we were yοung and helpless (nastya) - hot

C'était un peu cliché, mais quand il lui avoua qu'il bossait parmi les chevaux, elle avait tout de suite pensé au prince charmant comme dans les contes de fées. Mais c'était son côté enfantin qui refusait surface et elle le balaya assez vite de ses pensées tout en gardant un petit sourire quand même. J'suis déjà monté quand j'étais petite, j'adorais recommencer. dit-elle, enthousiaste. Je suis étudiante en psychologie. Je me suis dis que comme ça plus tard, j'pourrais peut être comprendre le bordel qu'est ma famille. dit-elle en riant. Et le week-end je bosse en temps que serveur au bowling, pour avoir un peu d'argent de côté. Argent qui risquait de lui servir plus vite que prévu finalement. Mais au moins, elle se disait qu'elle avait eu raison de refuser l'aide de ses frères, pour pouvoir économiser son propre argent un maximum. Un sourire s'étira sur ses lèvres quand il lui dit que c'était loin d'être un bébé. Au moins un qui pourrait peut être la faire se sentir un peu plus femme. Car sur ça, elle ne pouvait pas compter sur ses frères. Et bien, il fera des efforts, il n'aura pas le choix. dit-elle en lui souriant, pour essayer de le rassurer. Enfin, elle essayait de se rassurer elle même aussi, car, elle avait bien conscience du caractère compliqué de Sacha. Theo finit par la rassurer au sujet de Brooke. Elle avait besoin d'entendre que son frère était avec quelqu'un de bien, il en avait tellement bavé après tout, lui aussi. J'espère que t'as raison. dit-elle en gardant son sourire. Alors qu'il la complimentait et qu'il devenait aussi rouge qu'elle, la jeune femme commençait à se dire qu'elle lui plaisait réellement. T'excuses, pas j'aime bien. dit-elle en soutenant son regard. Son sourire s'élargit encore quand il en rajouta une couche. Ah oui ? demanda-t-elle, curieuse.

Tu faisais rêver les filles souvent lorsque tu étais que tu étais un cavalier semi-pro. Tu étais un des rares garçons du haras à en faire et ça changeait un peu. « Je t'emmènerais là où je travaille, et je te ferais monter mon cheval si tu veux » proposas-tu avec un sourire qui s'élargissait. Finalement, vous n'étiez pas étranger, vous aviez quelques points en commun tous les deux. « Oh, je vois. Ca dot être super intéressant » répondis-tu avec un sourire. De ton côté, les études n'avaient pas été faites pour toi, tu détestais ça. Alors tu admirais chaque personne qui en faisait et qui était à fond là dedans. Le week-end, elle travaillait. Et ça aussi tu trouvais ça très bien. « Tu n'es pas débordé avec l'université et ton travail ? » demandas-tu innocemment. Tu n'avais aucune idée de si c'était compliqué d'allier les deux parce que tu n'avais jamais fais ça. Sauf lorsque tu étais au lycée et que tu aidais ton père au haras mais ce n'était pas comme un vrai travail. « Merci de faire ça » dis-tu simplement avec un mince sourire. Il fera des efforts, tu n'étais pas un mauvais garçon après tout. Tu ne demandais que le bien de cette jeune femme et d'en apprendre encore plus sur elle. Tu ne voulais pas de mal envers cette famille. « C'est une fille extraordinaire » dis-tu simplement en parlant de ton ancienne meilleure amie. C'était des mots glorieux que tu avais envers elle mais tu les pensais réellement. Tu étais perdu dans ses yeux, sans t'en défaire. Tu posais délicatement une de tes mains sur sa joue et tu souris alors que tu la voyais aussi sourire. « Oui, Nastya, tu es très belle mais je te l'avais déjà dis » répondis-tu avec un léger rire qui s'échappa de ta gorge. Tu avais surement du lui dire alors que tu étais complètement défoncé la fois d'avant. Mais c'était vrai. Et cette fois, tu étais sobre.

L'idée de reposait ses fesses sur un animal qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps lui plaisait plutôt bien. Et de savoir que se serait le cheval du jeune homme encore plus. J'adorerais ça. dit-elle en souriant. Elle hocha la tête quand il lui parla de ses études. C'est aussi super stressant. avoua-t-elle. C'était bien plus dur que ce qu'elle avait imaginé quand elle s'était lancé la dedans. Elle passait son temps le nez dans les bouquins surtout en période d'examen. Mais, elle ne regrettait pas son choix, elle aimait apprendre énormément de choses sur la psychologie si complexe des gens. Si, c'est compliqué parfois, mais je préfère être indépendante que de tout devoir à mes frères. dit-elle en souriant. Elle râlait dès qu'un de ses frères lui payait un simple burger. Alors avoir besoin d'eux pour vivre, il n'en était pas question. En parlant de ses frères, il faudrait vraiment qu'elle discute avec eux au sujet de Theo. Il n'était pas question qu'il prenne à lui tout seul une bêtise qu'ils avaient fait à deux. C'est normal. dit-elle doucement. Elle n'allait pas le laisser se faire casser la gueule après tout. Elle sourit quand il lui dit que sa meilleure amie était une fille extraordinaire. Elle attendait d'avoir des preuves. Après tout, si elle disait à Theo que Peter était un garçon extraordinaire, il ne l'a croirait pas non plus. Elle se sentit encore rougir quand il posa une main sur sa joue. Elle se demandait si c'était le verre de whisky qui le faisait agir comme ça ou bien la panique du bébé, mais ce n'était pas pour lui déplaire. Tu m'as même dit je cite :" Oui tu étais mieux sans ma chemise. " dit-elle avant de rire, taquinant le jeune homme, ne le quittant pas des yeux.

Transmettre a passion aux gens, c'est ce que tu aimais le plus. « Alors on fera ça, quand tu le voudras » dis-tu avec un sourire au bord des lèvres. Etrangement, toute tension était parti, réellement et tu te sentais bien à ses côtés, malgré le fait que tu ne la connaissais pas tant que ça. Tu écoutais ce qu'elle te racontais sur ses études et tu trouvais ça admirable. Parce que jamais tu n'aurais eu l'audace de faire ça. « Oh je comprends, la volonté d'être indépendante » finis-tu par dire avec un léger rire. Ta petite soeur était comme elle, elle détestait que tu lui payes ne serais-ce qu'un coca au distributeur du centre équestre quand elle osait y mettre un pieds. Tu étais rassuré de voir qu'elle prendrait ta défense envers son grand frère alors que tu n'étais qu'un étranger encore à ses yeux avec qui elle a couché une fois. Mais tu trouvais ça très gentil de sa part, et ça te faisait sourire. Ton regard perdu dans le sien, ta main perdu sur sa joue, tu étais toi même perdu dans un univers parallèle, ne sachant que faire ou que dire. Les mots sortaient tout seul, et les gestes se faisaient d'eux-même. Nastya te rappela ce que tu avais dis dans la boîte à propos de ta chemise et tu baissais les yeux en riant avant de replonger ton regard dans le sien. « Il est vrai que j'ai dis ça » dis-tu avec ton sourire charmeur niché sur tes lippes. Ton visage était très près du sien, sans trop savoir quelle attraction t'avait emmené jusqu'ici, tu te laissais faire. « Avec ou sans cette foutue chemise, tu es très belle. Même sobre » ajoutas-tu en laissant échapper un rire.

Elle avait hâte de remonter à cheval, elle se sentait comme une enfant à qui on avait promis quelque chose et c'était génial parce qu'elle ne pensait même plus à toutes les tensions qu'il pouvait y avoir. Il la comprenait, et elle ne pouvait pas demander mieux que ça. Il aurait pu fuir quand elle lui avait fait un message, ne jamais répondre. Mais ils étaient là à s'échanger leur vie et ça lui procurait un sentiment de bien être, au fond. D'une parole à une autre, d'un compliment à un autre, elle se retrouva vite avec le visage du jeune homme très près du sien. C'était assez perturbant, d'autant plus qu'il lui plaisait vraiment. Il avait fait un sans faute jusque là et quelque chose chez lui attirait vraiment la russe. Sans réfléchir elle posa ses lèvres sur les siennes pour un baiser un peu plus doux qu'elle en avait l'habitude. En temps normal, elle n'aurait pas mis autant de temps avant de lui sauter dessus, comme elle l'avait fait la première fois. Mais la situation était différente et ce n'était pas désagréable. Elle s'écarta de ses lèvres, les joues rosies. Désolée. dit-elle gênée, ne sachant pas vraiment ce que pensait le jeune australien. Ni même si c'était à ça qu'il pensait, après tout, peut être qu'elle se plantait sur toute la ligne.

Toutes ses discutions, toutes ces paroles que vous aviez échangés. Finalement, tu découvrais Nastya et tu aimais ce que tu en découvrais. L'espace d'un instant, tu oubliais ce qui t'avait emmené ici de base, le fait qu'elle soit enceinte de quelques semaines. Mais tu étais bien, tu étais heureux d'en arriver là. Mais tu étais dérouté, parce que tu savais qu'elle connaissait beaucoup de gens de ton entourage et ça, ça te faisait peut-être plus peur que de savoir qu'elle était enceinte. Anyway, tu avais déclenché une proximité entre vous, quelque chose que tu ne te connaissais pas ou très peu. Mais tu aimais cette distance fine qu'il y avait entre vous deux. La jeune femme sauta le pas et posa ses lèvres sur les tiennes dans un baiser plus doux que ceux que vous aviez pué changer auparavant. Cela ne t'avait pas déplu. Elle s'écarta de toi, et tu souris alors qu'elle était entrain de rougir et de s'excuser. « Tais-toi » dis-tu simplement avant de reposer tes lèvres sur les siennes. Ta main posée sur sa joue passa dans la nuque de la brune tandis que l'autre de tes mains passait autour de ses hanches. Une poussée d'adrénaline te prit à ce moment là, mais tu en avais envie. Finalement, tu étais bien près d'elle. Peut-être était-ce le gout de l'inconnu, le gout de l'aventure. Mais tu voulais vraiment apprendre à connaître cette femme qui avait fait tourner ta tête. Alors après ce baiser intense, tu te décollais de ses lèvres pour la regarder droit dans les yeux. Tu avais envie que ce moment ne s'arrête jamais, tu avais envie d'elle autant que la première fois que tu l'avais vu. « Je peux partir comme je peux rester, je suis peut-être aller un peu loin, pardon » dis-tu simplement alors que ton regard était planté dans le sien comme depuis une bonne quinzaine de minutes.

Il lui montrait une partie de lui qu'elle n'avait pas vu en boite. Le Theo réservé était bien loin et elle adorait le Theo entreprenant. Elle n'avait jamais vraiment échangés de tel baiser avec n'importe qui d'autre au final. Puisque en temps normal, Nastya elle était volage, tout ce qu'elle voulait c'était sortir en boite et s'amuser, ne pas finir sa nuit seule. C'était ce qui c'était passé avec l'australien mais, il faut croire que l'embryon qui était en elle les poussait a se rapprocher parce que cela la faisait se sentir différente. Elle sourit quand il lui dit de se taire avant de reposer ses lèvres pour un baiser beaucoup plus intense. La jeune femme répondait à son baiser avec envie, jouant avec son tee shirt. A son plus grand regret, il finit quand même par se détacher d'elle. J'ai aucune envie que tu partes. finit-elle par dire, le regard plongé dans le sien tout en se redressant pour se mettre a califourchon sur le jeune homme, le regardant avec le même envie qu'elle avait eu dans cette boite, quand leur regard ce sont croisés. Elle ne l'avait pas fait venir pour ça, loin de là, mais elle avait totalement oublié la raison de sa venue. Comme si le regard du brun l'hypnotisait et la déstabilisait entièrement. Elle était complètement à sa merci.

Tout les gestes devenaient naturels, tu avais été très entreprenant alors que ce n'était pas le but de cette entrevue aujourd'hui. Comme quoi, peut-être que le fait de savoir que vous aviez un embryon en commun vous avez encore plus rapproché. Tu ne savais pas pourquoi tu agissais ainsi, mais c'était normal. Alors tes mains se baladaient sur le corps de la jeune femme, comme elles l'avaient la première fois. Mais c'était plus délicat, plus doux et plus chaste. Puis tu t'étais détaché d'elle, plongeant ton regard dans le sien et sondant son envie que tu restes ou non dans cet appartement avec elle, à partager un moment des plus intimes. « Ca tombe bien, j'ai aucune envie de partir » répondis-tu avec un sourire. Aelya t'attendait à la maison, mais elle pouvait attendre encore un peu. La brune se posa à califourchon sur toi et c'était parti comme il y a quelques semaines et tu n'étais pas déçu de la tournure que prenait les choses cette après-midi. Tu reposais tes lèvres sur les siennes, dans une danse beaucoup plus sensuel et sexuel que précédemment. Et tes mains commencèrent à se balader en dessous de son t-shirt que tu n'hésitais pas une seule seconde à enlever pour qu'elle se retrouve à moitié nue devant toi. Tes mains se baladant de ses épaules au creux de son dos, tu redécouvrais le corps de la jeune femme une seconde fois et tu préférais celle ci qui était beaucoup plus intime et beaucoup plus sincère que la première fois où vous étiez complètement sous alcool.

La réponse du jeune homme ne pouvait pas lui faire plus plaisir, d'autant plus que ses colocataires ne rentreraient pas avant un bon moment. Peter devait passer, mais il pouvait attendre, après tout c'était un barman, il avait l'habitude de veiller tard. Alors qu'il reposait ses lèvres sur celles de la russe, la température augmenta d'un cran. Elle frissonna au contact de ses mains sur sa peau, à ce moment précis, elle le désirait bien plus qu'elle avait pu avoir envie de lui l'autre soir. C'était d'autant plus excitant parce qu'il n'y avait pas d'alcool en jeu. Seulement un réel désir des deux côtés, ce qui rendait la chose beaucoup plus vraie, plus sincère et surtout plus intense. Elle se détacha de lui un instant pour lui enlever également son haut, se mordant les lèvres en jetant un coup d’œil au torse de l'australien. J'ai envie de toi. chuchota-t-elle à l'oreille du brun, comme si, ce n'était pas assez clair. Puis, elle finit par regagner ses lèvres, qu'elle commençait à bien connaître et à apprécier. Elle descendit ses mains, se battant avec les boutons du bas du jeune homme. Dans ce genre de situation, la patience n'était pas l'une des plus grandes qualités de la jeune femme. Dans aucune d'ailleurs, mais dans celle-ci, c'était pire.

C'était devenu intense, sauvage mais merde vous étiez jeune et vous aviez bien le droit de vous envoyer en l'air. Alors que tu baladais tes mains sur le corps de la jeune femme, tu ne t'étais pas fais prié lorsque à son tour elle décida de t'enlever ta chemise et que tu te retrouves torse nu face à elle. Elle chuchota à ton oreille qu'elle avait envie de toi, et entendre sa voix murmurer dans le creux de ton oreille te fit frissonner et sourire. Elle rejoint tes lèvres très rapidement et tu ne te faisais pas prier. C'était un moment très intense et tu ne pouvais pas t'empêcher de lui répondre. « Moi aussi, j'ai très très très envie de toi » répondis-tu alors que tu déplaçais tes lèvres sur le haut de sa poitrine. Tu parsemais son torse de baiser jusqu'à ce que tu lui enlèves délicatement son soutien-gorge. Oui, tu avais vraiment très envie d'elle et elle le ressentait surement. La brune de son côté détacha les boutons de ton pantalon pour que tu puisses l'enlever. Tu t'occupais de l'allonger sur le canapé alors que tu te débarrassais de ton pantalon pour grimper sur elle et l'embrasser encore plus intensément. Tes mains se baladant entre sa poitrine et son visage que tu ne pouvais t'empêcher de trouver magnifique.

Elle aimait ça la russe, se sentir désirer. L'atmosphère de la pièce avait prit une tournure qui était totalement l'opposé du début de la visite du jeune homme et cela ne faisait qu'augmenter le désir de la jeune femme. Ils ne faisaient de mal à personne après tout. L'embryon était déjà là, elle ne risquait plus grand chose, alors elle n'allait pas se privé avec lui. Elle se mordit la lèvre quand il lui avoua avoir très envie d'elle, ce qu'elle avait bien deviné, puisqu'elle était assise sur son érection bien présente, cela fit sourire la jeune femme et elle s'arrêta un instant pour contempler le visage et le torse du jeune homme qu'elle trouvait vraiment beau. Elle se laissa faire quand le jeune homme prit les devants pour l'allonger et se mettre au dessus d'elle. Elle en profita même pour baisser son caleçon et commencer à le caresser d'une main, tout en intensifiant le baiser, sa langue commençant à jouer avec la sienne. Son autre main libre, elle qui auparavant agrippait ses cheveux, passait dans son dos pour le caresser du bout des ongles pour s'amuser avec son désir. Plus tard pendant l'acte, elle les planteraient sûrement, mais pour l'instant elle voulait s'amuser, jouer avec, pousser à bout. C'est ce qu'elle préférait faire au final et c'est ce qui rendait ça encore bien plus chaud entre eux.

La jeune femme aussi avait perdu tout contrôle d'elle même. Seul le désir et l'excitation était présente et elle ne répondait plus d'elle même. Elle trouvait ça satisfaisant de l'entendre soupirer suite à ses caresses. L'envie montait en elle et elle se laissa enlever le bas, poussant avec ses jambes pour envoyer le vêtement plus loin. Elle frémit sous ses caresses, se mordant la lèvre. Entre ses baisers et ses doigts qui jouaient elle savait qu'elle craquerait assez vite. Ce qui fut d'ailleurs le cas. Prends moi. chuchota-t-elle en se mordant les lèvres, son regard noisette plongé dans celui du beau brun qui était au dessus d'elle. Elle aurait voulu rajouter à quel point elle le trouvait beau, mais ça aurait tout gâcher alors elle ne dit rien, attendant docilement qu'il vienne assouvir ses désirs. Tous les deux mourants d'envie l'un envers l'autre. Cette fois-ci elle se souviendrait de l'acte entier et même si il n'y avait pas de sentiments amoureux, un simple désir réciproque, c'était tout autant intense. En revanche, il faudrait qu'elle fasse attention à ne pas se faire prendre à son propre jeu. Entre le sexe et les sentiments, il n'y a pas une grande limite, d'autant plus qu'il n'est plus un simple plan cul désormais, il est surtout le père de l'enfant qu'elle porte au plus profond d'elle même. Expérience qu'elle n'a encore jamais vécu et heureusement d'ailleurs.

Elle n'y aurait pas cru si on lui avait dit que son destin allait basculer le soir de cette soirée. Si on lui avait dit qu'en allant en boite comme elle avait l'habitude de faire, elle rencontrerait un garçon qui allait tout changer. Elle ne pourrait pas dire qu'elle referait forcément tout pareil. Probablement qu'elle mettrait un préservatif cette fois-ci. Mais, en même temps si elle l'avait fait, ce moment n'aurait probablement pas eu lieu aujourd'hui et elle ne pouvait pas nier, il éveillait tout ses sens et elle adorait ça, se cambrant sous ses caresses jusqu'au moment ou elle le supplia presque, de passer à l'acte. Elle n'en pouvait plus d'attendre. La réaction du jeune homme la fit sourire, ça ne servait strictement à rien. Le "mal" était déjà fait, mais elle trouvait ça mignon alors elle ne disait rien, attendant patiemment qu'il soit prêt répondant à son baiser avec passion, lui montrant tout le désir qu'elle ressentait pour lui. Quand il s'introduit en elle, elle se cambra légèrement et ouvrit la bouche pour gémir de satisfaction, ses ongles se plantant délicatement dans la peau nue du dos de l'australien. Elle avait enfin ce qu'elle voulait. Quand il descendit en plus sur sa poitrine, la jeune femme lâcha un second gémissement de plaisir, donnant un léger mouvement de bassin, elle aussi, pour qu'il accélère.