Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Lun 17 Mai 2021 - 2:11
Je n’avais pas pensé au "après", en toute honnêteté. J’étais venu ici ce soir dans le but de retrouver celle qui me manquait terriblement, mais pour ce qui était du moment de m’en aller, de prendre la fuite peut-être qui sait, je n’avais absolument aucun plan. Mon plan idéal aurait été de ne jamais repartir. C’était con, après avoir été celui à la laisser filer entre mes doigts, j’étais celui qui désirait la retrouver plus que tout. Je voulais retrouver ce qu’on avait perdu, je voulais renouer avec elle pour ne plus jamais défaire les nœuds qui entremêlaient nos cœurs. Mon passage dans sa nuit était un jeu extrêmement dangereux, parce que je n’aurais plus envie de ressortir de notre bulle intime. Mais il le faudrait. Il le faudrait, parce que rien n’avait changé. Les doutes ne refirent cependant pas surface pour le moment, pas alors que les lèvres de la norvégienne parcouraient mon cou et mon torse. Cette chaleur qu’elle me procurait chassait toutes les ombres, elle incendiait ces dernières de ses regards fiévreux. Je suivis la norvégienne jusqu’à sa chambre que je redécouvrais depuis sa reconstruction. Une fois à l’intérieur, entre ces quatre murs qui me firent oublier qu’une petite dormait pas trop loin de là, la proposition de Freja me chavira l’esprit. Ma raison eut du mal à retrouver son équilibre, d’ailleurs. Je bégayais, je disais n’importe quoi, ma maladresse verbale était à son apogée. Je souris quand elle m’assura que de toute façon, des photos compromettantes, elle en avait déjà tout un tas. « Tu les as gardées ? » Relevais-je timidement, mais flatté. Et un peu rassuré. J’avais gardé les siennes aussi, parce que Freja habitait encore mes fantasmes et qu’à défaut d’avoir son corps, je pouvais m’accrocher à nos souvenirs et à ces photographies d’une époque bien plus douce et belle que celle-ci. J’hochai la tête alors que la brunette m’assurait que j’avais le droit de dire stop si je n’avais pas envie d’aller plus loin que ça. « J’ai l’impression d’être Dakota Johnson dans Fifty Shades. » Je regardai autour de moi, presque surpris de ne pas y trouver de caméra. Ce que je pouvais être idiot. Focus, Concho, sur ce moment présent carrément excitant. Je m’allongeai sur le dos, me hissant jusqu’à la tête du lit afin de poser ma tête sur ses oreillers. « Prêt. Le safe word, c’est quoi ? Ailes de poulet, ok ? Y’aurait aucun risque que je dise ça dans ce contexte alors comme ça, pas d’ambiguïté. » Pas de zone grise, quoi, pour faire un clin d’œil à toutes les nuances de Grey. « Ah ouais, t’as fait ça souvent ? » Je secouai la tête. « J’veux pas savoir pour vrai. » Il fallait que la nervosité redescende, là, parce que j’allais gâcher le moment. Je fermai les yeux alors que la brunette me mordillait la lèvre avant de nouer le foulard derrière ma tête, voilant mon regard. De mes mains relevées je cherchai à nouveau son corps, à tâtons.
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Freja Ivanova
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Lun 17 Mai 2021 - 15:05
Repartir de zéro, recommencer une histoire amoureuse tous les deux, n'est sans doute pas la meilleure des solutions. Il y a beaucoup de choses qui restent inchangées et qui demandent toujours à être réglées. Néanmoins, il est indéniable que vous vous aimez toujours autant. Voire même encore plus. Vous vous manquez, tous les jours, à tel point qu'aujourd'hui est un jour de faiblesse. Vous avez craqué, laissant le désir vous rattraper et prendre toute la place. Les doutes, les craintes et les interrogations, ce sera pour un autre jour. Pour l'heure, c'est la chaleur de la peau de Concho que tu désires retrouver. La douceur de ses lèvres et sa chair, brûlante, consumant la tienne. Il ne faut pas longtemps avant que tu l'emmènes dans ta chambre et que tu refermes la porte derrière vous. « Oui, elles font parties de notre histoire... Je ne veux rien oublier, rien supprimer. » Tout ce que tu as vécu avec Concho reste dans un coin de ta tête et fait, sans conteste, partie des meilleurs souvenirs de ton existence. Il t'a rendue heureuse, sans doute comme aucun autre ne l'avait fait avant lui. Pas même Woody. Ayant une idée derrière la tête, tu lui proposes de s'allonger sur le lit et de lui bander les yeux. Tu veux faire monter la tension et prolonger le moment au maximum comme s'il pouvait s'étirer hors du temps et durer pour toujours. « Tu es parfait en Anastasia Steele. » Plaisantes-tu tout en le regardant s'allonger sur le lit, sur le dos. « Ailes de poulet. » Répètes-tu en riant et en hochant la tête. En effet, vous ne risquez pas de faire appel à ces mots-là dans le contexte actuel. Mais de toute façon, tu sais que Concho ne les utilisera pas. Tu sais qu'il va aimer, quoi qu'il arrive. « Non je n'ai pas fait ça souvent. Mais ça fait un moment que je veux essayer ça avec toi. On l'a déjà fait... dans mes rêves. » Souffles-tu en souriant malicieusement avant de venir lui bander les yeux. A présent, ses mains sont le reflet de ses yeux et c'est ce qui va rendre le toucher encore plus puissant, encore plus fort. Les mains du jeune homme viennent frôler ta poitrine puis tes hanches mais sont rapidement confrontées à ton pantalon. Il faut retirer ça et celui de Concho également. Te reculant légèrement, tu viens faire glisser ton pantalon le long de tes jambes, emportant avec lui ton sous-vêtement. « Je suis nue dorénavant... » Expliques-tu à ton ex petit-ami avant de venir poser tes mains sur ses cuisses. « A ton tour... » Ajoutes-tu en retirant son bas tout en laissant volontairement son boxer. Une fois son pantalon au sol, à côté du tien, tu te mets à nouveau à califourchon sur lui, ta main se logeant contre son sexe, malgré le fin tissu de son sous-vêtement. Tu le masturbes à travers celui-ci, sentant le sexe de Conchobáhr durcir contre tes doigts. « Tu sais ce que j'aime chez toi ? » Demandes-tu en te penchant vers lui, tout en continuant à le caresser de ta main. « ça... et ça... puis encore ça... et surtout ça... » Tes lèvres viennent se poser contre les siennes, puis contre son torse, sur ses pectoraux et enfin juste au-dessus de son énorme concombre. De sorte à ce que ton menton le frôle à peine. Tu veux qu'il sente que tu n'es pas loin de son sexe et qu'il imagine tout ce que ta bouche pourrait lui faire. « Mais ce que je préfère par-dessus tout... » Tu fais glisser son boxer pour laisser son membre s'en échapper et arrêtes le tissu juste au-dessus de ses genoux. « ... c'est ça. » Et enfin, tes lèvres s'emparent de son sexe et viennent le caresser avec envie.
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Conchobáhr Rosenbach
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Dim 23 Mai 2021 - 3:44
Sa réponse aurait peut-être été toute autre si notre histoire s’était vraiment mal terminée, avec des blessures profondes et des insultes qu’on ne pourrait jamais reprendre. Dans notre situation actuelle cependant, l’amour était encore bien là parce que nous ne nous étions pas laissés par manque de ce fort sentiment. Nous nous étions laissés parce qu’il y avait quelque chose, quelqu’un, entre nous bien malgré nous. Ces souvenirs, ces photographies, on s’y accrochait alors à défaut de ne pas pouvoir retrouver l’autre. Je me surpris à me demander, alors, si Freja avait également conservé des photos de Woody sur son téléphone. Des photos du même genre que les miennes. Je chassai bien vite cette pensée, elle m’attristait et me dégoûtait à la fois. Je ne voulais pas de ces images ce soir ni dans ma tête ni dans mon cœur. J’avais envie de me faire croire à la stupide illusion d’être le seul objet des désirs de Freja. « Je ne veux rien oublier non plus. Même … j’veux me souvenir de tout, ce soir. » La norvégienne avait aussi en tête de créer de tout nouveaux souvenirs. Cette idée de me bander les yeux était une grande première pour elle et moi. Ça paraissait pas mal, d’ailleurs, que j’étais débutant en la matière. Après mes nombreux bégaiements et maladresses, je m’allongeai sur le lit de la brunette, décidant de m’abandonner complètement à elle. Enfin, complètement … avec le safe word ridicule que je trouvai. « J’ai le même regard tout innocent ? » Demandais-je en battant des paupières avant qu’elle ne me les voile, ces yeux. Elle rigola à mon mot de sécurité. Trois mots, plutôt. Ailes de poulet. Quand je ne pensais pas avec mon sexe, je pensais avec mon ventre. « J’espère être à la hauteur de tes rêves, alors … » Répondis-je à voix plus basse, m’immergeant dans l’atmosphère sensuelle qui s’installait maintenant que mes réactions maladroites se calmaient. Freja passa le foulard autour de mes yeux et tout d’un coup, je ne vis plus rien du tout. Mes quatre autres sens semblèrent s’éveiller par réflexe pour compenser de celui perdu. Ce furent mes mains qui voulurent les premières combler le vide, en cherchant à toucher Freja. Elle m’indiqua qu’elle était désormais nue. Instinctivement, mes doigts voulurent caresser son sexe, mais la jeune femme continua à prendre le contrôle et faisant glisser mon pantalon le long de mes jambes. Mon boxer resta en place. Freja s’installa à califourchon sur moi, chacun de ses mouvements devinés par la sensation sur mon corps et les bruits captés par chacune de mes oreilles. Je laissai s’échapper un gémissement de plaisir quand elle me masturba par-dessus le tissu de mon caleçon. « Non, quoi ? Mon gros concombre ? » Demandais-je à sa question, un sourire aux lèvres. J’avais toujours eu du mal à rester complètement sérieux, même dans de pareilles situations. La bouche de Freja détailla mon corps, prédisant ses mots avant qu’ils ne passent la barrière de ses lèvres. Chaque baiser me soutirait un soupir de contentement. Quand son menton frôla mon sexe, machinalement mes fesses se serrèrent pour me hisser davantage contre elle, la suppliant silencieusement de mettre fin à mon supplice. Pourtant, mes gémissements laissaient entendre que j’adorais cette attente exquise. « Oh oui … » Lâchais-je alors que sa bouche s’empara enfin de ma verge gonflée d’impatience. J’avais pour habitude de regarder Freja, par moments, quelques secondes de satisfaction, pendant qu’elle me faisait des fellations. Là, je n’avais aucune possibilité de la voir s’exécuter pour mon plaisir et la sensation était étrange. Étrange, mais agréable. Je me laissais aller d’une toute autre manière, et mon imagination prenait une plus grande place pour compenser l'absence de la vue.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Lun 24 Mai 2021 - 21:00
De l'amour, ce n'est effectivement pas ce qu'il manque entre Conchobáhr et toi. De l'amour, pour cet homme, tu en as à profusion. Et alors qu'il est devant toi, à cet instant précis, tu vois dans ses yeux que cet amour est réciproque. Tu te sens aimée à travers son regard et tu ne peux pas t'empêcher de te demander pourquoi il a fallu que tu gâches une si belle histoire ? Vous aviez tout pour être heureux si seulement tu avais été capable de tourner la page. Ou plutôt, le livre entier, de ton histoire avec Woody. « Je vais te rafraichir la mémoire au cas où tu aurais oublié certaines parties de mon corps... » Réponds-tu avec un sourire au coin des lèvres. Tu en doutes parce que si Concho est comme toi, vos souvenirs restent bien ancrés. Inoubliables. Plus forts que tout. Mais à défaut de pouvoir s'en souvenir avec ses yeux, il va falloir qu'il le fasse avec ses autres sens. Joueuse, tu décides de lui bander les yeux pour lui faire découvrir le plaisir que procurent les autres sens. Mais avant ça, le jeune homme propose d'utiliser un safe word au cas où les choses ne lui plairaient pas. Evidemment, tout est toujours un peu loufoque avec lui alors il ne se contente pas d'un mot simple et basique, à la place, il choisit ailes de poulet. « Ton regard n'a rien d'innocent quand tu me regardes... Et celui d'Anastasia non plus. Clairement, ses yeux criaient "baise-moi Christian". » Dis-tu en riant tout en lui bandant les yeux. « Oh je sais que tu seras mieux que dans mes rêves. Tu l'as toujours été. » Le sexe a toujours été excellent et délicieux avec Conchobáhr. Même lorsque votre relation était bancale, vous avez continué de coucher ensemble et ça n'a jamais été mauvais ou raté. Vous retrouver sous la couette reste le meilleur remède pour vous, la preuve en est encore aujourd'hui. Comme annoncé, tu commences à titiller certaines zones de son corps tout en ne manquant pas de lui expliquer ce qu'il est en train de se passer. Tu veux qu'à cet instant précis, il soit en train d'imaginer ton corps nu surplombant le sien. Alors que tu l'embrasses à différents endroits de son corps, tu ris à sa réponse. Evidemment que tu l'aimes son gros concombre. C'est sans aucun doute le plus gros concombre que tu aies vu de ta vie et quel concombre... la taille n'est pas son seul atout. Rien que d'y penser, tu as envie de t'asseoir sur son membre et de le chevaucher ardemment. Mais tu te retiens parce que tu veux faire monter la tension d'un cran supplémentaire, encore, et tu veux que ce moment s'éternise un maximum. Tu ne veux pas avoir à penser à demain et à votre séparation. « Oh bordel, oui... je l'aime celui-là. » Réponds-tu sans cacher ton excitation à travers ta voix. D'ailleurs, il ne te faut que quelques minutes de plus pour retrouver son sexe et le faire glisser entre tes lèvres. Sous les soupirs de Conchobáhr, tu poursuis tes caresses et tes baisers, bien décidée à le rendre fou et à le mener jusqu'à l'extase. Tu veux qu'il se libère de toute cette frustration liée à votre éloignement, de tout ce manque ressenti. Vous vous êtes manqués et ça se ressent, sans aucun doute, dans ces retrouvailles. Alors que tes mouvements de va-et-vient contre son sexe, avec tes lèvres, prennent un peu plus d'ampleur, tu décides de prendre la main du jeune homme et de la poser contre tes seins, pour commencer, puis entre tes lèvres alors que tu suces ses doigts. Et enfin, quand ta main prend le relais pour le masturber, tu joins tes doigts aux siens pour que vous le caressiez tous les deux. « C'est toi qui mènes la cadence... Et c'est toi qui décides, tu veux jouir avec nos mains ou avec ma bouche ? » Demandes-tu, malicieusement et déjà impatiente de connaitre sa décision.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Sam 5 Juin 2021 - 22:58
Freja et moi, on aurait pu vieillir heureux et j’avais la conviction profonde que notre amour n’aurait jamais cessé de grandir. Je l’aurais regardée avec la même étincelle dans les yeux, même à quatre-vingt-ans. On m’aurait retiré mon permis de conduire parce que j’aurais été un danger sur la route mais je savais qu’elle, je n’aurais jamais cessé de la voir clairement. Je l’aurais encore vue dans toute sa beauté, je l’aurais vue comme la femme que j’aurais aimée depuis toutes ces années, je l’aurais vue avec la certitude d’avoir vécu la vie que j’avais eu à vivre, à ses côtés. J’aurais continué à marcher main dans la main avec elle, nos aventures de plusieurs kilomètres se réduisant peu à peu à quelques mètres autour de notre maison de vieux. On aurait été parfaits, ensemble, Freja et moi. On l’avait été sur plusieurs mois. Malheureusement, parfois, même l’amour n’était pas assez fort pour braver toutes les tempêtes. « Ça, c’est impossible … Même l’Alzheimer ne pourrait pas m’arracher les souvenirs de ton corps, nope, pas possible. » Dis-je en secouant la tête, avec un mince sourire. C’était un peu dark de ramener cette foutue maladie dans notre conversation mais c’était pour lui prouver que chaque parcelle de sa peau était imprégnée dans mes souvenirs. La norvégienne rentra dans mes pensées bouffonnes à propos de Fifty shades of Grey. En même temps, comment ne pas y songer, de nos jours, alors qu’elle me proposait de me bander les yeux. Je souris quand elle parla de mon regard tout sauf innocent, et j’éclatai de rire quand elle mit des mots sur ce que le regard d’Anastasia réclamait, aussi. « Alors … baise-moi, Freja. » Susurrais-je avant de fermer les yeux alors qu’elle passait le foulard autour de ma tête, me coupant de tout contact visuel avec elle, avec la lumière. Sa lumière. Allongé sur le lit, ne voyant rien du tout, je laissai mes mains parcourir le corps désormais nu de la brunette. Elle, elle ne se contenta pas que de satisfaire mes sens du toucher. Elle s’occupa également de réveiller mon sens auditif, en me couvrant de compliments, en me guidant verbalement dans toutes ses actions. Je lâchai évidemment une blague sur mon concombre, c’était inévitable, et la réponse pleine de désir de Freja me ramena à l’instant présent. Sa bouche s’empara de mon sexe et elle le dévora, le suça, le lécha, face à mon impuissance d’homme qui n’avait aucun contrôle. Et je raffolais de cet état d’être. La jeune femme prit ma main et la posa sur son sein, et mes doigts eurent à peine le temps de caresser et de pincer son mamelon qu’elle ramenait mon index et mon majeur à sa bouche, pour les sucer. Chacun de ses gestes était imprévisible, puisque je ne pouvais les deviner de mon regard. Et chaque geste m’arrachait des soupirs et des cris de plaisir. La main de Freja revint à mon membre pour me masturber, et elle décida de joindre ma main également, pour qu’on me branle à l’unisson. L’extase était à nos portes, l’excitation était à son comble. Toute cette nouveauté me transportait plus haut encore. La norvégienne me laissait décider de la suite, elle qui avait eu une forme de contrôle jusqu’à maintenant, c’était à mon tour. Je souris, les yeux toujours bandés mais bien moins que mon pénis qui lui, était dur et impatient. « Nos mains, ensemble … » Décidais-je, parce que je trouvais ça extrêmement sexy, parce que je n’en avais rien à faire de nous salir de mes jouissances. Je décidai également de la cadence, commençant doucement, avant d’accélérer le rythme de nos mains. Étant déjà si près de l’orgasme, il ne fallut même pas une minute avant que je n’éjacule sur nos mains, sur nos corps, sur les draps sans doute. Je ne voyais rien mais je m’étais senti exploser de plaisir, de bonheur mal contenu par ces retrouvailles.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Dim 6 Juin 2021 - 20:48
« On verra si tu tiendras toujours le même discours dans cinquante ans. » Plaisantes-tu en ayant pourtant l'intime conviction que vos chemins ne se sépareront jamais. Même si aujourd'hui vous n'êtes plus ensemble, tu sais que Conchobáhr aura toujours sa place, à lui, dans ta vie. Tu sais que votre amitié survivra forcément à cet amour qui, aujourd'hui, chamboule tout sur son passage. C'est cet amour qui vous pousse à craquer en vous retrouvant, ce soir, dans les bras l'un de l'autre. Cet amour si fort que le manque est devenu insurmontable. Le manque de sa présence, de son rire, de son regard, de son corps. De sa personne entière. Cet homme est merveilleux et tu n'en reviens toujours pas de l'avoir laissé filer. « C'est ce que j'ai l'intention de faire avec ma bouche, mes mains, mon sexe. Mon corps tout entier. » Souffles-tu avec envie lorsqu'il reprend tes mots, te demandant de lui faire l'amour - enfin moins joliment. Après l'avoir fait prisonnier de sa vue, tu commences à caresser son corps, à l'embrasser et surtout à l'embraser. Enfin tu l'espères. Tu espères que cette alchimie entre vous est toujours aussi forte et vivante. De ton côté, tu la sens dans tout ton corps. Elle irradie, elle te rend plus vivante que jamais. Mais en est-il de même de son côté ? En voyant son érection grandissante, tu as tendance à dire que oui. Mais tu as besoin de le voir et de l'entendre, aussi. Alors tu commences à le sucer avec tes lèvres, à le caresser avec tes doigts, aimant autant que lui, probablement, cette fellation. Sentant son corps se rapprocher du point de non-retour, tu viens joindre ses mains aux tiennes pour le masturber en harmonie. C'est lui qui mène la danse et lui qui choisit l'issue de ces caresses. « Ensemble. » Répètes-tu la voix éprise de désir. Moins d'une minute plus tard, la jouissance de Conchobáhr se fait entendre et sentir, sur vos mains blotties l'une contre l'autre tout autour de son sexe. Léchant l'un de tes doigts, tu goûtes à sa jouissance avant de te pencher sur lui pour qu'il se goûte à son tour. « T'as le meilleur goût que je connaisse... » Susurres-tu en faisant glisser deux doigts dans sa bouche puis en venant l'embrasser pour mélanger vos goûts, vos saveurs. Toujours à califourchon sur son corps, tu fais glisser ta main le long de ton ventre jusqu'à ce qu'elle vienne se loger au creux de ton intimité. Tu gémis légèrement de plaisir alors que tes doigts effleurent ton clitoris. « Le temps que tu reprennes tes esprits, je vais me masturber... Je veux tes mains et tes lèvres sur mes seins... » Soupires-tu de plaisir rien qu'en imaginant les caresses de ton ex petit-ami. « Imagine-moi en train de me toucher, de me faire du bien. » Ajoutes-tu en accélérant légèrement la cadence, prête à accueillir les lèvres de Conchobáhr sur ta poitrine. Tu lui prends sa main pour la guider jusqu'à tes hanches, convaincue qu'il trouvera le chemin jusqu'à tes seins tout seul.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Mer 9 Juin 2021 - 3:01
Dans un monde idéal, dans cinquante ans, je n’aurais pas à me soucier de me souvenir du corps de Freja ou non parce que même à cet âge-là, je continuerais à toucher le corps ridé d’expérience de celle que j’appellerais ma femme. Mais ce monde-là n’existerait que dans mes rêves, je le savais à présent, que ce que Freja et moi avions s’était effrité en même temps que ma confiance. Ces retrouvailles, aussi douces furent-elles, n’étaient qu’une parenthèse dans notre éloignement. Nous avions eu besoin de nous retrouver une autre fois, peut-être pas la dernière mais elles auraient toujours le même goût, ces retrouvailles. Un goût de finalité. Un goût d’au revoir. « J’vais sans doute en avoir marre de parler et de dire de la merde, rendu à cet âge. J’ai déjà parlé pour toute une vie alors j’imagine pas à quatre-vingt ans. » Je ris. J’étais un moulin à paroles, un maladroit verbomoteur, et si on aurait pu croire que je resterais ainsi à tout jamais, je n’avais pas de mal à m’imaginer m’en lasser. Je m’imaginais être un vieux assez tranquille, sur ma chaise berçante sur mon balcon, à ne réserver mes mots qu’à celle avec qui j’avais partagé ma vie, et à mes enfants tous grands et indépendants. Cette femme-là ne serait probablement pas Freja et le silence nous aurait alors emporté notre amour. Cet amour si fort qui aujourd’hui ne laissait pas sa place. « Et crois-moi que j’te ferai l’amour du regard aussi, même si on s’voit pas. Dans ma tête je te dessine. » Et je continuerais à la dessiner encore et encore, et lorsque mes mains n’effleureraient plus son corps elles effleureraient le vide en dessinant ses courbes. Freja et moi, on se quitterait un jour, c’était inévitable, mais une partie d’elle resterait à jamais en moi. Pour ce soir, c’est moi qui avais d’être en elle, pleinement, longuement, et elle exauça mes souhaits en me prenant dans sa bouche, puis en m’entourant le membre de ses mains. Quand je joignis ma main à la sienne, pour me masturber sur le même rythme envoûtant, je ne mis pas de temps à éjaculer entre nous et sur nous. J’entendis la jeune femme sucer ses propres doigts, et de l’imaginer en train de me goûter me fit complètement perdre la tête. J’esquissai un sourire à son commentaire. « J’ai jamais lâché les ananas, rien que pour toi … » Elle se pencha vers moi et me mit ses doigts dans la bouche afin que je me goûte également. Ce qui aurait aisément pu me répugner à un moment était ce soir le geste le plus sensuel qui soit. Je léchai ses deux doigts avec envie avant de retrouver ses lèvres humides. La norvégienne se redressa, je sentis son visage s’éloigner du mien et le poids de son corps se balancer à califourchon sur moi. Et je sentis sa main entre ses jambes, contre mon ventre, et ses doigts qui caressaient son intimité. Je passai ma langue sur mes lèvres, humectant celles-ci. « Oh oui … je veux que tu te fasses gémir de plaisir. » Je me relevai à l’aide de mes coudes, pour atteindre sa poitrine. Une fois bien redressé et en équilibre, Freja attrapa mes mains pour les déposer sur ses hanches. Rapidement, celles-ci en glissant sur sa peau trouvèrent leur chemin pour se poser sur chacun de ses seins. Mes lèvres humides se déposèrent sur ses mamelons, chacun leur tour. Ma langue jouait avec eux, les faisant durcir sous mon passage. « J’veux que tu te fasses jouir … » L’implorais-je en continuant d’exciter son corps de mes baisers et de mes coups de langue. Mes lèvres se refermaient parfois sur ses mamelons pour les sucer, profitant de chaque gémissement que cela retirait de Freja. J’aurais tant voulu la voir en pleine extase, mais à sa demande, je me l’imaginai se toucher, se faire plaisir, me rattachant à sa respiration pour savoir à quel moment elle atteindrait le point de non-retour.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Dim 20 Juin 2021 - 17:02
C'est certain que, pour parler, Conchobáhr sait parler. Même parfois dans des situations comme aujourd'hui où il devrait juste essayer de profiter de l'instant sans se perdre dans ses pensées loufoques. Mais c'est ce que tu aimes chez lui, pourtant. Pouvoir parler durant des heures, rire aussi, de tout et de rien. Il vous arrivait souvent de parler pendant une heure ou deux - parfois plus - après avoir fait l'amour, au plein milieu de la nuit. Ces moments-là étaient tout aussi importants que le reste. Voire plus importants encore. « Tu crois que tu pourrais parvenir à un stade, un jour, où tu t'auto-fatigues ? Je n'en suis pas si sûre. » Plaisantes-tu avant de déposer un bref baiser sur ses lèvres. Une fois les promesses passées, sur ces retrouvailles qui s'annoncent mémorables, la tension monte d'un cran et le sexe de Concho est rapidement fait prisonnier entre vos deux mains. « Dessine-moi pour toujours... » Souffles-tu, presque comme un supplice. Tu ne veux pas qu'il t'oublie, tu veux qu'il garde en mémoire chacune de tes courbes, chacun de tes traits, chacun de vos moments intimes comme amoureux. Tu veux que le jeune homme garde un souvenir indélébile de ton passage dans sa vie comme toi, de son passage dans la tienne. Après quelques minutes, le brun atteint le plaisir ultime, se déversant sur vos mains, sur vos corps et probablement également sur le lit. Tu n'as jamais été dégoûtée par l'éjaculation d'un homme ou d'une femme, au contraire, tu trouves cela encore plus excitant de voir à quel point tu peux le rendre fou. A quel point il prend son pied en pensant à toi, en s'imaginant vos mains autour de son sexe et cette danse endiablée pour l'emmener au septième ciel. « C'est ce qui fait de toi l'homme le plus délicieux de ce monde, assurément. » Le taquines-tu, à propos des ananas. Peu importe qu'il boive du jus d'ananas ou non, tu es persuadée que tu apprécierais tout autant le moment parce qu'il s'agit de Conchobáhr, tout simplement. Les choses ont une tout autre saveur avec lui. Tout est bien meilleur. Pour lui laisser le temps de retrouver ses esprits, tu laisses tes doigts rejoindre doucement ton intimité, expliquant à ton ex petit-ami ce que tu t'apprêtes à faire. Comme tu t'y attendais, la simple pensée de t'entendre et de te sentir te procurer du plaisir, l'excite beaucoup. « Je pourrais jouir rien qu'en te regardant tellement tu es beau... » Soupires-tu alors que tes doigts font des petits cercles contre ton clitoris. Rapidement, quand les lèvres de l'homme trouvent tes seins et tes mamelons, tes gémissements s'intensifient, se transformant presque en petits cris incontrôlables. C'est bon, vraiment bon et tu sens que l'orgasme n'est déjà plus très loin. Alors, pour que Concho puisse voir le bien qu'il te procure, tu lui rends la vue d'un simple geste, plongeant ton regard dans le sien au même instant. Yeux dans les yeux, tu laisses l'orgasme te submerger, tremblante de plaisir. « Maintenant fais-moi l'amour, fort... » L'implores-tu, à peine remise de tes émotions. Tu veux le sentir en toi, tu veux qu'il te remplisse, tu veux l'avoir au plus proche de toi une toute dernière fois.
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underworld •• This is what happens when you listen to the voices of the underworld. They crawl into your soul and rot you from the inside.
Conchobáhr Rosenbach
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Sam 26 Juin 2021 - 17:40
Malgré ma certitude d’un jour endurer, et même apprécier le silence, Freja ne semblait pas démordre de sa propre idée que même lorsque je serais vieux, j’arriverais à parler encore autant que je le faisais aujourd’hui. Il est vrai que j’étais plutôt infatigable quand il était question de raconter n’importe quoi. Je ris de bon cœur à sa plaisanterie, avant qu’elle ne me fasse taire d’un baiser. Dès que son visage s’éloigna, je repris : « De la salive, avec la vieillesse, ça doit bien se regénérer un peu moins vite, non ? » Rien de scientifique ni dans cette pensée, ni dans sa formulation. C’était juste pour dire que si je pouvais autant en gaspiller, à mon âge, ce ne serait peut-être pas la même chose dans une cinquantaine d’années. Pour le moment cependant, il était à peu près temps que je me la ferme pour de vrai. Il y avait bien mieux qui nous attendait, Freja et moi. Des retrouvailles sensuelles, des réconciliations charnelles, et j’attendais ce moment depuis si longtemps au creux de mes nuits. Je n’allais quand même pas gâcher la suite de la soirée en n’arrivant pas à garder mon sérieux. De toute façon, ma concentration ne fut plus problématique dès que je sentis le corps nu de Freja contre mes mains, le bout de mes doigts effleurant sa peau avec un plaisir aveugle. J’en devins presque poétique, avec mes histoires de dessin que la norvégienne reprit en me demandant de la dessiner pour toujours. Elle n’avait même pas idée. « Pour toujours. » Promis-je en sachant que bien malgré moi, cette promesse serait tenue. J’aurais beau, de toute mes forces, en aimer une autre un jour, Freja ne pourrait être oubliée. Elle trouverait le moyen de se faufiler dans mes rêves et mes fantasmes, et je trouverais le moyen de culpabiliser continuellement. Ce soir cependant, je n’avais aucun regret. Mon cœur appartenait encore pleinement à la norvégienne et il m’était inconcevable de réfréner nos envies. Nous avions envie, et besoin, l’un de l’autre. Freja était canon même si je ne pouvais pas la voir. Ses paroles n’avaient jamais été aussi chaudes sous les draps. Elle me faisait perdre la tête avec des mots, de simples mots qui m’excitaient autant que la vue de son corps. Nos mains jointes à mon sexe, on me fit rapidement atteindre l’orgasme qui se répandit sur nous. Incapables de rester trop sérieux bien longtemps, on blagua sur l’ananas, une parenthèse douce et drôle. Je ris, tout simplement. Pour une fois, je n’avais rien à ajouter que mon rire lumineux. La brunette passa de toute façon vite à autre chose, à son propre plaisir. Je voulais y contribuer, bien sûr, mais en retrait, comme un spectateur voilé qui ajoute sa petite touche, de loin. L’idée qu’elle se fasse jouir d’elle-même m’excitait. Je me redressai pour l’aider à atteindre le nirvana, en embrassant et en prenant en bouche ses seins. Les cris de Freja s’intensifièrent et se rapprochèrent dans le temps, plus courts, plus forts. Je la connaissais par cœur, je savais qu’elle allait jouir bientôt, et comme elle atteignait bientôt la lumière elle décida de me l’autoriser aussi. Elle me rendit la vue en défaisant agilement le nœud du foulard derrière ma tête. Je m’adaptai juste assez rapidement à l’éclairage pour voir l’orgasme changer les traits de son visage. « Oh oui, abandonne-toi. » Soufflais-je en pressant son corps tremblant contre le mien. Puis, une fois les spasmes passés, Freja me demanda de lui faire l’amour, fort. Je pris le contrôle qu’elle me rendait et je la fis basculer, pour qu’elle se retrouve allongée sur le ventre, sur la largeur du lit. Je me couchai sur elle et posai ma main sous elle pour relever légèrement ses fesses. Je m’insérai en elle par derrière, enfouissant d’abord mon visage entre ses omoplates, débutant des vas-et-viens puissants et profonds.
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Freja Ivanova
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Lun 28 Juin 2021 - 17:59
« C'est possible. » Dis-tu en riant, n'y connaissant rien quant au vieillissement de la salive ou au vieillissement tout court. Tu n'es pas assez proche de tes grands-parents ou des personnes plus âgées, de ta famille, pour aborder ce genre de sujets. Et de toute façon, tu n'as pas envie de penser à ce genre de choses alors que la seule chose qui t'obsède, là, c'est de ne former qu'un avec Conchobáhr. Tu as besoin de le retrouver au moins physiquement puisque vous ne pouvez plus vous retrouver amoureusement parlant. Votre histoire s'est terminée mais l'attirance, elle, n'aura sans doute jamais de fin. Comme l'amour que tu ressens pour lui, d'ailleurs. C'est pour cette raison que tu lui demandes de te dessiner, dans sa tête, pour toujours. Tu ne veux pas être un souvenir du passé, petit à petit oublié. Tu veux continuer à faire partie de ses fantasmes, de ses rêves, comme lui vient si souvent hanter les tiens. Malheureusement, tu sais que ce serait utopiste de croire qu'aucune autre femme ne pourra jamais remplacer ton doux souvenir. Un jour, il y aura quelqu'un d'autres avec qui Concho sera heureux et avec qui il aura tout ce que tu ne pouvais pas lui donner en retour. A ce moment-là, il prendra conscience que tu n'es plus qu'un heureux souvenir, rattaché à sa vie d'avant. Par chance, pour toi, aujourd'hui, tu fais toujours partie de son présent et son corps réclame toujours autant le tien. Tu le vois, tu le sens, alors qu'il éjacule sur vos mains, sur les draps, sur votre peau. Pour lui laisser le temps de retrouver ses esprits, tu décides de te masturber, aidée par les caresses et les baisers de ton ex petit-ami sur ta poitrine. Et alors que tu sens la jouissance arriver, tu libères ses yeux de l'emprise du foulard pour qu'il te voie en plein orgasme. Tu veux qu'il voit et qu'il sente à quel point tu le désires, à quel point il te rend dingue. Le sexe a toujours été fou avec Conchobáhr et aujourd'hui en est encore la preuve. Quand il te souffle de t'abandonner, tu sens l'orgasme exploser, provoquant de longs spasmes délicieux dans tout ton corps. Encore secouée par cette douce délivrance, tu demandes néanmoins au jeune homme de te faire l'amour et fort. Tu lui rends le contrôle et il le prend, sans aucune hésitation, te mettant à plat ventre sur le lit. Le brun fait remonter tes fesses juste ce qu'il faut puis entre en toi, enfouissant son visage contre ton dos. Vous soupirez tous les deux de plaisir alors qu'il s'enfonce au plus profond de ton sexe. Rapidement, tes hanches viennent à la rencontre des siennes, la peau de tes fesses frappant contre sa peau à lui. Tu gémis de plaisir alors que les coups sont forts et puissants. Tu ne réfléchis plus, te laissant totalement aller à ce moment si intime que vous partagez. Vos mouvements de va-et-vient en parfaite harmonie, il ne faut pas longtemps pour que tu en sentes tous les effets bénéfiques sur ton corps. « Oh... Concho... » Souffles-tu de plaisir avant de prendre appui sur tes mains pour qu'il te prenne complètement par derrière et qu'il ait davantage d'impulsion encore. « Tu es... tellement... parfait. » Dis-tu, la voix saccadée à cause des râles de plaisir qui s'échappent d'entre tes lèvres.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Lun 28 Juin 2021 - 19:46
Je ne répondis rien non plus à propos de nos suppositions sur la salive et autres sujets aucunement importants pour le moment. L’heure de la rigolade était passée et Freja avait su capter toute mon attention sur nos corps. Le sien d’abord, et le mien ensuite. Elle me laissa explorer mon propre plaisir par moi-même, portant ma main à mon sexe pour qu’on me masturbe à deux. C’était une expérience des plus sensuelles, et mon regard voilé décuplait l’excitation procurée. Nous en avions essayé, de nouvelles choses sous les draps, Freja et moi. Chaque relation sexuelle avait été unique en soi, entre elle et moi. Mais nos ébats de ce soir me prouvaient que nous n’avions pas terminé d’explorer toutes les possibilités de nos corps, et ça me peinait de savoir qu’on ne se rendrait sans doute pas jusqu’au bout de ce qu’on aurait pu se réserver l’un pour l’autre. Je chassai rapidement ce chagrin, m’accrochant au présent, ce présent envoûtant et excitant. Je me redressai après avoir repris le contrôle de mon corps suite à mon orgasme, et je vins dévorer la poitrine de Freja pendant qu’elle se touchait. Mes mains malaxaient ses seins pendant que ma bouche se refermait autour de ses mamelons pointus, l’un après l’autre. Je sentais que chaque coup de langue rapprochait la norvégienne de l’orgasme. Son dos se cambrait, sa poitrine s’offrant toujours un peu plus à moi. Je lui soufflai de s’abandonner, la sentant si proche de jouir, et il ne suffit que de ces simples paroles pour la projeter vers l’extase. Elle eut tout juste le temps de retirer le foulard me couvrant les yeux avant d’exploser contre moi, ses spasmes de plaisir provoquant un regain d’envie chez moi. Mon sexe se gorgea de sang à nouveau de sang tandis que je me délectais visuellement de l’orgasme animant le visage de la brunette. Sentant probablement mon érection contre elle, Freja m’ordonna de lui faire l’amour, et fort. Sans perdre de temps, répondant à son appel, je la fis basculer, ventre à plat sur son lit, et je la pénétrai, allongé sur elle. La jeune femme me rejoignit dans les vas-et-viens, nos corps claquant l’un contre l’autre dans cet empressement. Je grondais de plaisir comme un orage sur le point de rugir. « Freja … » Murmurais-je en écho à ses propres supplications charnelles. La jeune femme se remonta, prenant appui sur ses mains, m’offrant un accès plus aisé encore à son intimité, par derrière. Mon bas-ventre cognait sur ses fesses qui bougeaient à chacun de mes vas-et-viens. Mes mains vinrent s’agripper fermement à ses fessiers pendant qu’on râlait tous les deux de plaisir. « I fucking love you. » Avais-je dit avant d’exploser à nouveau, cette fois en elle. Je voulus la porter à l’orgasme à nouveau, entendre encore cette mélodie de plaisir à mes oreilles. Et, après, je me penchai vers son dos pour y déposer des baisers fatigués. « Je suis désolé … J’aurais pas dû dire ça … » Lâchais-je à propos de ce je t’aime qui n’avait probablement plus lieu d’être.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Lun 5 Juil 2021 - 20:42
La langue de Conchobáhr sur tes mamelons, sa bouche entourant ton sein et ses mains caressant ta peau t'envoient au septième ciel en même temps que ses mots, te demandant de t'abandonner à lui. Tu sens l'orgasme exploser dans tout ton corps et pour que ton ex petit-ami voit l'effet qu'il te procure, tu libères sa vue du foulard. Tu lis dans son regard tout le désir qui l'habite en te regardant jouir et tu espères vraiment qu'il a conscience que tout ça c'est pour lui et grâce à lui. Désireuse de poursuivre vos retrouvailles et de les étirer au maximum, tu lui intimes de te faire l'amour bien qu'encore secouée par l'orgasme. Rapidement, Concho prend le contrôle, te pénétrant par l'arrière alors que vos râles de plaisir se mélangent l'un à l'autre. Après quelques minutes, tu prends appui sur tes mains pour te remonter légèrement et qu'il te pénètre encore plus en profondeur. C'est tellement bon que tes cris deviennent incontrôlables et irréguliers. Tu n'y accordes aucune importance, t'abandonnant totalement dans cet échange charnel fort et puissant. Un échange que tu ne connais qu'avec lui. Qu'avec Concho. Et secrètement, tu espères qu'il ne connait ça qu'avec toi, lui aussi. Explosant à nouveau, le jeune homme laisse échapper ces trois petits mots magiques que vous vous êtes si souvent dits. Des mots qui ont encore beaucoup de signification aujourd'hui, à tes yeux, même si vos chemins se sont séparés. Tu ne réponds rien sur le moment, profitant de ses quelques coups de reins supplémentaires pour jouir à ton tour, hurlant de plaisir, criant son nom. Tu souris en sentant ses baisers le long de ta colonne vertébrale, te couchant sur le lit, prête à l'accueillir à tes côtés. Vos deux corps fatigués côte à côté, tu le regardes dans les yeux, tellement comblée par ce moment. « Je ne veux pas que tu t'excuses pour ça... Je t'aime aussi, tellement. » Dis-tu en souriant alors que tes doigts caressent distraitement son torse. Evidemment que l'amour est toujours là et bien réel. Evidemment que vous vous aimez toujours. Cela ne va pas vous quitter si vite et si facilement. Quelque part, tu es persuadée qu'il ne te quittera jamais. « Dis-moi que tu restes pour la nuit... » Souffles-tu, le regard légèrement inquiet à l'idée qu'il te quitte déjà.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Mer 11 Aoû 2021 - 0:15
Dans la douceur ou dans la brutalité contrôlée, nous trouvions tous les deux le moyen de nous faire perdre complètement la tête. Nous nous réinventions à chaque ébat. Freja et moi aurions eu tellement de choses encore à nous dire, à nous faire, tellement d’occasions de jouir, malheureusement ce dernier regain d’énergie me semblait ce second souffle dont on parle avant de s’éteindre pour de bon. Pourtant, l’amour était encore bien là, la preuve étant que j’avais murmuré ces mots pour elle avant d’être plongé dans l’orgasme. Je n’aurais pas dû les prononcer, ces mots-là, ils n’avaient plus vraiment lieu d’être malgré que nos cœurs battissent encore au même rythme que celui de l’autre. Ça avait été plus fort que moi. J’aimais Freja avec une telle intensité et ce même si nous n’étions plus ensemble depuis des mois. Que mon corps ne fasse qu’un avec le sien, à nouveau, ça réveillait en moi les sentiments que je tentais désespérément d’enfouir mais qui refaisaient inévitablement surface. Je couvris le dos cambré de Freja de baisers discrets, comme si je voulais qu’ils effacent mon égarement du cœur. La norvégienne pivota afin de s’étendre sur le lit, et alors je décidai qu’il valait mieux mettre des mots par-dessus les mots, puisque le silence ne les laisserait qu’en suspens. Je m’excusai de les avoir dits, moi qui pensais ne plus avoir l’espace pour les exprimer. Freja me fit comprendre le contraire alors que je m’allongeais à ses côtés. Je souris, tristement et tendrement, alors qu’elle affirmait m’aimer aussi. « What a crazy thing love is. Personne n’a dit que ce serait facile … mais j’m’imaginais pas que ça pouvait être aussi difficile, et compliqué. » Je ris presque silencieusement. « Désolé Chris Martin, j’ai massacré tes paroles. » Dis-je en regardant le ciel, comme si le chanteur de Coldplay m’observait en permanence comme un Dieu tout-puissant. Je tournai ensuite la tête vers mon ex petite-amie quand elle me demanda si je restais pour la nuit, d’un souffle inquiet. « Si t’as envie que je reste, alors j’m’en vais nulle part. » Encore aujourd’hui, même si nous n’étions plus un couple, j’aurais tout fait pour elle. Et, soyons honnêtes, cette requête n’était pas bien difficile à autoriser, puisque j’avais moi-même cruellement envie de rester dans ses bras jusqu’au matin.
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja) Sam 23 Oct 2021 - 13:38
Au plus profond de toi-même, tu sais que cet amour pour Conchobáhr ne s'effacera jamais. Tu sais qu'il restera toujours une partie de ton coeur qui lui appartiendra pour toujours. Ce qu'il t'a apporté, offert, durant ces quelques mois écoulés avec lui, ça n'a pas de prix et tu lui en seras toujours reconnaissante. Tu étais au plus bas et il est venu faire rayonner ton quotidien ; de sa simple présence, de son simple sourire ou encore de son rire. Tu ne sais pas ce que tu as fait pour mériter un homme comme lui mais tu es réellement heureuse que vos chemins se soient croisés. Et, au fond, tu espères que la fin de votre histoire ne signera pas le moment où vos chemins se séparent. Tu espères que votre amitié soulèvera des montagnes et mettra un peu de baume sur vos coeurs meurtris, blessés, brisés. Quoi qu'il en soit, tu n'es pas encore prête à le laisser s'échapper, même après ces trois petits mots magiques que vous ne devriez pas vous dire mais que vous pensez encore tellement. « Je sais... rien n'est facile avec moi. » Réponds-tu avec un léger rire, presqu'amer. Si tu fais une rétrospective sur ta vie amoureuse, celle-ci ne t'a jamais épargnée. Rien dans tes relations n'a été simple alors tu en viens à penser que tout émane de toi. Que tu compliques sans cesse les choses. A force d'y penser, d'ailleurs, tu en finis persuadée, comme une fatalité. « Oui, j'ai vraiment envie que tu restes. » Souffles-tu en lui souriant et en venant te blottir dans ses bras. Il n'y a nul autre endroit où tu désirerais être à cet instant précis. Dans les bras de Conchobáhr, tu te sens tellement apaisée et complète. C'est un sentiment qui t'enivre à chaque fois mais que tu vas devoir mettre de côté, pour le laisser se libérer, t'oublier.
fin du sujet
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Sujet: Re: #24 - lose me in your arms, just one last time (conja)
#24 - lose me in your arms, just one last time (conja)