Intoxicating confidence. ft Noah (suite à l'hôpital)

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Burn its wings to the flavors of speed.
noah & hans

Hans paie le mécanicien tout en parlant de moto et des nouveaux modèles sortis. Sa 750cc avait besoin d'une révision, il roule pas mal alors il prend grand soin de ses joujoux. Le passage au garage est une chose que le cracheur de feu n'oublie jamais. Il mène plus ses motos chez le garagiste que ce que lui va chez le médecin. Bon il n'est pas du genre à tomber souvent malade. Il s'y connait un peu en mécanique mais préfère largement laisser faire les professionnels. Du coup là il va pouvoir aller se faire un petit tour tranquille, maintenant que sa bécane ronronne comme une vraie lionne. En plus le temps est agréable, il ne fait ni trop chaud, ni trop froid. Et le cracheur de feu a du temps à tuer. Il préfère largement profiter de l'air frais que d'être enfermer dans son appartement. Et il ne dit jamais non au fait de se laisser griser par quelques poussées de vitesse. Il a repéré, il y a peu, à quelques kilomètres de Bowen, un vieux parking abandonné. L'endroit parfait pour faire des pointes de vitesse, s'éclater sans prendre de risque et sans emmerder le monde. Il salue le mécanicien et ceux qui bossent avec lui, il met son casque et démarre sa moto. Il écoute un instant le moteur, ce bruit le grise toujours autant. Puis il sort du garage et prend sur sa gauche. Il roule tranquillement parce qu'il se trouve dans le quartier de l'université et les flics y sont encore plus chiants qu'en ville, surtout à cause des jeunes qui y circulent. Alors il respecte les vitesses, il fera le con plus tard. Son regard s'attarde parfois sur les étudiants qui trainent. Certains vont en cours d'autres en sortent. Il a la visière de son casque relevée ce qui lui permet de bien détailler les silhouettes. Alors quand il en repère une qui lui semble familière, il se fait plus attentif. Il ralentit.

Hans reconnaît vite Noah, ses courbes sont gravées dans sa mémoire, tout comme sur la peau de ses doigts. Ils ne sont vus qu'une fois, mais cette fois a suffi pour enflammer les entrailles et l'esprit du cracheur de feu. Noah est de dos, entouré d'autres jeunes, des potes peut être ? Il se souvient d'un de ses SMS ou il lui disait qu'il était encore étudiant. Il sait qu'ils doivent se voir dans trois jours pour un billard. Mais il ne peut se priver de cette rencontre que le hasard lui offre sur un plateau. Hans garde ses distances espérant que le beau gosse va se retrouver seul. Il pourra ainsi l'aborder plus facilement, ne voulant pas le mettre mal à l'aise devant ses amis. Et le vœux du cracheur de feu est exaucé. Alors il accélère un peu, il siffle quand il passe à sa hauteur sans s'arrêter. Et freine en faisant une roue avant un peu plus loin avant de se retourner. « Tiens tiens. Comme Bowen est petit. » Il coupe le contact et quitte son casque. « Tu vas bien Noah ? » Il lui tend la main, s'ils avaient été seuls il se serait emparé de sa bouche sans hésitation. « Tu fais quoi ? Enfin tu as fini tes cours ou tu en as encore ? » Il ne le lâche pas des yeux. Même s'il a évité le baiser, il ne lui épargne pas le déshabillage du regard en bout et du forme. « Toujours aussi craquant. » Un sourire coquin se dessine sur ses lèvres. « Un tour en moto cela te tente. Je la sors du garage pour sa vérification et elle a besoin de se dégourdir les roues. Je connais un coin tranquille ou je pourrais la pousser sans prendre le risque d'ameuter tous les flics de la ville. » L'avoir coller contre lui durant de longues minutes, cette idée enchante Hans. Et puis s'ils sont seuls, il aura peut être droit à d'autres baisers tout autant langoureux que ceux qu'ils ont partagé lors de leur première nuit. « J'ai le casque passager dans le coffre. Alors tu as envie d'être grisé ou tu veux rester sage ? » Sa voix se fait plus provocante sur le coup. C'est un peu comme s'il lui lançait un défi. Et puis qui sait comment pourrait finir cette balade. Noah pourra le savoir s'il accepte de monter à l'arrière de la moto de Hans.

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hans ∞ noah

Puisqu’il avait quelques amis plus âgés, Noah traînait souvent près de l’université. C’est là-bas qu’on faisait les meilleures soirées ! Il avait à la fois hâte d’y être et pas hâte non plus. A dix-sept ans, il ne savait toujours pas quoi faire de sa vie et les études supérieures ne l’intéressaient pas. Bien sûr il se renseignait pour faire plaisir à sa mère mais s’il pouvait arrêter après le lycée, il serait le plus heureux des hommes. Enfin… Il fallait être honnête, il n’aurait jamais un travail qui lui plaisait s’il arrêtait après le lycée, malheureusement. Il allait encore devoir s’en farcir des profs. Des révisions. Des examens. Des mauvaises notes. Le mensonge qu’il avait servi à Hans, à savoir étudiant en audiovisuel, se rapprochait certainement de ce qu’il envisageait le plus. Mais rien de sûr encore.
Il finit par quitter son groupe d’amis puisque ceux-ci devaient aller en cours. Lui, il avait fini tôt et il allait pouvoir rentrer retrouver sa petite Jaïa à la maison. C’était sans compter sur le vrombissement d’une moto tout près de lui. Il tourna la tête et reconnut tout de suite la bécanne d’Hans sur laquelle il avait eu la chance de faire un tour une fois. Ce dernier s’arrêta à sa hauteur - non sans frimer un peu - et retira son casque. Une scène plutôt excitante pour un ado dont les hormones étaient en pleine explosion. « Eh bah ! Tu m’espionnes ça se trouve ? » Ca aurait été un peu creepy mais pas forcément désagréable… Heureusement qu’il le croisait là, devant la fac, plutôt que devant le lycée en tout cas. « J’ai fini, je rentrais chez moi. » Ce qui le rendait totalement libre pour un petit moment avec Hans… ils avaient prévu de se voir dans quelques jours mais puisque le destin les réunissait aujourd’hui. Le cracheur de feu ne tarda d’ailleurs pas à lui faire une proposition plus qu’alléchante. Un tour en moto. Il n’hésita même pas deux secondes et hocha la tête avec un grand sourire. « J’suis partant ! » En un rien de temps il se retrouva avec le deuxième casque sur la tête et accroché à Hans sur sa moto. Il adorait le contact. En fait il appréciait pas mal Hans tout court. Mais chut.

La sensation était encore exquise. Il s’accrocha fort à Hans jusqu’à ce qu’ils arrivent à destination. Un parking vide, juste à la sortie de Bowen. Une fois le pied par terre, Noah sourit et retira son casque. Il regarda les alentours. « Bah dis donc monsieur l’hypnotiseur, j’espère que tu m’as pas amené ici pour me faire des choses pas très catholiques ! » Sauf que les choses pas très catholiques, sans savoir pourquoi, c’est lui qui choisit de les amener. Alors qu’Hans était toujours sur sa moto, il lui retira son casque et vint l’embrasser. Une envie, comme ça… Ils ne sortaient pas ensemble, mais il en avait eu terriblement envie.

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Même si Noah a dit à Hans dans un de ses SMS qu'il était étudiant, il ne s'attendait pas à croiser sa route alors qu'il venait de sortir du garage. Pour une fois que le destin est avec lui il compte en profiter. D'abord il l'observe de loin, tout en se demandant si ceux qui l'entourent pourraient bien retenir son attention autant que lui lors de leur première rencontre. Puis il joue le malin pour l'épater bien sur. Quoi de mieux que d'avoir en main une moto pour faire le spectacle. Et puis surtout cela l'amuse fofollement ce petit jeu. D'autres regards se tournent vers lui mais le seul qui le préoccupe est celui de Noah. Et quand leurs yeux se croisent enfin, Hans sourit, heureux de son petit effet. « Va savoir peut être ? » Il laisse le doute plané même s'il passe vraiment par hasard. Mais il se pourrait bien qu'après cette rencontre il traine un peu plus dans le quartier, juste pour venir le titiller. Il n'est pas du genre à pratiquer ce jeu, mais il serait prêt à le faire avec Noah. De toute façon il lui a bien dit dés le premier soir qu'il était différent. Du coup le cracheur de feu lui propose un plan s'il n'a rien de prévu, et cela tombe bien Noah a fini ses cours et s'apprêtait à rentrer chez lui. « Parfait alors. » Et il n'a pas fini sa phrase que l'étudiant a récupéré le casque, l'a enfilé et qu'il vient se placer derrière lui. Les bras de Noah retrouve leurs places autour de sa taille, il sourit derrière sa visière. Électrisé par ce contact. Surpris aussi du frisson qui vient courir le long de son échine. Putain Noah le chamboule sérieusement. Puis il se laisse griser par la vitesse. Quel mélange exquis que les deux choses associées. C'est assez rare qu'il éprouve ce style de sensation Hans. D'habitude cela lui arrive quand il manie les flammes et les lames. Noah allie le tout à lui tout seul.

Ils arrivent rapidement sur le parking, espace parfait pour pouvoir laisser parler son amour pour la vitesse et les jeux de route. Noah descend de la moto, et ils retirent leurs casques en même temps. Il le laisse regarder les environ. Il sourit à sa remarque. Il bouge alors ses doigts devant les yeux du jeune homme. « Regarde mes doigts tu es maintenant en mon pouvoir. Je peux te transformer en chien ou en chat ou en un amant torride. » Il éclate de rire. Et sans même qu'il ne s'y attende Noah vient l'embrasser. Il attrape sa taille et l'attire un peu plus contre lui approfondissant et prolongeant le baiser. « Je crois que mon pouvoir marche vraiment. » Sa main doucement taper les fesses du beau gosse . « Est ce que tu veux que je te montre ce que je viens faire ici ? » Au sol si Noah regarde bien il y a déjà quelques traces de freinage. « Reste là et ne bouge surtout pas. » Il remet son casque et démarre sa moto. Il le fait vrombir un peu et puis il se lance. S'en suit une petite démonstration de ses talents. Roue avant. Roue arrière. Freinage sec aux pieds de Noah. Conduite sans les mains. Accélération déroutante. Puis il revient vers Noah coupe le moteur quitte son casque et descend de son bijou. « Alors tu trouves cela excitant ? » Il passe sa langue contre ses lèvres avant de le saisir par la taille et de l'attirer vers lui. Cette fois c'est Hans qui vient chercher le baiser et comme ils sont face à face le contact est bien plus intime. Il retarde l'instant de la séparation de leurs lèvres au maximum, il ne le lâche qu'une fois à bout de souffle. « Et ce baiser tu l'as trouvé comment ? » Sa voix est peu provocante, il cherche à l'allumer. « Est ce que tu voudrais essayer ? Et je ne parle pas du baiser mais de la moto. Pas des trucs fous mais rouler avec ? » Hans pourrait même jouer le passager.

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Noah avait cédé à ses pulsions les plus animales pour embrasser Hans. Lui qui voulait autre chose que du sexe, qui n’était pas intéressé par les aventures, venait de faire penser le contraire. Parce que ça n’avait rien d’un baiser chaste ou timide. Il se rappelait des sensations de l’autre nuit et ça lui donnait déjà envie de recommencer. Mais ils attendraient. Tout du moins Noah voulait attendre. Il voulait s’assurer qu’entre eux, ça pouvait donner quelque chose. Parce qu’il voulait donner sa vraie première fois à quelqu’un d’important et non au premier venu. Petit à petit, Hans deviendrait cette personne. Ou pas. « C’est pas ton pouvoir. C’est ta belle gueule. J’ai soudain eu envie de l’embrasser. » avoua-t-il avec un léger sourire. Il eut un frisson à la claque sur ses fesses, pas mécontent du contact. « Allez, épate-moi ! » Et c’est ce que Hans fit si bien. Noah le regarda faire avec des étoiles dans les yeux, l’adrénaline envahissant son corps. Ce n’était pas lui sur la moto, mais Hans pouvait tomber à tout moment et ça lui faisait un petit quelque chose. Quand enfin l’homme s’arrêta, Noah n’eut pas le temps de répondre à sa question qu’il l’embrassait à son tour. Ah oui, ce baiser-là était encore différent… Et il se sentait pris d’une étrange chaleur ! Omg, heureusement qu’ils étaient en extérieur. Moins de chance de céder à la tentation. Ca allait être difficile de lui résister… Mais il fallait. Il ne voulait pas regretter sa première fois, celle dont on se souvenait toute sa vie. Même si ça faisait un peu fillette comme pensée, sûrement. Il posa une main sur le torse d’Hans, reprenant son souffle. « Ouais… ouais c’était pas si mal… » Il n’allait pas lui dire que c’était le meilleur baiser de sa vie non plus ! Hans allait choper la grosse tête ! Et enfin, alors qu’il vivait déjà comme dans un rêve - qui risquait de virer au rêve torride - Hans continua d’embellir sa journée en lui proposant d’essayer la moto. N’importe quel gamin de son âge qui n’avait jamais conduit ce genre de truc aurait pu paniquer. Mais Noah, lui, il sautait de joie ! C’était son rêve d’avoir une moto. Alors il lui vola encore un baiser et hocha la tête. « Ouais je veux ! Tu me montres comment on fait ? » dit-il en enfourchant la bécane, cette fois, à la place du conducteur. Il était surexcité !

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Une fois sur le parking la température monte d'un cran quand Noah embrasse Hans. Il ne s'y attendait pas du coup il le taquine par rapport au pouvoir d’hypnotiseur qu'il aurait. Que Naoh tombe sous son charme cette idée lui plait, elle lui plait même beaucoup au cracheur de feu. « Ma belle gueule ce n'est pas mal non plus. » Une claque sur les fesses du beau gosse et voilà que l'artiste fait son numéro. Il est autant à son aise avec sa moto qu'avec ses flammes et ses lames. Il roule un peu des mécaniques, crame à fond mais cela l'amuse de voir le regard interloqué de Noah face à ses prouesses. Et puis cela rend son personnage plus fou. Puis il s'arrête et bien entendu attend l'avis de son passager. Hans en profite pour kidnapper les lèvres de Noah et échanger un baiser des plus fiévreux et passionné. Mettant sur leurs bouches un goût de désir bien plus prononcé. Comme il céderait bien à cette tentation de le dévorer tout entier, de l'embarquer dans un voyage encore plus sensuel et torride. Mais Noah veut prendre son temps, et Hans comprend, même si la patience côté sexe n'est pas son fort. Là il n'a pas envie de faire tout foirer juste pour avoir un échange plus intime. Sans même comprendre pourquoi que Noah se fasse désirer le rend un peu accro. « Pas si mal je t'en foutrais moi des pas si mal. » Encore une fois il le taquine et puis il balance une idée. Le truc surement débile, il en prendra conscience plus tard, surtout que Noah lui a dit qu'il aimait le danger. Mais les paroles sont lancées et le beau gosse y rebondit dessus comme une balle de caoutchouc. « Oui avec plaisir. »

Hans commence par le basique, l'accélération, le freinage, le passage de vitesse. Il détaille tout avec patience et attention. Demandant toujours à Noah s'il a bien compris. « Ok mets ton casque et je vais monter derrière toi le temps que tu te familiarises. » Le cracheur de feu le laisse monter devant et il se met en passager. La visière de son casque relevé il lui indique comment faire démarrer la moto et comment la lancer. Pas trop vite le temps qu'il la prenne en main. « Tu te sens à ton aise. » Noah avance doucement mais surement. Puis Hans le fait freiner. « Est que tu sens de le faire seul ? Tu y vas mollo. » Il descend et quitte son casque le mettant à son bras. Et regarde Noah faire, il se débrouille pas mal. Mais qui aime le risque, aime automatiquement pousser les choses plus loin. Et la moto accélère. « Doucement Noah. » Trop vite. « FREINE. » Il se met à courir mais un caillou, la roue dérape et boum Noah se plante. « Putain merde. » C'est là qu'il réalise que son idée était débile, stupide et inconsciente. Noah est au sol et la moto sur lui. Une fois à sa hauteur il se baisse. « Ça va ? Noah ça va ? » Hans est paniqué mais il reste calme. La tête n'a pas tapé. Mais vu le poids de la moto et la position de Noah sa jambe et son bras risque d'avoir morflé. Hans sort son portable et appelle les secours, il donne des précisions sur l'adroit où ils se trouvent et ce qui c'est passé. Tout en demandant à Noah si tout va bien histoire qu'il ne parte pas dans les vaps. « Les secours arrivent tiens bon. Je vais soulever la moto tu me dis si ça ne te fais pas trop mal. » Hans c'est rarement planté, quelques égratignures mais rien de grave, il a toujours eu un bon Dieu pour lui dans ces cas là. Il espère que cela sera pareil pour Noah. Quelle idée conne il a eu.

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hans ∞ noah

C’était la première fois qu’on offrait la possibilité à Noah de conduire une moto. Et vu ce qui allait se passer, certainement la dernière. Si sa mère voyait ça c’était bien simple elle ferait une crise cardiaque. Il sourit alors qu’Hans montait à son tour derrière lui. Il comprenait alors la sensation qu’il avait quand Noah l’empoignait, c’était assez agréable. Il se montra un élève attentif parce qu’il ne voulait certainement pas blesser Hans. Ce dernier finit par descendre de la moto et par lui laisser totalement les commandes… Et il comprit la sensation de liberté qu’on pouvait ressentir en de pareils moments. Alors, totalement grisé par l’engin qu’il avait en sa possession, et puisque ce n’était pas la peur qui l’étouffait dans la vie en générale, il poussa un peu sur l’accélérateur. Certainement trop, car il finit par perdre le contrôle du véhicule et par se crasher en beauté. Oh, ça aurait pu être pire ! Il aurait pu ne pas porter de casque. Par contre, puisqu’il n’avait initialement pas prévu de faire de la moto aujourd’hui, il ne portait qu’un simple pull qui n’épargna pas ses bras. Très vite il se retrouva coincé sous la moto avec une douleur lancinante dans les jambes et un peu plus modérée au bras, qui était salement erraflé. Hans se précipita vers lui mais Noah entendit à peine les questions. Non, il ne se sentait pas vraiment bien. « Non ! Non soulève pas… ça fait mal… J’veux pas aller à l’hôpital… » Parce qu’ils préviendraient sa mère, et qu’elle allait péter un câble. Hans aussi risquait d’en prendre pour son grade. Il agrippa son bras quand il entendit l’ambulance. « Reste avec moi… tu restes hein ? » Il n’avait pas peur de l’hôpital mais il avait juste terriblement mal et il n’arrivait pas à faire le fier et à rester fort pour le coup. Il ne voulait pas être seul.

Au final, plus de peur que de mal. Des blessures superficielles pour le bras et par contre quelques fractures à la jambe, mais rien qui ne nécessitera d’intervention chirurgicale. Installé dans son lit d’hôpital, il regarda Hans et soupira. « J’suis désolé… Tu devrais… tu devrais partir avant que ma mère débarque, à mon avis… » Sauf que, hey, c’était trop tard...

hj : suite à l'hôpital ?

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