The baby who changed the lives of two people [with Emma]

Les policiers avaient enfin décidé de faire leur travail, le petit mel' allait trouver une famille rapidement, c'était ce que j'espérais pour lui en tous. Je m'approche donc du petit garçon et je l'embrasse délicatement sur le front après avoir caressé ses cheveux, je remercie les policiers d'un regard et d'un hochement de tête, ça me faisait de la peine de le voir partir ; mais il le fallait. Je regarde le petit mel' dans les bras des policiers, la voiture de police allait sûrement l'aider à mieux accepter la situation ; après tout un gamin, c'était fort et je ne devais pas m'inquiéter. Je respire doucement, lorsque les deux policiers s'en allèrent. J'entends ensuite que le jeune homme, James, toussait d'une vilaine façon. Je me tourne vers lui et fronçant les sourcils, je m'approche doucement, posant ma main sur son dos, tapotant un peu. Il avait attrapé froid? Cette toux n'était pas normale après tout, je demande alors d'une voix bienveillante ; être pédiatre me donnait cette voix tout naturellement pour rassurer les gamins. « Vous, vous n'avez pas l'air de bien aller, venez avec moi je vais vous conduire chez un collègue médecin il va voir ce que vous avez, j'espère que ce n'est rien de sérieux. » Je souris le regardant, il était vraiment charmant comme jeune homme, des hommes bien, ils existaient finalement et ça faisait chaud au coeur. Je l'entraîne donc avec moi, allant dans l'ascenseur pour aller à un étage inférieur. Les portes s'ouvrent devant nous et j'aide le jeune homme à entrer tendis qu'il se remettait à tousser de plus belle. Une fois à l'intérieur, j'appuie sur le bouton trois et j'attends que les portes se referment sur nous. Nous étions seuls dans l'ascenseur. Je le regarde ensuite disant « Il va me manquer .. mine de rien, il était vraiment sympathique et très affectueux .. je me demande comment on a pu lui faire ça » cette question, c'était cette question qui me hantait tant.

Alors que le petit Mel s'en va, James se met à tousser, de plus en plus fort et d'une façon désagréable pour lui, mais également pour ceux/celles qui l'entend.
Puis, lorsqu'il disparut du champ de vision des deux personnes, Emma la pédiatre se tourne vers lui, puis s'approche de lui pour venir lui taper doucement dans le dos. James se demande ce qu'elle fait, et s'arc un peu le dos par réflexe avant même de savoir ce que Emma va lui faire.
Finalement, ne bougent pas plus, la pédiatre fait son travail avant de lui adresser la parole.
James se justifie aussitôt :
- C'est rien.
Etrange comme cela puisse être, Emma lui affiche un sourire avant de lui prendre le poignet et de le tirer. James se répète alors, insistant un peu plus pour que la belle blonde arrête de le traîner.
- Je vous dis que ce n'est rien, ça va passer. Faut quand même pas que je vous le dise en italien, si ?
Le designer la regarde avec un petit sourire moqueur, s'imaginant devoir le lui dire pour être compris. Seulement, ce n'est qu'un rêve et non la réalité. Etait-il crédible avec ce sourire et en voulant y mettre un peu de sérieux dans ses paroles ?...
Emma continue d'insister et le fait entrer de force dans l’ascenseur, alors que James essaie de se faire le plus mou que possible. James râle un peu, tout en levant les yeux avant de se mettre à lui faire un compliment :
- Vous savez que vous êtes têtu, même si vous êtes jolie ?
Emma appuie sur le bouton 3 avant d'attendre la fermeture des porte. Est-ce que le message était passé ? James ne sait pas et encore une fois de plus il tousse à nouveau, mais cette fois, sa toux était moins forte.
La ravissante blonde lui adresse la parole, parlant de Mel le petit bébé trouvé. James l'écoute, tout en ayant pas bien compris le début de sa phrase à cause de sa toux. Alors face à cet avis, le jeune homme regarde les portes métallique avant de lui répondre un peu perdu dans la conversation :
- ... Je sais pas.

James s'appuie alors contre la barre métallique, derrière lui. Soudain, au passage, il constate que la jeune et belle Emma continue de lui maintenir le poignet. Aurait-elle peur que James s'enfuit ? Entre 4 murs, suspendus dans le vide, ça ne va pas facile de s'échapper...
Ce dernier doit alors patienter, sans savoir quoi faire de plus pour lui faire comprendre que sa santé va bien jusqu'à présent.

Le jeune homme continua d'insister en disant qu'il allait bien, mais j'étais le médecin et je savais donc que ce n'était pas totalement le cas. Je souriais l'entraînant avec moi jusqu'à l'ascenseur, une fois à l'intérieur je le regarde lorsqu'il me répliqua Vous savez que vous êtes têtu, même si vous êtes jolie ? Je ris à sa remarque, après avoir appuyé sur le trois, je le regarde ensuite disant « Oui .. oui je le sais » dis-je, faisant mine de remettre en arrière mes cheveux, je souris ensuite amusé en le regardant, disant « je plaisante, mais merci pour le compliment. C'est vrai que je suis très têtue! » je mets ma main dans la poche de ma blouse, m'appuyant contre la paroi de l'ascenseur, je tenais encore de l'autre main son poignet sans m'en rendre compte, je regardais les numéros défilaient, je lui parlais ensuite du petit Mel' et il me répond ... Je sais pas. je le regarde, après tout ; comment lui pouvait le savoir? Il ne semblait pas être un monstre donc il ne pouvait pas comprendre des monstres comme ceux qui avaient abandonné le petit enfant. Je remarque que ma main tenait toujours la sienne, je le relâche d'un air gêné après tout j'avais juste oublié de le lâcher, il avait tellement résisté que j'avais l'impression que si je le lâchais, il s'enfuirait, je souris et je regarde devant moi. Les portes s'ouvrent alors et je sors en premier, il me rejoint quelques minutes après et je le regarde disant « vous devriez faire attention, on peut facilement attraper un rhume .. surtout lorsque la météo joue au yo-yo. »

Alors que James et Emma attendent dans l'ascenseur jusqu'au numéro 3, les secondes passent. Puis soudain, le numéro s'affiche, avant que l'ascenseur donne quelques coups pour ralentir sa montée. Les portes s'ouvrent et laisse alors la médecin passer en première. Tien ! Elle ne lui tien plus le poignet. James soulève son bras à hauteur de son visage pour constater les marques. Mise à part que son sang lui rend la main légèrement rouge, mais rien de plus. Pas de marque de griffures avec les ongles de la miss, pas de bleus. Tout va bien ! James Edwards sort de l'ascenseur en silence, tout en baissant son bras. Il reste muet un moment avant d'entendre Emma lui conseiller de prendre soin de sa santé. Cette phrase le fait bien rire et surtout venant d'elle. Le designer réplique aussitôt pour la taquiner :
- Fermez bien votre blouse, sinon vous aussi vous aller attraper froid.
Le jeune homme sourit, amusé tout en la suivant. Avait-il le choix ? Pas vraiment malheureusement...
Mais d'un autre côté, voir au grand jour le côté têtue d'Emma la pédiatre, c'était un peu comme si elle sortait dans sa plus belle robe de soirée. il ne peut pas le nier, Emma est le genre de femme qui lui plait physiquement et mentalement.
Le designer regarde rapidement l'heure avant de soupirer légèrement. Et puis soudain, James tousse une nouvelle fois. Il maudit cette toux intérieurement avec rage.

Fermez bien votre blouse, sinon vous aussi vous aller attraper froid. Je souris en le regardant, puis je demande en plissant les yeux, un sourire toujours accroché aux lèvres « et je pourrais savoir comment vous savez que ma blouse est ouverte? » Je rigole un peu, je le taquinais tout comme il le faisait, c'était amusant et pas du tout méchant. Je hoche la tête disant en arrivant devant une porte « mais c'est très gentil de votre part, de vous soucier de ma santé .. venez » dis-je lui lançant un clin d'oeil en entrant dans la chambre, mon collègue semblait draguer une infirmière, ce qui n'était pas nouveau ; je me racle la gorge et il remarqua ma présence, il s'approcha de moi et je souris lui faisant la bise, il serra ensuite la main de James et il me demanda ce qu'il pouvait faire pour moi. Je lui demande alors simplement de voir si mon nouvel ami ici présent se portait bien, lui expliquant un peu la situation. Je sors ensuite de la chambre en compagnie de l'infirmière, laissant les deux jeunes hommes seuls. Quelques minutes après, James sort de la chambre en compagnie de mon ami avec une ordonnance en main. Je souris remerciant mon collègue et je me tourne vers James disant. « et bien voilà! c'est mieux de traiter ça, même si ce n'est rien de grave, ça vous permettra de garder la forme! » Je souriais le regardant, faisant signe à mon collègue qui s'éloignait déjà, puis je me tourne de nouveau vers James demandant curieuse « rassurez-moi...ce n'est rien de grave j'espère? »

James toussa avant d'attendre la suite des évènements. Le designer écouta les propos de la pédiatre qui lui demande les yeux plissés comment il pouvait savoir que la bouse de celle-ci est ouverte. c'était facile à le voir après tout. Une blouse ouverte ou même une veste, va s'ouvrir lorsque son propriétaire marche. Une réponse qui était logique après tout.
Emma le remercie de s'être intéressé à sa santé également bien qu'il soit taquin.
Emma entre dans la pièce de son collège avec James. Son camarade était en train de discuter et de rire en même temps avec une infirmière. Rien de très ordinaire dans le service.
Le designer observe la salle avec attention et s'attarde sur une affiche parlant des maladies qui sont transmissibles par le contacte physique, tel que le fait de serrer la main à une autre personne ou de toucher un objet contaminé par des microbes.
Emma finit de discuter avec le docteur, en soulignant que James est un ami pour la blonde. A son étonnement, James reste surprit, mais pas désagréablement. Ils se retrouvent alors seul où enfin le médecin prend en charge la santé de James qui lui fait un rapide topos sur son état. Rien, mise à part quelques toux qui viennent.
Le médecin commence son boulot et écoute les battements du coeur de James avant de lui demander de faire diverses choses qui se lient à la santé, tel un médecin généraliste.
James s'exécute et reste silencieux pour que le médecin puisse se concentrer sur son travail à cent pour cent. Et enfin, vient le grand moment où le médecin lui explique clairement ce que James couve. Une simple bronchite qui s'était vite installé en James à cause du stress par rapport à son boulot, mais qui ne l'empêchera pas de continuer à bosser en prenant bien soin de sa santé à travers quelques médicaments à prendre qui éradiqueront vite fait les fautives.
Ils sortent donc, pour retrouver Emma qui était encore présente. Serait-elle attachée à James au point de rester plusieurs minutes alors qu'elle a du boulot ? C'est intéressant.
la pédiatre montre alors de la compassion avec une telle gentillesse auprès de James, qu'elle en oublie son camarade qui s'en va, surement pour prendre une courte pause ou aller s'occuper ailleurs. James reste silencieux, avant de répondre à sa question qui la met dans un état d'inquiétude. Le jeune brun la regarde avant de regarder son papier pour se rappeler de ce dont il a avant d'avoir une idée plutôt loufoque. Amusé intérieurement et sadique, James Edwards fait mine d'être vraiment désespéré avant de soupirer en gardant encore un peu de mystère. Son regard se balade à droite et à gauche avant de regarder les beaux yeux de la pédiatre Emma Curtis pour lui répondre :
- Mouais, et bien c'est vraiment pas rassurant. Ton collège a bien fait de ne pas te le dire, car selon lui c'est assez grave ce que j'ai.
James joue de son mieux la comédie pour garder de la crédibilité. Il baisse ses mains, désespéré de cette fausse "mauvaise nouvelle". A présent, James doit vite réfléchir à un nom de maladie qui sonnerait bien à ses oreille. Un nom spécial avec du latin dedans pourquoi pas...
- J'ai la Trahiteborked en fait et c'est contagieux.
James soupire à nouveau, et baisse la tête pour cacher son visage de la réaction d'Emma. En réalité, James Edwards va bientôt rigoler, car cette maladie n'existe pas et est fraichement inventé. Pour tout ceux qui ont fait une langue morte en étude seront qu'il est possible de décomposer ce mot en deux et de le traduire dan une autre langue pour obtenir quelque chose de sacrément fort... Ou petit, selon comment on peut le prendre.
Un silence glacial s'installe dans le couloir, où Emma et James sont les seuls personnes circulants dans le coin. Ce même moment de silence a pour but de faire réfléchir la belle blonde un instant avant que soudain, James s'exprime en relevant la tête avec un grand sourire au visage, l'air fière de sa connerie.
- Je rigole !! non en fait j'ai pas cette "maladie" et j'pense même qu'elle existe pas.
Le brun rigole un bon coup rapidement avant de lui répondre avec un peu plus de sérieux :
- non en réalité j'ai juste chopé une bronchite, ça va passer.

Mouais, et bien c'est vraiment pas rassurant. Ton collège a bien fait de ne pas te le dire, car selon lui c'est assez grave ce que j'ai. je le regarde un peu étonnée, c'était bizarre, je regarde derrière moi histoire de voir mon collègue, mais il était déjà loin, je me retourne ensuite vers James. J'étais pédiatre, mais j'avais fait mes études de médecine comme tout le monde et donc, je pouvais savoir quand quelqu'un avait quelque chose de grave ou pas, james n'avait pas l'air d'avoir quelque chose de grave, j'allais dire quelque chose lorsqu'il continua J'ai la Trahiteborked en fait et c'est contagieux. là j'étais de plus en plus étonnée, c'était un mot que je n'avais jamais entendu, j'étais sûr qu'il se fichait de moi, aucune autre solution ne semblait possible, car ; la Trahiteborked n'était même pas un vrai mot, enfin pas un terme médical en tous cas. Je croise alors les bras, restant silencieuse et je fixais le jeune homme, il semblait tellement sérieux, mais je n'étais pas médecin pour rien, nous étions seuls dans le couloir et donc notre silence résonnait assez bien, ce qui était marrant en fait. Il avait la tête baissée, mais il la releva après ce long silence et un sourire s'affichait sur son visage, il semblait fier de lui! Je rigole !! non en fait j'ai pas cette "maladie" et j'pense même qu'elle existe pas. Je secoue la tête, levant les yeux au ciel, il se croyait drôle en plus! je souris finalement malgré moi et je le regarde bien dans les yeux en disant « non sans blague! attend je suis pédiatre, mais j'ai fait de la médecine et ce mot n'existe même pas je crois, mais c'était bien improvisé, je n'aurais jamais pu trouver un mot aussi compliqué en si peu de temps » dis-je, plutôt impressionnée au final. Je souriais encore mettant mes mains dans les poches de ma blouse non en réalité j'ai juste chopé une bronchite, ça va passer. Je le regarde encore, rigolant un peu en répondant « on est loin de la maladie contagieuse et super dangereuse qu'est la Trahiteborked hein, une bonne vieille bronchite !! » J'entends mon bipper et je regarde, j'avais une urgence à mon département, je devais y aller. Je regarde James et je souris disant « il faut que j'y aille, j'ai une urgence mais .. » je sors ma carte professionnelle et je la lui tends souriant disant « je te laisse ma carte, y a mon numéro professionnel et personnel, n'hésites pas » dis-je, le regardant en souriant, j'aurais voulu rester encore un peu avec lui et apprendre à le connaitre, mais je ne pouvais pas me le permettre sur mon lieu de travail.

James Edards voulait être taquin, alors ce dernier joue avec la curiosité de la pédiatre qui l'accompagne depuis un petit moment dans cette histoire, qui finit bien.
Le jeune homme avait prit une sorte de consultation auprès d'un médecin. Ce dernier lui révèle une bonne surprise. James était un peu malade, mais rien de grave. Et donc, pour son propre plaisir et à la fois pour l'envie de rire, James invente un nom pour une maladie imaginaire. Celui-ci joue une scène, espérant que ça marcherait, mais la réaction d'Emma était toute autre. Pas inquiète mais plutôt désespérée face à une telle connerie. James continue tout en lui expliquant que c'est pour rire, pas pour se moquer d'elle. Le message passé, Emma est quand même impressionnée par un tel nom. D'où lui vient-il ? De son imagination bien sûr...
Le jeune designer sourit à cette dernière qui lui avait confirmé son statut professionnel en citant une petite partie de son passé. effectivement, ils sont loin d'une maladie hyper contagieuse... En même temps, si c'était le cas, James ne serait surement pas debout à l'heure qu'il est et encore moins en présence d'une personne. La belle pédiatre blonde avait fait des études dans la médecine, donc ce n'était surement pas un choix tout à fait banale à l'époque. Rare sont les élèves qui ont un métier en tête qu'ils aimeront faire plus tard. Emma Curtis est incluse dans le lot !
Soudain, un léger bruit résonne dans le couloir vide. James regarde à droite et à gauche rapidement avant d'en conclure que ce bruit ne peut provenir que d'une personne : Emma
Celle-ci attrape son bipper et consulte le code ou le petit mot qui lui est adressé. Cela semble urgent et la blonde relève la tête pour lui annoncer une nouvelle. La pédiatre était appelée ailleurs et en temps que salariée du bâtiment, son devoir est de courir pour sauver une personne. Qu'il en soit ainsi !
-Oh ! Oui bien sûr...
Dit-il avec un léger sourire. Emma commence à fouiller dans ses poches avant d'attraper un papier blanc sur une face et de la lui remettre. James la retourne et commence une rapide lecture où dessus, James pourrait savoir l'identité de la personne qu'il téléphone. Sur le papier, en noir il y a le numéro professionnel et privé de la blonde.
- D'accord, y'a pas de problème. Merci en tout cas de ton aide pour le petit Mel.
Finit par annoncer James en la regardant dans les yeux avec un léger sourire.
L'heure est donc aux adieux et celle-ci ne tarde pas plus longtemps pour retourner à son poste ou ailleurs pour continuer la journée de boulot. Se retrouvant seul, James décide de partir après avoir prit soin de mettre le papier dan sa poche droite du jean. La sortie était tout simplement facile à repérer, de part les indications, mais également de mémoire... il suffit juste de revenir sur ses pas et voilà le designer à l'extérieur du bâtiment.
James retourne donc à ses occupations, dont sa principale qui est de rentrer à la maison. Cette journée était vraiment spéciale.