(frellen) you can count on me like one, two, three

Il n'était pas rare de te voir traîner ici. Surtout en ce moment alors que beaucoup de choses n'allaient pas dans ta vie. A commencer par ton travail que tu trainais difficilement derrière toi. C'est pour cette raison que tu venais régulièrement au bar de la plage afin de décompresser. Tu en avais besoin aujourd'hui plus que jamais. Ce n'était pas tant le fait de boire - même si ça en faisait partie. C'était plus l'ambiance, le monde et l'adrénaline de la fête. Le tout réunit afin de te faire oublier pendant quelques heures tous tes problèmes. Aujourd'hui n'échappe pas à la règle. Après quelques heures passées au bureau, tu te rends au bar de la plage dans le but de rencontrer des têtes connues. Et par chance, tu en vois une que tu apprécies plus que les autres. Allen. Un ami des plus précieux à tes yeux et même si vos gestes laissent penser qu'il existe plus que de l'amitié entre vous, vous vous savez que ça s'arrête là. C'est simplement une amitié fusionnelle. « Bébé. Comment tu vas ? » Dis-tu en t'approchant et en déposant un baiser au creux de ses lèvres. Tu t'installes sur la chaise en face d'Allen et fais signe au serveur de venir prendre votre commande. « T'es venu dans l'espoir de voir la femme de ta vie, avoue. » Ajoutes-tu pour taquiner le jeune surfeur. Lorsque tu remarques sa tenue, tu ne peux t'empêcher d'agrandir ton sourire. « Faudra que tu m'emmènes surfer un jour. Ça fait trop longtemps que j'en ai plus fait. » Et c'était vrai. La dernière fois était lors d'un voyage en Thaïlande, si tes souvenirs sont bons et ça remonte à bien trop longtemps à tes yeux.

Lorsqu'il venais ici, il était dans un autre monde. Cela lui permettait de décompresser, le surf. Mais bon, boire c'était tout aussi la même chose. Alors après sa session, il était parti au bar de la plage pour boire un verre, en espérant voir des amis à lui. Surtout Freja. Elle venait ici assez souvent ces derniers temps, elle semblait être tracassée par son travail. Alors il attendait, en buvant sa bière jusqu'au moment où il reconnu sa voix et qu'elle vient l'embrasser au creux des lèvres. On pourrait croire de l'extérieur que c'est un couple, qu'ils couchent ensemble. Mais non, loin d'eux cette idée. Ils sont juste amis, depuis des années. « Si tu continues à me dire bonjour comme ça, je vais te bouffer » dit-il sur le ton de la blague à son amie. « Sinon, je vais bien et toi chat ? » demanda-t-il à la belle norvégienne. La jeune femme s'installait en face de lui, il était heureux de la voir. Le serveur vint prendre sa commande et reparti pour les laisser discuter. « Et mes espoirs sont devenus réalité » continu-t-il en faisant un clin d'oeil à la brunette. « Quand tu veux, j'ai une deuxième planche, je t'emmène quand tu veux » répondit-il à Freja lorsqu'elle lui demanda de l'emmener surfer un de ses jours. Surfer, c'était devenu une passion pout lui. Alors il était ravi que son amie lui demande de l'emmener.

Tu laisses s'échapper un rire en entendant les paroles d'Allen. C'est un petit jeu entre vous que vous entretenez depuis des années, rien de bien méchant, rien de bien sérieux, surtout.  « Je ne demande qu'à voir. » Rétorques-tu avec un air malicieux. Même si d'extérieur, vous donniez l'impression d'être en couple, vous vous saviez qu'il n'y avait rien de plus qu'un amitié accompagnée d'un jeu "dangereux". Il n'était pas rare que vous soyez tactiles l'un envers l'autre, ça arrivait même souvent. Pour ne pas dire à chaque fois. « Ça va. » Réponds-tu avec un léger sourire. Tu ne voulais pas embêter Allen avec tes problèmes, tu préférais passer un bon moment en sa compagnie plutôt que de plomber l'ambiance. Ton sourire s'élargit sous le coup des paroles du jeune homme. Même si tu sais que tu n'es pas la femme de sa vie, Allen rentre dans ton jeu, comme à son habitude. Puis, tu embrayes sur le sujet du surf. Un sport que tu aimerais beaucoup retenter. Cela fait trop longtemps que tu n'as plus pratiqué et ça te manque, d'une certaine façon.  « C'est dommage que je n'ai pas ma combinaison sinon on irait tout de suite. Les vagues ont l'air d'être tops. » Dis-tu en regardant vers la mer où les vagues sont assez puissantes mais pas trop.

La jeune femme avait rie au fait qu'il est rétorqué lorsqu'elle lui disait bonjour d'une certaine manière. En guise de réponse, il la gratifia d'un clin d'oeil. Leur complicité était sans pareil, et c'est ça qu'il aimait avec Freja. Elle n'avait pas l'air d'aller bien. Surement le boulot qui la tracassait, comme tout le monde d'ailleurs. Lui aussi, des fois avait des soucis et il comprenait qu'elle ne veuille pas lui en parler mais bon, c'est son amie après tout alors il voulait vraiment savoir si elle avait besoin de parler ou pas. « Certaine ? » lui demanda-t-il d'un air interrogateur. Après tout, ils se disaient tous, ces deux compères de voyage. Ils en ont essuyé des galères ensemble, alors ils pouvaient continuer à le faire. Lorsqu'elle parlait de l'emmener faire du surf, Allen avait des étoiles dans les yeux. Le bel italien adorait ce sport, c'est un peu une des raison pour lesquelles il a posé ses valises en Australie il y a quatre ans maintenant. « La prochaine fois, promis, on fait l'amour aux vagues toi et moi » répondit-il en laissant échapper un petit rire à la belle norvégienne. Avec Freja, il pouvait être lui même, il pouvait sortir n'importe quelle vanne, n'importe quelle blague, elle faisait exactement la même chose et c'est pour ça qu'il l'aimait tant, cette jolie brune.

Allen était sans aucun doute un confident pour toi. Tu avais toujours pu parler de tes problèmes avec lui sans qu'il te juge. Et c'était une qualité que peu de gens pouvaient se vanter d'avoir. Heureusement pour toi, Allen faisait partie de cette minorité. « Juste le boulot. C'est compliqué en ce moment. » Dis-tu simplement en haussant les épaules. Tu ne voulais pas embêter le jeune homme avec tes problèmes de travail inintéressants, alors, tu n'en disais pas plus. Et de cette façon, Allen s'inquiéterait moins pour toi aussi. Vous changez radicalement d'ambiance en parlant du surf et de votre envie de pratiquer ce sport ensemble. Tu ris en entendant les paroles du jeune homme. Et comme à ton habitude, tu plonges dans son jeu tête baissée. « Et pas qu'aux vagues. » Réponds-tu avec un sourire malicieux. Même si vous saviez que c'était faux, vous ne pouviez vous empêcher de taquiner l'autre sur ce sujet. C'était un peu votre manière à vous de fonctionner et d'exprimer votre complicité. « Et sinon quoi de neuf dans ta vie ? Le travail ? Les meufs ? » Demandes-tu lorsque le serveur arrive avec vos consommations.

Se confier à Freja, c'était devenu banal et normal. Elle savait comment lui parler et comment le conseiller. Il adorait cette fille. Alors lorsqu'elle évoqua le fait qu'au boulot c'était pas la joie, cela se voyait sur son visage qu'elle n'avait pas forcément envie d'en parler. Ce que le jeune italien pouvait totalement comprendre. Les affaires sont les affaires. Alors il ne s'étala pas sur le sujet avec sa belle brune. Il finit sa bière avant de la reposer sur la table. Il mit ses lunettes de soleil sur le nez, le temps était un réel bonheur, il en profitait énormément. Alors lorsqu'elle dit au'ils ne feraient pas l'amour qu'aux vagues, il rigola aux éclats. C'était exactement ce qu'il voulait lui dire. « Tu as toujours réussi à lire dans mes pensées » dit-il à la jeune femme avec un sourire malicieux. Se taquiner, c'était leur marque de fabrique. La belle norvégienne lui demanda ce qu'il se passait dans la vie d'Allen. « Le travail ça va, comme toujours. Y'a des hauts et des bas » répondit-il avec un sourire. « Et les filles... Ca reste mon jeu préféré » continua-t-il en esquissant un rictus. Il ne savait pas quoi faire des femmes, il aimait tellement leur compagnie. Même s'il n'en aimait qu'une seule et que c'était compliqué pour elle et pour toi. « Et toi, les hommes, la vie ? » demanda le jeune surfeur à son amie.

Tu t’attardes un moment pour observer Allen, un léger sourire aux lèvres. C’est un homme d’une beauté sans nom, ça ne fait pas de doute. Et si tu ne tenais pas autant à votre amitié, tu aurais sans doute tout fait pour le séduire. Mais votre relation compte bien plus qu’une nuit dans ses bras. Malgré tout, tu t’arrêtes quelques secondes sur ses lèvres puis reportes ton attention sur ses paroles pour chasser toute idée tentatrice de ta tête. « Fais gaffe, je pourrais aller voir ce que tu penses de moi. » Réponds-tu pour taquiner Allen. Finalement, tu lui demandes des nouvelles de sa vie parce que ça fait un moment que vous n’avez pas partagé votre quotidien. Tu hoches la tête lorsque le jeune homme parle du travail, tu ne vois que trop bien ce qu’il veut dire. « Tu dois en briser des cœurs Tedeschi. » Répliques-tu en secouant la tête et en riant légèrement. « Les hommes et les femmes. » Dis-tu pour corriger le jeune homme avec un sourire aux lèvres. Allen n’était pas sans savoir que tu ne te prononçais pas sur tes préférences sexuelles. « J’aime beaucoup jouer moi aussi. Peut-être même un peu trop. » C’était la stricte vérité. Tu ne sais pas où tout ça te mènera mais tu n’es pas du genre à te projeter. Tu préfères vivre au jour le jour. « Si je finis mes jours seule j’pourrai m’en prendre qu’à moi-même. » Ajoutes-tu en portant ton verre à tes lèvres et en haussant les épaules.

La jeune femme avait des courbes magnifique. Il est vrai que plus d'une fois, l'italien l'avait imaginé dans son lit à faire des folies avec elle. Mais non, c'était Freja. Comme sa meilleure amie, comme sa soeur alors il ne pouvait pas se permettre d'imaginer ça. Alors, chassant ces images de son esprit, il s'attardait sur elle et ses paroles. Alors en parlant de lire dans ses pensées, la norvégienne lui dit qu'elle pourrait aller fouiller ce qu'elle pense de lui. « Tu sais très bien que je rêve secrètement de toi la nuit et que je rêve de partager mon lit avec toi » dit-il en faisant un clin d'oeil à son amie. C'est vrai, c'est pas totalement faux mais bon, il laissa échapper un léger rire. Ils en viennent à parler des amours, et la brune lui dit qu'il devait surement briser des coeurs. « T'imagines même pas ! » répondit-il à son amie avec un sourire en coin. La jeune femme insista sur les hommes et les femmes, c'est vrai que tu connaissais ses penchants et tu ne faisais pas attention à ça. Cela ne te dérangeais pas. « Toi aussi tu dois en briser des coeur, Ivanova, et plus que moi , continue-t-il à dire à Freja. Un jour, toi et moi on arriveras à se caser, ou du moins on essayera. Sinon, on a cas se marier ! » dit-il du tac au tac à son amie. Il avait toujours cette lueur d'espoir de recroiser Andeana et de finir sa vie avec elle, et de vivre sa vie. Il pensait toujours à elle lorsqu'il évoquait les femmes dans sa vie.

Tu ne doutais pas qu'Allen soit capable de faire danser les femmes selon ses envies et ses goûts. Avec un visage pareil, il ne pouvait qu'en faire craquer plus d'une. Dans une autre vie, peut-être que tu aurais craqué, toi aussi. Peut-être que tu te serais laissée aller au plaisir de son corps et de ses bras. Mais aujourd'hui, tu préférais privilégier votre amitié parce qu'Allen était l'un de tes rares amis. Avec lui, c'était plus facile de se confier parce que vous faisiez toujours passer ça sur le ton de plaisanterie. Rien de dramatique, juste de la légèreté. « Je sais, j'espère rester la number one dans ton coeur et dans ton lit. » Rétorques-tu avec un léger sourire. Vous ne franchiriez peut-être jamais le pas avec Allen mais au moins, vous imagiez vos pensées. Parce que tu ne pouvais nier le fait que tu avais déjà rêvé de la douceur de sa peau. « Mmmh je ne sais pas mais il y a des avantages à aimer les deux sexes, c'est sûr. » Il y a surtout plus de choix et de diversité. Tu aimais le fait de ne pas être étiquetée ou bloquée dans une case. En étant bisexuelle, tu donnais libre cours à toutes tes envies. « Ça me va. Mais pas à l'église, j'ai pas envie d'être foudroyée en sortant. » Répliques-tu en riant. Tu avais bien fait trop de mauvais choix dans ta vie pour être acceptée dans une église. Et surtout, tu n'en ressentais pas forcément l'envie ni le besoin.

Les deux jeunes gens étaient d'un côté très ressemblant. Les hommes et les femmes se perdaient avec eux et ils adoraient en jouer. Ils ne sont pas devenus amis aussi vite pour rien ! Les deux ont énormément de points communs. Comme le fait, qu'ils savent très bien qu'ils ne vont jamais coucher ensemble même s'ils en repent secrètement l'un et l'autre. « La femme de ma vie ! » répondit-il à Freja avec un sourire. C'est vrai, c'est une fille qu'il apprécie énormément, avec qui il pourrait passer le restant de ses jours et avec qui il n'aurait jamais d'embrouilles. Même s'il voulait quand même essayer de partager son lit un jour, pour passer du bon temps et satisfaire sa curiosité. L'italien rit légèrement au fait que la belle brune mentionne qu'il y a des avantages à aimer les hommes comme les femmes, et c'est vrai, deux fois plus de possibilités, deux fois plus d'avantages à séduire. Et surtout à plaire. Alors l'italien proposa à la jeune femme de se marier avec lui, si un jour ils ne réussissent pas à se caser avec quelqu'un, s'il n'arrive pas à trouver leurs âme-soeurs. « Avec toi et moi, ce n'est pas un foudroiement, c'est carrément le tonnerre qui va s'abattre sur nous, rétorque-t-il à la jolie brune. Freja Tedeschi, ça sonne bien en plus » dit-il avec un sourire malicieux à la jeune femme.

Tu ris légèrement lorsqu'Allen te surnomme comme la femme de sa vie. Vous plaisantez souvent à ce sujet-là mais ce n'est jamais très sérieux. Bien qu'il réside une forte attirance entre vous, vous n'êtes pas prêts à sauter le pas. Pas alors que votre amitié est stable et durable. Vous ne voulez pas briser ça pour du sexe. Mais après tout, vous n'êtes pas à l'abri d'un moment de faiblesse. « Et à part moi, il n'y a aucune femme qui s'en rapproche ? » Demandes-tu par curiosité. Peut-être qu'Allen est assez proche d'une femme pour voir sur du long terme, qui sait ? Il reste souvent vague sur sa vie amoureuse, un peu comme toi, d'ailleurs. Peut-être parce que vous n'êtes pas fait pour les relations durables ? Et amoureuses ? Vous êtes similaires sur bien des points, ce ne serait pas étonnant que vous partagiez également celui-là. Tu rigoles à ton tour lorsque le jeune homme mentionne que c'est le tonnerre qui va s'abattre sur vous si vous désirez vous marier dans une église. Il n'a pas tort, au fond. « On risque de déclencher un cataclysme sur Bowen. » Rétorques-tu à ton tour en riant. « Carrément. Tout comme Allen Ivanova, parce qu'on sait que c'est toi qui vas prendre mon nom. » Ajoutes-tu en faisant un clin d'oeil à ton ami pour le taquiner.

Y'avait-il une autre femme qu'il voulait comme la femme de sa vie ? Bien sûr. Il y avait Andeana. Il ne l'avait pas revu depuis des années maintenant, depuis son arrivé à Bowen. Il ne rêvait que d'une chose, c'était recroiser la route d'Andeana Joseph. Allen n'en avait jamais parlé à Freja, il ne se confiait que très peu sur ses relations amoureuses. Peut-être parce qu'il savait qu'il n'en tiendrait jamais une, jamais il ne pourrait vivre cette belle histoire comme dans les films. « Je la retrouverais un jour » répondit-il simplement, sans s'attarder plus longtemps. Son regard s'était assombrit derrière ses lunettes de soleil. Son sourire ne brillaient plus de milles feux. Mais il fallait se ressaisir. Alors lorsque Freja accentua le fait qu'ils provoqueraient un cataclysme, il ne pu s'empêcher de rire. C'est vrai, ils sont loin d'être des anges. « Freja Tedeschi et Allen Ivanova, mari et femme, dit-il avant de rire. Le plus beau couple de Bowen, voir même de l'Australie » finit-il simplement avant de sourire malicieusement à son amie qu'ill avait en face de lui. Il attrapa son verre pour en boire une gorgée. Le temps était chaud, le soleil tapait. Il fallait s'hydrater enfin !

« Tu mérites d'être heureux. » Dis-tu sincèrement. Allen reste toujours très vague en ce qui concerne sa vie amoureuse mais tu peux voir que la femme dont il parle ne le laisse pas indifférent. Tu n'en demanderas pas davantage parce que s'il ne désire pas en dire plus c'est sans doute qu'il a ses raisons. Et puis, tu n'es pas du genre à tirer les vers du nez à tes amis. Tu préfères les laisser venir à toi. Sans doute parce que tu n'aimerais pas qu'on le fasse avec toi non plus. Tes sentiments et l'accès à ton coeur sont bien gardés. Tu ne t'ouvres que très peu à ce sujet pour ne pas dire jamais. « On ferait ça où ? Sur la plage avec une arche de fleurs blanches ? » Demandes-tu avec un sourire amusé. Si tu es plus douée pour organiser la décoration d'un intérieur, ça ne t'empêchera pas de penser la décoration de votre mariage, avec Allen. Il trouvera sûrement une femme qui lui convient de son côté mais tu aimes plaisanter au sujet de votre mariage comme si c'était vraiment un plan pour le futur. « Et après tu m'emmèneras où en lune de miel ? Choisis bien j'ai déjà vu beaucoup beaucoup d'endroits. » Rétorques-tu en riant légèrement. Le monde était grand et avait encore beaucoup à t'offrir mais tu avais déjà beaucoup voyagé contrairement à la plupart des gens de ton âge.

La norvégienne lui dit simplement qu'il méritait d'être heureux. Un jour il lui racontera, un jour il aura besoin de lui parler. Comme il aura besoin d'en parler à Alfie. Cela faisait partie de sa vie, elle faisait partie de sa vie. Et cela lui brisait le coeur. Alors il sourit timidement à la belle brune. Alors il chassa ses idées noires et se re-concentra sur son amie, sur ce dont ils étaient entrain de parler. Amusé, la jeune femme lui demanda comment se passerait leur mariage. « Sur la plage, dans un bar, où tu veux ! dit-il amusé. Et se sera le plus beau mariage de Bowen » finit-il avec son sourire aux lèvres. Il était difficile de ne pas imaginer une telle situation, c'est vrai. C'était une brève plaisanterie, mais il imaginait. Comment ne pas imaginer cela ? « La lune de miel ? Je t'emmènerais chez moi, dans mon village, c'est beaucoup trop romantique l'Italie » répondit-il en riant à son amie. Pour lui son pays rimait avec romantisme, alors il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il emmenait sa future femme là-bas. « De toutes façons, j'ai vu pleins d'endroit moi aussi, alors ça risque d'être compliqué de trouver un terrain d'entente » rigola-t-il avec Freja.