Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Pris en flague feat Lexi -18 Mer 9 Mar 2016 - 9:15
Jérémy with Lexi
Les lumières étaient éteintes depuis un petit moment. J’avais déjà épié l’immeuble pas mal de fois, un apartement en particulier, celui du troisième étage. D’après mes sources, elles étaient deux à y vivre en colocation, je n’en avais vu qu’une régulièrement, une brunette du nom de Nevaeh. Et l’autre était une vraie fêtarde. Après quelques semaines d’enquête, j’avais appris quel jour j’avais possibilité de ne croiser personne. Les voisins les plus proches étaient absents, et les deux nénettes auraient déserté le logement. Je pris une grande bouffée d’air. Le vent me glaçait les os, j’avais hâte d’être à l’intérieur pour ne plus subir ces crises passagères qui me faisait trembler de froid. J’attendis que quelqu’un rentre dans l’immeuble pour m’y glisser avec lui. Je montais les escaliers en silence, jetant un rapide coup d’œil aux alentours pour être sûr que personne ne me voit puis avec mon kit d’épingle à nourrice, j’arrivais à crocheter la serrure et je m’engouffrai dans l’appartement. Capuche sur la tête, je fonçais dénicher le plus important assez rapidement, les bijoux, c’était léger, ça se revendait bien, pratique en cas de fuite. A l’aide d’une lampe torche je commençai à fouiller la baraque, ne m’arrêtant pas sur des détails futiles du genre, des photos, des clés, des vêtements qui trainent. J’ouvris un tiroir, trouva quelques bijoux sans grandes importantes mais tant pis je prends quand même. Je m’essuyai le front, sentant l’adrénaline montait. Avaient-elles vraiment des objets de valeur et si oui ? Ou pouvaient-ils bien se cacher ? Je laissais le tiroir en plan pour m’atteler au placard quand un bruit m’interpella. J’éteignis tout de suite la lampe. Merde ! Je me mordis la lèvre, ce n’était pas prévu ça. La porte s’ouvrit, la lumière inonda le couloir m’obligeant à rester dans la pièce s’y je voulais avoir encore une chance de passer inaperçu. Je me dirigeai vers la fenêtre, appercevant des passants dans la rue, je ne pouvais pas non plus passer par la fenêtre au risque qu’on me surprenne et qu’on appelle les flics. Je me planquais alors dans la seule planque du coin, l’armoire, m’enfonçant le plus possible dedans pour me cacher à travers les manteaux en espérant que ce soit la chambre de sa coloc’ plutôt que celle qui était rentrée. Le souffle court, j’attendis là, patiemment.
Dernière édition par Jérémy D. Marty le Lun 14 Mar 2016 - 18:44, édité 1 fois
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Mer 9 Mar 2016 - 23:10
Jérémy & Lexi.
''Kiss, bite, foreplay"
« Non mais t'es sérieux, franchement ? » dis-je dans un éclat de rire, en ouvrant la porte de l'appartement. Nelligan en ligne, mon frère adoré. Nous venous de nous quitter, il y a un petit quart d'heure mais il ne peut pas s'empêcher de m'appeler pour me demander si je suis bien rentrée en sécurité. Quel protecteur celui-là ! Mais je l'aime aussi pour ça. Nous avions été dîner au restaurant ce soir, ça nous arrive quelque fois de faire une soirée comme ça, même si on préfère se poser devant une bonne connerie de télé-réalité pour se marrer. Ça fait du bien quand même, petite robe cintrée, talons et tout aussi. Je ferme la porte de l'appartement et la verrouille, en écoutant attentivement ce qu'il me dit. « C'est dingue comment tu me couves, c'est tellement... » Je suis coupé par Nelligan tandis que je pose mon sac à ma main sur la commode de l'entrée. Je remarque le tiroir grand ouvert dans la lumière de la lune qui traverse les fenêtres. Mon sang se glace. Merde, je ne l'ai pas ouvert pourtant. J'allume la lumière, il semble avoir été fouillé et nos bijoux ont disparu. Je sens la colère montée en puissance en moi, bordel, il y a la chaîne en or que ma grand-mère offerte en héritage... Elle est tellement précieuse à mes yeux, la perdre me déchirerai. Je l'avais enlevé parce que j'avais été à la salle danser un peu en fin d'après-midi, après le boulot. Je n'ai pas envie de l'abîmer, donc elle se cache là en attendant mon retour. Sauf que là, elle a disparu. Le poings serré, je file dans la salle de bains et dis le moins fort possible à Nelligan : « Mon chat, il y a un soucis dans l'appartement, je te rappelle très vite, bisous. » Puis je m’exécute. Je pose mon portable sur la commode du lavabo. Je vais appeler la police pour cambriolage dans les minutes qui viennent mais je voulais me changer avant. Je détache mon chignon bouclé pour que mes cheveux tombent en cascade sur mes épaules. Je me déshabille rapidement et attrape ma nuisette noire quelque peu transparente. Rien de vulgaire, au contraire. J'aime les choses raffinées. J’attrape mon tanga noir et l'enfile. Je soupire et prends mon portable. Dans l'éventualité que le cambrioleur est encore là, je marche le plus silencieusement possible. Merci à la danse de me rendre cela possible, je suis souple et très agile, ce qui me facilite également la tâche. Je passe l'ensemble de l'appartement en revue. Dressing, cuisine, salon, la chambre de Neva. Rien, pas une trace. Je suis un rassurée tout de même, je ne crains plus pour ma sécurité. En même temps, pieds nus et nuisette transparente, j'aurai eu des petits problèmes si j'avais croisé la personne en question. Mais bon, le pire est passé. Je vais chercher dans l'entrée mon trench que j'ai mis ce soir. Nos manteaux ne se trouvent pas dans le dressing, par pur souci de place, on a tellement de fringues franchement. De vraies filles, sérieux. Je vais dans ma chambre et jette mon portable sur le lit, puis allume la petite lampe tamisée de ma table nuit. Une seconde, je range le manteau et après, j’appelle. Je vais près de l'armoire et l'ouvre. Puis je me fige. Une grande silhouette encapuchonnée se cache entre mes manteaux. Je ne vois pas son visage. Mon trench tombe au sol. Prise par une montée d'adrénaline et de colère, j’attrape le type par sa veste et le tire de là violemment. Je fais pivoter le type et le plaque avec force sur mon lit, tombant à califourchon sur lui. J'enserre les poignets de la personne. Malgré mon mètre soixante huit, j'ai de la puissance musculaire grâce à la danse et au fait que je sois assez sportive. « PUTAIN ! Espèce de gros... » Sa capuche tombe. What the... Bordel de merde... Non. Jérémy. Est-ce que j'étais maudite ? Déjà que nos retrouvailles se sont... Mal et bien passées à la fois. Je n'avais pas arrêter de penser à lui, malgré ce qu'il s'était passé. Mes sentiments n'étaient toujours pas au clair avec lui. Mais là, le sort s'acharnait à me rappeler que c'était devenu un type franchement discutable. Je croise son regard azur, le mien le fusille sur place. J'ai envie de lui en coller une bonne à cet instant mais je n'y arrive pas, un je-ne-sais-quoi me retient. Puis merde, je suis en nuisette noire transparente et tanga devant lui. C'est le pompon franchement ! Après notre baiser si torride de l'autre jour, je ne sais pas si me voir est une bonne idée. Mais comment aurai-je pu savoir pu savoir qu'il y avait quelqu'un dans l'appartement, qui plus est lui ? Pour me voler. ME VOLER ! Je t'attrape des deux mains par le col de sa veste, et le lève pour le plaquer au mur de ma chambre. Franchement, je suis enragée. J'ai même pas envie de pleurer de par la déception qu'il me fait une fois de plus mais là, mon sang brûle tellement j'suis en colère sérieux. « Qu'est-ce que tu fais ici, bordel de merde ? Tu me voles maintenant ?! C'est nouveau ?! » Devant son air surpris, je suis impassible. Je le pousse un peu plus contre le mur, nous rapprochant l'un de l'autre. Tiens, ça me rappelle quelque chose ça... Chasse c'te putain d'scène de fou de ta tête, Lex. « Réponds moi ou je te jure que j'appelle les flics et en plus, tu auras le droit à une gifle de ma part en guise de bienvenue ! » Le sarcasme chez moi, c'est une religion. Heureusement que Neva est en déplacement professionnel pour quelque jours, je n'imagine même pas la catastrophe. J'attends alors, alors que mon souffle est rapide, gonflant alternativement ma poitrine nue sous ma nuisette.
Spoiler:
Désolée pour la longueur, j'étais inspirée J'espère que ça te va la réponse
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Jeu 10 Mar 2016 - 1:00
La porte s’ouvre et la voix me transperce de part en part. « Non mais t'es sérieux, franchement ? » Lexi. Putain de bordel de f… j’étais chez Lexi !! Elle n’était pas seule. Je n’entendis pas l’autre répliquait, je mis ça sur le coup du stress. La lumière inonde le couloir, je m’enfonçai un peu plus dans le placard, elle me trouve et je suis un homme mort….qu’est-ce que ? J’avais peur de cette fille. Je me renfrognai dans mon coin, non non c’est pas vrai. « C'est dingue comment tu me couves, c'est tellement... » Mon cœur se serra soudain. C’est qui qui la couve ? Et c’est tellement quoi bordel !?! Je sentais la colère montait en moi, une envie de tout balancer me pris. Je mourrai d’envie de débouler dans le couloir et de lui faire une crise de….non mais non mec ! T’es pas jaloux ! T’es pas jaloux… T’es…Bon bah peut-être un peu wé. Je finis par supposer qu’elle était au téléphone vu que personne ne répondait. A moins qu’elle parlait à des fantômes et la franchement je ne sais pas qui serait le plus louche des deux….bon d’accord ce sera toujours moi mais quand même avouer que c’est peu habituel ! Soudain un silence s’ensuivit. Elle avait dû remarquer les tiroirs vides dans le couloir. Mon cœur accéléra la cadence, qu’allait-il se passer, allait-elle appeler la police tout de suite ? La sueur perlait sur mon visage, dégoulinant de mon front. J’entendis une porte grinçait, elle chuchota quelque chose mais impossible à savoir quoi. J’attendis encore, qu’est-ce qu’elle fabriquait putain ? J’allais enfin me décider à sortir sur la pointe des pieds après une minute ou deux quand la porte du placard s’ouvrit. Je n’eux pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle m’agrippa le col et m’envoya boulet sur le lit, m’encerclant les bras contre ma taille à l’aide de ses jambes musclées. « PUTAIN ! Espèce de gros... » Ma capuche retomba, dévoilant mon visage alors que nos regards se croisèrent. J’y lus soudain de la surprise, mélangé à de la colère, de l’incompréhension. Elle s’écarta soudain, me laissant me relever. « Et bien si j’avais su que tu réservais un tel accueil à tes cambrioleurs je serais peut-être venu avant. » Je souris face au désarroi de la donzelle. Mes yeux parcoururent son corps juste recouvert d’une nuisette noire presque transparente. La lumière tamisée de la pièce jouait avec les ombres sur sa poitrine et ses hanches. Je savourai le spectacle, ayant perdu ma langue. « Qu'est-ce que tu fais ici, bordel de merde ? Tu me voles maintenant ?! C'est nouveau ?! » Mon regard se posa dans le sien qui flamboyait de colère. Ah oui, j’avais oublié ce détail. Je restai silencieux, impassible. Elle m’attrapa de nouveau et me plaqua contre le mur. Décidemment c’était une manie chez elle de plaquer les gens contre les murs. Je relevai le menton, la défiant du regard. Non mais puis quoi encore ? Depuis quand je me laissais maltraité de la sorte ? Qui plus est par une femme ? Wé ok c’est une remarque misogyne et alors ? Va te faire ! « Réponds moi ou je te jure que j'appelle les flics et en plus, tu auras le droit à une gifle de ma part en guise de bienvenue ! » Les menaces furent la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Mon visage se renferma soudain, je me dégageai de son emprise sans y mettre le moindre tact. J’attrapai le bas de son menton de ma main et serra son visage entre mes doigts, assez fort pour lui faire du mal sans non plus la faire hurler de douleur. « Vas y ! Fais-le ! » Je la rejetai en la poussant sur le lit. Mon regard noir toujours braquait sur elle je m’approchai du bord. « Je ne savais pas que c’était toi ok ? » Je sortis les bijoux de la poche et les jeta sans ménagement sur le lit à côté d’elle. Je restai un instant de marbre. J’avais l’impression que cela avait duré des heures alors qu’en vérité ce n’était que l’espace de dizaines de secondes. Mon corps se relâcha soudain dans un soupir. Je levai les yeux au ciel, retirant mon sweat je le lui tendis légèrement mal à l’aise. « Et sérieusement c’est dans cette tenue que tu comptais jouer les justiciers ? Tu ne crois pas qu’il existe des choses un peu plus adéquates non ? » Mon ton s’était adouci, légèrement moqueur aussi. Je levai un sourcil en la détaillant. Tout compte fait j’avais pas envie de lui passer mon sweat, je finis par le jeter par terre à mes pieds, toujours au bord du lit. Elle, la, étendu devant moi. Je sentis la chaleur montait en moi, incontrôlable. J’attrapai la cheville la plus proche et la tirai vers moi avec douceur et fermeté, je me mis à genou sur le bord du lit. Mes mains glissèrent le long de sa jambe jusqu’à ses genoux, mes yeux cherchant une réponse dans son regard.
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Jeu 10 Mar 2016 - 10:28
Jérémy & Lexi.
''Kiss, bite, foreplay"
J'avais Jérémy, allongé sur mon lit et entre mes cuisses. Bordel, quelle merde. Il ne laisse d'ailleurs pas prié pour répondre à cette situation. « Et bien si j’avais su que tu réservais un tel accueil à tes cambrioleurs je serais peut-être venu avant. » Je ferme les yeux un instant pour contenir l'afflux de colère qui monte en moi. Pas l'moment de faire du sarcasme, Jer'. Je les ouvres de nouveau avant de me bouger rapidement de sur lui. Je me tiens devant lui quelques secondes. Je croise son regard. Il me détaille, l'air plutôt intéressé par ce qu'il voit. Bordel, c'est gênant, il vient m'voler puis se rincer l’œil au passage ! Il n'y pas de mots possible sur Terre pour dire à quel point je suis chauffée à blanc en cet instant. Puis j'attrape le col de son sweat pour le plaquer au mur, non loin de mon lit. Mes mots sont tranchants, nets et on ne peut plus précis. Soudain, je vois le visage de Jérémy complètement s'assombrir. Non... Pourvu qu'il ne fasse pas d'mal... Je suis perdue si c'est le cas. Il me repousse ma main plutôt violemment, avant de referme une de ses mains autour de ma mâchoire, l'enserrant avec une force contrôlée. La douleur n'est pas si violente, juste une forte pression. « Vas y ! Fais-le ! » Il me poussa sans ménagement sur mon lit. J'ai l'impression d'être un chiffonnier entre ses mains. Sa prochaine victime ? Je commence à flipper, franchement. Je me retrouve sur les coudes, allongée au milieu de mon lit. Sous le choc, je ne dis rien. Puis il s'approche avec un regard noir, se plaçant au bord de mon lit. « Je ne savais pas que c’était toi ok ? » Et c'est censé excuser tout ? Je ne crois pas non, c'est trop facile. Beaucoup trop. Un rire nerveux file entre mes lèvres, seul son qui s'autorise à passer entre mes lèvres. Il jette les bijoux sur le lit et y voit ma chaîne. Je suis rassurée, profondément rassurée. Mes coudes cèdent dans un soupir, je suis fatiguée. Presque exaspérée de devoir me battre avec lui. Je ne l'ai vu que deux fois dans ma vie mais franchement, les deux fois ne sont pas était un partie de plaisir. Enfin, en partie.... Oublies ça, Lex. Il m'a dit de le faire, seulement, je ne peux m'y résoudre. C'était tellement... Wow... J'en ai fait passer des garçons dans mon lit mais alors avec lui, c'était d'la pure dynamite. Je m'étais enflammer aussi vite qu'on craque une allumette. Soudain, il me tire de mes pensées en enlevant son sweat et en me le tendant. « Et sérieusement c’est dans cette tenue que tu comptais jouer les justiciers ? Tu ne crois pas qu’il existe des choses un peu plus adéquates non ? » Il s'était détendu à vu d'oeil, presque à me chambrer. Mon regard redevient quelque peu noir. « Comment je pouvais savoir qu'il y avait un mec dans mon placard qui, par la suite, me mates sans vraiment se gêner ?» Je sais que je dois l'virer de chez moi avant de commettre un meutre. J'hoche la tête avec un sourire faux, sarcastique. Il laisse tomber le sweat sur le sol en haussant un sourcil. Quand j'dis qu'il se gêne pas pour me mater, la preuve est toute trouvée. Soudain, il agrippe ma cheville et me tire vers lui. Sa main sur ma peau hâlée crée en moi des sensation similaires que l'autre jour, à dire un douce chaleur commence à monter d'entre mes hanches. J'ai pas l'droit de ressentir ça, j'suis en colère ! Mais il a un don pour foutre le bordel dans ce que je ressens. C'est vrai depuis qu'il est revenu dans ma vie, c'est le bazar. J'ai le sommeil perturbé, je suis plus dans mon coin à réfléchir, me prendre la tête littéralement. Pourtant, il en faut beaucoup pour me mettre dans cet état normalement. Je me retrouve assise en face de lui, à genoux devant moi. Ses mains longent mes jambes pour arriver à mes genoux. Ma peau s'échauffe sous la sienne, avide. J'essaie de ne pas montrer que cela provoque quelque chose d'interdit en moi, mais mon souffle s'accélère, trahissant mon état. Je croise son regard azur et y reste. Je me mords l'intérieur de la joue. Je suis figée, comme un animal presque hypnotisé par la lumière des fars d'une voiture en pleine nuit. Ensorcelé, vulnérable, piégée. Je quitte son regard sinon il est clair que je vais me jeter dans ses bras et le garder avec moi cette nuit. « Il faut que tu t'en ailles , Jérémy. » Tout est presque détendu en moi. Je baisse quelque peu la tête, regardant ses mains poser sur mes genoux. « Tu m'as rendu mes biens, je n'appellerai pas la police, c'est bon. Mais juste, vas t-en...» Ma voix n'est qu'un souffle, je ne même pas convaincu moi-même qu'il doit partir. J'ai pas envie qu'il parte à vrai dire, mais il le doit. J'attendis une réaction, peu importe laquelle mais il m'en fallait une. Histoire que je ne reste pas encore trop longtemps avec ses doigts posés sur moi. Je n'allais pas résister très longtemps, ça s'était certain.
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Jeu 10 Mar 2016 - 19:35
« Comment je pouvais savoir qu'il y avait un mec dans mon placard qui, par la suite, me mates sans vraiment se gêner ?» Répliqua-t-elle, franchement en colère. Je ne répondis pas, mon regard balayait son corps avec une envie non dissimulée. Je m’agenouillai sur le rebord du lit, glissant mes doigts le long de sa jambe, remontant sensuellement jusqu’à son genou. Je remarquai les mouvements de sa poitrine s’accéléraient sous le rythme des battements de son cœur. Nos regards s’entremêlèrent un instant. Elle semblait tellement perdue. Déchirée entre l’envie presque irrationnelle de m’avoir entre ses cuisses et l’horreur que lui inspiraient mes actes. Je la laissais réfléchir sans bouger, mon corps tendu sous la nervosité. Elle finit par baisser les yeux, rompant le contact. « Il faut que tu t'en ailles, Jérémy. » Mes yeux se baissèrent sous le contre coup. J’avais l’impression qu’on m’arrachait le cœur. Non je ne voulais pas partir, j’ouvris la bouche pour répliquer mais elle enchaîna directement après. « Tu m'as rendu mes biens, je n'appellerai pas la police, c'est bon. Mais juste, vas t-en...» Je me mordis la lèvre. Je retirai ma main de sa peau et me relevai. « Si c’est ce que tu veux… » Lâchai-je avec regret. Je me passai une main sur mon crâne mal rasé, tremblant sous le désarroi. Je rattrapai mon sweat avant de le caler sur mon épaule. Je me détournai d’elle, m’apprêtant à quitter la chambre mais quelque chose me retient au chambranle de la porte. Je me tiens contre le mur, le regard perdu dans le vide. Non je ne pouvais pas partir, je ne pouvais pas la laisser la. Jamais je n’avais ressenti ça pour quelqu’un. Elle me rendait vivante, éveillait en moi des choses qui m’étaient complètement inconnu. Et si elle était ma rédemption ? Je tournai de nouveau mon regard vers elle. Assise la sur le lit. « Je suis désolé pour ce que je vais faire… » Finis-je par lâcher, traversant de nouveau la pièce à grande enjambée. J’attrapai son visage d’une main, la tirant avec une envie dévorante vers moi. Je l’embrassai avec fougue. Mon cœur bondit dans ma poitrine. Il ne pouvait en être autrement. Où était le mal ? On le désirait tous les deux au plus profond de nous-même, elle ne pouvait me mentir là-dessus, elle ne pouvait rien me cacher. De mon autre main je viens l’aider à se caler contre moi alors que je m’installai en suspend sur mon coude au-dessus d’elle. Je quittai ses lèvres, descendant dans son cou. Je voulais savourer chaque parcelle de son corps, humer chaque essence de sa peau. Ma main libre glissa sur sa cuisse alors que l’autre s’emmêlait avec douceur dans sa crinière d’ébène.
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Jeu 10 Mar 2016 - 23:01
Jérémy & Lexi.
''Kiss, bite, foreplay"
Après dit à Jérémy dans un souffle de partir, je le vois se mordre la lèvre. Je relève les yeux vers lui. Il semble nerveux, presque tremblant sous l'effet de cette annonce. Une de ses mains passe sur sur son crâne presque rasé. Je me sens mal à cet instant. Très mal. « Si c’est ce que tu veux… » Bordel non, ce n'est pas ce que je veux mais c'est ce que ma raison me commande. Si elle pouvait se taire parfois et juste laisser les choses se faire... Il attrape son sweat et le balance sur son épaule. Ses mains ont quittés mes genoux, il se lève puis part en direction de la porte. Je pince mes lèvres d'une force incroyable pour éviter que je ne pleure. Décidément, je pleure beaucoup trop ces derniers jours... Je suis incapable de bouger, mes yeux dans le vague. C'est l'brouillard dans mon esprit. Soudain, j'entends qu'il s'arrête. Je le regarde alors. Il est effectivement arrêté dans l'encadrement de la porte. Il semble réfléchir, se débattre contre quelque chose. L'envie de faire demi-tour ? Je pense que c'est cela parce que j'ai, moi aussi, l'envie qu'il revienne vers moi et qu'il me fasse sienne sans plus de bavardage, de prise de tête. C'est une des rares fois que je ressens ça pour un homme. Je ne sais pas poser des mots dessus, peut-être parce que j'ai peur que rien ne soit réciproque. Que je m'imagine des choses, que ce n'est qu'un simple mascarade juste pour coucher avec moi. Mes sentiments sont encore à l'état de genèse pour lui mais il sont là et je ne peux aller contre. ''Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder'' dit notre cher Oscar Wilde. Je crois d'ailleurs ce qu'il s'apprête à faire puisque qu'il me dit quelque chose qui rallume aussitôt la flamme, le désir. « Je suis désolé pour ce que je vais faire… » Il traverse la pièce. Mon cœur s'emballe tandis qu'il prends mon visage au creux d'une de ses mains et me lève en face de lui. Mon regard passe sur son visage. Bordel, il est beau... Je le veux rien qu'à moi. Revoilà ce sentiment de possession... Sans ménagement, il m'embrasse avec une ardeur torride. C'est ça que j'attendais depuis des jours. Ça, et rien d'autre. Tout mon corps s'embrasse, une envie de lui me déchire les entrailles. Je réponds à son baiser, avide. Je le sens caler son bras autour de ma taille, nous collant l'un à l'autre. Son corps musclé m'enserre, je suis prise au piège dans cette spirale sensuelle. Je veux m'y perdre. Me perdre en lui. Mes mains passent sous t-shirt, une sur ses abdominaux, l'autre au creux de ses reins. Soudain, il arrête de m'embrasser pour aller explorer mon cou. Ma tête se tire vers l'arrière, savourant ce contact. Quel pied... Un gémissement file entre mes lèvres tandis qu'il passe sa main sur ma cuisse nue, qui va se loger contre sa hanche, incitant encore plus de sa part. Tandis que son autre main va se loger dans mes cheveux bruns, je réponds à ce qu'il me dit, avec un peu de retard. Désolée, je suis occupée à plus important que des paroles. « Ne t'excuse pas... Je mourrais littéralement d'envie que tu le fasses...» Ma voix s'était transformée quelque peu sus l'effet de l'excitation. Plus grave, venant de plus loin que mes cordes vocales. A quoi bon lutter contre ce qui relevait de l'évidence ? Sans plus attendre une seconde, je lèves son t-shirt pour le retirer, cessant un instant le parcours de Jérémy, qu'il reprit quasiment aussitôt. Il est torse nu devant moi, entièrement débridée et haletante. Reposant ma jambe au sol, je le tire tout doucement vers le lit, une douceur lascive. J'avais envie de prendre mon temps avec lui, on a toute la nuit pas vrai ? Je rompt le contact de ses lèvres dans mon cou et le fait s’asseoir au milieu du lit en tailleur. Je prends sa main dans la mienne, histoire de ne pas rompre le contact entre nos deux peaux échauffées. M'asseyant au milieu de ses jambes croisées et nous rapprochant l'un de l'autre, je le regarde quelques secondes. Une de mes mains glisse jusqu'à sa joue, presque attendrie mais bouillante d'envie. Puis nos lèvres se scellent une nouvelle fois dans un baiser plus langoureux, lent. Douce torture mais terriblement érotique.
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Lun 14 Mar 2016 - 18:43
Je la sens vibrer sous ma peau, son corps entier répondait présent à mon appel. Ses mains se glissèrent sous mon tee-shirt, brulant ma peau de ses doigts, crépitement d’étincelles de désir qui frémissaient le long de ma peau, activant tous mes sens. Elle fit glisser mon tee-shirt au-dessus de ma tête, m’obligeant à rompre le contact de mes lèvres contre son cou. Je me laissais guider, mon regard plongeait dans le sien, profond, intense. Je m’assis en tailleur sur le lit, légèrement frustré de ne pas pouvoir savourer tout, tout de suite. Avec une lenteur contrôlée, elle se glisse sur mes jambes, entourant ma taille avec délicatesse. Sa main caressa ma joue mal rasée, mes lèvres s’entrouvrirent pour cueillir les siennes. Je bouillonnai au fond de moi, j’attrapai son visage entre mes mains tout en prolongeant ce baiser si langoureux, puis j’en fis glisser une pour entourer sa taille de mon bras, je la collai ainsi contre mon corps frémissant. L’autre ne tarda pas à suivre, glissant le long de son sein, découvrant le creux de son ventre avant d’attraper avant de glisser le long de sa cuisse. Le temps semblait s’être arrêté, je ne réfléchissais plus vraiment, je ne savais même plus si je me contrôlai encore où ne répondais-je plus de rien ? Comme si mon corps était devenu incontrôlable, même en souhaitant en finir là, maintenant, tout de suite, cela était impossible. Non je ne répondais plus de rien… Et je me laissais aller dans cette étreinte charnelle et sulfureuse. Je me perdais dans les méandres du désir, lâchant prise totalement à cette envie qui était bien plus que passagère. Depuis notre dernière rencontre elle me restait coller à la peau. Je m’en suis voulu, voulu de ne pas être resté, ne pas avoir de moyen de la recontacter. Toutes ses lettres étaient restées en France, on était parti qu’avec nos vêtements sur le dos ma sœur et moi, impossible de retrouver une quelconque trace du passé. Je ne pouvais dire si c’était de la chance ou de la malchance d’avoir failli cambrioler son appart’. Je ne savais pas trop ce que cela signifiait pour elle, ni même pour moi. Avais-je tort de remettre ça à plus tard et de profiter de l’instant présent ? Devrait-on mettre les choses au clair avant d’atteindre le point de non-retour ? Ne l’avait-on pas déjà atteint ? Tout ceci, toutes ses questions sans réponse étaient tellement loin à cette heure. Plus rien ne comptait à part nos deux corps enlaçaient l’un contre l’autre. Ne pouvant plus attendre je défis les boutons de mon jean, j’étendis Lesli sur le lit, m’allongeant légèrement au-dessus d’elle tout en galérant avec ce pantalon qui voulait pas glisser comme dans les films, genre le truc galère qui gâche tout, wesh =/…
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Lun 14 Mar 2016 - 21:03
Jérémy & Lexi.
''Kiss, bite, foreplay"
Je nous dirige vers mon lit, mon regard dans celui-lui qui me fait tant chavirer depuis son retour dans ma vie. Notre regard est fiévreux, incendiaire. Il n'aurait même pas besoin de claquer des doigts pour me mettre à ses pieds. C'est ce que je suis en cet instant, en train de chavirer dangereusement pour lui. Toutes les questions, les prises de tête se sont envolées. Lui, moi et rien d'autre. Tandis que je passe mes jambes dénudées autour de la taille musclée de Jérémy, nous nous embrassons passionnément, le bras de Jérémy entourant ma taille. Ce baiser fait grimper le mercure en moi, il m’électrise. Tellement plus quand sa main parcourt la courbure de mon sein gauche, descends sur mon ventre et termine sa course en glissant le long de ma cuisse. Je détache mes lèvres des siennes pour aller enfouir ma tête dans son cou, laissant un gémissement s'échapper contre sa peau brûlante. Dommage que cette nuisette entrave ce contact. Franchement, à ce point, il pouvait me l'arracher, cela ne me ferait strictement, à part avoir encore plus envie de lui. Mes mains viennent se loger dans le creux de sa nuque, laissant réapparaître mon visage. Mon souffle se fait plus court. Je me laissais complètement submerger par cette déferlante d'excitation. Bordel, cet homme a un pouvoir pour me rendre comme ça, ce n'est pas possible autrement. A moins que ce soit... l'amour ? Quel est le fou qui a osé dire qu'avec des sentiments, c'était tellement plus incroyable ? Je préfère rayer cette pensée pour le moment. J'ai juste mieux à faire. Mais aussi pour la simple et bonne raison que si on commençait à mettre du rationnel dans ce que l'on était en train de faire, je pense que l'on arrêterai tout de suite. C'est vrai ? On ne sait pas ce que l'on ressent mutuellement l'un pour l'autre... Je suis vite sortie de mon ébauche de pensée par les mains de Jérémy qui quittent ma peau. Je fronce les sourcils. What ? Il ne va pas retourner sa veste maintenant ? Parce que là, je pense que je ferai vraiment la gueule, et cela pendant un bon moment. Ses doigts défirent, finalement, les boutons de son jean. J'aime mieux ça... J'esquisse un petit sourire en coin, le regardant faire. Il a l'air dans état similaire au mien, envahit par l'envie. Je fus prise de court quand il m'allongeai sur le lit, un éclat de rire transperce nos soupirs et nos souffles entremêlés. Je confirme, il en crève d'envie. Il me surplombe alors, tandis qu'il semble galérer avec son jean. Mon instinct de joueuse prit un peu le dessus. Je descends un peu vers le bas de son corps, arrivant à son ventre. Posant mes mains au creux de ses reins, je dépose des baisers sur ses abdominaux, sculptés sous l'effet de l'excitation. Petit à petit et lentement, je remonte, dévoilant mes dents à quelques endroits. Entre deux baisers, je le regarde du coin de l’œil, toujours à galérer avec son jean. Je jubile intérieurement. « Tu y arrives ou quoi ? J'attends moi... » dis-je dans un souffle, terriblement taquine. J'espère pas qu'il allait se venger. Cela pourrait être terrible pour moi, je pense. Mais ce jeu nous rends encore plus complice, et contente mon esprit de défi. Damn, ce mec est juste de la dynamite pour Malinowski au féminin...
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Mar 15 Mar 2016 - 18:28
Son rire tinta dans mes oreilles comme une douce une mélodie, je souris, pris au dépourvu par cette complicité qui s’instaurait entre nous. Elle glissa avec aisance le long de mon corps, déposant une myriade de baiser sur mon torse ardent. Elle me déconcentrait dans ma tâche ardue. Je sentis ses dents pinçaient ma peau, je frémis et soufflai fort sous l’emprise des sensations qui inondait mon corps. « Tu y arrives ou quoi ? J'attends-moi... » Dit-elle de sa voix terriblement taquine. Je lui jetai un regard du genre, fait attention à tes fesses ma jolie, avant de réussir à m’extirper de ce p*tain de jean. Je restais un instant là, légèrement reculer pour admirer la magnifique ‘chose’ étendue devant moi. Je fis glisser mes doigts sur ses cuisses, remontant lentement sa nuisette qui semblait lui tenir terriblement chaud. Mes doigts glissèrent dans la continuité entre ses cuisses, s’aventurant avec dextérité dans le lieu interdit. Pendant ce temps, de mon autre main je remontais toujours sa nuisette, embrassant avec délicatesse les parties dénudées de sa peau, remontant peu à peu jusqu’à son ventre, ses seins, je m’y arrêtais pour prendre entre mes dents chaque tétons. Je sentais la chaleur insoutenable entre nos deux corps, la sueur humidifiant mon torse, perlant sur mon front. Je finis par lui retirer toute la nuisette, l’aidant à la passer au-dessus de sa tête. Et maintenant... Il n’y avait plus que nos deux corps l’un contre mon torse plaquant ses seins contre ma peau. J’arrêtais mon jeu coquin de mes doigts pour y laisser entrer quelque chose d’un peu plus charnu, marquant le début de ce balai coquin…
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Sujet: Re: Pris en flague feat Lexi -18 Mar 15 Mar 2016 - 20:53
Jérémy & Lexi.
''Kiss, bite, foreplay"
Je le sens tendu, frémissant et respirant plus fort sous l'emprise de mes lèvres assassines. Je ne lui laisse aucun répit. Ces réactions font encore grimper l'excitation en moi, je suis complètement dévorée par l'envie. Ce qui ne m'empêche pas de le taquiner en lui faisant comprendre qu'il est bien trop long à mon goût. Le regard qu'il me lance me liquéfie sur place. Doux et empoisonné avertissement. Je hausse un sourcil, me mordant la lèvre. Ouh non, je n'allais pas me tenir tranquille, sage, car je suis loin de l'être. Surtout avec lui. Il me rend avide, taquine, terriblement vilaine. Son côté ''bad boy'' qui me détends déjà dessus ? Non, pas possible. Enfin, je n'espère pas. Il finit enfin par réussir à enlever son jean, ainsi que son boxer par la même occasion. Se redressant devant moi, je l'observe un instant, le regard flamboyant. Je parcours son visage, son torse parsemé de tatouage, sa taille fine où des abdominaux saillants se dessinent, son érection proéminente. Je frémis sous cet exploration visuelle, il est incroyablement beau. Tandis qu'il me dévore des yeux, j'enlève mon tanga devant lui, doucement, qui finit par valser non loin de nous. Cela a dût lui faire de l'effet puisque qu'il passe ses doigts le long des cuisses, arrivant au point culminant des ces dernières, me caressant avec habilité. Surprise par ce contact, je ferme les yeux, savourant la moindre caresse de ses doigts. Je suis en train de m'embraser. Pas le temps pour des préliminaires ce soir, une autre fois. Je ne tiens déjà plus. Il continue sa délicieuse torture, se penchant sur moi une nouvelle fois, il embrasse chaque des parties de mon corps que découvre la nuisette, qu'il fait remonter de sa main libre. Dévoilant mes seins, il mordille entre ses dents chaque téton avec délicatesse. Un gémissement ne peut s'empêcher de filer entre mes lèvres. Bordel, la combinaison de ses deux actions est juste une bombe. Je suis une bombe à retardement. Je me cambre quelques peu sous l'effet de ses caresses, qu'il termine quelques secondes plus tard. Il m'enlève ma nuisette et colle de nouveau son corps humide au mien. Nous sommes nus, l'un contre l'autre, bouillonnant d'envie plus que jamais. Ses doigts cessent, laissant place à ce que nous attendons tous les deux. La pénétration est douce, faisant hurler toutes les cellules de mon corps de plaisir. Un long frisson me traverse l'échine, fermant les yeux un instant pour savourer cette sensation de plénitude. Un de mes mains passe au creux de sa nuque, l'autre se logeant au niveau de sa taille. Il entame une série de va-et-vient lent, pour savourer sans doute le fait d'avoir enfin ce que nous voulions. Mes yeux s'ouvrent de nouveau, plongeant mon regard dans celui de Jérémy. Waou... Je pose ma joue contre la sienne, descendant petit à petit dans son cou, déposant quelques baisers et étouffant quelques gémissements de plaisir.