get naked + ivy [18+]

Un casino, un endroit pour des riches pas si riches de flamber tout leur argent dans des machines voleuses. J’avais toujours été prudente avec mes sous dans un casino, c’était bien le seul domaine dans lequel j’avais une limite... Autrement, j’étais toujours dans l’excès. Alors que j’accompagnais un homme en soufflant sur ses dés, l’amusement était minime et je voyais cette bombe plus loin assise sur un sofa beaucoup trop confortable pour elle. J’allais devoir m’amuser un peu. Laissant en plan mon rendez-vous d’un soir, j’allais à la salle de bain me rafraichir et prendre une petite ligne de coke. Lentement, je me dirigeais vers la jeune femme à l’allure gothique alors que j’avais en tête de l’aborder, c’était You can leave your hat on qui se mettait à jouer dans tout le casino. Et tiens, si on s’amusait? Je  commençais à me déhancher lascivement sous les yeux de la demoiselle, prête à tout pour captiver son attention, relevant légèrement ma robe longue à fentes pour dévoiler un peu de peau. « Bonsoir. » lui soufflais-je avec un baiser en continuant mes mouvements lents mais avec le rythme de la musique, sous ses yeux.

Le casino était d’un ennui mortel et je le savais avant même de mettre les pieds ici. Je continuais mes mouvements lascifs sous le regard absorbé de ma spectatrice. « Salut. » Je me penchais, puis je me redressais sur le rythme. L’abandon que j’avais été dû en majeure partie à la cocaïne, ma chère amie. Alors que la jeune femme levait son verre sous mes yeux, je me doutais qu’elle était consentante pour la suite des évènements. Je réduisais à néant l’espace qui nous distançait pour monter sur elle à califourchon faisant aller mes hanches toujours. Alors que j’approchais mes lèvres des siennes pour mieux me reculer. « Et votre nom? » Je lui adressais un clin d’œil amusée et fière d’être prête à allumer davantage mon interlocutrice. Je me levais et je me trémoussais toujours sous ses yeux. « Moi c’est Maisy. » que je souffle près de son visage, glissant mes lèvres sur sa mâchoire pour mieux me décoller par la suite et danser. Son regard suivait mes mouvements, je le voyais bien. Peut-être allais-je être capable de la ramener chez moi? Ou moi chez elle, ou dans un hôtel, ça n’avait aucune importance. Juste le moment de s’amuser un peu toutes les deux...

La jeune femme s’emballait déjà avec ses mains. Avais-je vu juste en sachant que je voulais m’envoyer en l’air ce soir? Je continuais de me déhancher en provoquant ces mouvements de bassins lascifs pour l’impressionner davantage. J’avais l’impression d’être une strip-teaseuse dans un autre monde. C’était vrai qu’il y avait eu un danseur dans mes soupirants lors de la télé-réalité et qu’il m’avait bien appris lorsqu’on s’envoyait en l’air en coulisses. La spectatrice m’attrapait le poignet pour mieux me ramener sur elle où elle m’embrassait dans le cou. Je calais mon cou vers l’arrière en soupirant. Les baisers dans le cou c’est le paradis. « Ivy. » « Eh bien Ivy, on sent très bien ce que vous voulez... » Je soupirais doucement alors que je sentais ses dents contre ma peau pâle. Je passais ma main sur ma peau suite à sa morsure. « Pas besoin de tant de possession, tu me ramèneras chez toi ce soir, sois sans crainte. » Je passais ma main sur sa nuque et je l’embrassais d’un baiser qui en disait long sur mes intentions premières. Je développais un désir envers la jeune femme, mais en même temps je cultivais le désir de la faire languir.

Ivy semblait aimer prendre les devants et ça me plaisait bien. Elle jouait déjà avec mon sous-vêtement plus que léger et ça me plaisait bien, je devais l’admettre. Ivy ne tardait pas non plus à captiver mon attention avec un baiser torride allant jusqu’à chercher ma langue. Elle me rapprochait d’elle alors qu’elle mordillait encore. « Hey, doucement avec les dents. J’ai un métier où c’est mon physique qui rapporte alors sois sage et soft, chérie. » Par contre, je la rapprochais vers moi avec envie alors que c’était à mon tour de l’embrasser et de passer mes mains sur son corps alors que je souffle difficilement. « Pas ici. » Je me relevais en prenant la main d’Ivy pour l’entraîner jusqu’à la salle de bain des dames, profitant même du fait qu’une cabine pour handicapés était libre pour profiter d’Ivy. « Déshabille-toi, que je te fasse découvrir le paradis. » Je lui adressais un clin d’œil en m’approchant d’elle pour l’aider à se débarrasser de ses vêtements. Le haut d’abord pour me permettre d’avoir accès à sa délicieuse poitrine que je couvrais de baisers. Je me mettais à caresser son entre-jambe avec envie par dessus son pantalon.

« J’aime marquer mes conquêtes. » J’arque un sourcil visiblement amusée. Je n’étais néanmoins pas une chose et j’y tenais à cette limite. Je n’étais pas sa possession, ni sa propriété. À peine avais-je commencé à m’amuser avec le corps de la jeune femme qu’elle me disait que c’était à son tour. Elle semblait plus de type dominant plutôt que le contraire. Elle tirait sur ma culotte qui se déchirait avec un fin sourire aux lèvres, j’me disais que j’allais me venger un peu plus tard. Je ne pouvais empêcher mes gémissements alors que la gothique prenait les devants aisément. Je ne devais pas être sa première, ni sa dernière. Je n’avais pas beaucoup d’expérience avec les femmes, j’avais tendance à les laisser me guider au travers des sensations euphorisantes. Je reprenais ses lèvres avec les miennes pour me faire taire alors que je tressaillais toutes ses caresses. Je caressais sa poitrine doucement alors que mes doigts retrouvaient son intimité maintenant dénudée et elle était mouillée, la coquine. Amusée par la situation, je la doigtais gentiment avec un puis deux doigts faisant des mouvements de vas-et-vients lents, mais profond. J’avais envie de lui donner du plaisir, j’avais envie qu’elle m’en donne et plus encore.

Elle était consciencieuse, Ivy. Elle savait ce qu’elle faisait et m’arrachait plusieurs petits cris de surprise ainsi que des gémissements de bien être. Lorsqu’elle changeait ses doigts pour ses lèvres, je me cambrais davantage. Elle savait y faire, elle allait me faire perdre la tête si elle continuait ainsi... Et elle n’arrêtait pas, j’irais même jusqu’à dire qu’elle ne reculait devant rien pour me faire trembler de tous mes membres et même me faire jouir une première, puis une seconde fois en peu de temps. En tremblant, je décidais de l’arrêter, capturant ses lèvres au passage pour l’embrasser. « À moi. » Je lui adressais un clin d’œil, encore fébrile des plaisirs procurés par Ivy. Elle savait y faire. Je m’abaissais à son niveau en m’appliquant sur son clitoris à mon tour avec mes lèvres, mes dents, ma langue n’ayant qu’en tête de la faire trembler. Je créais de la succion, de la salive, quelques tressaillements à la jeune femme. Je glissais de nouveau mes doigts en elle pour titiller son point G et faire quelques vas-et-vients plus rapides et plus intenses chaque fois. Qui avait dit qu’entre filles on ne pouvait pas s’amuser? Je ne m’arrêterais pas jusqu’à ce qu’elle atteigne l’extase, provoquant son corps entier s’il le fallait.

Les mains et la bouche d’Ivy m’avaient compris tout de suite, elle m’avait fait trembler de tous mes membres. Je poursuivais la quête de l’orgasme de la belle Ivy pour continuer sous ses cris et ses gémissements qui m’excitaient davantage. Je poursuivais ce que j’avais fait précédemment pour la rallumer sauf que je m’arrêtais quelques instants pour l’embrasser et caresser sa poitrine dont je mordillais le bout le temps d’un instant. « J’ai encore envie de m’amuser avec toi. » que je soufflais prête à recommencer pour lui donner un deuxième orgasme. J’osais croire que je pouvais encore lui donner du plaisir. Et sans plus tarder, je continuais. Je me surprenais à penser quelle bénédiction c’était d’être une femme pour les orgasmes multiples.

Alors qu’elle me demandait de ne pas m’arrêter, je ne m’arrêtais surtout pas. Au contraire, Ivy m’avait bien donné envie de poursuivre mes activités avec encore plus de motivation et d’entrain. Je donnais tout ce que j’avais, toute l’intensité possible avec l’envie de la faire trembler. Je sentais ses mains ce qui me poussait davantage à aller plus loin avec mes doigts, avec ma langue, mes lèvres, mes dents, mes caresses. Je m’arrêtais que quelques instants pour lui dire ce que je pensais. « Jouis pour moi, ma belle. » Alors qu’elle gagnait l’orgasme pour une deuxième fois. Je devais garder contact avec la belle demoiselle, visiblement elle savait trop y faire pour que la laisse de côté. Je caressais sa peau que je sentais avec la chair de poule. Ivy était l’une des raisons qui me confirmait que les activités sexuelles étaient géniales avec les femmes, bien que je n’étais guère difficile.