changer de sujet, tu proposes d’aller au lit avec un air coquin, sachant d’avance la réponse à laquelle tu vas devoir faire face. Ah c’est à mon tour maintenant d’être câliner ? J’aurais droit à des papouilles aussi ? Tu ri et hoche la tête, te levant en ramassant le contenu du petit déjeuner tout en te dirigeant dans la chambre en te déhanchant excessivement de manière à allumer toujours un peu plus ton Jamie.

RP FINI

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