leger ' Soraya & Alister

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Maintenant, tu espères ne pas l'avoir vexé outre mesure. Disons simplement que si tu es heureuse en l'état, tu ne désires pas y changer quelque chose. À quoi bon aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs alors que tu es déjà très bien ici ? Pour autant, cela ne change en aucun cas l'image que tu as de lui. Et tu souhaites d'ailleurs le lui faire savoir.

Je ne l'ai pas mentionné, mais j'aime votre audace. Vous savez ce que vous voulez, et vous avez bien fait d'essayer malgré tout.

S'il a l'impression que tu ne lui doit pas de dette, ce n'est pas réellement l'impression que tu as. Casser quelque chose arrive, c'était un accident, mais pour autant, tu culpabilises légèrement à ce sujet. Forcément, c'est ainsi que tu as été élevée et tes parents y tenaient.

Je vous y accompagnerait avec un immense plaisir, oui. Dès que mon service est terminé si vous le souhaitez ?

Niagara

Invité

faute d'avoir trouvé la perle domestique capable de lui égayer le quotidien, Alistair se consolait avec l'idée de finalement n'avoir pas totalement perdu son pouvoir de séduction. Il avait in fine bien fait de passer un temps certain à se teindre les racines grisonnantes.

- Parfait... Je vous retrouve donc dans...

Il consulta sa montre rapidement

-... Une 20 aine de minutes, ca vous suffira pour vous préparer sans vous bousculer?

En tout cas, ça lui suffirait pour chercher rapidement un bouquet chez le fleuriste voisin. En faire trop toujours trop, était tellement doux pour son égo...

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Il faut admettre que cet homme sait s'y prendre avec les femmes en général, c'est même une certitude. Mais même pour ton égo, ce n'est pas déplaisant pour autant. Bien au contraire, c'est assez flatteur de voir qu'il aurait pu te choisir toi parmi n'importe qui d'autre.

C'est parfait oui, ne vous en faites pas pour moi !

Et, avec un immense sourire, tu termine ton thé avant de te redresser. Ramassant ton verre, tu en profites pour débarrasser les tables ayant des assiettes ou des verres vides. Tu les déposes dans l'évier du salon de thé avant de t'occuper des clients restants. Lorsque la fin de ton service est là, tu files donc te changer, quittant ta tenue de travail pour une robe d'été adaptée à la température extérieure.

Niagara

Invité

Avec son petit bouquet, Alistair avait l'air... D'un vieux presque beau, sur son trottoir. Il avait oublié combien lorsqu'il était un jeune homme ambitieux, considéré comme l'un des plus beaux partis dans les salons londoniens par les marieuses embusquées derrière les théières en Wedgwood.
Au contraire, il avait même sombré dans la caricature de son rôle de bellâtre vieillissant, essayant de rectifier le nœud de son foulard pour lui donner une allure parfaitement étudiée de négligence en se basant son reflet un brin flou dans une devanture voisin.
Ses plissements de paupières trahissant sa difficulté à accommoder la focale lui donnaient des allures cocasses de taupe module, ce qui égaya la journée des vendeuses du magasin dont il n'avait pas remarqué la présence en transparence, de l'autre coté de la vitre.

Il attendait, avec une fraicheur qu'il jugeait agréable, la jeune fille, bien décidé à lui jouer le grand numéro du dom juan de contes de fées, afin de gommer la prise en compte du fait qu'il avait plus l'âge de jouer le role du barbon que celui du galant dans cette comédie légère.

Enfin, qu'il espérait aussi légère que la cotonnade qui dansait au rythme alerte des pas de la jolie serveuse qui approchait...

Il avança l'épale, lui suggérant ainsi de lui prendre le bras, courbant légèrement le menton pour que l'invitation fut plus appuyée, prenant soin de calibrer un sourira un brin mutin et de cacher au mieux les stigmates des prémices de l'embonpoint.

-Hé bien...allons maintenant ... s'il vous plait!

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Enfin prête et vêtue d'une tenue qui se veut moins professionnelle et plus confortable, tu rejoins donc ta collègue afin de lui faire un rapide topo de ce que tu as pu faire Ainsi, ce sera beaucoup plus simple pour elle, pour qu'elle sache où reprendre et ce qu'elle peut faire. Et enfin, tu peux t'en aller, rejoignant le don juan à qui tu as promis de l'accompagner afin de récupérer une nouvelle monture. Tu lui dois bien ça étant donné que tu lui as cassé la sienne. C'est donc à l'extérieur que tu le rejoins.

J'espère que je ne vous ai pas trop fait attendre? Le bouquet que vous avez est vraiment magnifique, sachez-le.

Face à son geste, un sourire se fait voir sur ton visage alors que tu attrapes délicatement son bras d'une de tes mains. Et tu n'as évidemment pas l'intention de le lâcher dans l'immédiat.

Avec plaisir oui !

C'est donc ainsi que vous vous mettez en route afin de lui choisir cette fameuse monture qui palliera à son problème de vue. Tu tenais à l'y accompagner et tu n'as pas l'intention d'en démordre, de toute façon.

Niagara

Invité

La vanité avait cela de bon qu'elle estompait toute conscience du ridicule. Il se sentait aussi beau qu'un grand paon se pavanant dans quelque royal par, avec cette jeune et belle blonde ornant son bras.

-Ces fleurs bien ternes, comparées à vous...aussi suis-je on ne peut plus gagnant en les troquant contre vous...

Alistair, un peu grisé par l'opportunité qui s'offrait à lui d'un rapprochement, fit en sorte que les hanches souples et élastiques de le jeune fille vinssent l'effleurer au rythme de leurs pas. C'était bon émoustillant même, de badiner ainsi

-Mais ...j'y songe, vous avez certainement un prénom?

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Force est de constater une chose : si les hommes de ton âge te flattent parfois, on ne s'y est jamais pris de la même manière que lui. Et il faut avouer que cela a son petit charme, de quoi te faire sourire et changer de ces phrases ridicules qu'on peut parfois te balancer, comme si cela était normal.

Mais non, elles sont superbes. Puis... Dans ce cas là, vous êtes chanceux puisque je n'ai pas l'intention de rentrer chez moi dans l'immédiat. Disons donc que vous allez pouvoir profiter de ma compagnie encore un petit moment.

Ce contact physique, aussi anodin soit-il, te provoque un frisson qui te parcourt l'échine. C'était assez inattendu, mais loin d'être désagréable pour autant. Au contraire. Pour autant, tu ne tenteras pas d'aller plus loin, du moins, pas maintenant.

Effectivement, j'ai un prénom ! Je m'appelle Soraya... et vous ?

Niagara

Invité

- Hé bien...moi pas!
Oui la blague pouvait sembler un peu pesante et convenue, mais il fallait tout de même qu'Alistair se méfie de paraitre trop guindé
Il n'avait pas envie de finir dans la peau du Vieil oncle bien élevé à qui on change ses lorgnons avant de le reconduire dans la maison de repos ou l'attendent ses amis cacochymes.

- Je m'appelle Al'
poursuivit-il en souriant.
Le choix du diminutif se voulant agir comme un dépoussiérant sur son prénom qui sentait un peu fort l'humidité légèrement moisie de sa natale Angleterre

- C'est très joli Soraya... ensoleillé comme cette belle journée, comme votre beau visage...

Feindre une gène pour espérer obtenir la permission de poursuivre sur la voir tendancieuse

- Pardonnez mon audace , mais je ne peux refreiner mon envie de vous complimenter un peu...

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Alors là... Cette réponse était totalement inattendue, clairement. Comment ça, lui pas ? Les traits de ton doux visage laissent paraître la surprise. Tu ne pouvais définitivement pas la masquer. Mais heureusement, il ne tarde pas à te donner un surnom. Enfin, tu déduis qu'il s'agit d'un surnom.

Eh bien... Enchantée, Al'. Je suis curieuse de connaître votre prénom dans l'intégralité mais je suppose qu'un peu de mystère ne tue personne, n'est-ce pas?

Suite à ces quelques mots qui te sont adressés, tes joues virent sur une teinte un peu plus rosée, flattée par ces compliments qui te sont adressés.

Eh bien... Je vous en remercie.

La suite attire davantage ta curiosité, cette envie d'en savoir plus, une nouvelle fois. Qu'entend-il par là? Non, parce qu'il faut avouer que tu peux prendre ces quelques mots de bien des manières. À croire qu'il s'agit là de sa spécialité ?

L'envie vous prendrait-elle de développer le fond de votre pensée ? Me compléter dans quel sens?

Niagara

Invité

Il fallait rester dans quelque chose d'un peu frais lui semblait-il...

- He bien ma vielle tante barbue Margaret m'appelle Alister, mais vous êtes bien trop jeune et belle pour avoir quelque chance de pourvoir l'imiter

Et à trop vouloir soigner son boniment, lui donner une rythme dynamique, léger, il en mâcha ses mots au point que "complimenter" passa pour "compléter"

Et si l'image de ce que pouvait être la complémentarité des formes appliquée à leur physionomie réciproque lui vint à l'esprit, il s'interdit de glisser dans la grivoiserie.
Il avait beau se prétendre simple Al', il n'en demeurait pas moins Lord, avec toute la digne retenue que cela supposait, surtout en public, sous le regard des passants.

- Hem compléter...vraiment? ma raison dût s'égarer un instant, piégée par votre sourire ensorcelant...

Gagner du temps se raccrocher aux nobles et secourables branches qu'une parfaite éducation lui avaient offertes

- Il faudrait être fol pour oser prétendre , que la perfection faite femme puisse souffrir quelque modification.
Il avait affecté une pompe grandiloquente pour tenter de vernir d'un comique volontaire les bases du ridicule que son enthousiasme avaient fortuitement posées.

Il contrebalança l'effet en retrouvant des intonations moins caricaturales
- Mais vraiment, le fait est que je vous trouve charmante, troublante, même, en effet!

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Face à ces mots, tu ne peux t'empêcher de rire. Comment te comparer avec une tante âgée ? Non, même si tu devais l'appeler par son prénom entier, tu es certaine que cela n'aurait pas le même effet pour autant.

Oh, vous savez, je pense que cela resterait totalement différent. Dépendant de qui ça vient, ça peut changer pas mal de choses. Enfin, ceci n'est que mon humble avis.

Pour une fois, ton esprit n'a pas spécialement dévié vers des pensées totalement impures et loins d'être chastes. Et pourtant, vu l'ambiguïté des propos que tu as pu entendre, cela aurait été totalement justifié. Mais bon, peut-être as-tu simplement mal compris.

Je vous laisse le bénéfice du doute, mais c'est bien la seule fois, hm?

Beau parleur comme il est, il faut avouer qu'il s'en sort plutôt pas mal pour se raccrocher comme il peut. Mais bon, inutile de rendre gênante cette situation qui, en soi, t'amuses plus qu'autre chose.

Oh, vous trouvez?

Toujours aussi flatteurs, il faut avouer que c'est agréable. Non pas que tu ne te rends pas compte de la beauté surfaite de la perfection, mais parce qu'il faut avouer que la plupart des gens de ton âge ne sont pas aussi flatteurs.

Je vous remercie, mais je pourrais en dire autant de vous. Du moins, concernant le fait que vous êtes troublant. Rien de péjoratif, rassurez-vous !

Non, disons simplement que tu ne parviens pas à analyser ses intentions, mais disons que cela restera une sorte de surprise.

Niagara

Invité

le badinage léger... Le soleil tendrement tiède de la fin d'après midi... le déhancher souple de Soraya...

Alister se sentait léger, allègre. Un air de tendancieuse irrévérence semblait se lever sur la fin de journée. Inconvenants, certes, les frôlements à travers les étoffes fines! Frondeurs, les pétillances rétiniennes qui scintillaient, trahissant les prémices de pensées encore moins avouables que celles procurées par le plaisir insolent de défier la morale.
Car oui, c'était à son sens transgressif qu'un homme de son âge se comportât ainsi avec une si jeune fille...et pourtant il avait l'immaturité mentale de s'en délecter, ce qui somme toute pouvait rendre moins immorale la chose, puisque leurs esprits semblaient contemporains.
Etait-ce la persistance gustative d'un soupçon de parfum de tartelette aux poires dans sa bouche, qui, combinée à la regression mentale qui s'opérait fit naitre en lui une parodie de l'hymne à la gloire de sa Gracieuse Majesté en l'honneur du fruit capiteux

Toujours était-il qu'une voix intérieure mutine lui chantait

God save our gracious Pears,
Long live our noble Pears,
God save the Pears !
Send her victorious,
Happy and glorious,
Long to reign over us ;
God save the Pears !

Et le noble fruit le méritait bien, puisque c'était un peu lui qui avait été le déclencher de l'enchainement d'évènements qui le conduisait, à cet instant, à savourer les mots de Soraya, lui confiant qu'il était à ses yeux...troublant

Retenant de justesse le sourire jubilatoire et un peu niais qu'aurait pu arborer un gosse face à un sucre d'orge qui poignait sur se lèvres, il poursuivit la conversation en essayant d'affecter un détachement de moins en moins crédible.

-Ne dites pas de pareilles choses...Vous pourriez me faire croire un instant que je vous plais...un peu?

la gourmandise dans ses yeux le trahissait surement déjà plus qu'un peu, lorsqu'ils arrivérent sur le pas de l'échoppe de l'opticien.

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Tu devrais te sentir mal de pouvoir éprouver quelque chose à l'égard d'Alister, non ? Ne parlons pas ici de sentiment, mais éventuellement d'une légère attirance ? Le potentiel problème, c'est qu'il aurait l'âge d'être ton père. Littéralement. Et ce qui aurait pu te repousser chez un autre, ça ne fonctionne pas vraiment avec lui. Ne serais-tu pas légèrement dans la mouise ? Oh si, un peu. Juste un petit peu. Mais cela ne t'empêche pas de te sentir bien, légère, à ton aise. Comme si ce léger incident te menait à cet instant bien précis ? Dans le fond, c'est un peu le cas, aussi.

Ce n'est pas exactement ce que j'ai dis... Mais je vais laisser votre esprit divaguer, je juge cela bien plus amusant.

Avec ces quelques mots, tu lui offres un sourire en coin qui en dit long, mais pas suffisamment à la fois. Le sien dit plus ou moins la même chose à vrai dire, c'est en tout cas ce que tu peux déceler, bien que tu n'en dis pas un mot. Disons simplement qu'il est libre d'imaginer tout ce qu'il veut étant donné que tu ne lui as imposé aucune limite... Enfin, toi, non. Mais votre destination, elle oui. En effet, vous êtes enfin arrivés chez l'opticien. Tu passes donc le pas de la porte, l'invitant à te suivre.

Niagara

Invité

Elle minaudait un peu...c'était de bonne guère en réponse aux galanteries de guimauve qu'Alistair distillait. Mais du marshmallow en provenance de Fortnum & Mason, vanité oblige... Vanité qui fondait sous le soleil australien combiné aux sourires suffisamment équivoques pour n'être plus vraiment ambigüs qui accompagnaient les protestations si formelles qu'elles en devenaient des incitations à poursuivre de Soraya

- Mais comment refuser de vous suivre, gracieuse demoiselle?

Soit le registre de la bienséance se maintiendrait dans les propos tandis que dans les actes, il ne chercha point à camoufler qu'il déshabillait presque Soraya du regard

Car, si les guimauves sont moelleuses, elles sont nettement moins stimulants que les gingembre confits, pour rester au rayon des sucreries.

Désignant d'une emphatique gesticulation le présentoir à montures, l'incorrigible vieux cabotin lui demanda

-Choisissez voulez-vous, afin que j'aie meilleur espoir de moins vous déplaire... Et surtout une chance de mieuxvoir... ce que vous voulez...dire!

Invité

Léger

Comme si c'était la première fois que la nuit tombait, dans nos bras, on voudrait tous partir. Retrouver le soleil qui nous manque, qui va brûler toutes nos peines. Le soleil, qui nous hante. ı @Alister R. Templeton & @Soraya Wordsworth

Rester vague a toujours été quelque chose que tu aimes. Ainsi, tu laisses place à l'imagination, et à toutes les idées, chastes ou non, qu'il peut avoir. Pour être honnête, tu adorerais être dans sa tête afin d'en savoir plus sur ces fameuses idées, mais ce n'est malheureusement pas le cas. Il faudra donc accepter cette évidence et accepter que non, tu ne sauras jamais ce qu'Alister a en tête.

Après être entrés au sein de cet établissement, ton regard se perd donc sur diverses montures. Et heureusement que tu as pris le temps d'en observer quelques unes puisqu'il te propose d'en choisir une. Tu ne tardes pas à en trouver une qui, à ton goût, est sobre mais très classe à la fois. Nul doute qu'elle lui ira bien. C'est donc pour cette raison que tu la lui donnes afin qu'il l'essaie.

Essayez celle-là, je suis certaine qu'elle sera parfaite pour vous. Et si ce n'est pas le cas, je vous en sélectionnerait une autre. Tu attends ensuite qu'il essaie tout en gardant le sourire.

Niagara

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