| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| Let's go back to the start (Ciàran) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Dim 16 Fév 2020 - 22:58 | |
| Tu esquisses un sourire à la réponse de Tahlia, complètement conquis par son tempérament têtu et sa force de caractère. Tu as toujours préféré les femmes avec du répondant, de la répartie et on peut dire que tu es servi avec la brune. Mais à côté de ça, il y a également ce tempérament doux, chaleureux, que tu as vu plus d'une fois mais surtout en présence de ton fils. Tahlia cherche continuellement à lui faire plaisir par des petites attentions, des petits gestes, qui veulent dire beaucoup à tes yeux. Avoir une présence féminine dans sa vie fait sans aucun doute beaucoup de bien à Gabriel. Même si tu essaies de combler le manque de sa mère, tu ne pourras jamais la remplacer malheureusement. Par chance, la fille de Tahlia ne connaitra pas ce sentiment car même avec des parents séparés, elle bénéficiera de l'amour des deux. Et tu ne doutes pas que l'australienne en regorge. Alors, quand vous passez devant cette table à langer et que la brune s'émerveille devant celle-ci, tu ne peux pas t'empêcher de lui offrir. Voir l'émotion dans ses yeux et son sourire, c'est tout ce que tu demandais et à cet instant précis, tu as l'impression d'avoir tout gagné. « Même avec le mode d'emploi ? » Demandes-tu, taquin, à propos des jouets Kinder que Tahlia peine à monter. Tu es persuadé qu'elle se sous-estime et qu'au moment venu, elle sera bien plus productive qu'elle ne l'imagine. C'est juste un pli à prendre finalement. Après être sortis du magasin, vous décidez de vous donner rendez-vous chez la jeune femme pour monter ce tout nouveau meuble et surtout pour que tu découvres enfin son petit cocon. Cet endroit où elle accueillera bientôt sa fille. Une fois à l'intérieur, tu captes sans difficultés les petites touches apportées par la brune qui rendent l'endroit plus cosy, plus accueillant. Même si ce n'est sans doute pas l'endroit dont elle rêvait, Tahlia a réussi à en faire quelque chose de bien où on se sent bien, surtout. « C'est une réussite. Tu as beaucoup de goût et je suis sûre que ta fille se sentira bien ici. » Affirmes-tu en souriant légèrement avant de reporter ton attention sur la brune qui revient vers toi avec un petit paquet en mains. C'est un cadeau pour Gabriel, encore, ce petit chanceux. Tu es réellement touché des petites attentions que Tahlia peut apporter à ton fils même si elle ne le voit pas aussi souvent que ça, finalement. Vous vous êtes un peu éloignés ces derniers mois mais tu espères qu'à présent, la jeune femme retrouvera sa place dans ta vie. Une place que tu as gardée bien au chaud pour elle. « Marché conclu. Quand tu seras en fin de grossesse, prête à accoucher, tu viendras nettoyer mes murs pour faire sortir la petite. » Plaisantes-tu avant de remettre la petite mallette dans son emballage que tu présenteras à Gabriel dès ton retour. Il va adorer, c'est une certitude. « Je ne sais pas, il a l'air d'avoir une certaine faculté à retenir les visages des gens. Mais c'est peut-être parce que je ne lui présente pas n'importe qui. » Dis-tu en esquissant un petit sourire. « Ou j'ai cette impression parce que je le mets sur un piédestal. » On a tendance à s'extasier de la moindre petite chose quand ça concerne nos enfants, tu l'as bien compris en devant papa et en voyant les progrès de Gabriel de jour en jour. Aujourd'hui, c'est fascinant de le voir évoluer, grandir. Pour remercier Tahlia et surtout parce que tu as envie de mettre un terme à cette distance entre vous, tu t'avances d'un pas, collant presque ton corps contre le sien. Son ventre rond frôlant le tien. Ton regard ne se détache pas du sien, même pas une seule seconde, alors que ta main fait glisser une mèche de cheveux brune derrière son oreille. Un sourire se dessine au coin de tes lèvres en entendant la question de la brune avant que tu ne murmures contre ses lèvres : « Pas si j'en ai terriblement envie moi aussi. » Et enfin, tes lèvres se blottissent contre les siennes d'abord avec douceur puis avec un peu plus de fougue et d'envie. La dernière fois que vous vous êtes embrassés, votre baiser s'est terminé bientôt brutalement à tes yeux alors aujourd'hui, tu comptes bien en profiter. Tu fais durer ce baiser jusqu'à ce que le souffle vous manque puis murmures : « Tu me rends fou. » Complètement fou. |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Jeu 20 Fév 2020 - 23:06 | |
| Ciàran ne se rendait pas compte du bien qu'il lui faisait. Alors que ces dernières semaines s'étaient rythmées par la course pour préparer l'arrivée de sa fille, l'annonce de sa grossesse à ses proches, les questionnements qui s'en suivaient, la jeune femme n'avait pas eu de moments durant lesquels elle pouvait souffler. C'était pour cela qu'elle aimait la simplicité de cette conversation, cette légèreté dans leurs propos – même s'ils avaient abordé quelques sujets difficiles – les sourires échangés et les rires complices. Alors qu'il aurait dû être celui avec qui elle aurait pu avoir du mal à communiquer, Ciàran était finalement celui avec qui c'était tellement simple. Alors qu'ils plaisantaient sur les jouets casse-tête, Tahlia évoqua les jouets Kinder, remarquant le regard taquin de Ciàran quand il la questionna. « Ne te moque pas... mais oui, même avec le mode d'emploi. » avoua-t-elle. « Mais attends, je ne te parle pas des jouets actuels, mais ceux qu'on avait quand on était gosses. C'était beaucoup plus dur à l'époque... » A l'époque... Phrase de vieille. Elle reprit cependant, sourire aux lèvres : « Non mais en vrai, j'ai beaucoup de mal avec les jouets en kit. J'ai un problème avec la logique. » Elle ne l'était absolument pas et pas que dans le montage des jouets. Même dans sa vie sentimentale et professionnelle, elle était dans la réactivité avant d'être dans la logique. Elle agissait avant de réfléchir. Mais ça avait du bon. Elle faisait les choses avec le cœur, et non pas avec la tête. Une fois arrivés chez Tahlia, la brune fut ravie de voir que ces efforts pour rendre l'endroit chaleureux étaient visibles. Elle esquissa un sourire face aux mots de Ciàran. « J'espère qu'elle se sentira bien. » C'était une peur infondée. Quand on était bébé, il y avait avant tout le besoin de ses parents. Sa fille se ficherait que la pièce soit trop petite. Alors qu'elle prépara le café, Tahlia revint avec la petite mallette de loisirs créatifs qui risquerait de faire des dégâts chez Ciàran. Mais elle se portera volontaire pour aider au nettoyage. « Je suis sûre que le nettoyage des murs peut être une super astuce pour déclencher l'accouchement. Mais promis, j'essayerai de ne pas accoucher sur place. »dit-elle en riant. Encore une autre peur : accoucher n'importe où. Mais c'était sa première grossesse. Et c'était connu que le premier accouchement était long, très long. Alors qu'ils parlaient de Gabriel, Tahlia afficha un air attendri quand il parla de son fils, avec des paroles qu'il remit lui-même en doute en disant qu'il le mettait sur un piédestal. Amusée, elle répondit : « Hum... il y a un peu des deux. En tant que papa, c'est normal que tu le mettes sur un piédestal. Mais si ça peut te rassurer, Gabriel est un enfant curieux et très éveillé. » Cela lui avait sauté aux yeux quand elle l'avait vu. Il avait le même regard que Ciàran, profond et observateur. Ce regard qui, aujourd'hui, la fixait intensément et la déroutait. L'italien avait encore cet effet sur elle et quelque part, c'était rassurant de voir que ce n'était pas quelque chose d'éphémère. L'attirance qu'elle avait pour lui était bien réelle, bien vivace. Alors, quand il combla le peu de distance entre eux, un sourire satisfait s'afficha sur ses lèvres. Mais ce n'était pas encore assez. Il y avait ce désir, cette envie qui brûlait là, au fond d'elle et qu'elle exprima à voix haute. La réponse de Ciàran fut exactement celle qu'elle voulait entendre et ce fut avec plaisir qu'elle accueillit ses lèvres contre les siennes. Elle en profita pour se coller davantage à lui, ses mains s'accrochant à lui alors que leur baiser, d'abord doux, se fit plus fougueux au fil des secondes. En entendant son murmure, ses yeux verts, qui se teintaient de désir, s'accrochèrent à ceux de Ciàran. « Je peux dire la même chose... » souffla-t-elle doucement alors qu'elle se hissa de nouveau sur la pointe des pieds pour retrouver ses lèvres qui lui manquaient déjà. Ses mains exercèrent une pression sur son torse pour le forcer à reculer jusqu'à ce canapé-lit qui était resté ouvert. Elle le poussa de nouveau pour qu'il s’assoit dessus, s'installant à califourchon sur lui. Elle mit fin au baiser pour retrouver son souffle - et son esprit ! - quand elle murmura : « Dis-moi maintenant si tu veux qu'on arrête là... » Derrière ce regard plein de désir, il y avait toujours ces doutes qui subsistaient. Leurs relations compliquées avec leurs ex. Les sentiments en jeu. Et un tout nouveau doute : la peur que ce ventre rond ne la rende plus désirable... |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Dim 23 Fév 2020 - 0:54 | |
| Et Tahlia ne se rend pas compte du bien qu'elle te procure. Maintenant qu'elle est devant toi, tu te demandes bien comment tu as fait pour gérer son absence durant ces quelques mois passés loin d'elle. Elle apporte une toute autre dimension à ton quotidien, un tout nouveau souffle dont tu as réellement besoin. Aujourd'hui plus que jamais, tu es persuadé qu'elle a une grande place dans ta vie qui ne s'effacera probablement jamais. « Oui évidemment que c'était plus compliqué à l'époque. » Dis-tu, en prenant un air faussement sérieux. Tu la taquines mais tu comprends bien que ce n'est pas donné à tout le monde de comprendre et de lire un mode d'emploi. Par chance, pour ce qui est de la table à langer, elle n'aura pas à la monter toute seule. « Cela explique pourquoi tu traines encore avec moi. » Rétorques-tu, à nouveau taquin, un sourire au coin des lèvres. Tu n'es pas vraiment quelqu'un de fréquentable et Tahlia le sait puisqu'elle est au courant de toute ta vie depuis qu'elle a monté ce fameux dossier sur toi. Un dossier qui vous a incontestablement rapproché et que tu ne regrettes nullement même si tu sais qu'entre de mauvaises mains, il pourrait faire des ravages. « Bien sûr qu'elle se sentira bien puisque tu seras à ses côtés. » Réponds-tu, une fois chez la brune, dans ce petit appartement où elle est pratiquement prête à accueillir sa fille. Peu importe l'endroit, tant qu'elles sont ensemble, finalement. Tu l'as bien vite compris, quand Gabriel est arrivé dans ta vie. Et aujourd'hui, alors que tu t'occupes de ton fils à plein temps, tu ne concevrais pas de le partager à mi-temps avec sa mère. Tu es bien trop protecteur avec lui pour ça. Néanmoins, tu sais que si Lou faisait son grand retour, tu y serais bien obligé pour le bien de Gabriel. Heureusement pour Tahlia, les choses sont différentes puisque Carter fera partie de la vie de la petite, dès la naissance. Elle aura cette chance de grandir entourée de ses deux parents et ça, ça n'a pas de prix. « Je crois aussi. Il ne vaut mieux pas, je ne crois pas que je serais très bon pour t'accoucher. » Dis-tu en riant. « Par contre, je suis un super pilote. » De quoi la conduire à l'hôpital aussi vite que possible, si besoin. Mais espérons que vous n'en arriviez pas là parce que tout ce que tu souhaites pour l'ex-policière, c'est qu'elle accouche dans les meilleures conditions et il n'y a pas de raisons pour que ce ne soit pas le cas. « Merci, ça me rassure, oui. » Réponds-tu avec un bref sourire. Tahlia a toujours les mots qu'il faut pour te rendre le sourire, pour ôter tous tes doutes d'homme ou de père. Elle a cette faculté à trouver les mots justes que d'autres n'ont pas ou du moins, pas avec toi. D'un tempérament plutôt fermé, il est rare que les gens soient capables de t'apaiser et pourtant, Tahlia, elle, le fait sans même en avoir conscience. C'est sans doute cette facilité entre vous, ce désir qui persiste et cette alchimie qui te poussent à te rapprocher d'elle et même à joindre tes lèvres aux siennes. Ce baiser, tu en rêvais depuis la seconde où vos chemins se sont croisés dans ce Starbucks. Tu avais pourtant mis cette envie de côté, par respect pour la jeune femme alors que tu ne savais pas encore qu'elle était à nouveau célibataire. Mais à présent, maintenant qu'il n'y a plus personne pour vous retenir, tu ne vois pas pourquoi tu ne laisserais pas ton désir pour elle prendre le dessus. Alors forcément, quand elle pose une main sur ton torse pour t'obliger à t'asseoir sur son canapé-lit, tu t'exécutes sans rechigner même si habituellement, c'est toi qui prends plutôt le dessus. Tu la laisses s'installer à califourchon sur toi, posant une main dans le bas de son dos et une autre contre sa joue. « Certainement pas. » Affirmes-tu avant de retrouver ses lèvres avec fougue. Après quelques secondes, tes mains s'accrochent à son haut pour le faire remonter et lui ôter, t'offrant une vue imprenable sur sa poitrine que tu détailles sans t'en cacher bien que le tissu de son soutien-gorge t'empêche de le faire totalement. Du coup, sans réfléchir, tu dégrafes celui-ci et laisses tes lèvres courir de sa mâchoire jusqu'à sa poitrine où elles emprisonnent un de ses seins. |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Lun 24 Fév 2020 - 18:33 | |
| Ciàran se moquait clairement d'elle avec cet air faussement sérieux et ce 'à l'époque' qu'il répéta pour la taquiner. Mais que c'était bon d'avoir tant de complicité. Toutefois, quand il mit son manque de logique comme argument qui expliquait pourquoi elle restait près de lui, elle répondit : « Ce n'est plus du manque de logique, à ce niveau, c'est de la folie. » Elle l'avait regardé en disant cela, un sourire aux lèvres. « De la douce folie, même... » ajouta-t-elle, en ne détournant pas le regard. Elle tenait à lui faire comprendre qu'elle ne regrettait toujours rien. Elle s'était faite à l'idée que sa présence apportait énormément à sa vie et que cela dépassait clairement les parties les plus obscures de l'italien. Elle se fichait royalement qu'il soit infréquentable aux yeux des autres. A ses yeux, il était fréquentable et tant pis si elle se prendrait un mur, un jour ou l'autre. Une fois chez la brune, cette dernière esquissa un sourire quand Ciàran lui affirma que sa fille serait bien ici. Il était vrai que la présence de Tahlia effacerait tous les petits défauts de l'appartement. Elles seraient à deux contre tout le reste. Et il y aura Carter dans le schéma familial, ce qui était très important pour l'ex-policière qui avait eu des bases familiales très solides. Bien sûr, certains s'en sortaient très bien pour combler le manque d'un parent. Il suffisait de voir Ciàran et Gabriel. L'italien avait les deux casquettes et il se débrouillait vraiment bien, même si elle se doutait qu'à un moment de sa vie, Gabriel aura sûrement besoin d'une présence féminine auprès de lui. Alors que le café coulait et embaumait l'appartement, Tahlia et Ciàran plaisantaient sur les astuces pour déclencher l'accouchement. Elle éclata de rire quand il lui avoua qu'il ne serait pas une bonne sage-femme. « Tu auras juste à me hurler 'POUUUUUUSSE !' » Si seulement, ce n'était que ça. Mais elle préférait à la rigueur l'avoir en pilote. « Tu sais que je serai capable de garder mes réflexes de flic ? Même en ayant des contractions, je pourrais te dire que tu es en excès de vitesse ou que tu as loupé une priorité à droite ! » Elle rit de nouveau, même si elle espérait vraiment ne pas en arriver là. Finalement, son accouchement ne sera pas tout aussi agréable, mais cela, elle ne savait pas encore. Mais après ces plaisanteries et alors qu'il lui parlait de son fils, ils retrouvèrent tout leur sérieux. Elle vit l'apaisement dans son regard après qu'elle lui ait assuré que Gabriel était très éveillé, que ce n'était pas une simple impression de papa complètement gaga. Et elle aimait savoir que ses mots le rassuraient, tout comme il le faisait avec elle. Alors que leurs regards ne se lâchaient pas et que la distance entre eux s'amenuisa peu à peu, l'atmosphère se fit plus électrique. Il y avait cette tension, ce désir qui était là et qui s'attisa au travers de ce baiser échangé. Elle n'attendait que cela : retrouver ses lèvres, se perdre dans ses bras. Sans aucun obstacle. Ou presque... Quand elle le poussa jusqu'au canapé-lit et qu'elle se retrouva à califourchon sur lui, elle lui souffla ces quelques mots plein de doutes. Ces quelques mots qui pouvaient tout arrêter avant d'éventuels regrets. Mais quand elle vit la détermination dans les yeux de Ciàran et que ses mots effacèrent les doutes restants, la brune rendit son baiser avec fougue, avec soulagement même. Elle restait une femme à ses yeux et cela était grisant. Alors qu'il retira son haut, elle sentit ses joues s'enflammer quand il posa un regard sur sa poitrine libérée de l'emprise de ce soutien-gorge, qui commençait à être de trop. Et quand ce furent ses lèvres qui partirent à la découverte, la brune pencha la tête en arrière, les yeux fermés, se mordillant la lèvre inférieure face à ce flot de sensations agréables. Ses mains se promenaient sur Ciàran, jusqu'à ôter son t-shirt à son tour. Ses doigts glissèrent alors de la base de son cou, explorant allègrement les courbes musclées du bel italien et descendant jusqu'à la frontière délimitée par son pantalon. Une frontière qu'elle dépassa, sans aucune culpabilité, en déboutonnant le pantalon, puis en glissant sa main dans son boxer. Ses lèvres étaient tout près des siennes, qu'elle s'amusait à frôler sans les embrasser. Un bref sourire en coin s'affichait même. Et alors que sa main s'activait doucement sur son membre, ses yeux verts sondèrent le regard de Ciàran, voulant découvrir ce qu'il aimait ou pas, recherchant le désir qu'elle voulait éveiller avec provocation. Elle voulait le rendre encore plus fou et sombrer avec lui dans ce lâcher-prise, sans plus aucune hésitation... |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Mar 25 Fév 2020 - 17:05 | |
| « Je n'aurais pas pu mieux dire. » Rétorques-tu quand Tahlia appuie tes dires, soulignant même que trainer avec toi est de la pure folie. Même si tu vois dans son sourire qu'elle ne regrette pas votre relation et qu'elle n'a pas peur de prendre des risques à tes côtés, tu ne peux pas t'empêcher de penser que tu ne la mérites pas. Tu ne méritais pas qu'elle prenne tous ces risques pour toi, allant même jusqu'à perdre son emploi. Et quand bien même elle était à l'initiative de ce dossier monté contre toi, elle n'avait aucune obligation de te protéger, finalement. En restant dans la vie de la brune, tu risques de lui apporter des tas de problèmes, tu en es bien conscient. Pourtant, tu ne peux te résoudre à l'éviter et à sortir de sa vie définitivement. Tu as besoin d'elle et tu en prends conscience aujourd'hui plus que jamais. Ton rire se joint à celui de Tahlia quand vous plaisantez sur le fait que si elle accouchait chez toi, tu ne serais pas très bon sage-femme. Et encore moins pour crier comme elle le fait. « Ça paraît si simple quand c'est toi qui le dis. » Dis-tu avec un léger sourire. Pourtant, en réalité, tu sais que c'est une toute autre affaire. Et surtout, même si tu ne l'avoueras pas, si Tahlia venait à accoucher chez toi, tu serais plus paniqué qu'autre chose de la voir souffrir et d'être impuissant face à sa douleur. « Rah, cette déformation professionnelle... On n'en sera jamais quitte. » Plaisantes-tu. Tu te doutes bien que ça doit manquer à l'australienne de ne plus faire partie de la police et tu ne te pardonneras probablement jamais de t'être immiscé dans sa vie et dans son travail de cette façon. Mais avec le temps, tu apprends à relâcher un peu la pression, à laisser Tahlia prendre ses propres décisions. Même si tu n'es pas forcément d'accord avec celles-ci. Après quelques moments de plaisanterie et surtout de complicité, tu réduis la distance entre vous parce que tu ressens le besoin, plus que jamais, de sentir la chaleur de sa peau. De ses lèvres. Quand ta bouche est rassasiée de la sienne, du moins pour l'instant, tu laisses celle-ci découvrir une autre partie du corps de Tahlia : sa poitrine. Tu t'y attardes pendant quelques secondes, sentant la pointe de son sein durcir, en signe de son excitation qui fait écho à la tienne. D'ailleurs, l'australienne ne tarde pas à le découvrir, alors que sa main se glisse dans ton boxer pour entourer ton membre de ses doigts. Tu soupires de plaisir quand ses doigts se mettent à bouger et que son regard te sonde avec une telle profondeur que tu ne pourrais décrire. Tu pourrais presque jouir dans sa main, rien qu'en te perdant dans ses yeux. Mais tu as trop envie d'être en elle pour te laisser aller si vite. Tu comptes bien profiter de chaque parcelle de sa peau si délicate et de chaque caresse que Tahlia a à t'offrir. « Putain... » Murmures-tu contre ses lèvres qui frôlent les tiennes, à mesure que ses gestes deviennent de plus en plus rapides. Puis, sentant que tu pourrais exploser à tout moment, tu décides d'inverser vos positions, soulevant doucement Tahlia pour l'asseoir sur son canapé-lit. Tu la pousses délicatement du bout des doigts pour qu'elle se couche avant de retrouver ses lèvres et de l'embrasser avec passion, avec envie. Après un baiser que tu ne pourrais décrire tellement les sensations qu'il provoque chez toi sont puissantes, tu t'écartes un peu pour la regarder, souriant en sentant son ventre rond frôler le tien. Puis, avec une douceur que tu ne connaissais pas jusqu'ici, tu déboutonnes son pantalon, faisant glisser celui-ci le long de ses jambes, emportant avec lui, son sous-vêtement. Maintenant qu'elle est nue, devant toi, tu n'as qu'une chose à dire : « Tu es tellement belle. » Et après avoir sondé son regard pour être sûr que Tahlia désire toujours la même chose que toi, tu laisses tes lèvres et ta langue se perdre au creux de son intimité, pile entre ses jambes.
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| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Mer 26 Fév 2020 - 23:37 | |
| Que serait la vie sans aucune folie ? Tahlia se fichait de l'avis des autres. Elle se fichait si ce qu'elle faisait était correct ou non, si c'était raisonnable ou non. Elle préférait faire des actes complètement fous, plutôt que de vivre avec des regrets. Et ces derniers mois sans Ciàran avaient été plein de regrets, ce qu'elle avait détesté plus que tout. Tant pis s'il se croyait infréquentable. Elle, elle n'était pas de cet avis et elle comptait bien le démontrer. Alors qu'ils parlaient d'accouchement, la brune répondit en riant : « C'est sûrement parce que je ne l'ai jamais vécu. » Elle savait que cela n'allait pas être simple, qu'elle allait avoir mal, qu'elle allait sûrement être ingérable et exécrable, que cela ne se résumerait pas à un simple 'pousse !', mais elle ne pouvait plus faire marche arrière maintenant. Alors, autant en rire et s'alléger l'esprit avant d'affronter le moment fatidique. Puis quand il parla de sa déformation professionnelle, la brune répondit, avec un ton faussement innocent : « Pfff, ça te manquerait si je ne jouais plus à la flic... » Son métier lui manquait évidemment, mais elle était de plus en plus prête à tourner réellement la page, à l'accepter pleinement. Elle ne se voyait pas sévir dans un milieu rempli de délinquance, de violence alors qu'elle allait avoir un petit bébé. La maman prenait peu à peu le pas sur la policière. Mais à présent, elle n'était ni maman, ni policière. Elle était juste femme. Une femme avec des désirs, des envies, de la passion que Ciàran éveilla subtilement par ces baisers, ces vêtements retirés, ces frôlements bien placés. Alors qu'il s'était chargé de cette zone érogène qu'était sa poitrine, Tahlia prit ensuite le contrôle en passant sa main dans son boxer, lui prodiguant des caresses intimes. Ses yeux ne quittaient pas ceux de Ciàran, espérant voir cette lueur de désir illuminer son regard si sombre. Ses soupirs, son juron et ce qu'il se passait dans le boxer de l'italien démontrèrent que ses gestes lui étaient agréables et firent grimper l'excitation de Tahlia, elle pour qui le plaisir de l'autre était le maître mot. Elle vint rapidement lui voler un baiser, attrapant sa lèvre inférieure entre ses dents, dans un geste taquin. Puis ce fut à son tour d'être repoussée sur le canapé-lit. Elle s'allongea sans se faire prier, passant simplement ses bras autour du cou de Ciàran pour le garder tout contre elle, comme si elle ne voulait pas le lâcher. Le baiser qu'il lui donna à ce moment-là fut des plus grisants, témoignant de la passion qui les dévorait. Outre cette passion brûlante, la douceur et la sensualité teintèrent les gestes de l'italien quand il retira les derniers vêtements de la brune. Le compliment qu'il lui souffla la fit sourire, effaçant alors la timidité du premier dévoilement. Et quand il plongea entre ses jambes, la titillant d'une main de maître, le flot de sensations submergea allègrement Tahlia. La jeune femme se cambra, l'une de ses mains se perdant dans la chevelure de Ciàran, l'autre s'agrippant au dessus de lit. Les soupirs vinrent rompre le silence présent dans la pièce quand après de longues secondes, ce fut la voix de Tahlia qui se fit entendre. « Reviens vers moi... » le supplia-t-elle, le souffle entrecoupé par cette vague de plaisir, alors que ses mains vinrent tâter les tissus de trop encore présents sur Ciàran. Quand il en fut débarrassé, le regard de Tahlia s'arrêta sur lui, sur le corps de cet homme qui la rendait dingue sur tous les plans. Il était si beau. Eros dans toute sa splendeur... Et quand son regard remonta jusqu'à ses yeux, elle l'invita à la rejoindre, joignant ses gestes à ce message silencieux. Alors qu'il la surplombait, ses mains glissèrent dans son dos et ses jambes s'accrochèrent autour de lui, l'invitant à plus. Elle le voulait. Elle le voulait tellement... |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Mer 18 Mar 2020 - 23:36 | |
| De ton côté aussi, tu vis constamment avec des tas de regrets et c’est une sensation que tu supportes de moins en moins. Malheureusement, certaines choses ne peuvent s’arranger, ne peuvent changer, alors tu es condamné à vivre avec des « et si… ». Heureusement, certaines personnes, comme Tahlia, apportent un peu de lumière dans ta vie et te permettent de ne pas sombrer dans les remords. « Peut-être. » Murmures-tu pour laisser planer le doute même si dans ta tête, il n’y en a aucun. Oui, tu aimes quand la brune laisser parler son autorité, quand elle laisse parler la policière qui est en elle. C’est pour cette raison que tu t’en voudras toujours de l’avoir privée de ce métier qu’elle aimait tant. Néanmoins, tu vois qu’elle en parle avec moins de difficultés qu’auparavant, avec moins de tristesse, et cela apaise au moins un peu ta culpabilité. Pour l’heure, tu laisses ces pensées compliquées de côté et profites des doigts de Tahlia, entourant ton membre et caressant celui-ci. Tu ne sais pas pourquoi mais chaque caresse qu’elle t’offre provoque chez toi comme une décharge électrique. Ce qui rend chaque touché bien plus puissant, bien plus agréable. Alors, quand tu sens qu’elle pourrait te faire exploser à tout moment, rien qu’avec les doigts, tu inverses vos rôles, surplombant la brune. Après un baiser des plus passionnés, tu descends doucement vers son entrejambe, laissant tes lèvres et ta langue titiller son intimité. Tu accentues tes coups de langue en la sentant se cambrer et en entendant ses gémissements, bien décidé à la rendre folle. Folle de toi pour que, jamais plus, elle ne quitte tes bras. Mais Tahlia en décide autrement et face à ce supplice, face à ce regard qui te réclame, tu n’as d’autres choix que de rejoindre la brune. Habilement, elle ôte tes derniers vêtements, scrutant ton corps du regard. Un regard qui en dit long sur ce qu’elle ressent et qui est sûrement le reflet du tien, à chaque fois que tu la regardes. Alors qu’elle entoure tes hanches de ses jambes, tu rapproches progressivement ton corps, ton sexe frôlant le sien. « C’est ça que tu veux ? » Demandes-tu avec un sourire aux lèvres, guidant ton sexe de la main jusqu’à son entrejambe. Puis, alors que tes lèvres se scellent à nouveau aux siennes, tu entres en elle, gémissant de plaisir au fur et à mesure que tu t’enfonces plus profond. Après quelques secondes d’acclimatation, tu intensifies la vitesse de tes coups de rein, déviant des lèvres de Tahlia pour embrasser son cou, laissant ta main se loger contre son sein qu’elle malaxe avec douceur. « Putain… qu’est-ce que tu me fais ? » Murmures-tu en fermant les yeux, face à ce flot de plaisirs qui te submerge. Tu prends conscience que la présence de Tahlia devient de plus en plus indispensable dans ta vie et qu’elle risque bien de devenir vitale. Pourtant, tu sais que les choses n’ont jamais été simples entre vous deux et que l’arrivée de ce bébé risque bien de tout compliquer. Mais à cet instant précis, tu as la certitude que ce premier rapprochement entre vous ne sera que le premier d’une longue série. Maintenant que tu as goûté à sa peau, tu vas bien vite devenir accro. Si ce n’est pas déjà le cas. |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Mar 24 Mar 2020 - 17:58 | |
| Elle aimait ce 'peut-être' qui laissait tant planer le doute. Mais au fond, si elle n'avait pas été cette policière assidue, jamais ils n'auraient passé autant de temps ensemble, jamais ils n'auraient vu à quel point ils pouvaient se ressembler. Comme quoi il y avait du bon dans son côté autoritaire. Un côté qui n'était d'ailleurs jamais très loin, et heureusement... Mais ce n'était pas le côté qui allait primer aujourd'hui. C'était davantage le côté passionné de Tahlia qui ressurgissait face à Ciàran, face à ce rapprochement subtil, à ce baiser qui ouvrit la porte à d'autres passions. C'était juste impossible de se contenter d'un simple baiser. Elle le savait, elle le voulait. Elle lui avait déjà dit qu'elle le voulait dans sa globalité et aujourd'hui ces mots prenaient tout leur sens. Tout comme ils prenaient leur sens quand elle lui offrit des caresses intimes, jouant sur le rythme de sa main, parfois lentement, parfois plus rapide, sur ses lèvres qu'elle frôlait avec provocation, sur ce regard plein de désir qu'elle lui lançait. Elle aurait pu laisser ses lèvres prendre la relève, afin de le torturer encore plus, mais Ciàran décida d'inverser les rôles, de lui procurer à son tour un bien incommensurable. Elle ne savait pas si c'était les hormones de la grossesse ou tout simplement Ciàran -elle misait sur la deuxième proposition - mais son désir grimpa en flèche alors qu'il jouait avec son intimité. Les soupirs en témoignaient à merveille, tout comme cette demande qu'elle lui lâcha, quand le plaisir atteignait presque son apogée. Débarrassé de ses derniers vêtements, Ciàran revint vers elle, s'amusant à approcher son sexe du sien, à la titiller, avec ce sourire aux lèvres si provocateur, qui l'excitait tant. « J'aurais pu me contenter de tes lèvres et de ta langue, mais tu sais bien que je veux toujours plus venant de toi... » répondit-elle, avec le même sourire en coin. Mais la taquinerie ne pouvait subsister bien longtemps face à cette envie qui les rongeait tant. Alors, quand, lèvres scellées, il entra en elle, Tahlia dut rompre ce baiser, alors que ce gémissement de plaisir s'échappait de sa bouche. Elle remonta encore plus ses jambes, montrant sa souplesse même enceinte, afin de lui laisser encore plus de liberté à ses mouvements. Des mouvements qui s'accentuèrent, qui trouvèrent l'écho dans les ondulations de bassin de la brune. C'était harmonieux. Alors qu'il vira vers son cou, vers ce sein qu'il touchait avec douceur et qui attisait encore plus le feu en elle, elle descendit les mains le long de son dos, l'une d'elle s'aventurant jusqu'à ses fesses afin d'accompagner ces mouvements. Alors qu'elle picorait ses joues, son cou, son épaule de baisers, elle entendit ce murmure, ces mots qui faisaient écho à ce qu'elle vivait. « La même chose que tu me fais... » susurra-t-elle, laissant planer le mystère, alors qu'elle savoura ces longues secondes divines. « Je ne vais pas tenir... » lâcha-t-elle entre deux souffles, ses doigts s'enfonçant dans la chair de Ciàran. Et pour témoigner de la passion qui la dévorait, de cette envie de profiter de cette étreinte sous tous les angles, elle repoussa Ciàran sur le lit, de façon à lui montrer ce qu'elle savait faire, elle aussi. Elle s'installa à califourchon sur lui, sourire malicieux sur les lèvres, sa main entourant son membre qu'elle fit languir quelques secondes avant de le guider de nouveau en elle. Là, elle recommença la plus belle des valses, augmentant doucement le rythme de ses mouvements, alors que ses soupirs de plaisir se faisaient de plus en plus audibles. Elle était proche de l'orgasme, mais elle refusait de l'atteindre sans lui. Elle riva de nouveau son regard au sien et lâcha finalement ce qui résumait si bien leur relation : « Tu me rends folle... » Folle de son corps. Folle de sa peau. Folle de ses baisers. Folle de lui. |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Sam 28 Mar 2020 - 22:04 | |
| Je veux toujours plus venant de toi... Plus, beaucoup plus, toujours plus… C’est également ce que tu ressens quand Tahlia est dans les parages. Elle fait voyager tes pensées dans des endroits que tu pensais impossibles, inimaginables, pour toi. Elle remet tant de choses en questions chez toi et pourtant, tu aimes qu’elle fasse ressortir le meilleur. Auprès d’elle, tu as l’impression d’être un homme meilleur et c’est une sensation que tu ne pensais jamais connaître. « Et moi de toi. » Murmures-tu pour faire écho aux paroles de la brune. « Je veux tout de toi. » C’est criant de vérité et pourtant, tu n’as aucune idée d’où vous allez, tous les deux. Vos vies sont déjà assez compliquées comme ça mais tout t’attire toujours vers Tahlia, même lorsque tu cherches à prendre tes distances. Une fois à sa hauteur, il ne te faut pas longtemps pour entrer en elle, déjà bien excité par ses caresses et ses baisers. Bien que, dans le fond, il ne te faut pas plus d’un regard pour réveiller la flamme qui sommeille en toi et brûle pour Tahlia. Alors que tu intensifies tes coups de rein, aidé par le bassin de la brune, tu te sens submergé par tout ce que tu ressens à la fois physiquement et mentalement. La jeune femme chamboule tout et tu ne sais comment gérer ce flot d’émotions. C’est nouveau pour toi qui, d’habitude, es un vrai solitaire, se protégeant de tout sentiment, de toute souffrance. Tu es soulagé, néanmoins, quand Tahlia te confirme qu’elle ressent la même chose. Tu ne supporterais pas qu’elle te repousse et à présent, l’idée qu’elle retourne avec Carter te terrifie. Tu ne sais pas si tu serais prêt à l’accepter même si c’est pour le bien de leur fille, de leur famille. Chassant ces idées sombres et surtout hypothétiques de ta tête, tu te concentres sur la brune qui ne tarde pas à inverser vos positions. Tu arques un sourcil en la regardant faire, lui obéissant au doigt et à l’œil. « Vous êtes bien autoritaire Mademoiselle Wates. » Dis-tu sans te défaire de ce sourire qui en dit long. Ca te plait et même un peu trop pour toi qui as l’habitude de tout contrôler habituellement, même au lit. Alors que Tahlia accentue ses mouvements de bassin, tu gémis de plaisir, n’étant plus très loin de l’orgasme toi non plus. Ce sont les mots de la brune et son regard si intense qui te font basculer vers le plaisir ultime. Bien décidé à ce que l’Australienne te rejoigne dans ce flot de sensations, tu continues à aller à la rencontre de son bassin jusqu’à ce que tu sentes son sexe se contracter autour du tien. « Oui, vas-y, jouis pour moi… » Murmures-tu en caressant sa poitrine puis le bout de ses seins, ton regard toujours ancré au sien. Alors que vos corps tremblent encore légèrement de plaisir, tu fais basculer Tahlia sur le côté pour qu’elle puisse s’allonger sur le lit. Tu l’observes dans son plus simple appareil, complètement sous le charme. « Merci, pour ce moment. » Murmures-tu en déposant un baiser sur son épaule, un sourire aux lèvres. Ce qui est sûr, c’est que tu ne risques pas d’oublier ce moment et que tu en redemanderas encore dés que l’occasion se présentera à nouveau. |
| | | Invité | Sujet: Re: Let's go back to the start (Ciàran) Dim 29 Mar 2020 - 15:47 | |
| Sans doute en disait-elle trop ? Sans doute se dévoilait-elle trop ? Sans doute allait-elle se prendre un revers, un jour ou l'autre ? Mais elle avait ce besoin de dire tout haut ce qu'elle ressentait au plus profond. Elle avait besoin de révéler cette envie d'avoir toujours plus venant de lui, cette impression de ne jamais pouvoir se lasser quand il était dans le coin, de ne jamais être rassasiée de lui. Et quand il lui rendit la pareille, en lui disant que c'était réciproque, elle avait presque envie d'y croire. Presque ? Il y avait toujours cette petite voix qui lui disait ne t'implique pas trop, tu vas souffrir. Mais quand elle croisait ce regard sombre posé sur elle, quand elle voyait à quel point il s'ouvrait à elle, lui le grand solitaire, elle avait envie d'oublier cette petite voix. Elle avait juste envie de s'abandonner à lui, à ses bras qui l’étreignirent aujourd'hui de la plus belle façon possible. Bien que son plaisir était déjà à haut niveau, elle fit un bond vers le paroxysme quand enfin, il entra en elle. Chaque coup de rein était un pur délice, réveillant allègrement son corps et le moindre de ses sens. Et à l'intérieur d'elle-même, elle s'embrasait face à ce flot d'émotions qui la dépassait pourtant pleinement. Elle s'était souvent perdue dans les bras d'hommes, Tahlia, mais ceux qui parvenaient à la transpercer de la sorte se comptaient sur les doigts d'une main. Et Ciàran en faisait désormais partie. C'était du pur lâcher-prise. Et elle embarquait Ciàran avec elle. Alors qu'elle se mit en tête d'inverser les positions, elle savait très bien que cela ferait réagir le maniaque du contrôle qu'il était. Son sourcil arqué le démontra, mais ce fut très vite ce sourire en coin sur le bout des lèvres qui s'imprégna dans l'esprit de la brune. « Il va falloir t'y habituer. » murmura-t-elle en réponse à ce côté autoritaire qu'elle avait mis à plusieurs reprises en avant. Mais là, c'était sous un tout autre aspect qu'elle l'abordait, beaucoup plus charnel. Ciàran éveillait son côté plus entreprenant. Et ce fut sur cette pensée-là qu'elle reprit ses mouvements de bassin, jusqu'à l'amener au plaisir ultime, qui était clairement le déclencheur pour elle. Ses mains sur sa poitrine, ses caresses et surtout ses mots la poussèrent à ouvrir la vanne et à recevoir de plein fouet cet orgasme. « Putain... » lâcha-t-elle entre ces gémissements, les yeux fermés, tête en arrière, alors que son corps tremblait de plaisir. L'apothéose d'un moment qu'elle avait longtemps fantasmé. Alors qu'il la bascula sur le côté, la jeune femme se laissa retomber, allongée sur le lit. Le regard qu'elle porta sur lui était pétillant et montrait à quel point elle avait aimé ce moment. « Merci à toi. » souffla-t-elle, en esquissant un sourire quand il déposa un baiser sur son épaule. « C'est intéressant de monter des meubles avec toi. C'est même loin d'être une corvée. » dit-elle, malicieuse, en référence à cette table à langer qu'ils auraient dû monter, mais qui finalement, avait mené sur une activité bien plus délicieuse. Une activité qu'elle serait prête à redemander, sa soif de lui n'étant décidément pas assouvie... On peut clôturer là, non ? |
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