If things goin' wrong it's just incidental + scar

La saison des finaux étaient bientôt commencée. À l'université, on pouvait sentir la panique générale et l'urgence d'empiler le plus de savoirs possible avant la période des examens. Bella avait toujours accordée une attention particulière à son éducation. Déjà petite, elle prenait plaisir à réviser, à se créer des aide-mémoires, des raccourcis mentaux, pour faciliter sa tâche. Mais entre l'université et tout le parcours scolaire qu'elle avait déjà fait, la marche était grande. C'était un ravin qui, au loin, n'avait rien d'hasardeux. Et plus on s'y approchait, plus on voyait le danger grandir. C'était un peu l'état dans lequel la belle brune se trouvait à cette aube de ce qui se déployait devant elle comme la fin du monde. Entre ses études qui prenaient le plus clair de son temps et sa vie personnelle quelque peu chaotique, elle ne savait plus vraiment où donner la tête. Celle qui ne se faisait plus appeler Isabella depuis des lunes était dans une confusion psychologique qui commençait à jouer sur ses nerfs déjà fragiliser.
Bella s'était rendue au Starbuck, un café bien trop commercial pour ses goûts milléniaux, mais l'endroit ferait bien l'affaire pour réviser. Le vendredi soir, l'endroit n'était pas bondé. Tous les universitaires faisaient la fête ou décompressaient de leur semaine folle. Et pourtant, la brune, elle, s'était installée à une table isolée, lattée en main, lunettes de travail sur le bout de son nez, sa grande chevelure cachant son visage comme barrière de protection à toute possible distraction, musique dans les oreilles. Rien ne pouvait l'atteindre dans sa bulle parfaite de concentration. Du moins, c'est ce qu'elle croyait. Alors qu'elle pensait être en paix avec elle, avec ses études qui lui demandaient de la concentration, alors que ses yeux se fronçaient en regardant son MacBook pro qui affichait ses notes de cours et qu'elle tentait de déchiffrer les dires de son professeur, elle sentit une main se poser sur son épaule. Qui pouvait bien venir la déranger, elle qui pensait s'être bien isolée ?

HJ:

Entre les études et les fêtes universitaires qu'elle organisait, Bella était l'une des étudiantes les plus connues du campus. Les étudiants des autres facultés la reconnaissaient bien, celle qui savait mettre l'ambiance dans les soirées post-examens. Et bien qu'elle savait s'amuser, qu'elle tentait de ne rater aucun événement social de sa vie scolaire, ses études étaient néanmoins sa priorité. Elle venait d'une famille hispanique stricte où le travail et les études passaient avant tout le reste, où il était interdit de ramener un mauvais résultat à la maison sans recevoir un long monologue sur l'importance de la performance et de la persévérance. Ses parents avaient immigré pour donner à leurs enfants une meilleure vie, ce c'était pas pour les voir dépérir sur les bancs des écoles et devenir des sous payés de la société. Ça, c'était l'avis de ses parents. Et puis, d'année en année, à force de se faire répéter combien les études étaient importantes et qu'elle ne pourrait pas vivre sa vie en vendant des vêtements pour le reste de ses jours, Bella s'était fait à l'idée. Puis, exceller, elle aimait bien. En classe, elle était exemplaire. D'une main elle répondait à un texto de groupe de ses meilleures copines, de l'autre elle prenait ses notes exhaustives sans perdre un mot de ce que le professeur racontait devant elle. La fac de droit, c'était dur, mais elle le réussissait avec brio, sans trop négliger sa vie sociale. Ce vendredi, pourtant, elle avait fui les fêtes et les sorties en boites pour réviser. En fait, elle était plus que prête, mais l'exigence de ses parents avait fini par créer en elle une anxiété de performance qui était irraisonnable. Lunettes sur le bout du nez, la tête plongée dans ses flashs cards, elle n'aperçut pas une silhouette s'approcher d'elle. Ce fut la main sur son épaule qui fit sursauter la brune. Elle posa enfin les yeux sur l'intrus. Scar, celui qui lui faisait tourner la tête. Il était beau, il était inaccessible, il la faisait craquer. Depuis Milo, Bella ne s'était pas sentie ainsi à l'égard d'un garçon. Salut. Lâcha-t-elle doucement en reposant ses lunettes sur la table alors qu'il prenait place en face d'elle. Qu'est-ce que tu fais ici un vendredi soir ? Elle lui sourit, des étoiles dans les yeux, avant de regarder la barista. Je t'offre quelque chose ? Ou peut-être que tu es pressé ?

HJ : c'est parfait comme ça

Il n'avait plus son uniforme de baristas, son tablier était probablement accroché dans l'arrière-boutique, là où les employés avaient accès. C'était son look civil qui avait trahi la question de la belle brune, sans quoi elle ne saurait pas risqué à demander. Mais elle afficha un sourire alors qu'il lui apprit la nouvelle agrémentée d'un surnom affectueux. Je devais être vraiment trop prise dans mes révisions, je ne t'ai jamais vu derrière le comptoir ! Affirma-t-elle en riant. Si elle avait su que Scar travaillait ici, elle n'aurait certainement pas choisi l'endroit pour réviser. Surtout un soir où il bossait. Autrement, elle aurait été maintes fois déconcentrée par son joli visage, absorbé par son charme plutôt que par ses cahiers. Non non, en fait je panique un peu pour rien. Confia-t-elle, une moue coupable au visage. Elle était prête pour les finaux, mais son anxiété constante la mettait dans une position incontrôlable. Je les remet, si tu veux ! Bella reposa ses lunettes sur son nez et lui sourit. Ce n'était pas la première fois qu'on lui disait que les montures lui allaient bien. Elle, elle les détestait. Elle les trouvait encombrantes et elles rendaient son visage plus sévère. Pourtant, elles avaient la cote chez les hommes qui semblait trouver la Costaricaine plutôt séduisante lorsqu'elle les portait. Une chance pour elle qu'elles n'étaient nécessaires que devant son ordinateur. Tu as toujours un bon mot pour me faire sourire, Scar. Ajouta-t-elle avant de l'inviter à prendre un verre avec lui. Tu rends ma soirée beaucoup plus palpitante, tu sais ? Ajouta-t-elle sur le même ton que lui. Au même moment, elle referma ses livres et les plaça dans son sac, la révision, ça pouvait attendre. On est en 2019, les femmes aussi peuvent offrir à boire. Gloussa-t-elle en se levant. Tu paieras la prochaine fois. Qu'est-ce que je te rapporte ? Puis elle s'exécuta, ramenant au brun ce qu'il lui avait demandé. Elle, elle n'avait presque pas touché à son latté. Cette pause lui permettrait d'en profiter avant qu'il ne devienne froid. Bella revient avec la boisson de Scar et la lui offrit, le même sourire un peu niais sur ses lèvres qu'à l'habitude. Entre eux, c'était étrange. Ils avaient cette attraction, celle qui ne pouvait disparaitre, l'envie d'unir leurs corps, mais en vrai, ils ne s'étaient jamais vraiment parlé de ce que ça voulait dire. Ils couchaient ensemble, à l'occasion, sans plus, sans moins. Bella, quant à elle, commençait à ressentir quelque chose d'unique quand elle le voyait. Il était le seul qui lui faisait oublier Milo. T'avais des plans pour la soirée ?

Même à 100 baristas derrière le comptoir, Bella aurait pu le remarquer. Il était beau, beaucoup trop beau pour elle, et lorsqu'il se trouvait à quelques mètres tout son corps devenait mou, incontrôlable, son coeur battait à tout rompre dans sa poitrine et il semblait instantanément faire plus chaud autour d'elle. Il lui faisait tourner la tête, sans équivoque. Mais la concentration des finaux, le stress inutile à l'idée de réussir à tout avaler la matière dans son cerveau et de le recracher sur sa copie lui avait fait perdre la vision. Elle ne l'avait pas remarqué. T'es gentil. Dit-elle dans un soupire alors qu'il tentait de la rassurer et de calmer ce stress qui n'en valait pas la peine. Ses études étaient importantes, mais parfois elle se prenait trop la tête avec ça. Elle oubliait de respirer, de manger ou même d'être une jeune fille de vingt-et-un ans en bonne et due forme. Mais quand Scar était dans les parages, cette jeune femme était là, présente, et elle vivait pleinement. Pour la faire rire, il s'empara de ses deux loupes de myope et les posa sur son nez. La brune rit en posant sa main contre ses lèvres. Ça te va plutôt bien, je dirais! S'exclama-t-elle en riant de plus belle alors qu'il se décrétait d'intello. Je dois en conclure que tu me vois comme une intello avec mes lunettes ? S'empressa-t-elle d'ajouter, faussement vexée, les mains sur les hanches mais un sourire moqueur en coin. Son air froissé à tort se dissipa totalement alors que le peintre se risqua à un compliment qui fit rougir la brune. Belle, elle se le faisait dire régulièrement et habituellement ce compliment assez récurrent ne lui faisait pas autant d'étincelles. Mais parce qu'il était fait par lui, par Scar, un feu s'alluma dans son bas ventre. Elle plissa les yeux en le regardant. J'peux sourire pour le reste de la soirée avec toi si tu veux. Déclara-t-elle avant de lui avouer qu'il ajoutait une palpitation à sa soirée. Intéressé, il la questionna en entrant dans son charme, question à laquelle elle répondit faussement détachée, mais visiblement en désir de poursuivre sa soirée à ses côtés. Entre toi et les bouquins, le choix est plutôt simple. Et sur cette affirmation, l'étudiante se leva pour aller chercher une boisson à son homme, frôlant son épaule au passage, un peu par exprès. Elle ne se retourna pas pour voir s'il la regardait du coin de l'oeil, jouant l'indifférente, et revient vers lui avec une boisson froide. Un café glacé pour te refroidir, je sens que tu t'enflammes-là C'était cheesy, pourtant un peu vrai. Ils ne cachaient pas, tous deux, être dans un mode séduction lorsqu'ils étaient ensemble. L'attirance était visible, mais jamais ils ne s'étaient promis quoi que ce soit. Après Milo, Bella s'était promis de ne plus s'attacher. Petit à petit, elle commençait à ressentir des frissonnements lorsqu'elle pensait à Scar. Il lui plaisait, beaucoup plus qu'elle voulait se l'avouer. Ils étaient bien, ensemble, sans tracas. Ils se voyaient ici et là, s'adonnaient parfois à des échanges charnels, et c'était bien ainsi. Mais un jour, un jour elle voudrait plus. Et ça, Scar ne lui permettrait peut-être pas. T'as qu'à pas me lâcher. Tu veux marcher un peu ? Il y a du monde ici, c'est pas assez intime.

Le chaos avait pris le dessus sur sa vie. Il l'avait envahie. Elle s'était d'abord très mal remise de sa rupture avec Milo et, envahie par le stress, l'anxiété et les restrictions de ses parents qui commençaient à lui monter à la tête, elle avait mis un contrôle nécessaire à sa vie en contrôlant ses portions, ce qu'elle ingérait, ce qu'elle refusait de manger, les repas qu'elle choisissait de sauter. Dans le contrôle qu'elle tentait de rendre à sa vie, Scar était arrivé. Et il lui faisait du bien. Il était l'un des seuls à lui accorder une attention particulière, à la faire sentir bien dans sa peau et à la regarder avec envie dans ses yeux. Peut-être qu'il ne cherchait, au fond, qu'à la mettre dans son lit, chose qui arrivait fréquemment dans leur relation, mais pour elle, c'était bien plus. C'était la preuve qu'après Milo, c'était toujours possible de sentir son coeur battre la chamade, vibrer alors qu'il touchait sa peau. Bella pensait que cette douce sensation d'amour était morte, que cette partie d'elle n'existait plus. Avec Scar, c'était tout le contraire. Il ne lui faisait pas de promesse, ils n'avaient même jamais évoqué la possibilité de ressentir des sentiments l'un pour l'autre, tout ça c'était dans sa tête à elle. Tu sais mieux que personne que j'ai pas besoin de mes lunettes pour être sexy. Ajouta-t-elle, pleine de sous-entendus évoquant toutes ces fois où ils s'étaient exilés dans l'intimité, rencontrant le corps de l'autre avec ardeur. Avait-il une mauvaise influence sur elle ? Peut-être un peu Répondit-elle, taquine. Mais t'aimes ça. C'était un jeu, une séduction pas même déguisée, une attirance physique qui ne se contrôlait pas. Ils étaient aimantés. Et chaque réplique qu'ils s'autorisaient témoignait de ce désir qu'ils avaient. Entre eux, c'était ça. Pas de banalité, pas de fausse discussion, ils se charmaient, ils se cherchaient, ils se trouvaient et ils consommaient le plaisir. Du moins, c'est ce que les termes de leur relation impliquaient. Les sentiments, le coeur qui battait, l'envie de plus, ça, c'était du bonus. Jusqu'à ce qu'ils arrivent à un point de non-retour, jusqu'à ce que Bella craque. Mais pas ce soir, pas maintenant. Elle était bien et elle ne cherchait pas à l'éloigner, au contraire, elle le voulait près d'elle. L'étudiante l'invita donc à sortir un peu pour s'éloigner de la foule qui ne leur donnait pas assez d'intimité. Elle rapatria toutes ses choses, posa son sac sur son dos, et le suivi à l'extérieur. Alors qu'il prenait le pas vers nulle part, sans destination précise, Bella engagea la discussion. Qu'est-ce qu'il se passe avec toi ces derniers temps, bel homme ?

Après Milo, elle avait cru que les sentiments étaient disparus pour de bon, qu'ils ne viendraient plus jamais la hanter. Puis, elle avait rencontré Scar. Elle ne pouvait dire si c'était son côté mauvais garçon, son beau visage ou le fait qu'il était plus âgé qu'elle, mais elle se trouva attiré vers lui. Ou alors, il lui donnait l'impression d'exister vraiment alors que tous les autres garçons n'étaient pas comme ça. Ils ne posaient pas de questions, après avoir eu ce qu'ils voulaient. Ils baisaient et partaient. Et ce n’était pas pour lui en déplaire, Bella ne voulait pas de ce genre de relation. Mais avec Scar, c'était différent. Bien qu'ils couchaient ensemble à l'occasion, il semblait réellement s'intéresser à elle. Il lui posait des questions, tentait de la connaitre un peu mieux, de savoir comment elle se sentait. Oui, il y avait cette séduction et cette envie de retirer tous leurs vêtements, s'unir dans un égarement charnel, mais il y avait plus. Du moins, selon elle. Alors, oui, il savait combien elle pouvait être sexy quand elle se déchainait, quand elle laissait son corps parler pour elle de l'envie corporelle qu'il détenait. Il n'en fut pas indifférent, Scar, alors qu'elle le voyait de mordiller la lèvre s'imaginant certainement les choses qu'il pourrait lui faire. Bella lui adressa un clin d'oeil avant de proposer qu'ils quittent le café. Elle avait bien peur que, s'ils ne le quittaient pas rapidement, ils finiraient cachés dans les toilettes, accrochés l'un à l'autre.
Dehors, la brune combla la discussion. Scar mentionna son chat, Bella le regardait, des étoiles dans les yeux. Luna, son Scottish Fold, elle l'adorait. Et elle pouvait s'imaginer combien le chaton de Scar devait être la huitième merveille du monde. J'aimerais bien le voir, oui. Elle lui sourit, comprenant que derrière ce prétexte il y avait autre chose, une invitation qui résultait des sous-entendus précédents. Tu sais, pas grand-chose. Bella haussa les épaules. Mes parents et mes frères sont en voyage au Costa Rica, pour visiter de la famille. J'ai la maison pour moi toute seule. Elle planta son regard dans celui de Scar. Ça me donne envie d'avoir ma propre liberté, de quitter la maison familiale. Même si je sais que mes parents ne seraient pas d'accord.

Peut-être qu'au fond Scar n'était seulement qu'une façon d'oublier Milo et, qu'à force se jouer à ce jeu-là avec lui, ce qui semblait être des sentiments avaient fini par se concrétiser. Des sentiments, c'était vite parler, parce qu'en réalité, Bella ne l'aimait pas de cette façon. Elle aimait l'idée d'aimer. Elle l'aimait l'idée de ne pas être seule. Elle aimait l'idée de combler ses nuits. Mais, au final, ils n'étaient pas faits l'un pour l'autre et, bien plus rapidement qu'autrement, elle s'en rendrait compte. Évidemment qu'elle aurait mal, Bella, évidemment qu'elle serait blessée, parce que ce qu'elle pensait vivre avec lui, c'était unique, c'était particulier, cependant, elle finirait par guérir, sans trop de dommages collatéraux. Elle était loin de se douter qu'après cette histoire avec Scar, bien d'autres choses viendraient bousculer son petit coeur. Pour l'instant, alors que l'avenir n'était pas encore près d'arriver, elle s'attardait à la proposition pleine de sous-entendus de l'homme à laquelle elle répondit à la positive avant de parler d'elle, alors qu'il prenait de ses nouvelles. Elle sourit quand il affirma son opinion. Tu as raison, dit-elle simplement. Mais ce n'était pas aussi facile que ça, ses parents avaient bien plus d'emprise sur elle qu'elle ne le laissait savoir. Lorsqu'elle mentionna qu'ils n'étaient pas à la maison pour le moment, il lui sourit. Devinant ses pensées, Bella lui répondit : Ça m'arrive, oui. Surtout quand je suis dans mon lit, la nuit. Elle lui rendit son sourire. T'aurais pas une solution pour remédier à ce vide ?

HJ:

Entre eux, c'était fusionnel. Entre eux, c'était explosif. Ils unissaient leurs corps, inévitablement, chaque fois qu'ils se croisaient leur fin était prévisible. Cet après-midi ne dérogeait pas de leur règle, leur règle qu'ils s'étaient créée. Qu'elle lui avoue avoir la maison à elle seule n'était pas seulement pour faire la conversation. Si Scar s'était montré assez direct sur ses intentions, au travers des sous-entendus, Bella, elle, lui lançait carrément une invitation, à force de remuer leurs envies et de s'imaginer leurs corps s'entrelacer. Il vu juste alors que la brune lui confia se sentir seule, d'autant plus dans son lit et qu'elle lui demandait de l'aide pour dénicher une solution qui la fasse oublier cette solitude. Solution qu'il semblait avoir, bien évidemment. Bella répondit à son sourire en coin en mordillant sa lèvre inférieure. Ça pourrait le faire, oui, mentionna-t-elle en s'approchant un peu plus de lui alors qu'il ajoutait, à la blague, pouvoir passer par la fenêtre. Bella laissa échapper un rire franc avant de passer ses bras autour de son cou, séductrice. L'avantage d'être seule, c'est de ne pas avoir besoin d'être discrets, souffla-t-elle en lui faisant cadeau d'un clin d'oeil avant de plaquer ses lèvres contre celles de Scar dans un baiser qui lui laissait deviner ses envies. Ce n'était un secret pour personne que les deux jeunes adultes s'adonnaient à des luxures, ici et là, ils ne s'en étaient jamais vraiment caché. L'embrasser en pleine rue ne lui faisait donc pas peur. Alors, je laisse la porte déverrouillée ce soir ? Lui dit-elle comme une invitation plus sérieuse, cette fois, avant de poser un nouveau baiser contre ses lèvres, les mordillant au passage. Une fois ce baiser terminé, Bella se recula et s'éloigna de lui. À plus, Scar, lui lança-t-elle en prenant le chemin vers chez elle, priant secrètement pour qu'il la suive, ne la laissant pas attendre jusqu'à ce soir pour consommer ces pulsions.

hors jeu : on peut bien arrête ici, à moins que tu aies à ajouter quelque chose