Invité | Sujet: I don't like it, I love it. (FREE) Jeu 17 Mar 2016 - 21:22 | |
| Un Casino. Tu n'as jamais fait de jeux d'argents, pas à ce que tu te souviennes. Tu t'en veux de ne pas avoir profité des choses autant que tu l'aurais dû, et tu as bien l'intention d'essayer d'en profiter du mieux que tu peux, tu fais de ton mieux pour essayer de te rattraper avec toi même. Tu mets une de ces robes de soirée bel et bien prévues pour se faire la plus belle possible à l'une de ces soirées mondaines. Tu vas au casino, souriante, même si tu es toute timide parce que tu n’y connais pas grand-chose. Tu entres dans ce grand bâtiment où tu n’as jamais mis les pieds de toute ta vie. Tu vas prendre une flûte de champagne et t’approches timidement d’une table sans trop savoir comment tout ce que tu as autour de toi. Je peux me mettre là ? Tu demandes à la personne inconnue. |
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Invité | Sujet: Re: I don't like it, I love it. (FREE) Ven 1 Avr 2016 - 16:10 | |
| Bowen te changeait. Il était indéniable, que lorsque tu ferais le voyage en Turquie, tu aurais beaucoup de mal à t'en remettre. Mais tu avais réfléchis à la proposition d'Anna. A force d'y penser, tu te disais que c'était une bonne idée. Après tout, qu'est-ce qui te retenais vraiment ? Rien. Tu ne voulais pas être l'ombre d'une personne, tu voulais vivre ta vie, faire des études, trouver un travail, tomber amoureuse d'un homme avant d'être marié à lui. Et avoir une famille. Anna était ta famille, et puis vous pourriez convaincre votre mère de vous rejoindre, de passer quelques temps pour les vacances. Tu fus distraite dans tes pensées. « Oui, installez vous ! » Tu étais assise à une table de casino, tu ne connaissais pas le jeu et encore moins le principe. Mais tu avais pris quelques jetons, Anna t'avait aidé. Et tu avais une jolie robe. Elle allait de la tête au pieds avec un col rond, la seul partie de ton corps visible, c'était tes bras. Tu avais longuement hésité à mettre ton voile, mais ça aurait été inapproprié. « Vous connaissez les règles, je regarde depuis un moment déjà et je ne crois pas les avoir compris » Tu lui adressais un timide sourire, si tu voulais vivre ici, il fallait commencer à te sociabiliser. |
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