[-18] J'ai entendu partouze?! [ft. Scylla & Elvis]

J'ai entendu partouze?!

Comment ai-je rencontré la charmante demoiselle qui partage ce repas galant avec moi? C'est la première question qu'on pourrait se poser lorsque nous voyons ce visage d'ange en face de moi, un sourire radieux aux lèvres et un rire mélodieux qui résonne dans ma tête. Il me semble, si mes souvenirs sont bons que je l'ai croisé dans la ville et étant du genre entreprenant lorsque j'aperçois de belles personnes, je me suis simplement avancé vers elle et nous avons sympathisé. Nous nous sommes revus plusieurs fois, il est vrai mais ce soir est assez spécial étant donné que nous avons comme qui dirait, un vrai rencard. Je l'écoute me parler de sa vie, répondant à quelques unes de ses questions, évitant celles qui étaient un peu trop personnelles à mon goût, mais l'ambiance de ce moment que je passe en sa compagnie est tout à fait divin.

Des mots échangés par ci par là, mon rire en entendant chaque anecdote ou opinion qu'elle peut avoir, je pose mon regard sur cette dernière, un bras plié sur le bord de la table, l'autre allongé sur cette dernière en attrapant la main de la demoiselle, lui caressant le haut à l'aide de mon pouce. Je lui adresse un sourire charmé, voyant la tête de cette dernière se baisser et ses joues prendre des couleurs. Mon regard plongé dans le sien, je ne peux rester indifférente devant elle. La classe à la française, ce n'est pas qu'une légende, c'est bel et bien un fait. "Vous avez fini votre dîner?" nous interrompit le serveur. Je retire ma main de celle de Scylla pour le regarder et lui répondre un simple oui. "Désirez-vous des cafés?" nous demanda-t-il. "Deux s'il vous plait." répondis-je en reportant mon attention sur la libanaise.

Si je devais me la jouer beauf en cet instant présent, ou du moins utilisé des propos plus adéquates lorsque Elvis parle d'une femme et de ce qu'il ressent, je dirais et il dirait qu'elle a des melons d'enfer et que ma courgette veut voir le jour dans sa moule histoire de la pénétrer aussi facilement que du pain de mie mais je ne suis pas un adepte de ce genre de propos, ayant tendance à respecter mes conquêtes un minimum même si je ne passe qu'une nuit dans leurs bras. Je me relève de ma chaise et fais le tour de la table pour lui tirer la chaise et tends mon bras pour qu'elle s'y agrippe. Nous nous dirigeons vers l'accueil pour payer l'intégralité du dîner tel un gentleman que je suis et reprends la route, portant les manteaux que les hommes nous ramènent.

Alfred nous attend à l'entrée de l'hôtel et nous ouvre la portière pour nous puissions prendre place. D'un signe de tête je l'en remercie et il reprend son service pour nous amener chez les Lockwood. Je pose mon regard sur la jolie brune et passe mon bras autour de son corps pour la ramener vers moi et qu'elle puisse caler sa tête au creux de mon bras. Le début de trajet se fait en silence et en regardant devant moi, j'aperçois que la vitre teintée est relevée. Est-il au courant de mes intentions? En même temps, ce n'est pas bien compliqué. Je relève sa tête par le menton avant de déposer mes lèvres délicatement sur les siennes et de l'embrasser à plusieurs reprises, laissant parfois errer ma langue dans sa bouche pour l'entrelacer avec la sienne avant de descendre dans son cou. Je laisse ma main caresser sa jambe avant de la passer sous sa robe et d'écarter son sous-vêtement de son corps afin de toucher un endroit sensible pour lui faire monter l'excitation. Je continue mes baisers tout en lui mordant le lobe de l'oreille et parfois le cou, faisant en sorte de ne pas lui laisser de marque. Ma main de son côté fait sa vie en descendant plus bas pour ainsi la pénétrer à l'aide de mes doigts, mon autre bras s'étant dégagé et longeant le long de son corps. Je me redresse légèrement pour l'allonger sur la banquette, lui écartant les cuisses et retirant sa culotte pour me glisser entre ses jambes et laisser faire ma langue tout en continuant de la doigter.