we could make a great deal (jeremy)

Depuis que les choses étaient repartient de plus belle avec Amélia après notre partit de jambe en l'air impromptu à sa boutique, j'avais le sentiment d'avoir enfin tout ce que j'ai toujours voulu. Je suis certe overbooké avec les petits trucs qu'Amélia me demande que ce soit pour sa boutique ou pour préparer l'arriver du bébé. En plus, je suis obliger de la surveiller car elle serait bien capable de tout faire elle-même alors qu'elle est pratiquement sur le point d'accoucher. Elle prendrait des riques et ça, je refuse même si parfois elle m'envoit bouler à coup de " je suis enceinte, pas impotente ! ". Ouais bah quand tu verras à nouveau le bout de tes pieds tu pourras parler. Je dois également gérer l'entrée de Maxim dans ma vie. dans ma maison et dans mon quotidien. Et enfin, je dois évidement continuer de gérer mes deux business. Bref, je n'avais pas une minute à moi mais je m'en foutais complètement. Cela me convenait plutôt bien d'être toujours en mouvement, de gérer plusieurs truc en même temps. Cela gardait mes démons enfermés. Chez moi, c'était l'ennuie qui causait les emmerdes, pas d'avoir trente six mille chose à faire.
Ce soir j'étais donc au club après avoir bosser à la boutique d'Amélia une partit de la journée, sous ses ordres évidement. Elle savait précisement ce qu'elle voulait et cela me plaisait. Je faisais donc tout pour qu'elle soit satisfaite. Je l'avais ramener chez elle avant de venir ici. La soirée se passait bien. Je ziggaguais entre les tables, saluant les habitués, les gens que je connaissais, parlant quelques minutes avec eux tout en regardant la salle et vérifiais que tout se passer pourle mieux. Je faisais toujours un tour dans la salle. Chaque soir. Comme un petit rituel. La musique s'arrêta et un autre show allait commencé. Je regardais alors les postes de danse pour voir qui allait entrer sur scène. Je fis ma petit liste dans ma tête de qui devait prendre le relais quand je m'arrête soudain sur une silhouette, un chevelure, un visage que je ne connaissais pas. Je reste donc debout, près d'une table, le regard fixé sur la jeune femme se déhanchant sous les yeux de mes clients qui semblent l'appréciait de ce que je peux voir de la où je me trouve. Une jeune femme qui ne bosse pas pour moi. Une jeune femme qui a un culot que je respecte. Je reste donc là, à la regarder avec un intérêt tout professionnel. Les minutes passent et je ne l'arrête pas. Puis son regard capte le miens et sans savoir pourquoi, je sens que c'est ce qu'elle voulait. Attirer mon attention. Ce que je ne sais c'est pourquoi. Nos regards se croisent quelques secondes et elle reprend sa danse. Je rejoins l'un de mes videurs. " La blonde, là-bas, amène la dans mon bureau quand elle a fini. " Soufflais-je en désignant la jeune femme. Il hoche la tête. " Ok patron. " Je glisse une main dans mes cheveux et je retourne m'enfermer dans mon bureau. Je prend place sur mon confortable siège de bureau. Je me sers un verre et j'allume une cigarette.

Quelques minutes plus tard, on toque à la porte de mon bureau. " Entrer. " Lâchais-je, la clope entre mes lèvres. La porte s'ouvre et mon videur entre, suivit par la jeune femme. Je reste silencieux quelques secondes avant de poser les yeux sur mon employé. " [color=#cc3300]Laisse nous. Merci." Il hoche la tête et ressors, fermant docilement la porte derrière lui. Je lève les yeux vers la jeune femme. Je pose ma clope sur le bord du cendrier. " Assis toi, je t'en pris. " Lui dis-je en désignant les chaises de l'autre côté de mon bureau. " Je te sers un verre ? " Lui demandais-je avant de reprendre une taffe de ma cigarette qui se consumait sur le cendrier. Je me met au fond de mon fauteuil et je glisse mes doigts dans mes cheveux avant de braquer mon regard sombre dans le siens. " Qu'est ce que je peux faire pour toi ? " Lui demandais-je de but en blanc. Car elle voulait quelque chose. C'était certain. J'ignore à quo tout ce rimer mais j'allais bientôt le savoir.