[+18] I've got a F & a C & I've got a K too, the only thing missing is U (Feat. Jackson)

À défaut de pouvoir vous bouffer la peau, vous vous bouffiez du regard, pendant tout ce trajet de la boîte de nuit jusqu’à la maison que t’occupais comme locataire – un parmi tant d’autres. T’avais gardé les yeux sur la route pour la majorité du temps, toi, mais quand même tu ne pouvais pas mentir et dire qu’il n’y avait pas eu un risque que tu fonces dans quelqu’un, dans un animal ou dans un poteau. Pour les quelques fois où ton regard avait un peu dévié de trajectoire. Heureusement vous étiez arrivés en un seul morceau et tu te garas à ta place dans le stationnement, rejoignant rapidement la belle métisse de l’autre côté de ta vieille voiture. Si ça avait pu être aussi smooth que ça jusqu’à ton lit, c’aurait été mission accomplie, mais non Snow avait eu envie d’être de la partie lui aussi, en tout cas pour le rôle de réveiller tout le monde dans la maisonnée. Tu lui disais de se taire mais évidemment, c’était un chien, plus tu lui assenais des chuts prolongés, plus il aboyait.

Ta solution fut d’attirer la jeune femme plus rapidement encore jusqu’à ta chambre, délaissant tes étapes pourtant favorites de traîner un peu sur chaque marche de l’escalier pour embrasser l’autre. Tu refermas la porte derrière toi, ce qui ferma enfin le clapet de Snow qui vous laissa tranquilles de l’autre côté de la porte. S’il ne vous voyait plus c’était comme si vous n’existiez plus, en quelque sorte. Logique de chien – bon, pas tout à fait, mais tu préférais tellement tes chats que chaque occasion de rabaisser un chien était bonne.

« Ouais, je pense aussi qu’on en était à peu près là … » Tu souris, reprenant les lèvres de la belle dont tu ne connaissais toujours pas même son prénom. Tes mains glissèrent le long de ses cuisses, remontant au passage sa robe moulante qui suivit tes paumes plutôt que de rester en place sur sa peau. Tu agrippas ses fesses remplissant à la perfection tes mains, sans cesser de l’embrasser ardemment. Tu t’assis sur le côté de ton lit, l’entraînant sur toi. Ton corps s'activait déjà, ton membre n'ayant pas besoin d'un dessin pour déjà s'animer à l'idée de ce qui se préparait entre la belle inconnue et toi.

Invité

Enfin ils étaient arrivés, elle avait tout bonnement envie de lui sauter dessus, c'est qu'il était sexy ce...mec dont elle ne connaissait même pas encore le nom, mais avec qui elle était prête à vivre une nuit endiablé. Oui, le prénom pouvait être un simple détail ou...même installer un certain mystère une petite excitation de plus, ce qui n'était pas pour déplaire à la métisse, bien au contraire !

Ils furent un passage éclair dans la maison pour très vite rejoindre la chambre du jeune homme, un chien ayant décidé qu'il voulait aussi s'amuser, même s'il ne comprenait pas que les deux n'allaient pas jouer à la balle. Une fois dans la chambre, la jeune femme ne pu s'empêcher de regarder un peu comme elle le pouvait dans la pénombre avant qu'il n'allume une lampe de chevet, permettant de mieux voir mais pas non plus comme en plein jour.

Il se rapprocha et elle en profita pour faire de même histoire de reprendre là où ils en étaient, mais aussi être plus rapidement proche de lui. Mains sur les fesses sans aucune gêne, après tout ils savaient qu'ils n'étaient pas là pour faire du tricot, puis les lèvres se scellent à nouveau dans un baiser passionné. Elle sentit un frisson et une vague de chaleur l'envahir alors que les mains du jeune homme remontait le long de ses cuisses, la faisant sourire en sentant qu'elles finirent leur parcours sur les fesses presque nues de la métisse, portant un string. Elle se laissa guider, remontant ses propres mains sous le haut de son compagnon d'une nuit afin de sentir la peau et les muscles de son dos, s'asseyant bien sur lui afin de ne pas avoir le dos cassé, elle ne perdit pas de temps et retira totalement le haut de Jackson, brisant l'espace de quelques instants le baiser avant de le reprendre non sans avoir jeter un petit œil sur ses magnifiques plaques de chocolats qui se trouvaient sur lui.

Spoiler:

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C’aurait été mentir de dire que c’était la première fois que tu couchais avec quelqu’un avant même de connaître son prénom. Après tout, être constamment sur la route pour le travail, dans un cirque en ce qui te concerne, ça faisait en sorte que tu rencontrais des gens aussi rapidement que tu les perdais. À un moment, récolter tous ces prénoms, ça ne rimait plus à rien. À Bowen c’était certes différent, maintenant que tu menais une vie de sédentaire, mais les mauvaises habitudes te restaient parfois collées à la peau. C’est pour cette raison que le fait de ne même pas connaître le prénom de la métisse ne te troubla pas davantage. Ça ne t’empêchait pas de profiter de ses beaux yeux, de ses sourires, de son corps et de ses caresses. L’important était votre attirance, votre désir, et au pire tu lui murmurerais d’autres choses que son prénom, à l’oreille. Tu saurais faire preuve d’imagination, au besoin. Pour le moment cependant t’avais pas envie de laisser quoi que ce soit à ton imagination alors tu agrippas les fesses de la jeune femme, les laissant remplir tes mains de leurs rebondissements. Tu sentis le mince tissu de son string recouvrir sa craque de fesses, et tu rêvas déjà du moment où tu lui enlèverais pour que tes lèvres remplacent ce bout de tissu. Ne brûlant pas ces étapes-là, tu reculas jusqu’à ton lit où tu t’assis pour ensuite tirer la demoiselle sur toi. Elle s’installa à califourchon et te retiras ton haut sans attendre. T’allais t’emparer de ses lèvres mais elle décida de mener la danse en posant ses mains sur tes épaules et en te forçant à t’allonger sur le dos. Tu obtempéras, un sourire aux lèvres face à ce contrôle qu’elle prenait. C’était excitant, encore plus lorsque c’est elle qui scella ses lèvres aux tiennes pendant cette chute contrôlée. Les mains de la jeune femme se firent provocantes, coursant sans gêne jusqu’à ton membre bien gonflé, coincé dans ce caleçon qui ne pouvait pas contenir toute ton envie. « Nop’, j’crois qu’il faut qu’on s’occupe de ça d’abord … » Acquiesças-tu. La belle inconnue détacha ta ceinture ainsi que ton pantalon, et lorsque tu te sentis moins serré dedans, tu levas tes fesses juste assez pour pouvoir faire glisser tes vêtements jusqu’à tes chevilles. Pendant ce temps, la jeune femme te mordillait le cou, le marquant de son passage nocturne. T’étais maintenant nu face à elle, si on écarte le fait que tes chevilles étaient encore encombrées. Tu voulus équilibrer la situation alors tu lui retiras sa robe moulante, la faisant passer par-dessus sa tête et ses bras levés pour te faciliter la tâche. Tu embrassas la poitrine de la jeune femme, du moins ce qui t’étais actuellement accessible, avant de légèrement tasser le sous-vêtement du sein droit de la métisse, pour que tes lèvres s’emparent de son extrémité.

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je voudrais partir maintenant te retrouver, tu me manques tellement

qu'est-ce que ça veut dire d'être ensemble si on n'est pas ensemble ? est-ce que ça suffit de rassembler nos souvenirs ? ▬ qu'est-ce que ça veut dire d'être ensemble si on n'est pas ensemble ? est-ce que ça suffit de s'attendre ?

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Les esprits s'échauffent, les corps se réchauffent et bientôt les vêtements vont recouvrir le sol pour le plus grand bonheur des deux protagonistes, peut-être moins pour le sommeil de la maisonnée et des voisins. Si elle fut la première à ressentir des mains nus sur son corps, elle ne fut pas celle qui perdit un vêtement en premier, ce fut Jackson qui se sacrifia avant qu'elle ne le dévora des yeux, oui son torse lui plaisait effectivement. Musclé, athlétique, mais c'était bien elle qui voulait mener la danse alors qu'elle venait de s'asseoir sur ses genoux, le faisant tomber en arrière avant de le rejoindre pour sceller à nouveau leurs lèvres, ses mains furent bien plus coquine allant jusqu'à son entre-jambe et c'est en l'observant qu'elle défit son bas, elle lui laissa l'occasion de s'opposer à son geste et de l'arrêter à tout moment, mais il ne le fit pas et ce dernier se retrouva donc à ses chevilles sans oublier son sous-vêtement.

Saphyr goûter son cou, mordillant très légèrement alors qu'il se retrouvait totalement nu sous elle, la situation serait presque amusante car il semblerait que ce soit les femmes bien souvent les premières sans un bout de tissu sur la peau. Souriant en sentant le tissu de sa robe remonter doucement son corps, la métisse obtempéra afin que cette dernière ne finisse dans un coin de la pièce, la question de où viendra demain. Elle se sentait grisée, excitée, oubliant même celui qu'elle tentait alors d'oublier, elle était pleinement présente avec son délicieux amant d'une nuit. Elle frissonna en sentant les baisers sur sa poitrine, l'un de endroit érogène et sensible pour elle, chacun en avait des différents, elle se mordit la lèvre inférieure et ferma les yeux lorsqu'elle sentit le coquin agripper le dôme de sa poitrine entre ses lèvres. Saphyr se plaça afin qu'il puisse mieux y accéder sans pour autant se casser le cou et de ses mains dégrafa son soutien-gorge qu'elle balança plus loin.

« T'es doué... mais oublie pas qu'on doit ouvrir ta fenêtre pour donner un bon spectacle a tes voisins ! »

Un léger rire la parcourus alors qu'elle caressait son cuir chevelu alors que ses lèvres étaient toujours contre sa poitrine, prêt à téter comme s'il pouvait espérait sentir quelque chose s'y échapper... mais ça serait un peu étrange non ? Quoi que, chacun son kink, elle n'était personne pour juger. A chaque mouvement de ses lèvres ou de ses dents contre ce petit bout rond de peau, elle se sentait défaillir et de plus en plus excitée.

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Demain vous pourriez recréer le moment, vos vêtements étalés sur le sol comme des tracés de souvenirs, une chasse au trésor pour recomposer un événement grisant. Pour l’instant, t’étais à fond dans le moment, tes lèvres se refermant autour de l’un des mamelons de la métisse, maintenant que t’avais légèrement décalé le tissu de sa bralette. La jeune femme se cambra vers l’arrière pour te faciliter l’accès à sa poitrine, ce qui t’excita davantage. Son langage corporel te faisait comprendre qu’elle aimait ça, qu’elle en voulait encore, et tu obéissais en changeant de sein pour la faire vibrer de tous les côtés. Pour t’aider encore plus, elle dégrada elle-même son soutien-gorge qu’elle envoya valser plus loin, rajoutant un indice pour demain matin. Elle te rappela alors que vous aviez prévu offrir un spectacle aux voisins, et qu’avec la fenêtre fermée, le son se rendrait moins bien. Tu ris, lâchant sa poitrine en reculant ta tête pour mieux la regarder. « Quand t’as une idée en tête, toi, tu la perds pas de vue … » Tu pensais que tes caresses et coups de langue lui auraient fait perdre la tête mais visiblement, elle gardait le cap, et ça t’amusait plus qu’autre chose. Tu te relevas donc du lit, l’écartant légèrement pour te dégager de votre étreinte, et tu allas ouvrir la fenêtre tout en grand. Ton corps était éclairé par la Lune, ce qui donnerait déjà un début de spectacle aux voyeurs nocturnes qui auraient eu le bon timing de regarder par ici à ce moment précis. Tu te tournas de nouveau vers ton amante d’une nuit, tes fesses éclairées par la lumière bleutée, et tu retournas sur le lit. « Que le spectacle commence, alors … » Lanças-tu d’une voix douce et amusée, mais aussi bien sûre d’elle, alors que tu tirais la jeune femme par les jambes, tes mains autour de ses genoux, afin que son entre-jambes soit à la limite du matelas. Tu t’agenouillas sur le plancher et cette fois, ce fut le sexe de la métisse que tes lèvres découvrirent.

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