Cara&Kol Who do you think you are?

C'était congé pour la soirée. J'avais clairement besoin de me relaxer pour tout le temps consacré aux raisons de ma venu en Australie. J'avais enfin retrouvé la trace du parrain de Opale et les plans pour la boutique avançait bien.Faut avouer que c'était le paradis côté affaire à Bowen et en plus, je commençais doucement à apprécier la ville. Bref, c'est donc bien heureux que j'avais stationné la petite chez la gardienne en lui promettant de l'amener festival le lendemain. Sautant dans ma jeep, je me dirigeais vers le lieu de mon repos. Le pied légèrement lourd sur l'accélérateur, j'étais arrivé drôlement rapidement. Après avoir payé, j'avais faite rapidement le tour du festival en saluant certaine personne. Une crinière blonde avait attiré mon attention j'avais donc noté mentalement la présence de cette beauté naturelle. Comme quoi on est un homme à femme ou on ne l'ai pas.
Alors que j'avais déjà analysé chaque coin du festival, je m'étais adossé à un arbre une limonade acheté quelque instant avant dans la main. Les rayons du soleil caressait les tatouages couvrant mes bras. Les heures au gym avait porté leurs fruits ce qui me valait quelques coup d'oeil de partisane. Au loin, je la vue. Une silhouette fine, mince presque frêle; Une cascade d'ondulation brune miroitant une teinte de blond; un profil à damné un saint; un coup long de cygne. Sa stature dégageait une fierté digne d'une reine et pour cause... Évidement, c'était elle. Je la reconnaîtrais parmi n'importe qu'elle foule puisque j'avais été fiancé avec cette beauté avant qu'elle file entre les doigts de la reine et des miennes par l'occasion il y a 7 ans. Mon regard ne dérogeait pas de son visage, je savais que la fameuse Kennoc'ha Cara Windsor of Connemara allait me voir à l'instant même où elle bougerait. À savoir si cette fois, elle prendrait les jambes à son coup.

Elle s'ennuyait. Sa posture le criait. Évidement, en bon gentleman j'attendais qu'elle me remarque pour nos retrouvaille qui , je le savais, allait être divertissante. Sept année séparait notre dernière rencontre. Sept année depuis que Cara s'est échappée d'entre lianes serrées qui régissait sa vie. Je ne lui en voulait pas, sa disparition m'avait donné une bonne presse. Tout de même, je n'appréciais pas trop. Finalement, Son regard de biche effrayé s'accrocha au mien. Surprise darling. Le destin travaillais bien. Nous mettre tout les deux dans la même ville alors que je ne la cherchais même pas. Voulant mettre fin au duel des regards qui s'était amorcé, je m'approcha à pas de fauve. Ni trop vite, ni trop lent. Si mes souvenirs étaient toujours d'actualité, la jeune femme était d'une impulsivité incroyable donc hors de question de m’élancer vers pour créé un conflit et il n'était pas question qu'elle recommence son tour de magie. « Je n'aurais jamais cru te revoir un jour sweetheart» . Mon but n'était pas de la braquer contre moi. Je n'avais aucune idée de ce qu'elle pensait. Bien que ce n'était pas mon genre de courir après les princesses effarouchées, il serait facile pour Cara de croire le contraire. «Je dois avouer que tu es plutôt doué au jeu de la cachette.» Un sourire en coin étirait mes lèvres.

Je l'observais. Mille et une émotions dansait sur son visage alors qu'elle me voyait prendre racine devant elle. «Pourquoi es ce que tu te braque contre moi? Je croyais que j'étais celui à plaindre. Quand même, je suis celui dont la fiançée à soudainement disparue.» Ce n'était pas un mariage d'amour, mais elle aurait pu tomber bien pire que sur moi. Des histoires d'horreurs dans ce genre de contrat là, il y en avait à la tonne. J'enfonçais mes mains dans les poches de mon jeans. C'était un message subtile. Si elle le voulait, elle pouvait partir. Je n'étais pas là pour faire la guerre. En fait, j'avais aucune idée du pourquoi je lui parlais au lieu de donner l'alerte pour pourrait arranger beaucoup de chose. Pourtant, depuis que j'avais ma fille avec moi ma vision avait un peu changer.

Toujours les mains dans les poches, je la regardais directement dans les yeux. L'heure de vérité avait sonné quand le destin nous avait tout les deux déposés à Bowen. " C'est donc ça mon crime? Aimez les belles femmes? Tu l'a dit toi même Cara nous n'étions pas amoureux pourquoi jouer au parfait mari? " je pris une pause entre mes paroles pour mettre en ordre mes idées. " Effectivement, on m'avait proposé ta main, mais entre nous deux...Quel sombre idiot l'aurait refusé? Et pour ta liberté. Et bien, j'aurais été ton époux, pas ton torsionnaire. " Nous allions avoir la conversation que nous n'avions jamais eu l'occassion d'avoir il y a 7 ans. De toute façon, je n'étais pas complètement sur que j'aurais écouté avant. Je lui aurais probablement acheté quelque chose pour qu'elle ce taise avec ce que j'aurais considéré comme du drama.

Je ne me souvenais pas que l'on es eu une conversation sur la fidélité. Évidement que j'aimais les femmes, surtout les belles femmes, mais je n'avais pas une femme dans mon lit à tout les soirs. J'aurais probablement été quand même sage si elle aurait été partante pour y mettre du sien. De la même façon que j'avais apprécié être avec Mary. Alors que j'écoutais Cara me parler de la liberté à la qu'elle j'aurais pu la soustraire, mes yeux tombèrent sur un petit point scintillant. Une bague ornait le fameux doigt de sa main gauche. «  Et celui là? Il ne brime pas ta fameuse liberté.» Okey. J'avoue c'étais bas comme coup.

Je la regardais sans vraiment comprendre. Ne venait-elle pas de me dire qu'elle s'était marié à un inconnu sans lui demander son nom alors qu'elle me reprochait d'avoir accepté quelque chose de semblable? Je ne suivais plus sa logique. Elle voulait du respect et de l'attention, mais se mariait au premier bouffon de Las Vegas- car pour faire une telle chose, elle avait du s'y rendre-. L'Amérique. Un autre continent. Elle était sur que sa Grand-mère n'allait pas aller la chercher jusqu'a là. " Et ce mari là, il t'a juré fidélité?" J'attendais sagement ses explications. Mes souvenirs ne s'étaient pas trompés. Rien n'était jamais simple avec Cara pourtant je me devais de comprendre la raison de sa fuite, il y a sept années de ça. " Tu t'es donc terrée au État-Unis si je comprend bien."

Elle me voyait clairement le fait d'être fiancé avec moi d'un très mauvais oeil. J'étais sidéré qu'elle voit ce qui aurait pu être notre mariage et pas ce qu'elle avait fait à Vega de la même façon. Je l'aurait quand même pas enfermé dans une chambre jusqu'à ce qu'elle me soit docile. Pourtant, j'avais bien l'impression que Cara ne voyait que l'homme riche appréciatif des dollars. " Subir. À quel point je suis un con pour toi?" Je passais machinalement la main dans mes cheveux. Geste que je répétais toujours lorsque je réfléchissais sur un problème particulièrement difficile. Mon casse-tête c'était Miss Connemara. " Je ne crois rien. J'essaye de comprendre. À peine nous étions vue deux fois avec des chaperons que tu t'exilais." Deux têtes forte ensemble. Nous étions pas près de terminer cette conversation.