Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Lun 1 Jan - 13:22
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
La saison allait bientôt reprendre. Et j’allais devoir me préparer à reprendre l’avion pour Sydney où m’attendait un appartement. J’avais déjà fait mes bagages, Phantom n’était pas trop ravie de devoir voyager dans une cage mais je n’avais pas le choix. Le nouvel an à peine passé, j’avais chaussé mes baskets pour me rendre à la salle de sport. Comme à son habitude, il y avait un surplus de testostérone. De toute façon, je ne faisais que passer puisque je m’entrainai dans une salle à part. la danse ne nécessitait pas que je me fasse mâter par des hommes en sueur et souvent en chaleur. J’allais passer mon chemin lorsque mon regard s’attarda sur une silhouette familière. Ciàran. Je reste prostrée près de la porte à le fixer d’un air ahuri. C’était un bel homme, très bel homme. Je ne comprenais pas ce qu’il m’avait pris de le laisser en plan à la dernière minute, à moitié nu sous moi. Quoique. Il était du même adage que mon ex. j’aurai même pu pousser le vice plus loin et le menotter au lit. Mais je m’étais retenue. Pour la prochaine fois, mon lapin. Je le vois qui s’éloigne et je me planque. Puis, je décide de le suivre dans les vestiaires des hommes. J’attends un peu avant d’entrer pour être accueillie par les protestations d’hommes à moitié voire totalement nus. « Comme ça, vous savez ce que ça fait messieurs. » L’un deux pousse un juron à mon encontre. « Oh c’est marrant un homme avec un sexe d’enfant. » J’esquisse un sourire avant de grimper le mur qui séparait les mecs des douches. Puis, je m’assois en croisant mes longues jambes fines pour siffler l’italien. « Ainsi, c’est ce qu’on appelle un pénis, je le pensais plus grand. » J’ai un sourire à son encontre. « Salut, Casanova ! Content de me revoir ? » Je bats exagérément des cils pour commencer à me limer les ongles d’un air assez tranquille sur mon perchoir.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mar 2 Jan - 20:54
Il n'était pas rare de te voir traîner des heures à la salle de sport à présent. Faire du sport a toujours été un moyen pour toi de prendre l'air et de te décontracter le temps de quelques instants. En arrivant à Bowen, tu n'as pas failli à ces habitudes, continuant à aller régulièrement à la salle pour entretenir une forme physique plus que nécessaire dans ton métier - autant l'officiel que l'officieux. Aujourd'hui ne fait pas exception à la règle et tu décides de passer deux heures à la salle afin de travailler sur la musculation de tes jambes, trop peu explorée jusqu'ici. Lorsque tu pratiques ton sport, tu n'es pas souvent seul, il y a toujours une petite bande d'habitués avec qui vous échangez des conseils ou encore des avis. Tu n'es pas quelqu'un de très sociable mais tu ne tombes pas dans l'excès inverse non plus. Tu sais te montrer aimable et poli lorsque c'est nécessaire. Et ici, parler de sport ne te dérange pas, tu n'as pas besoin de faire semblant. Bref, après deux heures d'entraînement vous vous dirigez vers les douches des hommes. Un espace réservé aux hommes, tout naturellement, mais pas aujourd'hui apparemment. Tu hausses un sourcil lorsque tu vois Rory débarquer et un rictus se dessine au coin de tes lèvres. « Ouais c'est pareil pour tes seins. C'est bien malheureux de devoir utiliser des soutiens-gorge push up. » Tu attrapes une serviette pour t'essuyer sans pour autant cacher ton corps. Tu n'es pas très pudique et encore moins devant une femme. Même si pour le coup, tu gardes un souvenir assez amer de Rory. « Si je te disais oui je mentirais. » Ajoutes-tu en détournant la tête afin d'attraper tes vêtements. « J'ai toujours su que t'étais un peu dingue, allant jusqu'à espionner les hommes dans les vestiaires. » Tu relèves les yeux, guettant une réaction de sa part. La connaissant, elle répliquera sûrement de la même manière que toi, de façon plutôt piquante. Même si, au fond, tu aimes les femmes avec du répondant, les femmes comme Rory.
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mar 2 Jan - 21:09
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
Je n’ai jamais été pudique. Je suis danseuse et on dansait dans des tenues près du corps. Donc forcément, voir des pénis ne me gênaient pas. ça me fait même rire. Je vois à la tête des mecs que les femmes n’entrent pas souvent dans leurs vestiaires. En même temps, c’est très laid un pénis. Contrairement à une poitrine ou au corps d’une femme. Et puis, il y a l’odeur aussi. Je grimpe donc sur le muret avant de m’asseoir pour regarder l’objet de ma convoitise. Enfin ma convoitise. Je savais que Ciàran m’appartiendrait tôt ou tard. Je voulais juste encore jouer un peu avec lui. J’esquisse un sourire à sa remarque avant de soupirer. « Je ne porte quasiment jamais de soutien-gorge. Je porte des brassières, dommage, il mio cuore* » je décroise mes longues jambes avant de le fixer de haut en bas. Je savais à quoi ressemblait son pénis, tout comme il savait à quoi ressemblait mes seins. Nous nous étions déjà vus nus. Je l’avais juste laissé en plan. Il faut dire que je l’avais fait exprès. « Dommage. Moi qui me faisais une joie de venir te voir. C’est râté. » Je saute alors du muret pour lui faire face. J’attrape la serviette que je balance par terre. On s’en fout de ça pour le moment. J’ai un sourire en coin. « Tu les aimes folle, dis pas le contraire. » Ma main se pose sur son épaule dénudée. Avant de baisser le regard. mon corps se colle un peu plus près du sien. « Et j’espionne pas les hommes dans les vestiaires je suis venue te proposer un deal, susurrai-je tout contre lui. » Ma main descend doucement le long de son ventre. Puis, je soupire, contente de mon effet. « Mais puisque tu t’en fous, j’vais aller trouver un vrai mec. » Puis, je lui fais un clin d’œil avant de lui voler un baiser et de m’apprêter à remonter le muret.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 2:24
Lorsque Rory reluque délibérément ton corps et surtout ton sexe, tu ne peux t'empêcher de relever un sourcil, amusé. « J'croyais que c'était décevant. » Rétorques-tu, un regard de défi dans les yeux. « Pire encore. Une brassière parce qu'il n'y a pas grand chose à remplir. » Ajoutes-tu pour piquer l'égo de la jeune femme. S'il y a bien une chose que tu sais, c'est que Rory déteste autant que toi qu'on minimise son sex-appeal. Lorsque la jeune femme ôte ta serviette, tu ne bronches pas, montrant que la situation ne t'atteint pas. Rory a raté le coche une fois, tant pis pour elle. Tu ne vas pas la retenir si elle veut partir. « Folles peut-être mais dingues, sûrement pas. » Dis-tu en faisant apparaître un rictus au coin de tes lèvres. « Un deal ? Pourquoi j'accepterais ? » Réponds-tu avant même de savoir de quoi il s'agit. Après tout, c'est elle qui est partie la dernière fois. C'est elle qui a refusé de finir - ou même de commencer - la nuit à tes côtés. Tu soupires, attendant néanmoins la suite. « Ouais c'est bien ce que je pensais, t'as rien à proposer. » Préfères-tu dire, prenant un air sûr de toi, comme à ton habitude. Tu ne peux nier l'effet que sa main procure à ton sexe mais c'est une réaction d'homme tout ce qu'il y a de plus normal. Dans ta tête, c'est le pôle nord et ça, ça ne changera sûrement jamais. Du moins, pas tant que Rory n'a pas payé sa dette. Celle qu'elle te doit depuis qu'elle t'a planté là.
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 2:36
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
Les regards sont souvent attirés par les pénis. Raison pour laquelle mon regard s’attarde un peu trop longuement sur le sexe de Ciàran. Je vois à sa réaction qu’il n’est pas franchement ravie de me revoir. Et je commence à regretter d’être venue le voir. Je serre donc les dents. « ça l’est mais on est plus souvent obnubilée par des trucs moches que le reste. » Je hausse les épaules avant d’éclater de rire. « Et alors ? J’ai d’autres attributs que ma poitrine. Comme mes jambes par exemple. » Je me retiens de lui faire un doigt d’honneur mais j’ai une meilleure idée. Nos regards s’accrochent. Le sien froid comme la glace, le mien provocateur. « On se ressemble plus que tu ne le crois Ciàran. Me traite pas trop de dingue car tu pourrais le regretter. » Tout ça parce que j’ai mis les pieds dans les vestiaires de môsieur. Non mais c’est n’importe quoi. Où sont les convenances là ? « Parce que la seule chose qui t’intéresse, c’est baiser. T’es une coquille vide, Ciàran. » Je penche la tête sur le côté tandis que ma main explore son corps pour s’arrêter jusqu’à son pénis. J’avais mis Woody en garde contre le cœur qu’il risquerait d’atteindre. Cœur qui n’existe pas bien entendu. J’esquisse un sourire en coin pour le regarder. « Si tu me bats à la boxe, je t’accorde un repas. Si tu perds en l’occurrence… » Je m’approche trop près de lui si bien que je pourrais sentir son souffle contre le mien. « Tu me fous la paix. Genre tes pics de gamin vexé et orgueilleux tu te les gardes et t’as même plus intérêt à poser un regard sur moi. » J’attrape la serviette avant de lui faire un clin d’œil. « Je ne suis pas une femme qu’on peut juste baiser, Adreani. Tu m’as pris pour quoi ? Un garage à bites ? Si tu veux que mes jambes s’enroulent autour de ta taille, faut faire un minimum d’efforts. »
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 3:01
« Ça doit être pour ça que j'arrête pas de te regarder. » Dis-tu en haussant un sourcil. Vous ne jouez que pour piquer l'autre et celui qui gagnera sera celui qui aura assené le coup fatal. Néanmoins, ça reste un jeu sympa entre deux personnes qui expriment leur affection de cette façon. Sûrement pas la meilleure mais peu importe. « M'ouais. » Dis-tu en détaillant ses jambes et en paraissant très peu convaincu. Une attitude que tu adoptes bien trop souvent en présence de la jeune femme. Vous vous ressemblez ? Si on prend en compte votre tempérament piquant, certes, mais pour le reste, tu n'es pas certain. « Qu'est-ce qu'il va m'arriver si je dis que tu es... dingue ? » Demandes-tu en prenant un air triomphant, tel un enfant. « Ouais, une pauvre coquille vide qui pense qu'à fourrer sa bite dans ton vagin. » Rétorques-tu en prenant le même ton accusateur qu'elle. « Pauvre Rory. » Lorsque la jeune femme t'explique son deal, tu ne peux t'empêcher d'arquer un sourcil, intéressé par la situation à présent. « J'te signale que là, tout de suite, c'est toi qui es venue me chercher. Mais j'accepte, deal. » Réponds-tu en lui tendant la main comme pour sceller votre pacte. « Je n'ai jamais pensé ça, Rory. Mais à partir du moment où tu m'as laissé en plan, tu t'es enterrée toute seule. » Tu attrapes la serviette des mains de la jeune femme pour la ranger et commences à enfiler ton boxer, puis ton pantalon. Laissant ton torse à vue de Rory, juste pour la titiller.
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 3:15
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
C’est plus fort que moi, ma main s’abat sur son torse pour le plaquer contre le mur tandis qu’un grognement sourd monte dans ma gorge. Ou plutôt une sorte de feulement. « Je t’interdis de dire que j’suis moche, Adreani. » mon regard se fait plus haineux, tout comme mon corps qui se tend. Je devrais faire attention car j’ai besoin de mes jambes pour danser. Je sais bien que celui-là, je ne parviendrai pas à le contrôler en claquant des doigts mais j’y parviendrai. J’en étais certaine. Tout homme a ses failles et je trouvai celle de l’italien pour le forcer à ramper à mes pieds. Le mot dingue. Le mot que ma mère employait pour me qualifier car j’étais trop maniaque, trop terre à terre. Ma prise sur son torse se raffermit et mes ongles s’enfoncent peu à peu dans sa peau. « Si j’ai pas couché avec toi ce soir-là, je t’ai fait une faveur. Tu tiendras jamais le choc. » Parce que j’avais ce besoin de dominer l’autre. « C’est pas ce qui t’as intéressé chez moi en premier lieu ? Vous cherchez tous à nous sauter pour nous lâcher comme de vulgaires jouets. » Mon tempérament de feu, ses insultes. J’avais encore plus envie de lui casser la gueule que d’aller danser pour une fois. Je tape dans sa main. « deux règles : pas mes jambes et mon visage, c’est mon outil de travail et j’épargnerai ton… pénis, mon cœur. » J’avais lâché ce surnom affectif comme l’on crachait du venin. Je le vois se rhabiller avant de lui tourner le dos. Puis d’un coup, je saute sur place pour lui asséner un coup de pied bien placé que je mets sous sa pomme d’adam avant de faire pression. Merci la souplesse d’être ballerine. « T’es comme tous les autres. Tu m’aurais sauté sans me rappeler le lendemain. Et je te l’ai dit, comme Christian Grey, j’ai des gouts particuliers. » Je fais ma moue la plus carnassière avant de descendre ma jambe pour qu’elle rejoigne sa jumelle. Enfin, je quitte le vestiaire pour aller attraper mes gants de boxe. La seule chose à savoir : j’étais nulle en sport de combat. Donc, il avait gagné d’office. Juste je voulais voir jusqu’où il pourrait aller. Et il avait raison : j’étais dingue.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 14:52
Tu as réveillé la bête et il n'y a pas à dire, tu adores ça. Depuis l'arrivée de Rory, tu n'es là que pour la provoquer parce que de son côté, elle ne se gêne pas pour en faire autant. Seulement, là, tout de suite, c'est elle qui perd son sang froid et tu jouirais presque à cette idée. « Pardon ma myrtille des bois. » Répliques-tu sur un ton moqueur. Depuis qu'elle est partie cette fameuse nuit, te laissant en plan, tu pars du principe que c'est à elle à se faire pardonner, pas à toi. Du coup, tu ne montres aucun effort, préférant agir comme tu l'as toujours fait : en parfait connard. « Je crois qu'au lit je défie toutes les lois de la gravité. Tu ne me fais pas peur Powells. » Un rictus se dessine au coin de tes lèvres en imaginant tout ce que tu pourrais faire à la jeune femme. Tu as besoin d'une femme qui sait se faire entendre mais qui obéit lorsque c'est nécessaire malheureusement, la jeune femme ne semble pas réellement prête pour ça. M'enfin, tu pourrais être étonné, qui sait. « Nan c'est ton cul dans un premier temps. » Dis-tu avant d'ajouter : « Et puis cet air de connasse endurcie, totalement faux évidemment. » Tu lui montres que sous ses airs sereins, tu l'as bien cernée la petite. Du moins tu l'imagines. Lorsqu'elle met en place votre deal, tu hoches la tête à ses directives. Ce sont des points que tu devrais pouvoir respecter sans problème. D'autant plus qu'à la boxe, tu es très bon et ce n'est certainement pas le cas de Rory. Lorsque tu attrapes tes vêtements pour te rhabiller, tu sens son pied monter vers ta gorge. Avec l'entrainement draconien que tu as reçu en rentrant dans la mafia, tu aurais rattrapé son pied sans problème mais tu n'en fais rien, préférant laisser croire à Rory qu'elle contrôle encore la situation. « Christian Grey n'est qu'un petit joueur. Il se fait passer pour un dominant mais dès qu'une femme ouvre un peu plus les jambes, il devient un parfait petit chien docile. Ce n'est pas mon rayon. » Soupires-tu en pensant à cette daube. Le film du siècle, paraît-il. En quittant le vestiaire, tu prends toi aussi tes gants, prêt à affronter la tornade Powells. Le combat ne semble pas des plus équitables mais tu t'en fiches, un repas avec la jeune femme est une proposition plutôt alléchante contre toute attente.
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 15:10
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
Je plisse les yeux lorsqu’il m’appelle myrtille des bois. Je raffermis alors ma prise afin d’enfoncer un peu plus mes griffes dans sa peau parfaite. Parce qu’il avait un corps parfait. En fait, il était la définition même de l’apollon si ce n’était ce sourire de connard qu’il avait vissé sur ses lèvres. J’éclate alors de rire avant de me rapprocher un peu plus. Mon corps si mince, si frêle contre le sien musclé. « J’aurai peut-être dû les sortir les menottes ce soir-là. Sauf que j’ai trois petites règles d’or et je doute que tu les respectes, chaton. » S’il voulait qu’on parte dans les surnoms inoffensifs. Je savais que c’était un homme dangereux. Je pouvais le sentir parce qu’il avait ce regard brûlant qui devait en faire descendre des culottes. Sauf que déjà je ne porte que des bodys et ensuite, je suis habituée à des mecs dans son genre. Je finis par partir dans un fou rire. « Je suis une connasse, j’en suis même la reine. » J’avais beau faire un métier gracieux, délicat, il en était tout autre. Souriante, un peu naïf, quand il s’agissait de mecs, je pouvais me comporter comme la pire des garces. « Il y a une nuance entre être salope et être une connasse. Je ne couche pas mais je ne suis pas sympa non plus. » Puis, je le laisse se rhabiller avant de lui coller mon pied sous la gorge. Je vois dans ses yeux qu’il a envie de reprendre le contrôle, que ça le tue de devoir me laisser. « Tiens, tiens, deux dominants ensembles. Ça pourrait être intéressant. » Puis avec un sourire en coin et partiellement émoustillée pour la première fois depuis des années, je baisse mon pied pour aller sur le ring. J’enfile mes gants avant de me tourner vers lui. Puis, je lui colle un coup dans le ventre. « Règle numéro un : je déteste le sexe conventionnel. C’est chiant et trop vu. M’agenouiller pour tailler une pipe pendant que le mec regarde, no fucking way ! » Puis, je lui fauche les jambes sans attendre. Je sais bien qu’il me laisse faire. « Deux : je ne couche pas avec les hommes mariés ou avec les imbéciles qui se tapent des midinettes droguées. » Oui, j’étais au gala et oui, je savais qu’il se tapait l’espèce de blonde ridicule et cruellement jeune. Puis, je pose mon pied sur son torse avant de me baisser vers lui. « Trois, je suis monogame. Je ne fume pas, je ne bois pas, je mange sainement et je fais huit heures de sport par jour. Donc je n’ai aucune envie de niquer mon corps avant une trainée dans ton genre. » Effectuant une pirouette gracieuse, je me remets sur mes pieds en retrait et en garde prête à subir ses attaques et à venir au tapis dans trente secondes. « A ton tour, chaton. »
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 16:40
Lorsque ses ongles s'enfoncent davantage dans ta peau, tu ne peux t'empêcher de sourire, amusé par tant d'audace. Cela laissera sans doute des marques mais tu t'en fiches un peu. Habituellement, c'est toi qui laisse ta trace pour montrer ton contrôle sur les femmes mais inverser les rôles de temps à autres ne fait pas de mal. « Je respecte peu de règles. » Réponds-tu simplement, le regard toujours planté dans celui de Rory. Tes yeux font écho aux siens. Tu cherches le défi et tu le retrouves dans les yeux de la jeune femme. Tu aimes les femmes qui te tiennent tête mais là, à force d'être défié, tu ne rêves que d'une chose : bâillonner Rory. « J'pense que c'est qu'une façade. » Une provocation de plus qui réveillera davantage encore la bête qui sommeille chez la jeune Powells. Jusqu'où irez-vous ? Nul ne le sait mais qu'importe, vous êtes prêts à franchir les limites s'il le faut. Juste pour montrer à l'autre de quoi vous êtes capables. « En tout cas, ce n'est pas moi qui inverserai les rôles. » Dis-tu en faisant référence à la dominance. Là, tout de suite, tu n'es pas prêt à laisser tomber ton statut. Une fois sur le ring, Rory énonce ses règles et tu la laisses faire parce que tu veux les connaître, justement. Lorsqu'elle fait référence aux droguées, tu ne peux t'empêcher de froncer les sourcils, ne voyant pas où Rory veut en venir. Peu importe, tu laisses passer pour cette fois, écoutant la suite. « Mes règles ? » Tu laisses s'échapper un léger rire ironique. « C'est simple, y'en a pas. » Tu attrapes ses bras que tu bloques d'une main, les mettant derrière son dos. Vos corps se trouvent soudain très proches, vos lèvres à quelques centimètres à peine l'une de l'autre. « J'ai pas besoin de règles pour du plaisir. J'veux juste faire ce que j'ai envie de faire. » Rétorques-tu en renforçant ta prise. Tes lèvres s'approchent des siennes, puis, dévient vers son front qu'elles effleurent. D'un coup sec tu retournes la jeune femme, pressant ton intimité contre ses fesses, un sourire amusé au coin des lèvres. « Mais de toute façon, on parle d'un dîner, pas d'une séance sadomasochiste. » Ajoutes-tu en venant plaquer la jeune femme au sol. Tu la retiens juste avant sa chute pour qu'elle soit moins douloureuse mais pas assez afin que Rory la sente passer quand même. « J'crois que j'ai gagné mon dîner. » Ta main fait toujours pression sur ses hanches afin qu'elle reste bloquée au sol alors que ton visage s'approche du sien. Tes lèvres viennent à nouveau effleurer les siennes puis, d'un geste brusque, tu te relèves, t'écartant de Rory pour la laisser là, affalée sur le sol.
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 17:02
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
Trop dangereux, Rory. Trop dangereux. Une alarme s’allume dans la tête. Elle me crie de fuir, de m’en aller car j’allais y laisser des plumes. Enfermée par des parents qui ont fait un bébé médicament, j’ai toujours eu cette soif de violence en moi et Ciàran allait me la donner. Il allait me procurer ce que je recherchai : de l’adrénaline. « Tu vas devoir te plier aux miennes ou plier bagages. » Je vois bien que tout cet échange l’excite autant que moi. Que l’animalité qui émane de cet échange nous rend vivant tous les deux. Je sais qu’il a envie de me faire taire, de me réduire au silence. Sauf que je suis pas aussi docile, facilement baisable que toutes les autres. Je n’étais pas exceptionnelle mais je savais tenir tête à quelqu’un. « Non, je suis vraiment une reine des glaces et c’est un mec dans ton genre qui m’a fait devenir celle que je suis aujourd’hui. » Ma voix se fait plus froide, plus rigide. Je ne perds jamais le contrôle. Jamais. Même pas quand je baise. Sauf que je ne baise pas. je n’ai eu qu’un seul rapport, pas génial et le sexe ne me manque pas. il n’y a que cet homme pour me mettre hors de moi et sans doute me faire ressentir un peu de chaleur. J’esquisse un sourire en coin avant de le regarder. « Je te mets au défi d’arriver à me dresser, chaton. Personne n’y est arrivé jusque-là, on verra si tu te montreras aussi… éloquent. » Puis une fois sur le ring, j’enchaine les coups avec rapidité et souplesse. Je me doute que mes mains ne sont que des caresses sur son corps d’albâtre. Mais je m’en fiche. Ça me fait quelque chose. il attrape mes bras, les bloquent et je pourrais facilement lui mettre un coup de boule ou le frapper dans le plexus mais je le laisse faire. Pour une fois, j’accepte de me faire dominer. « Donc tu te prends pour le roi de la savane à sauter tout ce qui bouge, ajoutai-je réellement en colère cette fois-ci. » Je vois bien les gens nous fixer du coin de l’œil tandis que ce combat ressemble plus à une parade amoureuse qu’à un fight. Je sens sa virilité contre moi. putain mais ça l’excite cet enfoiré. « ah bon alors pourquoi t’as une éréction, Ciàran ? » Je murmure ses paroles pour que lui seul les entendent de ma voix la plus séductrice. Il me plaque au sol et je cris de frustration avant qu’il ne relâche la pression après avoir effleurer mes lèvres des siennes. Je me relève avec la souplesse d’un chat pour vouloir dire quelque chose lorsque la danse de la fée dragée se fait entendre. Mon téléphone. Je lève l’index pour lui demander une minute avant de fouiller et en extraire un téléphone datant de la guerre. « Salut mon chou, dis-je cette fois-ci avec un sourire lumineux. » Je l’écoute me parler de notre prochaine représentation avant de hocher la tête. Brisbane n’était pas trop trop loin, ça allait encore en avion. Je sors mon carnet pour noter la date. « Prends-moi deux billets d’avion et réserve-moi une place. Hm. Oui, je viens avec un amateur de ballet. Bye mon chou. » Je raccroche avant de jeter un coup d’œil à Ciàran. Puis, je soupire avant de consulter l’heure. J’étais déjà en retard. Je lui choppe la main pour l’emmener avec moi dans les vestiaires des femmes. J’étais la seule à venir aussi tôt. Donc aucune chance de tomber sur des nanas à moitié nues. Et puis, je m’en fous. Sans lui laisser le temps de réagir, je plaque contre le mur avant de coller mes lèvres sur les siennes avec violence, une main posée à côté de sa tête et l’autre contre sa cuisse. « Tu penses qu’on peut faire quoi en cinq minutes, susurrai-je contre ses lèvres, rêve, je te taillerai pas une pipe dans tes vestiaires crades. Je réserve ça pour plus tard. » J’avais dit tout ceci en le caressant par-dessus son pantalon, contente de voir qu’il n’avait rien perdu de son excitation.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 17:46
Dangereux c'est le mot, oui. Tu n'es pas quelqu'un qu'il est bon de fréquenter, bien au contraire. Ton milieu est bien trop hostile pour y faire entrer une nouvelle personne mais avec Rory les choses sont différentes. Cette femme est un défi à elle toute seule et tu es prêt à le relever. Même si tu ne devrais pas. « Alors ce sera à toi de me prouver que ça en vaut la peine. » Dis-tu en arquant un sourcil, désireux de voir sa réaction. Tu aurais sans doute déjà laissé tomber avec bien des femmes mais pas avec la jeune Powells. Elle est venue te chercher après tout, il doit bien y avoir une raison. Vous auriez pu rester sur cette fameuse nuit où tout a été ruiné avec le départ de Rory mais non, vous persévérez. Encore et encore, peu importe les obstacles et peu importe à quel point l'autre se comporte comme un connard/une connasse. « Un mec dans mon genre ? Je serais curieux de savoir ce que tu entends par-là. » Il y a bien peu de personnes qui ont su lire en toi, Ciàran. Pour ne pas dire aucune. Tu ne penses pas Rory capable de cet exploit, pas après si peu de temps passé en ta compagnie. La jeune femme pique ta curiosité lorsqu'elle parle de dressage. C'est un défi que tu te sens prêt à relever mais tu ne sais pas si ça en vaut la peine. Pas encore. Tu as besoin de plus et ce fameux dîner tombe à pique pour ça. « Je ne reste jamais sur une défaite. » Réponds-tu en adressant un clin d'oeil à la jeune femme. Sujet clôt, vous verrez par la suite où tout ça vous mène. Puis, sans que tu t'y attendes, Rory hausse le ton, attirant quelques regards sur vous. Il y a bien longtemps que tu as mis de côté le regard des gens. Tu t'en fiches et bien profond. Tu fronces les sourcils, ne sachant pas vraiment pourquoi elle est en colère tout d'un coup. « Je te rappelle qu'il faut être deux pour baiser. Si les femmes que je saute en ont envie et moi aussi, j'vois pas le problème. » Ton ton est aussi cassant et sec que le sien, il faut dire que tu n'as pas l'habitude de te laisser faire. « T'es jalouse ? » Demandes-tu finalement avec un sourire moqueur au coin des lèvres. Tu sais que ce n'est pas de la jalousie mais tu ne comprends pas cet excès de colère. Alors que tu colles ton intimité contre ses fesses, tu ne peux nier qu'une telle proximité ranime ton désir. Ça et tout ce venin que vous crachez tous les deux. Parce qu'il ne faut pas oublier que la violence est une vertu chez toi. « Parce que j'imagine déjà à quel point j'vais pouvoir martyriser ton sale petit cul pour te faire ravaler ton air de connasse. » Susurres-tu à son oreille, espérant une réaction de sa part. Quelques secondes plus tard, une sonnerie retentit à travers la salle et tu comprends bien vite qu'il s'agit de son téléphone. Tu hésites un instant à te casser mais tu restes en place, trop curieux. Après quelques échanges, tu comprends que ce fameux dîner aura lieu, en réalité, devant un ballet. Tu n'es pas contre, c'est quelque chose que tu appréciais plutôt en Italie. « L'avion ? » Demandes-tu, interloqué. Tu ne sais pas où vous mènera tout ça mais tu sais que ça risque d'être plutôt intéressant en présence de Rory. La jeune femme attrape ta main et t'attire dans le vestiaire des femmes plaquant son corps contre le tien. Un sourire lascif se dessine au creux de tes lèvres alors qu'elle te propose quelque chose de rapide. Avant que tu aies le temps de refuser comme tu prévoyais de le faire, c'est elle qui te met un stop. Plus tard, dit-elle. C'est intéressant mais vu son attitude, plus tard viendra tardivement parce qu'à présent, tu feras tout pour la faire patienter elle aussi. Comme elle t'a fait patienter.« Toute façon j'ai d'autres trucs à faire que de baiser ton cul, ici. Et puis, j'suis pas sûr d'en avoir envie finalement. » Rétorques-tu pour la piquer une énième fois.
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Mer 3 Jan - 18:21
Ciàran & Rory
Quoique j'encours, t'es à moi.
Je le fixe en me pinçant la lèvre inférieure tandis que mon regard lui lance des éclairs. Si l’on pouvait assassiner par un regard, Ciàran ne serait qu’un tas de cendres à l’heure qu’il est. J’ai un petit rictus moqueur. « C’est pas ce que je suis en train de faire. » C’est vrai qu’il y a bien des façons d’interloquer un homme. Comme de le faire miroiter, de le pousser dans ses retranchements, de savoir le séduire. Mes ongles sortent de sa peau pour aller et venir contre son torse tandis que j’adopte un air nonchalant. Je suis rarement faible. Et il me le rappelle tellement. J’ignorai comment. Parce que mon ex était quelqu’un de doux et de passif tandis que Ciàran, c’est une tornade enflammée mais j’ai encore quelques réticences. « Un homme dangereux. Tu dégages quelque chose, mais pas dans le bon sens. Je sais pas pourquoi mais je sens que si je reste trop près de toi, ce n’est pas seulement mon corps qui va souffrir. Mais également mon âme. » J’avais dit ceci avec sincérité en me redressant et me tenant droite comme un –i. Une posture rigide pour une femme. « Fort heureusement pour toi, tu risqueras pas de me briser le cœur, il a été déjà été détruit et je n’ai aucune envie de le reconstruire. » Je ne parlais pas de mon ex. je m’en foutais de lui. Il m’avait largué, grand bien lui fasse. Je parlais plutôt de ma sœur, de mes parents, du mystère de ma conception. Du fait que je n’étais qu’un bébé voué à la soigner sauf que les circonstances ont voulu que ça ne se fasse pas. je parlais aussi de mon étoile qui s’était envolée et que je n’aurai jamais. Ce qui pouvait équivaloir à une mort pour une ballerine. Je pliasse les yeux tandis qu’il parle de défaite. Moi non plus. Je ne sais pas reconnaitre quand une relation est perdue, est vile et malsaine. Et puis, dans le fond, je m’en fiche. Nous voilà en train de nous battre bec et ongles et je hausse la voix car je déteste cette position. Celle de la femme en détresse. Je n’ai besoin de personne. je n’ai pas besoin d’un homme pour m’en sortir. Alors je me débats. « Eh bah tiens mieux mais c’est pas moi que tu sauteras. » Je finis contre toute attente par déposer mon pied sur le sien avec violence. Puis, je lui fais volte-face. « Je partage pas ce qui m’appartient. C’est comme ça. » Alors, je retente un assaut mais il est bien plus fort que moi et je laisse de nouveau échapper un cri de frustration. Il se colle de nouveau contre moi ce qui m’arrache un feulement qui monte dans ma gorge. « Tu vois un peu ce que ça donne maintenant. Y’a que mon cul qui va être martyrisé, ton corps aussi. Avec moi, c’est donnant-donnant. » Sauvée par le gong, je saute sur mon téléphone pour répondre. Le directeur de la troupe comme d’hab. je vois bien que mon adversaire a envie de se barrer. Bah casse-toi, je te retiens pas. puis, je raccroche alors. « Je suis ballerine pour l’opéra de Sydney, nous nous produisons dans toute l’Australie et donc, je dois me produire dans deux semaines à Brisbane. » Je passe une main sur mon visage avant de calculer le nombre d’heures d’entrainement que j’allais devoir faire pour être au top afin d’incarner le rôle de première danseuse. J’allais tué Zoé qui voulait que je décroche cette étoile. Puis, tout va trop vite. La rage, la hargne, le désir se mélange en moi. qu’était-il en train de me faire ? il semble faire une fixette sur mon postérieur on dirait. Je lui fais un énième sourire en coin avant d’attraper ses mains que je colle dessus. « Tu sembles faire une fixette sur les fesses, chaton. » je lui colle une tape sur le sien. « barre-toi, je te retiens pas. j’ai mon vibromasseur pour me tenir compagnie. ». Doucement, je prends l’une de ses mains, je pose sur mon épaule pour venir jusqu’à ma poitrine petite, mais ferme. Mes doigts quant à eux sont en train de s’affairer ailleurs, en profitant pour le caresser sur son point sensible. « c’est pratique ce genre de pantalon, dis-je en faisant référence à son jogging, j’ai une bonne prise sur ce qui se trouve à l’intérieur. » Mon chant des sirènes. Je pouvais sentir son intimité dans ma main, grandir, grandir. Il en avait envie. Je le savais. Je me redresse alors sur la pointe des pieds pour venir effleurer ses lèvres comme il l’avait fait avec les miennes un peu plus tôt. « T’as raison, t’as pas envie de moi. Tu vas pas te trouver une fille en sortant. Une pauvre nana que tu martyriseras en pensant à tout ce que tu voudrais me faire. A la position dans laquelle tu voudrais me prendre, à sentir mes lèvres se refermer sur ton sexe, à mes cris sous toi… » Je l’embrasse donc de manière plus sensuelle, plus charnelle qu’auparavant avant de murmurer à son oreille. « ci vediamo dopo, gattino, susurrai-je dans un italien parfait avant d’ôter ma main. » Puis, je retire mon tee-shirt que lui lance. « tu me le rendras quand on se verra. « Le 16 janvier à Brisbane si tu ne veux pas prendre l’avion avec moi. sinon, tu sais où me trouver de 8h à 19h du lundi au dimanche. » Puis, je le laisse de nouveau en plan. C’est que ça allait devenir une habitude.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi. Jeu 4 Jan - 1:04
Si tu aimes qu'on te fasse ramer un minimum, il ne faut pas que ça tombe dans l'excès sinon tu pourrais très vite te lasser. Parce qu'au fond, ton besoin de contrôle n'est jamais très loin. Tu aimes, toi aussi, voir le pouvoir que tu exerces sur une femme et en ce moment, sur Rory. Mais avec elle, c'est plus difficile. Peut-être est-ce parce qu'elle est ton parfait reflet ? Tu sais qu'elle n'a pas tort lorsqu'elle dit que vous vous ressemblez mais tu ne l'avoueras pas. Tu ne voudrais pas la flatter, pas après ce qu'elle a fait ce fameux soir où elle t'a laissé la queue dressée entre les jambes. « Très certainement mais je pensais que t'étais une femme qui aimait le danger. J'ai dû me tromper. » Rétorques-tu en sentant le vent tourner. « De toute façon, j'veux pas prendre ton coeur. J'suis pas un homme qu'on aime de cette façon. » Aussi loin que tu t'en souviennes, tu n'as jamais connu une femme capable de t'aimer démesurément. Ou peut-être ta mère mais ce n'est rien de comparable. Concernant Rory, elle ne fera pas exception. Vous continuez votre petit jeu jusqu'à ce que la jeune Powells hausse le ton ce qui, pour le coup, te déroute pas mal. Finalement, il y avait bien une pointe de jalousie et ça t'arrache un sourire de voir que tu ne la laisses pas indifférente. « Arrête de nier l'évidence, t'en meurs d'envie. » Rétorques-tu en faisant allusion au fait qu'elle affirme que "tu ne la sauteras pas". Toi, joueur dans l'âme, tu te persuades du contraire. Pourtant, l'incertitude est bel et bien là. « J'aime les femmes qui laissent des marques. Mais j'sais pas si t'en es capable. » Tu prends un air nonchalant comme pour exprimer l'incapacité de Rory à te satisfaire. Tu penses le contraire mais tu préfères lui laisser croire que tu t'en fous de son cul, finalement. L'homme inaccessible, ça fait frémir les petites culottes des femmes. Lorsque la jeune Powells parle de Brisbane, tu hoches la tête, planifiant déjà ton départ. C'est la première fois que tu fais ce genre d'escapade avec une femme sans trop te poser de questions et c'est assez déconcertant pour toi. Bien sûr, avec la naissance de Gabriel, tu devras t'arranger mais ça ne devrait pas être impossible. Du moins, tu l'espères. « J'vois pas comment un vibromasseur peut combler tes pulsions SM mais si ça te convient, pars avec lui à Brisbane. » Craches-tu en agrippant sa main posée désormais sur ton sexe. Ton autre main fait pression sur sa poitrine, sans doute un peu trop fort mais qu'importe. L'ambiance devient davantage électrique, faisant grimper vos désirs mutuels. Parce que même si ce n'est pas aussi visible chez Rory que chez toi, tu sais qu'elle te désire, qu'importe ce qu'elle peut dire pour laisser croire le contraire. « Et à ma langue jouant avec ton clitoris, m'attardant longuement pour que tu jouisses dans ma bouche... » Complètes-tu avec un regard de défi. Si elle veut faire monter la pression avec des mots, tu en es autant capable qu'elle. Même si tes mots à toi sont bien plus crus. Puis, sans prévenir, ses lèvres se retrouvent contre les tiennes, vos langues se rencontrant, à nouveau, après des mois d'absence. « ciao il mio cuore... » Murmures-tu à ton tour, vous seuls comprenant vos mots. Tu ne réponds pas à ses dernières paroles, préférant laisser planer le doute. Tout comme tu sais que tu ne prendras pas l'avion à ses côtés, afin de lui faire croire que tu ne viendras pas jusqu'à la dernière seconde.
Fin du sujet
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: (Adreawells) quoique j'encours, t'es à moi.