Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: (Flashback) First case (Pv Aleksy) Mer 15 Avr 2020 - 2:20
First case
Morgan & Aleksy
15h30. Tu poses ta main sur ton front. Cela faisait plusieurs heures que tu étais sur cette enquête. Tu n’étais pas le seul. D’autre collègues étaient aussi en charge. C’était la première fois qu’on te donnait autre chose que ranger des dossiers. Enfin, cela faisait un an déjà que tu étais rentré au commissariat de Bowen. En plus de ranger des dossiers on t’avais aussi demandé de distribuer des pv pendant quelques mois. T’étais bien obligé mais tu t’étais bien fais chier. Bien sur t’étais nouveau on allait pas te donner à ton arrivée un dossier important. Même si c’était pas la première fois que tu avais du t’occuper de dossiers grave, cela faisait quelques années que tu connaissais ton métier quand même, t’avais bossé une bonne dizaine d’année à un commissariat de Sydney. T’avais pas mal de boulot là bas t’avais pas l’temps de prendre une pause café. Tu avoues que tes anciens collègues te manquaient. Tu te demandais bien ce qu’ils devenaient. Tu n’avais plus trop de nouvelles. Ils t’avaient peut-être oublié. Non tu ne penses quand même pas. Cela ne faisait qu’un an que tu étais à Bowen après tout. Ils ne pouvaient pas t’avoir oublié en un an. Et t’as pas envie d’y retourner. Peut-être un jour pour leur dire que tout va bien pour toi mais pas tout de suite. Pas après si peu de temps. Il te faut encore un peu de temps pour oublier les moments passés à Bowen. Tu n’oubliai pas tes collègues. C’était la seule chose que tu évitais d’oublier. Tu avais passé quelques mauvais moments avec eux, ils devaient bien supporter ton mauvais caractère. Mais les bons moments étaient beaucoup plus nombreux. Vous arriviez à plaisanter même pendant des enquêtes sérieuses. Pendant quelques secondes pour ensuite retrouver votre sérieux. Vous ne plaisantiez jamais devant les proches des victimes. Plutôt dans votre voiture de fonction en rentrant au commissariat. Après tout il fallait bien relâcher la pression après avoir vu un corps démembré ou toute autre horreur. Tu n’étais pas aussi proche avec tes collègues de Bowen. Pas encore, c’était encore trop tôt, t’avais pas trop envie de créer des lien pour le moment. T’étais encore un peu froid dans tes paroles lorsque tu parlai avec eux, cela te rappelai tes premiers mois à Sydney. Il te faut un peu de temps pour t’ouvrir aux autres c’est tout. Et t’as jamais été bavard. Tu racontes pas ta vie aux autres. Même aux plus proches. Les personnes connaissant ce qu’il s’est passé se comptent sur...non pour le moment tu n’en a parlé à personne depuis que tu es en ville. Faut dire qu’à part tes collègues du boulot, t’as fais aucune autre rencontre en ville. On t’avais enfin donné une enquête. Un an quand même. Pourtant tu avais bien expliqué que tu avais déjà touché à pas mal de chose à Sydney. Mais le chef voulait rien savoir tu étais obligé de faire les choses que tu faisais déjà avant lorsque tu venais d’entrer dans la police. Maintenant tu retrouvais enfin ce que tu faisais avant. On t’avais donné un dossier sur un enlèvement avec quelques uns de tes collègues. Ils t’avaient donnés quelques unes des preuves, un vêtement appartenant à l’enfant, des renseignements sur ledit enfant, des témoignages de membres de sa famille ainsi que d’autre personnes qui faisaient partis du cercle proche de l’enfant. Et d’autres personnes moins proche comme des voisins. Cela faisait quelques heures que tu lisais avec intérêt les différents témoignages. Mais rien ne te sautait aux yeux. Y’avai rien qui clochait. Ou peut être que tu te trompai. C’était peut être la fatigue qui t’empêchai de bien de te concentrer. Cela faisait quelques nuits que tu dormais mal, te réveillant en pleine nuit aux alentours de quatre heures du matin. Tu mettais du temps ensuite pour te rendormir. Même après avoir bu de nombreux cafés au goût amer, t’arrivais toujours pas à te concentrer. Les nombreux gobelets en plastique vide s’entassaient dans la poubelle en dessous de ton bureau. Le pièce s’emplissait d’une odeur de tabac froid. Dans un cendrier, quelques cigarettes éteintes. Tu en tenais une entre deux doigts. T’avais arrêté de compter. Alors que tu relisais une nouvelle fois les témoignages des différentes personnes, tu entendis frapper deux coups à ta porte. T'avais fermé la porte exprès. Tu ne répondis pas. T'avais pas trop envie de parler à quelqu'un là, t'étais occupé. Les coups continuent. Tu ne répond toujours pas. La porte s'ouvre alors. "Putain on peut..." tu n'as pas eu le temps de finir ta phrase. Le boss vient d'entrer. Qu'est ce qu'il vient te faire chier ! T'as suffisamment de boulot comme ça pas besoin qu'il t'en donne de nouveau. Tu le vois secouer la tête. "Tu peux pas répondre quand on frappe à ta porte ? C'est trop d'mender ? Tu m'ouvriras la fenêtre au passage.". C'était pour ça qu'il était venu te faire chier sérieusement. Tu lui réponds pas. Tu le vois disparaître un court instant dans le couloir. C'est ça casse toi. Tu te desinterressa de ton chef. Mais t'étais pas encore tranquille." Morgan tu vas devoir t'occuper de la nouvelle elle vient tout juste de sortir de l'école de police". Sérieusement ? Il se foutait vraiment de ta gueule c'était pas possible. T'avais vraiment pas envie de jouer le baby sitter. Pourquoi il te la filait a toi en plus. T'avais déjà suffisamment de boulot. C'était pas comme si yavai des flics qui passaient leur temps a la cafet qu'à faire autre chose. Ya pas marqué larbin sur ta tronche. Tu jettes un regard vers lui. "J'suis obligé d'accepter ?" t'as vraiment pas envie de t'occuper d'elle. T'es claqué, t'es pas d'humeur et les nombreux cafés aident pas. Le regard que te jettes ton boss te fait bien comprendre que t'as pas a discuter et tu es obligé d'accepter. Tu comprends pas pourquoi c'est à ton qu'on te la refilé. Le boss disparaît. Tu penses que la nouvelle est entrée dans la pièce t'en sait rien tu la regarde pas. Tu termines une dernière fois de lire les témoignages la laissant seule pendant plusieurs minutes. Une fois la lecture terminée tu jettes enfin un regard vers elle. Elle est déjà habillée en flic. Tu tires une latte de ta cigarettes. "Bon c'est quoi ton nom." Elle te répond rapidement. Aleksy. C'était pas un prénom qu'on avait l'habitude de voir. C'était pas un prénom de gars à la base même ? "J't'appelerai Aleks alors. Par contre pas de tutoiement avec moi on a pas élevé les cochons ensemble." Tu veux pas lui donner ton identité de toute façon t'as déjà une plaque a ton nom posée sur ton bureau si ça l'intéressait elle avait qu'a jeter un coup d'œil. Tu te lève. Faut bien que tu lui donnes des trucs à faire. Ça lui plaira pas mais elle devra ranger des trucs comme toi t'avais fais en arrivant ici il y a un an. Tu poses une multitude de dossier sur le bureau à côté du tiens. "T'as tout ce bordel à ranger. Faut passer par là c'est pas une partie de plaisir." T'allais revenir à ta place mais tu te tournes alors vers elle. "Tu fouilles rien. Et si l'odeur de la cigarette te déranges je m'en fous. Tu peux ouvrir la fenêtre si tu veux." Elle allait pas t'empêcher de fumer parce qu'elle supportait pas l'odeur de la cigarette.
Cela fait deux semaines que la nouvelle est là. Tu lui fait la misère mais tu t'en fous. T'es comme ça avec tous les nouveaux. Tu regardes comment ils réagissent. Certains se laissent pas faire, d'autres sont beaucoup plus sensibles. Ceux là restent pas longtemps dans le métier. La nouvelle, elle, ne dit rien. Elle se laisse faire mais ne fait pas parti du groupe des sensibles. Tu remarques ça dans son regard. Elle est pas très bavarde aussi. A part son prénom tu sais rien d'elle. Mais bon tu t'en fous bien pour le moment.
T'étais dans ton bureau en train d'observer des preuves d'une affaire en cours, la nouvelle toujours en train de ranger de nombreux dossiers lorsque la porte s'ouvrit violemment. Ton chef vient d'entrer aussi rapidement qu'un courant d'air. Il t'as fait flipper ce con. Il te jette un regard. "Morgan on a besoin de toi. Un meurtre dans la banlieue de Bowen. Ramène la nouvelle avec toi." Une fois ces mots dit, il referme alors la porte derrière lui. Enfin tu vas sur le terrain. Ça t'avais manqué. Attend mais il était sérieux quand il disait de ramener la nouvelle ? Pourquoi elle pouvait pas rester ici. Tu te lèves." Bon vient ici toi." Toujours aussi aimable. Soit pas étonné si les autres au boulot de déteste et en particulier les nouveaux. "T'as de la chance d'avoir ton premier meurtre aussi tôt moi j'ai du attendre pas mal de temps avant d'en voir un." t'as pas envie de lui dire que t'étais a Sydney avant. Toute façon elle te connaît pas. Tu ouvres le tiroir de ton bureau et en sort deux pistolets. Tu en prends un et le range. L'autre tu l'avance vers elle. "Tiens ça peut toujours servir. J'ai pas besoin de t'expliquer comment on s'en sert on a du bien te l'expliquer à l'école." lui dis-tu avec ton air froid. T'as pas envie d'être proche des nouveaux. Tu ouvres la porte de ton bureau et fait quelques pas dans le couloir. Tu jettes un regard derrière toi. "Qu'est ce que t'attends on a pas toute la journée."
Vous avez mit une vingtaine de minutes pour arriver devant le lieu du crime. Une maison assez grande. Un petit jardin. Des marches pour accéder à la porte de la maison. Tu frappes quelques coups. Elle a pas intérêt a foutre le bordel l'autre." Police !" la porte s'ouvre sur un homme, la cinquantaine ou la soixantaine t'en sais rien t'es jamais doué pour donner un âge aux gens. Tu te trompes toujours. Il fronce les sourcils en te voyant. "Vous en avez mit du temps" Vingt minute c'était peu. Tu entres dans la maison. D'autre de tes collègues te suivent. Le corps se trouve dans le canapé en cuir. Pas très beau à voir. Un de tes collègues prend des photos du corps. Vous devez attendre vos collègues de la police scientifique avant de vous barrer d'ici. En attendant tu touches a rien. T'esperes que l'autre touches a rien. Tout peut êtres une preuve dans la maison. Tu interroges l'homme qui t'as ouvert la porte. Du moins tu essayes. Il veut pas te parler. C'est normal il est traumatisé après la mort de sa femme. Et il t'engueules. Comme si c'était de ta faute. Il te dit que vous auriez pu éviter ça. Ouais bah t'étais pas devin tu savais pas ce qui allait se passer. Il t'engueules mais tu l'écoutes pas. Ça rentre dans une oreille et ça ressort par l'autre. T'en entend souvent des conneries des gens tu les écoutes pas. Tu cherches Aleks du regard. Où elle était celle-là ? Alors que tu te diriges dans le couloir tu vois la porte de la salle de bain entrouverte. Tu ouvres légèrement et voit la jeune femme à genoux, penchée au niveau des toilettes. C'était obligé. Après tout c'était son premier meurtre. Et il était pas très beau a voir. Toi t'avais l'habitude. Tu fermes la porte. Tu croises les bras mais tu ne t'approches pas d'elle. "Si tu veux rester chez nous faudra t'habituer à tout ça. Si t'as pas les couilles et que a chaque fois qu'on va sur une scène de crime tu réagis comme ça c'est pas la peine de rester" Ouais t'es un peu connard mais c'est pas pour être méchant cette fois. Le boulot de flic c'était pas un boulot où tu restai derrière un écran. Tu pouvais aussi clamser d'un moment à l'autre."Si t'as des proches ici à Bowen j'te conseille de changer d'boulot. Tu les verras pas souvent"
Sujet: Re: (Flashback) First case (Pv Aleksy) Jeu 2 Juil 2020 - 20:19
Première journée, c’était stressant cette histoire… je soufflai avant d’ouvrir la porte et aller me présenter au commissaire qui me salua avant de m’expliquer avec qui j’étais pour ma première journée. Pas commode le type qui me surveille ça me donne pas envie, mais j’ai pas envie de tout perdre pour un abruti après tout il me demande comment je me prénomme je réponds poliment un « Aleksy » il grommelle avant de me lancer qu’il va me prénommer « Aleks » plus simple et moins chiant… ouais dépends pour qui. Et pas de tutoiement parce qu’on à pas élevée les cochons ensembles. Je préfère me taire c’est le premier jour, mais un jour il va apprendre ce que c’est…
Je dis toujours rien, papa ma dis : « tu la ferme tu l’ouvrira plus tard ou si ont te manque de respect. » okay… Posant mes fesses dans la chaise accoler à mon bureau, Morgan… comme j’ai fini par le lire à un moment donner sur sa plaque, me demande de ranger les dossiers sans regarder. Ouais enfin je vais ranger, et ouvrir cette foutue fenêtre.
J’ai trop rien dis en dehors de rester poli et courtoise, oui même après deux semaines il faut croire que j’ai beaucoup plus de patience qu’on ne le pense, mais surtout j’ai prévue une vengeance un jour. Une affaire nous tombe dessus une histoire de meurtre, diantre je n’aime pas la violence...Morgan me tends une arme avant de me dire qu’il ne va pas m’expliquer, qu’on à déjà du me le dire. Je fais une moue avant de dire : « Oui je pense encore savoir comment m’en servir. Merci »
Sarcasme quand tu nous tiens, je le met dans son étui j’attrape ma veste et Morgan me dis qu’on à pas toute la journée, sans blague. Me taisant pour le coup, je souffle avant de le suivre. Vingt putain de minute à le supporter dans une voiture et surtout à conduire comme un taré… je garde mon calme, doucement Aleksy doucement.
Morgan se prends la tête avec un autre policier disant qu’on avait mis du temps, pas notre faute si ici personne ne sait conduire non plus…et là c’est le drame un corps, je vois un homme mort. Putain mon ventre fais des siennes, ça gargouille une remontée et hop direction les toilettes pas loin, faut pas chercher je suis partie déjà. J’ai réussie à mettre mon ventre au repos au moment où Morgan arrive avec son air de supérieur, me disant que si j’ai pas les couilles faut pas que je fasse ce métier… OKAY là c’est de trop.
« Pardon ?! Non mais vous vous rendez compte que je viens de voir un mort, genre un homme tuer par un psychopathe… j’ai jamais vue de mort de ma vie. Même pas un chat de mort. On m’avait prévenue que c’était dur, mais là j’avoue que c’est du lourd. »
Je fais une pause :
« -Vous me direz que vous êtes arriver une première fois sur une scène comme ça et genre rien ? Non c’est pas possible. »
Oui les nerfs commencer à s’échauffer.. Avant de reprendre :
« -Oui j’ai de la famille ici, mais je partirais pas loin de là… je suis qu’une débutante certes mais tout le monde là était. »
Je tire la chasse, me nettoie et sort… avant de tuer quelqu’un et surtout m’énerver contre lui.